SOLYNE TRAVIS
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Solyne Travis DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 13 Juillet 1982 ANNÉE : 5ème année ORIGINE * : Sang mêlée REJOIGNEZ-VOUS NUNCABOUC? * : Pas concernée ANIMAL ÉVENTUEL : Chouette Hulotte CLUB(S) : Pas concernée BAGUETTE : En noyer, cœur en crin de licorne PATRONUS : Un écureuil MON PERSONNAGE EST :  Inventé

HORS JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? En écumant google. ÂGE IRL : 23 ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Amanda Seyfried EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ?(voir Ici): Non, ça devrait aller, merci. AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : OK >

APPARENCE (300 mots) PHYSIQUE : Solyne est aisément repérable grâce à sa crinière blonde. Ses cheveux clairs, qu'elle porte le plus souvent longs, sont souvent enviés par les femmes qui la côtoient. Elle se plaît à essayer toutes sortes de coiffures. Les élèves et professeurs pourront ainsi la croiser les cheveux tantôt attachés, tantôt tressés, complètements lisses ou encore frisés. Son visage, fin et ovale, est joliment mis en valeur par ses grands yeux bleus, ceux de son père à ce qu'elle a entendu dire une fois par sa mère. Son nez fin se termine sur des lèvres pleines, qu'elle se plaît parfois à mettre en valeur avec une légère touche de rouge à lèvre. Solyne se maquille très légèrement, elle préfère le maquillage plutôt naturel, et essaye de mettre ses traits en valeur le plus simplement possible. Elle garde le maquillage plus provoquant pour les grandes occasions. Son teint clair ne vient en rien gâcher ses yeux bleus et ses cheveux clairs. Solyne est une jeune femme plutôt mince. Ses doigts fins et longs dénotent avec sa baguette plus épaisse, le bois y étant savamment entrelacé. Elle a la chance d'avoir une corpulence plutôt flatteuse. Son corps s'étant joliment affiné avec l'arrivée de l'adolescence, la jeune femme a la taille fine, surmontée d'une poitrine suffisante pour attirer les regards des jeunes hommes de son âge. Solyne est ainsi une jeune femme très à l'aise avec son corps. Elle sait de plus se mettre en valeur lorsqu'il le faut, sachant par exemple semer le trouble dans l'esprit d'un homme. Le mot pudique ne fait pas vraiment partie de son vocabulaire. Elle ne se sentira pas non plus gênée à la vue du corps d'un(e) autre, mais sait respecter l'intimité de chacun. Lorsqu'elle ne revêt pas sa robe de sorcier, elle s'habille assez « dans la norme ». Un simple jean et un chemisier ou un t-shirt bien ajusté feront l'affaire. .

PERSONNALITÉ (300 mots) CARACTÈRE : Solyne a été élevée dans l'amour et la bienveillance, elle a développé un caractère bienveillant et compatissant pour les autres. Ses proches ont souvent pu lui dire qu'elle avait le cœur sur la main. Dans son enfance, elle aimait défendre les causes justes, et n'appréciait pas que l'on mette de côté certaines personnes du fait qu'elles soient d'une couleur de peau, d'une religion différente ou juste différente. Son sale caractère n'arrangeait rien, elle défendait les enfants mis de coté, et effrayait parfois les plus teigneux. A l'arrivé de la lettre de poudlard, ses relations avec sa mère moldu se sont franchement compliquées.. Elle n'était alors qu'une enfant et s'est sentie privée de son plus grand modèle. Les événements du monde magique ou elle a été projetée n'ont par arrangé les choses. D'enfant naïve, elle est devenue une jeune adolescente méfiante, ayant appris à se servir de tous ses atouts et de son intelligence pour ne pas se retrouver dans une situation inconfortable ou compromettante. Cela ne l'a jamais empêché de nouer des amitiés, et de rester une bonne vivante. Elle a seulement appris à faire attention aux mots qu'elle utilises, à ce qu'elle dévoile d'elle, de sa vie et surtout à qui elle se confie. Ayant été abandonnée par sa mère, et se retrouvant dans un monde magique inconnu et dangereux, la jeune fille pleine d'ambitions s'est découvert un côté plus sombre, qu'elle ne se soupçonnait pas. Dans ce monde tourmenté, elle se rendait compte aujourd'hui qu'elle devait faire ce qu'il fallait pour rester en vie. PROJET(S) D'AVENIR : Solyne est assez partagé à cause des évènements. Elle qui avait toujours aimé l'équité, se retrouve dans un monde ou ceux qui ne conviennent pas à celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom finissent paria de la société dans le meilleur des cas... En même temps, elle réalise qu'elle peut se trouver en danger. Ne connaissant pas l'identité de son sorcier de père, et sa mère étant moldu, elle sait qu'elle peut à tout moment se retrouver dans une situation compliquée. Elle préfère donc faire profil bas. Qui sait ce que les rencontres qu'elle fait quotidiennement à Poudlard pourront l'amener à devenir ? Un professeur qui accompagnerait les élèves dans la bienveillance, essayant discrètement de leur inculquer des valeurs qui semblent disparaître ? Une jeune femme agissant dans l'ombre, avec d'autres élèves, afin de protéger les personnes mises de côtés ? Ou choisira-t-elle de rejoindre le côté qui aujourd’hui lui paraît obscur, pour choisir la facilité, pour sauver sa peau, ou encore parce qu'un groupe aurait su l'en convaincre ?

