PHILIP BAKER
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Philip Baker DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 05|10|1979 ANNÉE : Septième année ORIGINE * : Né moldu REJOIGNEZ-VOUS NUNCABOUC? * : Oui. ANIMAL ÉVENTUEL : Un grand-duc CLUB(S) : Aide aux devoirs & L'AD. BAGUETTE : Poirier, fine & flexible, 30,6 cm, plume de phoenix. PATRONUS : Ours brun MON PERSONNAGE EST : Inventé

HORS JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? C'est une longue histoire. ÂGE IRL : 21 ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Jung Yoon Oh EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Nah. DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ? Nah. AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : Nah. OK

APPARENCE (300 mots) PHYSIQUE : En matière d'apparence, Philip Baker est un simpliste. Pourtant, il est impossible de nier cette élégance qui l'habite. Niveau vestimentaire, le jeune homme ne s'en tien qu'à la chemise, qu'aux cols roulés de toutes sortes et qu'aux vestons. En couleurs, il n'y a que le rouge qui n'aura pas pour malheur d'être saturé. Les autres palettes seront « pastelizées ». Pour ce qui est du pantalon, celui-ci sera toujours simple et confortable, donc rien qui ne lui collera à la peau. En une première rencontre, il n'est pas rare de le trouver charmant. Ses traits faciaux sont pour le moins masculins, bien qu'assez fins aux yeux de certains. Ses prunelles aux couleurs de la terre séchée, en plus de sourcils épais qui lui offre un regard sauvage, reflètent sa colère aussi bien que l'amour qu'il peut porter. À dire vrai, son regard parle beaucoup, sans qu'il n'est à lui-même dire ce qu'il ressent. Il est d'ailleurs plutôt drôle de le voir se perdre dans ses nombreuses idées. Lorsqu'il fixe quelque chose, il le fait avec une telle intensité que cela mène le rire de la part de ceux qui en prennent compte. De par son physique, Philip ne dégage aucune menace. De ce fait, personne n'a déjà été intimidé par sa présence ou de par son fixe. Au contraire, il semble social et joueur, surtout lorsqu'il sourit. De plus, le jeune homme ne s'est jamais retrouvé ridiculisé pour cause de son physique. Il a toujours fait parti de ce que nous disons être ; la normalité. Il n'est donc pas plus grand ou même plus petit que les autres. Ses épaules sont larges et sa posture est droite, ce qui peut lui donner un côté sérieux, mais pas imposant. On ne le remarque pas, mais lorsqu'il doit passer, il n'a pas besoin de créer son chemin. Il chemine d'un pas rapide, en regardant devant lui, sans jamais baisser la tête. Baker n'a pas de grands défauts. C'est un beau garçon, sans plus.

PERSONNALITÉ (300 mots) CARACTÈRE : Si Philip Baker s'habille simplement, il n'est donc pas surprenant d'apprendre qu'il en est tout autant de son caractère. Le jeune sorcier n'est pas aussi explosif que la plupart de ses camarades. Ce n'est pas un grand introverti, mais le contraire est tout aussi vrai. Lorsqu'il est temps de s'amuser ou de travailler, ce sorcier est souvent le premier à se lever et à trouver sa place. Enfin, tout cela, sans oublier qu'il reste lui-même. Il ne changera pas dépendamment des gens qui lui font face. Il est d'ailleurs très dur de le changer. De ce fait, ce n'est pas un hypocrite. De plus, sa maturité le pousse à ne pas avoir peur de l'inconnu. Il se retrouve rarement face au mur et entrevoit les problèmes tels qu'ils sont, plutôt que la manière dont ils peuvent être aperçus par les autres. Il n'est pas du tout influençable et il sait mettre sa propre personne de côté. Il n'a jamais été manipulé par de mauvais ressentiments. Il faut même dire que si quelque chose l'énerve, il ne tarde pas à lancer une discussion sérieuse sur le sujet, avec la personne concernée. Philip Baker est un élève qui aime s'informer, tout en regardant ce qui a déjà été fait. De son possible, il évite l'erreur et n'a pas peur de guider les autres. Ce n'est pas un grand leader, mais si on lui demande de parler au nom d'un regroupement ayant de bonnes valeurs, il le fera. Du genre à préparer des discours et à combattre les injustices, et ce, de manière entièrement pacifique et diplomatique, disons que Philip sait s'exprimer et se faire comprendre. Il hausse le ton et use de magie que s'il se sent en danger de mort. PROJET(S) D'AVENIR : Baker est un adepte de la métamorphose. Mais, dès sa première année, le sorcier désir avoir une place parmi les Aurors. Il s'est toujours surpassé, histoire d'obtenir cette possibilité qui ne cesse de le faire rêver. De ce fait, le sorcier n'a encore jamais eu d'échec. Il est un bel exemple de ce que sont la détermination, ainsi que la persévérance.

