FELIX LAWFORD
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Felix Lawford DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 01/10/1980 (16 ans) ANNÉE : Sixième année ORIGINE * : Sang-mêlé ANIMAL ÉVENTUEL : Une effraie blanche qu'il surnomme; Pistache. CLUB(S) : Duelliste (Depuis sa quatrièmes année) | Musique (Depuis sa première année) BAGUETTE : Saule - Ventricule de Dragon - 33,2 cm - Fine - Rigide PATRONUS : Plusieurs Morpho menelaus.

HORS JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? DC comics ~ ÂGE IRL : 19 ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Oh Sehun EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Attention, celui-ci ne pourra être 'joué' qu'une fois la demande faite: cf. règlement et le listing "Dons et Pouvoirs" DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ?(voir Ici): Nop' AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : >

TEXTE PERSONNEL (1500 mots)

❝ Si vous pleurez, je m'en vais. Si vous criez, je m'en vais. Si vous continuez de me regarder comme ça, je m'en vais. Si vous me posez des questions, je m'en vais. Et pour finir, si vous me demandez de jouer avec vous, parce que vous manquez d'attention... je m'en vais. Et vous savez ce qui arrivera si je ne suis pas là. Le Boogeyman viendra vous chercher pour vous manger. ❞ dit-il en pointant du doigt les deux gamines qui lui faisaient face. L'une d'elles se mise d'ailleurs à pleurnicher, mais le grand blond l'imita pour lui démontrer qu'il n'en avait rien à foutre. Enfin, il désirait surtout lui faire comprendre que lui aussi, il pouvait pleurer, mais que cela n'allait guère changer cette pénible situation. Au contraire, ça rendait les choses encore plus lourdes qu'elles ne l'étaient déjà. Felix avait toujours été ainsi. Il était incapable de s'occuper correctement des autres. Il ne voyait que lui, sa petite personne. Il se trouvait même plutôt beau dans son genre. Il dépassait de loin le mètre quatre-vingts, il était mince, agile et sa blondeur due à un accident en cours de potions lui donnait un charme particulier. Lawford s'aimait au point de croire que s'il devait mourir, alors l'univers s'éteindrait avec lui. Ce problème ne datait pas d'hier. Non, cela avait commencé lorsqu'il était en deuxième année. L'intimidation ne l'avait pas porté à s'écraser au sol et à croire qu'il était médiocre. Lui, il s'était plutôt levé devant tout le monde pour leur dire à quel point il était important. Finalement, cette façon de voir les choses avait créé en lui un petit côté narcissique et égoïste, mais ce n'était pas ses plus grands défauts.

Son antipathie, sa froideur ainsi que son manque de compréhension face à la tristesse d'autrui étaient ce que les gens détestaient le plus chez le sang-mêlé. L'histoire des autres, il s'en moquait littéralement. Ceux qui pleuraient se faisaient rejeter et Lawford ne se gênait pas pour dire tout haut son point de vue, pour être certain que le message soit bien enregistré. Il se pencha d'ailleurs vers la gamine qui continuait de se plaindre.

❝ T'es laide lorsque tu fais cette tête. Si tu veux chialer, alors fais-moi plaisir et va te cacher dans ta chambre... On est d'accord ? ❞

La jeune fille monta à l'étage sans dire un mot, accompagnée par sa petite soeur qui lui tenait fermement la main. Karelle et Magali Lawford étaient les cousines de Felix. Elles n'étaient que de jeunes moldus sans importance, sans avenir. Elles étaient seulement là pour être belles et se faire chouchouter. C'était la vision du sorcier concernant celles-ci. L'adolescent n'était pas très familial, mais il adorait tout de même ses cousines, malgré son point de vue. Il lui arrivait aussi de se faire protecteur, lorsqu'un danger s'approchait où qu'il ne se sentait pas à l'aise. D'accord, il était inapte à s'occuper d'elles dans le bonheur et la joie, mais il prenait tout de même ses responsabilités. Il faisait la cuisine, lavait et pliait leurs vêtements, se chargeait du bain, du brossage de dents et de tout ce qui était réellement important. Il allait aussi les voir à quelques reprises et ne dormait jamais sans les savoir en sécurité dans leurs lits. Ceux qui arrivaient à se lier d'amitié avec Felix étaient toujours agréablement surpris par cette douceur. Lawford était ce genre d'élève qui faisait son lit le matin et qui réveillait les plus paresseux pour éviter que ceux-ci ne soient en retard. Le sorcier était une vraie petite maman et ce fut en le regardant faire que ses camarades de maison comprirent qu'il n'était pas méchant.