HISTOIRE DU PERSONNAGE (800 mots)


Solyne est née le 13 Juillet 1982 en Angleterre. Sa mère, une grande brune aux yeux foncés contraste avec les particularités physiques de sa fille, blonde aux yeux bleus. De sa maman, Solyne tient sont visage fin et ovale.
Élevée seulement par sa mère, en campagne, Solyne a bénéficié d'une enfance heureuse. Sa maman travaillant beaucoup, elle a grandi avec beaucoup de libertés, entourée par une bande d'amis. Elle et sa mère ont entretenu une relation fusionnelle, très complice. La petite fille a pu partager tous ses secrets avec sa maman. Elle lui accordais toute sa confiance et l'admirais beaucoup. Elle l'aidais au quotidien dans les tâches ménagères, pour entretenir la maison ainsi que le jardin qui leur permettait d’égayer un peu leurs repas. Cette petite famille, composée des deux femmes ne vivait pas dans la richesse, mais n'était pas dans le besoin non plus. Elles vivaient somme toute une vie sereine.
Cependant Solyne s'est toujours demandé d'où lui venaient ses cheveux blonds et ses grands yeux bleu. Après avoir essayé à plusieurs reprises d'aborder le sujet avec sa mère, elle avait fini par comprendre qu'elle n'obtiendrait jamais de réponses à ses questions. Elle n'arrivait à lire sur le visage de sa maman si elle ressentait une profonde tristesse ou de la colère à l'évocation de cette partie de sa vie. Tout ce qu'elle en avait dit à Solyne avait été qu'elle n'avait pas été prévue, mais qu'une fois qu'elle l'avait senti grandir en elle, elle avait été le bébé le plus désiré de toute l'Angleterre. Elle avait ainsi du se contenter de cela.
En grandissant, Solyne comprit que les études étaient importantes. Elle voyait sa maman faire beaucoup d'heures de ménage pour ses nombreux clients. Elle rentrait épuisée le soir, et lui répétait qu'elle ne lui souhaitait pas le même avenir. La jeune fille avait donc redoublé d'efforts à l'école, afin de s'assurer un bel avenir, mais surtout pour faire la fierté de sa maman. Elle avait ainsi rapidement fait preuve d'une grande maturité.

