KELLIN THRONE
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Kellin Throne DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 5 Août 1980 - 17 ans. ANNÉE : 7ème année ORIGINE * : Sang-mêlé ANIMAL ÉVENTUEL : Hibou (nommé Zwei) CLUB(S) : Aucun c'est une perte de temps. BAGUETTE : Noisetier, Plume de Phénix, 22.5cm, moyennement souple. PATRONUS : Jaguar

HORS JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? En cherchant sur google des forums ou rpgs Harry Potter plutôt actifs. ÂGE IRL : 19 ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Acacia Brinley EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Nope DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ? Oui ! AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : >

TEXTE PERSONNEL (1500 mots)

C'est dans sa salle commune que le second enfant de la famille Throne se remets en question.
Une remise en question habituelle chez elle. Elle qui n'arrive à voir un avenir un tant soit peu joyeux. Sa baguette tourne alors entre ses fins doigts, la multitude de questions dans sa tête la fait soupirer, excédée par toutes ses questions sur son passé.

Kellin n'a que rêve de vengeance, soif de pouvoir et de reconnaissance par la terre entière.
Son fin visage semblable à celui d'un ange ne voulant mal à personne, ses yeux bleus qu s'illuminent au soleil, ainsi que sa chevelure mi-longue brune qu'elle prends tant plaisir à entretenir. Tout cela n'est qu'illusion, l'ange n'est autre que démon, froide, têtue, imprévisible. Rare sont les fois où elle sourit réellement. Son sourire, un sourire angélique aux yeux de tous, un sincère sourire qui n'est autre que dupe. Sa taille moyenne ne dépassant le mètre soixante-dix rends la jeune sorcière encore plus simple qu'elle ne le fait croire. Son corps fin et élancé, de ses fines jambes à ses bras, tout est proportionné comme il le fallait.

Assise alors sur ce divan, sa baguette tournoyant encore et encore, elle ne peut s'empêcher de soupirer encore quand l'image de ses parents apparaît dans son esprit. Cette vision d'une vie épanouie, où l'amour pouvait encore être décrit avec de simples mots, de simples sourires.

Ses parents. Son histoire. Son passé. L'origine de tout.
Se rappelant alors les soirs où sa mère venait la prendre dans ses bras avant de s'endormir, la façon dont elle manier la magie sous les yeux attendrit de son père. Père moldu, qui était avocat, sa mère n'était que simple sorcière restant chez eux pour s'occuper des deux catastrophes qu'était elle et son frère Eden. Eden, son grand-frère âgé de simplement un an de plus qu'elle, celui qui l'aimait comme la prunelle de ses yeux, ce jeune homme dont la bravoure et l'honnêteté dépassait le réel.
Elle pouvait encore sourire, sa famille l'aimait. Mais la vie avait décidé autre chose pour elle, la mort de ses parents quand elle avait 8 ans.
Traumatisme, en âge de comprendre les choses.
Souvenir gravé au fond de son être, une douleur au fer rouge s'était répandue de nouveau dans son corps.

Sa lèvre emprise de ses dents, une montée de haine l'avait alors envahit. Lâchant sa baguette, tombant elle sur le sol sans se briser par chance.
Elle se sent alors comme paralysée depuis ce jour, se répétant sans cesse à quel moment exact elle avait arrêtait de ressentir des émotions, qu'elle était devenue froide, qu'elle avait était dévastée réellement de l'intérieur.
Son esprit divague alors dans le divan, ses yeux se ferment le temps d'une remémoration horrible de cet événement.

La nuit tombe alors sur la demeure des Throne, Kellin est alors simplement prête à aller rejoindre Morphée dans les bras de sa mère quand un énorme bruit se fait entendre à l'étage du dessous. Le cri de son père résonne dans l'immense maison, Kathleen sa mère lâche alors sa fille qui était comme tétanisée. Sa mère court alors vers son mari, baguette en main. La fille la suivant discrètement arrive alors dans la pièce d'où le bruit venait. Son corps s'arrête alors quand elle vit 4 hommes face à elle, son frère ainsi que ses parents, son père subit alors l'impardonnable sort d'Avada Kedavra sous les yeux de sa famille. Sa mère protège alors son frère menacer à son tour. L'un des hommes revendique alors appartenir aux Mange-morts et cherche alors à exterminer tout ce qui osait se mettre en travers de leur chemin. Sa mère montre alors résistance et subit le même sort que son mari après quelques sorts qu'elle réussit à envoyer. Les cris perçant de la jeune enfant en réalisant la scène qui s'était déroulée devant ses yeux, ses yeux encore purs. Les larmes de son frère accroupit face aux corps sans vie des parents.