Mais pourquoi était-il si maternel ? Parce qu'il avait deux mères, bien évidemment. Celle qui avait porté l'enfant, une femme d'origine coréenne, était la seule sorcière du couple. Elles avaient pris place au coeur de Sheffield depuis la naissance du petit, malgré les problèmes d'argent. Felix avait donc connu plusieurs difficultés jusqu'à l'âge de ses huit ans, dont celles de ne pas avoir trois repas par jour, d'avoir des fringues moches qui n'étaient pas à sa taille et de se contenter du peu de jouets qu'il avait eu la chance d'avoir. Au moins, cette épreuve lui apprit à avoir du respect envers tout ce que les gens lui offraient. Si quelqu'un venait à perdre quelque chose, même s'il s'agirait du Grand et parfait Stanley Wang, Felix serait le premier à se lancer pour fouiller les environs. Oui, Lawford était taquin, parfois blessant, mais il ne cherchera jamais à faire du mal intentionnellement.

❝ Karelle ! ❞ cria-t-il en cheminant dans l'escalier. Il attrapa d'ailleurs les trois poupées de porcelaine qui traînaient contre les marches pour ensuite les remettre dans la chambre des deux gamines. ❝ Essaie de ne pas laisser traîner ces trucs, veux-tu ? C'est effrayant... ❞

La jeune fille hocha la tête, les larmes toujours présentes aux coins de ses yeux. Le blond se pencha alors vers elle tout en se forçant un sourire. Il détestait voir les gens pleurer, mais ce n'était pas seulement parce qu'il trouvait ça laid, non. Lorsqu'il avait mis pied à Poudlard pour la première fois, il s'était lui-même mis à sangloter. Le sorcier ne s'était jamais réellement senti en sécurité entre les murs du château. La peur et l'angoisse avaient pris place en lui comme le venin d'un serpent. Il s'était presque uriné dessus, mais Dieu l'avait épargné. À cette époque, il n'avait aucun courage. Plusieurs élèves s'étaient moqués de lui, parce qu'il n'était qu'un trouillard et un braillard qui ne faisait que gémir sans dire quel été le réel problème. Enfin, toute sa jeunesse avait été ainsi. Felix avait été l'un de ses bébés qui se plaignaient sans cesse pour aucune raison. Ses mères ne savaient plus quoi faire pour qu'il arrête, parce que même à cinq ans, il pleurait tout le temps. Sa première année à Poudlard fut donc bien longue et pour le moins traumatisante. Voir quelqu'un dans un mauvais état, que ce soit à cause de la tristesse ou de la peur, lui rappelait ce cauchemar, des souvenirs qu'il aimerait profondément oublier. Rejeter les sentiments des autres était une façon pour lui de se libérer du sentiment qu'il avait eu autrefois. Cependant, il restait fragile face à des enfants ou des gens qu'il avait approchés ou qui s'étaient approchés de lui lors de cette chiante période. Ce qui lui avait réellement permis de faire entendre parler de lui à Poudlard, ce fut d'avoir été l'un des deux batteurs de sa maison au Quidditch. Dans le monde Moldu, il était plutôt réputé pour ses prestations en tant que seul pianiste dans un petit orchestre symphonique qui l'avait recruté lorsqu'il avait environ sept ans. Lors de son dernier spectacle, en juin 93, il avait joué la danse macabre, accompagné par un jeune violoniste de dernière minute, puisque l'autre enfant était tombé malade. Il n'avait jamais été aussi nerveux et encore aujourd'hui, cet évènement restait un miracle pour lui, car tout s'était bien déroulé. Il frissonna en y repensant, avant de se concentrer sur sa cousine.