Aussi elle fut très étonnée lorsqu'un matin de Juin un hibou se posa sur le rebord de sa fenêtre. Elle n'avait jamais vu un animal de cette espèce de si près et resta sans bouger au centre de la pièce. L'animal semblait attendre quelque chose, il la regardait avec des yeux ronds. Elle n'osait bouger de peur de l'effrayer. De plus l'animal était assez imposant et elle ne souhaitait pas qu'il s'en prenne à elle. Cependant, quelque chose l'attira dans cet animal. Elle s'en approcha prudemment et tendit sa main vers lui. Le hibou pencha sa tête comme pour l'inciter à le toucher. Elle posa timidement ses doigts sur sa tête et les fit descendre sur le dos de l'animal. L'animal l'avait, à ce moment, regardé d'une manière qu'elle n'oublierai jamais. Elle avait eu l'impression de déceler quelque chose d'humain dans ce regard.
Il s'était subitement envolé, laissent une lettre derrière lui. Encore tremblante elle l'avait ouverte et avait découvert avec stupeur l'écriture de son père. Il lui disait qu'il était fière d'elle, et que pour la féliciter il lui enverrait une chouette, qu'il n'était pas nécessaire qu'elle en achète une sur le chemin de traverse. Elle n'avait évidement rien compris et cru à une blague, jusqu'à ce qu'un autre hibou débarque. Il n'avait pas pris la peine de se poser, laissant simplement tomber une autre lettre devant elle, sur le rebord de la fenêtre. La lettre lui expliquait qu'elle était une sorcière et qu'elle était acceptée dans une prestigieuse école de sorcellerie : Poudlard.
Tout s'était alors enchaîné très vite. Elle avait lu l’incompréhension dans les yeux de sa mère, de la peur. Elle l'avait accompagné sur le chemin de traverse avec beaucoup de réticence. La jeune fille était revenue des étoiles pleins les yeux, les bras chargés d'un chaudron, de manuels de magies, d'une baguette magique !!! Sa mère quand à elle était revenue méfiante et très distante. Le lien qui les unissait avait subitement été brisé. Sa mère la rejetait, ne reconnaissant plus sa fille dans la future sorcière qui se trouvait devant elle.. Solyne avait pensé que cela passerait, mais ce ne fut pas le cas. Elle perdit ce jour la, ce lien unique qui unie une fille à sa maman, alors qu'elle était la seule famille qu'elle avait.
Son père avait tenu sa « promesse ». Le matin de partir à Poudlard une chouette hulotte se trouvait devant sa porte. Un morceau de papier se trouvait accroché sur un des barreaux de la cage. Cinq mots : « Je suis fier de toi ». Voilà la donc les seules choses qu'elle savait de son père : il était un sorcier et la surveillait, ne devait pas se trouver bien loin, mais ne se donnait pas la peine de venir voir sa fille, ni même de lui donner une explication sur son étrange absence.
Elle était arrivée à Poudlard pleine d'euphorie. Quelle joie de découvrir que la magie n'existait pas seulement dans ses rêves d'enfants, mais qu'elle existait bel et bien. Solyne avait ainsi pris grand plaisir à découvrir tout ce qu'elle pouvait faire de sa baguette. Un avenir tout différent s'était alors dessiné devant ses yeux, elle avait l'impression que toutes les portes s'ouvraient à elle.
Elle avait cependant rapidement déchanté en découvrant que la magie n'avait pas que de bons cotés. Discutant avec les élèves, se renseignant dans tous les ouvrages qu'elle trouvait, elle avait rapidement tout appris de l'histoire de ce monde magique et avait compris que pour qu'il ne lui arrive rien, il était plus prudent de se fondre dans la masse et de ne pas faire de vague. Chose qui lui était bien compliquée par ailleurs. Elle avait redoublé d'effort afin de savoir tout ce qu'il y avait savoir sur l'histoire de la magie, sur les conflits qui sévissaient dans le monde magique. Elle avait rapidement distingué deux groupes :ceux qui considéraient que tous les sorciers étaient égaux, et ceux qui obéissaient à celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Ces derniers défendaient le monde des sorciers à leur manière, en opprimant les sorciers nés de parents moldus, en chérissant les familles de sorciers de sang pur. Chacun semblait défendre le monde des sorciers de la manière dont ils l'entendaient.