Kellin sursaute alors en se rendant compte de la scène qui avait envahit son esprit. Poings serrés, elle se rappelle alors de chaque moments passés enfermés ici entre ses murs, chaque moments où elle a pu montrer l'étendu de sa magie la fierté collée à sa peau.
Elle avait perdu sourire depuis, son visage n'était qu'expression de mépris la plupart du temps, considérant les gens comme des incapables ou des égocentriques. Alors qu'elle-même était égocentrique voir exécrable par moment.
Le caractère insolent, distant, nonchalant qu'elle avait n'était que résultat de cet invivable traumatisme. Ses manies de craque ses doigts chaque jours signe de colère, d'emprisonner sa lèvre de ses dents signalant son stress, son comportement colérique et sa violence parfois excessive était ce qui la caractérisé.

Ayant appris la Legilimancie au cours de sa scolarité, elle n'utilise qu'en rare occasion ce don bien que son passe-temps reste de faire croire aux personnes qu'elle s'en sert contre eux.
La soif de vengeance qu'elle ressent n'est égale à toute autre, un désir profond de tuer se relève par moment.

Elle n'avait réaliser les choses à présent, sa dernière année de scolarité à Poudlard allait débuter d'ici peu, ses habitudes qu'elle ne fera après cette année, sa vengeance non accomplie, son avenir incertain. La peur au ventre lui pris en y pensant, son frère n'était plus dans l'école cette année, son seul espoir de ne pas flancher dans la tuerie ici disparu.
Son esprit cherchait, encore et encore une potentielle issue à tout cela. Une issue pour un avenir stable malgré ses rêves envolés comme chaque année.
Peut-être son comportement jouait beaucoup. Non, il ne pouvait changer, il ne pouvait la faire sourire de nouveau. L'impossible étant commit, rien ne pouvait se changer.

Récupérant sa baguette qu'elle regarde alors comme la première fois qu'elle l'eut dans sa main d'un sourire fier, cette baguette qui avait tant fait ces six dernières années.

Nostalgie intense. Le moment de sa répartition par le choixpeau, le déroulement de la coupe des trois sorciers qui avait accueilli les élèves d'autres écoles, toutes ses petites choses qui ont fait d'elle ce qu'elle est aujourd'hui, une dernière année.
Le regard des troisièmes années sur sa personne quand elle arrivait pour défendre quelqu'un rarement, les soupirs constants de ses professeurs quand elle décider de ne rien faire durant les cours. Les nombreuses et rares fois où elle avait rit avec des élèves de sa maison, les moments comme celui présent dans la salle commune où elle était seule à réfléchir ou même quelques fois surprise à travailler des sorts ou à trouver comment étendre sa soif de pouvoir, de le voir grandir chaque jour était finalement devenu obsessionnel.

Elle n'avait toujours pas trouvé solutions à ses problèmes, Kellin soupire alors, s'allongeant dans le divan, en attendant que quelqu'un rentre et qu'elle puisse alors avoir une conversation bien qu'inutile à ses yeux, simple formalité pour paraître un peu intéressée par la vie de sa maison.
Les gens de la maison lui semblaient tous les-mêmes, aucun a pu égayer sa curiosité de le connaître depuis ses six ans passés dans cette immense école. Même si elle avait quelques connaissances dans sa maison grâce aux cours communs, elle n'était prête à devenir la meilleure amie de qui que ce soit.

Accompagné d'un soupir, ses cheveux bruns virevoltent dans les airs, un léger vent s'est levé et vint alors pénétrer sa salle commune.
Sa baguette tendue face à elle, ses lèvres fines et rosées commencent à bouger, un son sort alors de sa bouche. Ainsi qu'apparaît autour d'elle, une neige fine tombant du plafond.

« Caduto Nevera.. »

Et la jeune femme repense alors à sa saison préférée, an attendant toujours qu'on vienne lui faire un semblant de conversation.