❝ Est-ce que tu connais la princesse du courage ? ❞
Karelle secoua la tête négativement.
❝ Lorsque tu es triste, tu dois fermer les yeux et la princesse viendra te faire un bisou magique qui te protègera du Boogeyman pour l'éternité. C'est long une éternité, n'est-ce pas ? ❞ demanda-t-il en essuyant les larmes de la gamine qui se mise à sourire tout en hochant la tête en direction de l'adolescent. Felix avait toujours été doué pour inventer des histoires. C'était même l'une des raisons qui poussaient certaines personnes à l'apprécier davantage, parce qu'il n'inventait rien de négatif. Ce n'était que des récits qui pouvaient faire rêver. Il avait même déjà réussi à calmer une première année qui avait eu peur du tonnerre.
❝ On ferme les yeux et on compte jusqu'à trois. ❞
Il ferma les yeux puis il commença à compter. Petit stratagème, puisqu'il alla embrasser le front de sa cousine qui ouvrit grand ses paupières pour chercher qui lui avait fait un bisou. Felix ne fit que la regarder, tout aussi surpris qu'elle ne pouvait l'être. Il était bon acteur, après tout, imiter les gens, c'était son activité préférée. ❝ Tu es beau à voir Felix. ❞

Le jeune homme se tourna vers la source de la voix. C'était sa mère d'origine asiatique. Il se redressa pour mieux lui faire face, avant de l'approcher pour lui retirer ses valises. Il n'était pas un grand gentleman, mais c'était un minimum pour l'accueillir. Il se demanda d'ailleurs où était son autre maman, alors qu'il s'avançait le long du couloir.
❝ Ça fait une semaine qu'on t'a pas vue, tu avais dit trois jours d'absence. Où est Abby ? ❞
❝ Ne soit pas si difficile. Et tu sais, moi et Abby, on ne s'entend pas sur ta scolarité. Elle ne connaît rien de notre monde et elle a peur pour toi. Elle a donc décidé qu'elle allait rendre visite à ses parents et j'ai préféré la laisser y aller seule. ❞
Abby Lawford avait accepté que Yun Park porte le bébé pour ainsi laisser le choix à son enfant de vivre la vie qu'il désirait. Cependant, son statut de Moldu l'empêchait de pouvoir tout connaître du monde des sorciers. Felix déposa les valises dans la chambre de sa mère puis il se détourna vers Magali qui avait suivi le pas. Il décida de la prendre dans ses bras, allant lui souffler contre l'oreille pour la taquiner. La petite se mise automatiquement à rire tout en posant l'une de ses mains contre la bouche du blond qui fit semblant de la mordre pour l'amuser.
❝ Les filles de son frère sont avec moi depuis plus d'une semaine, mais elle décide d'aller voir ses parents. Si ce n'est pas un problème d'hormones, alors crois-moi, je vais tout faire pour me casser avec un mec. ❞
Yun ria un bon coup.
❝ Ahah ! Tu aimes beaucoup trop les femmes pour en arriver là Felix. D'ailleurs, ça fait longtemps que Claudia n'est pas passée à la maison, est-ce que c'est fini entre vous ? ❞
❝ Claudia est une amie, pas ma copine.  ❞
❝ Une amie qui dort dans ton lit. ❞
❝ C'pas le canapé qui va la réconforter. ❞ avoua-t-il sans gêne.
❝ Je sais que tu es très ouvert d'esprit, mais j'aimerais que tu commences par essayer d'embrasser un autre garçon, avant d'inventer des histoires. ❞