Solyne ayant été élevée seulement pas sa mère moldu s'était rapidement rendu compte que le fait qu'elle ne connaisse pas son père sorcier, et qu'elle n'ait même aucune idée de son nom la mettait dans une situation inconfortable. Cela l'avait encore plus décidée à exceller en matière de magie. Elle était devenue incollable en potion et sortilège. Elle espérait ainsi pouvoir se sortir d'une situation complexe. Elle était cependant moins douée pour manier le balai ou encore en botanique. Cela pourrait lui poser problème à longue mais elle saurait s'adapter. Elle avait d'ailleurs toujours su s'adapter, elle n'avait pas vraiment eu le choix.
Lorsqu'elle était rentrée pour les vacances de Noël, sa mère avait été glaciale. Elle avait pensé que passé la surprise, sa maman se serait détendue, qu'elle lui aurait manqué. La petite fille s'était retrouvée devant une inconnue, qui la supportait parce qu'elle n'avait pas le choix. Elle n'avait invitée personne à la maison pendant les deux semaines ou elle avait été présente, et avait raconté à tout le monde qu'elle était dans une école lointaine pour devenir une avocate. Elle avait appris ça de sa bande d'amis qu'elle retrouvait dans le secret lorsque sa mère allait travailler. Eux aux moins avaient été ravi de la retrouver. Elle avait pleuré de joie lorsqu'elle avaient enfin retrouvé un peu de l'amour qu'elle partageait avec les siens. Ses amis étaient devenus sa familles. Il s'étaient évidemment rendu compte qu'elle leur cachait quelque chose, mais ils avaient respecté son silence. Elle rentrait avant que sa mère rentre, s'arrangeait pour que le ménage soit fait, que la table soit mise et qu'un bon repas soit en train de mijoter. Elle avait essayer, au début, de lui parler, de lui expliquer qu'elle était toujours la même que rien n'avait changé. Mais elle n'avait jamais vraiment compris ce qui avait chagriné sa mère.  Elle trouvait injuste son comportement, ne comprenait pas qu'elle puisse réagir ainsi. Elle redoutait de plus en plus l'arrivée des vacances.
Alors qu'elle avait 14 ans, Solyne avait abordé le sujet avec sa mère, ne prenant ni gants ni pincettes. Elle lui avait exprimé son désespoir et son incompréhension. Elle lui avait expliqué à quel point elle lui manquait, à quel point elle avait besoin de retrouver ce lien mère-fille qu'elles avaient perdu. Sa mère était restée de marbre pendant que Solyne parlait, indifférente à sa détresse, indifférente à ses propos, indifférente à ses larmes … Lorsque que la jeune fille s'était tue, sa maman lui avait simplement répondue : « Je ne te considère plus comme ma fille ». Cette phrase lui avait coupé le souffle. Solyne s'était simplement levée, elle était allée dans sa chambre, avait récupéré toutes ses affaires et était partie, sans un regard en arrière. La colère, la haine avait alors remplacé la tristesse.
Elle s'était réfugiée chez ses amis. Eux seuls avaient su lui remonter un peu le moral et à partir de ce jour, elle passait chacune de ses vacances chez l'un deux. Elle avait fait les quatre cents coups avec eux. Ils campaient régulièrement aux milieux de champs, riant et s'amusant de rien, ayant besoin seulement d'un grand feu de camps et d'être ensemble. L'hiver, ils forçaient la porte d'une grande maison abandonnée qu'on disait hanté et passait de folles soirées entre amis. La maison n'était en réalité hanté que de leurs innombrables conneries et fous rires. Ils s'étaient souvent fourrés dans des situations un peu compliquées, mais grâce à leur débrouillardise, notamment celle de Solyne, leur intelligence et les liens uniques qu'ils entretenaient, ils avait toujours réussi à s'en sortir.
Solyne ne redoutait plus ses vacances, elle les passait avec ses amis, sa nouvelle famille.
Sa réelle famille, son père, sa mère, semblaient eux, complètement indifférents à son sort. La colère la consumait chaque jour un peu plus, mais les moments de bonheur suffisaient à la restreindre. Elle arrivait ainsi à la garder au plus profond d'elle même, grâce à ses amis, grâce à Poudlard, pour le moment...