Le blond releva la tête vers sa mère, lui offrant un grand sourire mesquin. Yun le pointa du doigt, chose qu'elle avait pris l'habitude de faire pour l'avertir; Peu importe ce qui va arriver, je ne suis pas responsable de tes actes. C'était toujours ainsi. Sa mère lui donnait des idées stupides et le blond agissait en sa faveur. Bien qu'elle soit sévère et sérieuse, Yun aimait bien s'imaginer son fils dans de position délicates, mais enrichissantes. C'était d'ailleurs elle qui avait poussé l'enfant à commettre quelques erreurs lors du cours de potions. Yun n'était pas douée à l'époque où elle était étudiante, mais son orgueil la portait à inventer qu'elle était une experte dans toutes les matières. Bien évidemment, l'adolescent avait toujours cru sa figure maternelle et il lui posait des questions via des lettres lorsqu'il avait besoin d'aide en potion. Les réponses ne furent que catastrophe.

Lors de sa première année, une vapeur noire s'échappait de la potion qu'il avait concoctée avec l'un de ses amis. Curieux, il s'était approché pour sentir cet étrange nuage qui le mit dans un profond coma. Ce ne fut qu'un mois plus tard qu'il se réveilla. N'ayant pas compris que sa mère lui mentait, un nouvel incident le rattrapa en deuxième année. Rogue s'était arrêté devant son bureau pour lui souffler un simple; Levez-vous et goûtez votre potion. Résultat, le sorcier ne reflétait plus aucune couleur et il s'était mis à vomir de la masse noire pendant plus de cinq jours. Troisième année, la potion qu'il venait d'achever ne lui semblait pas assez liquide. Inquiet d'échouer, il avait glissé son index dans le contenant. Cette idée lui fit perdre ses cheveux et tous les autres poils qu'il avait sur le corps. Vers la fin de sa quatrième année, alors qu'il voulait amasser un livre au sol, il fit tomber sa potion qui lui atterrit directement sur la tête. Ses cheveux se sont mis à changer de couleur, reflétant sous forme de taches les teintes de l'arc-en-ciel, avant de s'arrêter sur cette teinte blonde qui ne le quitte plus depuis. Sa cinquième année fut sans accidents, comme quoi il avait compris d'où venait le problème.