EXEMPLE DE RP (1000 mots)

ON VOUS DEMANDE DE CHOISIR UN SUJET PARMI CEUX-CI :

1/ Vous êtes dans la bibliothèque en train de faire des recherches pour votre sujet à rendre le lendemain matin. Vous souhaitez tourner la page du livre que vous êtes en train de feuilleter, mais sans le vouloir vous la déchirez. Que faîtes-vous, sachant que Mme Pince, la bibliothécaire se trouve dans les parages ?

2/ Suite à une heure de colle injustement donnée, vous devez aider Mrs Pince à trier les livres et les ranger ceux qui vont dans la réserve. Cette dernière vous laisse seul(e) un moment, et alors que vous êtes à votre tâche, un grincement et un tour de clef se fait entendre : la bibliothécaire vous a oublié(e) et enfermé(e) au beau milieu des livres. La bonne nouvelle est que vous avez votre baguette, la mauvaise est que, depuis les balades nocturnes du trio Potter, Granger et Weasley, un Alohomora ne suffit plus pour ouvrir la porte.

3/ Vous souhaitez rentrer dans votre Salle Commune, mais vous avez oublié votre mot de passe/la solution à la devinette. Que faites-vous ? Il est tard (le couvre-feu est passé depuis longtemps et vous n'êtes plus sensé traîner dans les couloirs) et votre lit vous attend…

4/ Vous lisez tranquillement la Gazette matinal en prenant votre petit-déjeuner, quand vous tombez sur un article non fondé dans lequel votre nom est associé à un évènement qui ne vous plaît guère. Alors que vous maudissez l'auteur de cet article, vous vous apercevez que vous être en train de devenir la risée de la salle.

5/ Un ou une camarade de votre maison qui vous plait particulièrement vous a donné rendez-vous le lendemain matin devant la Grande Salle pour le petit déjeuner. Ravi, vous vous réveillez le lendemain avec entrain, jetez un coup d'oeil dans le miroir et ..HORREUR...découvrez un énorme et horrible bouton sur votre nez. Comment réagissez-vous ?

6/ Un élève avec qui vous ne vous entendez pas, vous donne rendez-vous dans un endroit insolite ; les toilettes (ou autre ; mais un endroit où il n’y a pas grand monde). Par fierté, vous vous y rendez. Seulement, à votre arrivée, l’élève en question, vous lance une série de sortilèges et vous laisse seul, ligoté et amoché dans la pièce. Que faites-vous pour vous tirer d’affaire ?

7/ Mettez en scène votre personnage dans une situation de votre choix en pensant "ouverture de RP". En cas de validation, vous pourrez poster votre test RP comme un sujet libre et attendre qu'un membre vous réponde.

Je choisi le sujet 2


La journée avait pourtant bien commencé.. Solyne s'était levée du bon pied, d'autant que la pluie et le brouillard avaient laissé place à un beau soleil. Les températures était encore timides dehors, et l'humidité encore bien présente, mais on n'allait pas cracher sur les quelques rayons de soleils qui venaient enfin réchauffer cette ambiance morose. Enfin l'hiver laissait place à un peu de printemps.
C'est donc de bonne humeur que Solyne s'habilla. Elle se coiffa en chantonnant, tressant ses cheveux autour de son visage ce qui lui donnait l'air d'avoir une couronne. La plupart de ses camarades dormaient encore. Il faut dire que nous étions samedi matin, et que la plupart des étudiants avaient traîné dans la salle commune jusqu'à tard dans la nuit.
Elle traversa rapidement les couloirs qui menaient jusqu'à la grande salle. Il n'y avait pas que les élèves de sa maison qui avaient profité de ce vendredi soir pour se détendre. Elle ne croisa pas grand monde.
En arrivant dans la grande salle, elle repéra quelques élèves de sa maison avec lesquels elle s'entendait bien et les rejoignit. Elle les salua et s'assit à coté d'une jeune fille brune, aux cheveux très épais, presque crépus. Les étudiants parlaient évidement de la soirée de la veille. Le grand jeu avait été de se glisser en dehors des dortoirs, de se rendre jusqu'à un certains points et de revenir sans se faire repérer, alors que le couvre-feu était déjà en place depuis quelques heures. Leur jeu avait d'abord fait rire Solyne. Puis elle s'était lassée et était partie se coucher. Heureusement pour leur maison, ce soir là, personne n'avait croisé Rusard.
Une fois leur petit-déjeuner terminé, elle proposa à leur petite bande d'aller prendre un peu le soleil, ce que tout le monde accepta. Ils se retrouvèrent rapidement dehors et décidèrent de se poser près du lac. C'est précisément à ce moment là que la journée commença à être moins marrante.. Les garçons s'amusèrent à se balancer dessus tout ce qu'ils trouvaient : branche, cailloux, etc. Au moment ou Solyne se leva pour esquiver une pomme de pin, Rogue qui passait par la reçu un paquet d'algues gluantes qui ne lui étaient pas vraiment destiné...
Évidement il se retourna, et désigna les trois personnes debout qui le regardait bêtement, en les informant qu'ils seraient en retenu le soir même. Solyne fusilla les deux garçons du regard alors que Rogue s'éloignait déjà. Les deux garçons s'excusèrent et se rassirent mollement vers les autres étudiants.