❝ Dit... J'aimerais parler de mon géniteur. ❞
Le fait de ne pas avoir de père ne l'avait jamais ébranlé. Cependant, il savait que sa mère connaissait l'homme en question, parce qu'il lui avait demandé de lui avouer une seule vérité, pour ne pas rester dans l'inconscient jusqu'à sa mort. Ça le rendait curieux et pensif. Ça ne le dérangeait pas d'avoir le nom de l'inconnu, de savoir où il vivait, ce qu'il faisait. Cela n'allait rien changer, mais au fond de lui, il avait besoin de savoir. Malheureusement, Yun n'était pas en accord avec lui et elle redoutait que Felix puisse connaître Nathan Mathewsen.
❝ Tu m'as déjà posé beaucoup de questions et j'aimerais... Je ne veux pas que les choses changent pour nous. ❞
❝ Je veux seulement savoir si je suis le seul. ❞ dit-il en déposant Magali au sol pour la laisser rejoindre Karelle.
❝ Tu veux savoir si tu es son seul enfant. ❞
❝ S'il te plaît. ❞
Yun prise place contre le lit, retirant ses chaussures d'une main. Elle tapota ensuite contre le matelas, invitant son fils de cette façon à venir s'asseoir près d'elle.
❝ Non, tu n'es pas son seul enfant Felix... mais il ne t'a pas abandonné. Nous avons fait un choix, ensemble. ❞
❝ Mais ça ne lui fait rien de savoir que j'existe ? Moi je m'en moque, mais cet homme... Est-il bien dans cette histoire ? Est-ce qu'il veut rester anonyme ? Et sa famille, est-ce qu'ils sont conscients qu'il a enfanté ailleurs ? ❞
C'était surtout une question de sang. Yun ne risquait pas d'avoir un enfant moldu si Nathan en était le géniteur. Ce fut seulement pour cette raison qu'elle lui avait demandée d'être le père et elle le savait, Nathan l'aimait. Elle avait donc profité de lui, avant de lui crier de disparaître, parce qu'elle ne pouvait pas vivre à l'idée que cette vérité surgisse au visage de Felix. Encore un orgueil mal placé. Elle avait honte de ce qu'elle avait fait, mais elle ne regrettait rien. Elle était tellement fière du résultat, au point qu'elle ne voulait pas le partager avec Nathan. Felix était son enfant à elle et à Abby. De cette manière, il n'y avait rien pour souiller son image et sachant l'amour que Nathan lui portait, elle savait qu'il n'essayerait jamais de s'approcher de Felix.
❝ Si je te dis que oui, tu vas lui en vouloir et si je te dis que non, ce sera le même résultat. Savoir ne t'apportera rien de bon. ❞
Felix fronça les sourcils. Il se leva et posa ses mains dans le creux de ses poches. Il n'était pas du genre à argumenter, surtout lorsque le sujet était aussi délicat.
❝ Tu as raison, je suis désolé. ❞
Sa mère se massa les pieds, sans lâcher son enfant du regard.
❝ Mon coeur, est-ce que ça te blesse de ne pas avoir de père ? ❞
❝ Ne te fait pas d'idée. Bon... Je te laisse les deux monstres, j'ai des trucs à faire. ❞
Le vide qui l'habitait n'était pas trop difficile à supporter. Cependant, il avait besoin de savoir qui était son père, même si une partie de lui lui criait que ce n'était pas une bonne idée. Sous le regard inquiet de sa mère, il sortit de la chambre et retourna à l'étage du dessous pour quitter la maison. Sa direction ne fut pas bien difficile à choisir, il alla directement retrouver Claudia au parc, près d'une bonne bouteille de vodka et d'un paquet de cigarettes. La jeune sorcière qui était son amie depuis plusieurs années leva la tête vers lui en le voyant approcher. Elle était un an plus vieille que le blond, mais c'est qu'ils étaient plutôt proches tous les deux, au point qu'elle le considérait comme son copain. Cependant, elle n'était pas prête à l'avouer de sitôt. Non, Felix n'était pas sage dans ses choix de vie. Loin de là. Il avait déjà beaucoup d'expériences pour un adolescent de son genre et n'avait aucune idée de ce qui l'attendait.
❝ T'étais où ? ❞ souffla la jeune femme en ricanant.
❝ T'as l'air plus clean que d'habitude. ❞ avoua-t-il en souriant en coin. Il se mérita d'ailleurs un doigt d'honneur au visage. ❝ Allons chercher le Westfalia de Barthélemy et je te raconte tout ce que tu veux bien entendre. ❞
❝ Marché conclu, mais tu payes le gaz. ❞

Au-delà de tout cela, Lawford restait un enfant égaré et sans but précis. Comme la plupart des adolescents de son âge, depuis les derniers évènements, il ne sait plus pourquoi il se lève le matin. Cela le pousse à se faire encore plus maternel envers ses camarades, parce que c'est sa façon d'oublier. Plus ses angoisses augmentes, plus son égo rétrécit. Il n'est donc pas du genre à s'éloigner, surtout lorsqu'il ne va pas bien. Ce blondinet est toujours dans les parages et il apparaît quand on s'y attend le moins. Ses efforts pour Poudlard sont et resteront toujours optimaux, sans dire qu'il est le plus brillant de tous. Étudier est une passion et non pas une corvée. Cependant, le temps le traverse et plus il vieillit, plus il se rend compte qu'il n'est pas forcément attiré par de bonnes choses. La puissance et l'envie de contrôler sont deux désirs qui le domine peu à peu. Il sait comment manipuler les autres et surtout, ça ne lui prend qu'une seule minute pour avoir un mauvais plan en tête et une demi-seconde pour l'exécuter.