Le soir même elle se retrouva donc à la bibliothèque, classant des livres par ordre alphabétique avec le plus grand désespoir. Madame Pince n'avait donc que ça à faire de ses samedis soir ?
Au bout d'un certain temps, alors qu'un silence oppressant s'était installé, la bibliothécaire le rompit. Elle lui signala qu'elle allait dans la remise. Solyne ne compris pas la suite et ne pris même pas la peine de répondre. Une quinzaine de minute après elle l'entendit revenir. Ses pas se rapprochèrent, puis s'éloignèrent. Elle entendit ensuite une clé tourner dans une serrure puis plus rien. Solyne ne fit pas vraiment attention. Il y avait bon nombre d'étagères qui fermaient à clé dans cette bibliothèque. Le fait que le silence dure si longtemps l'interpella cependant.

-Madame Pince ? Madame Pince vous êtes la ?

Elle regarda l'heure et remarqua que sa punition serait levée dans une minute. Elle partit à la recherche de la bibliothécaire, et constata avec une petite crainte qu'elle ne la trouvait nulle part. Dans le doute , elle se dirigea vers la sortie. Elle appuya sur la poignée, et constata avec un mélange de surprise et de consternation que la porte ne s'ouvrait pas...

-C'est une blague ? Elle est partie sans moi ? Vieille folle.

Solyne se mit à grommeler quelques mots bien moldus qui convenaient à la situation. Heureusement qu'elle était belle et bien seule, dans le cas contraire, elle aurait écopé d'assez d'heures de colle pour ne plus avoir une soirée de libre avant la fin de l'année scolaire.
Elle sortit sa baguette et prononça distinctement « Alohomora ». Rien ne se produisit. Elle se rappela soudain que ce sort n'avait plus aucun effet sur les serrures de Poudlard. Elle chercha une autre sortie, tout en sachant très bien qu'il n'y en avait pas d'autre. Elle refusait de passer la nuit ici. Il fallait qu'elle trouve une solution. Elle inspecta la serrure. La porte était assez vieille, et elle pourrait facilement l'enfoncer. Mais cela lui vaudrait à coup sure une nouvelle heure de colle, et il valait mieux se méfier, nous étions à poudlard. Elle restait silencieuse, espérant que quelqu'un passerait derrière la porte et pourrait alerter un professeur, mais une fois de plus la chance n'était pas avec elle. Son attention se reporta sur la serrure. Elle était basique, le genre qu'on ouvrait avec une clé ancienne. Lui vint alors une idée...
Elle retira une des pinces à chignon qui retenait la natte qui ornait son crâne. Elle était trop fine pour lui servir. Elle en prit une deuxième et entreprit de les tortiller afin que l'ensemble soit plus rigide. Une fois cela fait, elle observa ses deux pinces en se demandant si cela suffirait à déverrouiller la porte. De toute façon, elle n'avait que cette solution là pour le moment.. Elle tordit sa clé de substitution et entreprit de la faire pénétrer dans la serrure. Elle ferma les yeux et entreprit de les faire glisser d'un sens, puis de l'autre, un peu plus bas, un peu plus haut. Elle ouvrit soudainement les yeux. Elle tourna encore un peu l'outil qu'elle avait fabriqué et la serrure sembla se débloquer. Elle posa sa main sur la poignée et appuya dessus tout doucement, pas vraiment certaine d'avoir débloqué la porte. Mais cette dernière s'ouvrit. Elle soupira de soulagement et ne prit même pas la peine de refermer la porte derrière elle. Un large sourire s'empara de ses lèvres. Si elle n'avait pas eu des amis moldus extraordinaires avec lesquels elle forçait régulièrement les serrures d'une maison abandonnée, elle aurait certainement passée la nuit dans cette bibliothèque.
Solyne se dépêcha de rejoindre son dortoir, soulagée de ne pas avoir à passer la nuit seule dans cet endroit glauque.

Bienvenue, petite poufsouffle
Encore de la chaire fraîche !