HISTOIRE DU PERSONNAGE (800 mots)


Le jeune sorcier avait déjà cinq ans et quelques mois, lors de son adoption. Les Baker étaient, à l'époque, une simple famille moldu dont la mère était stérile pour cause du cancer de l'utérus. Elle s'était fait enlever le tout et avait survécu à cette dure épreuve. En adoptant Philip, elle désirait lancer, avec son mari, un nouveau chapitre à sa vie. L'adoption s'était déroulée, lorsque le petit avait deux mois, mais la demande avait été refusée par le gouvernement Sud Coréen qui avait des doutes sur la santé de la mère. Elle dut passer par une rémission obligatoire de cinq ans, avant de pouvoir dire que cet enfant était bien le sien. Ce fut difficile, mais rien n'arrêta le couple. Et puis, cinq ans plus tard, Philip était là. Le petit fut accueilli dans une famille aimante qui le lâcha plus, comme s'il avait été entendu pendant une éternité. Il avait le droit à tous les jouets, de toucher à tout et de courir comme il le voulait. Ses parents adoptifs étaient d'une patience inimaginable. Jamais ils ne haussèrent le ton contre lui et chaque fois que l'enfant faisait quelque chose de mal, tout se corrigeait avec délicatesse, ce qui rendit Philip très ouvert à la morale. Dès l'âge de ses huit ans, il démontra une certaine maturité. Il corrigeait les plus jeunes et disait constamment la vérité, même s'il se savait en tort.

Philip grandit ainsi, sans avoir peur d'être puni et découvrant de lui-même les différences entre le bien et le mal. Sa sagesse le porta vers la bienveillance. Si la voisine venait à échapper sa canne, il était le premier à se lancer en bas du canapé pour sortir dehors et lui offrir son aide. Il aidait aussi sa mère dans les tâches ménagèrent et apportait régulièrement des verres d'eau à son père. L'homme étant avocat, il faut avouer que celui-ci passait beaucoup de temps dans son bureau. À l'atteinte de ses onze ans, ses parents adoptifs furent bien surpris de recevoir la fameuse lettre. En croyant que c'était une blague, l'enveloppe fut directement jetée, à mainte reprise. Ce fut ainsi, jusqu'au jour où elle s'était mise à parler. Si les parents n'arrivaient pas à la lire correctement, maintenant, ils purent entendre le message de vive voix. Tout d'abord, ce fut un choc qui anima une crainte dans la demeure puis, ensuite, la joie. Philip était un miracle, voilà ce que la mère en pensa. En la voyant si heureuse, le père ne put s'empêcher de penser comme elle et de s'ouvrir à cet univers étrange qu'était le monde magique. Au départ, tout se déroula correctement. Les parents essayèrent de se retrouver dans les paperasses et demandèrent l'aide d'un guide, pour rassembler tout ce dont l'enfant avait besoin. Pour sa part, alors que ses parents ne cessaient de sursauter face à toutes ces nouveautés, Philip n'en fut que fasciné. Il avait du mal à tenir en place, mais il se contrôla du mieux qu'il le put, histoire de ne pas se perdre. Il avait un peu peur de ce qu'il aurait pu lui arriver. Ce ne fut qu'en entrant dans le train qu'il se promit de ne plus réfuter l'inconnu. Pour la toute première fois, il se retrouva seul avec lui-même. Il eut alors envie de tout connaître, de tout avoir et de tout toucher.

L'un des enfants qui s'était assis dans sa cabine lui parla du métier qu'accomplissait son père en tant qu'Auror. Philip le compara automatiquement au métier que sa figure paternelle effectuait et tout lui fut une bonne raison pour qu'il devienne Auror à son tour. Les gamins qui étaient là se moquèrent, mais rien n'arrêta Baker. Il passa les cinq années suivantes à étudier, sans pour autant s'enfermer. Au contraire, il essaya de s'inclure un peu partout, histoire d'offrir un coup de main aux autres, comme il l'avait toujours fait auparavant. Après tout, chaque fois qu'il donnait une explication, cela l'aidait à lui-même à mieux comprendre ce qu'il avait appris. De ce fait, quitte à se faire dire qu'il était chiant, il ne pouvait s'empêcher de perfectionner le travail de ses camarades. Et s'il se trompait, alors il s'excusait et promettait que cela n'arriverait plus. Il s'était souvent mis dans des situations embarrassantes, mais il riait de lui-même en compagnie de ses amis, sans personnellement prendre les divers commentaires. En sa compagnie, les gens n'avaient pas besoin de cacher leurs idées. Ce fut d'ailleurs pour cela que sa popularité augmenta bien rapidement.

En début de sa sixième année, il eut sa première petite copine. Cela dura quelques semaines, mais Philip rompu. Il ne se sentait pas prêt à prendre soin d'une autre personne, alors qu'il eut reçu une lettre lui disant que sa mère adoptive était retombée malade. Sa sixième année fut assez difficile, mais il ne laissa pas tomber Poudlard. Il entra même dans l'AD. Puis, à la fin de l'année, lors de la mort d'Albus Dumbledore, il revint à la maison en larmes. Un vide l'habita, alors qu'il n'y retrouva pas sa mère. En entrevoyant le pire, il demanda à son père de bien vouloir lui montrer où elle était. Et, pour la toute première fois, il haussa le ton, de sorte à imposer cette demande. Son père adoptif hocha en prenant son manteau. Ensemble, ils embarquèrent en voiture... en direction du cimetière. En arrivant devant la pierre tombale, Philip s'écroula. Il pleura pendant plusieurs jours, avant de pouvoir sourire à nouveau et d'accepter le décès. Son père essaya de le convaincre à l'idée de mettre Poudlard de côté, mais le sorcier refusa. Non, ce qu'il voulait, c'était devenir Auror, comme il l'avait promis à sa mère adoptive. Il voulait être digne du miracle qu'il avait été et qu'il était encore que grâce à elle, ainsi que tous ceux qui l'avaient mené à être celui qu'il était devenu.

EXEMPLE DE RP (1000 mots)

ON VOUS DEMANDE DE CHOISIR UN SUJET PARMI CEUX-CI :
7/ Mettez en scène votre personnage dans une situation de votre choix en pensant "ouverture de RP". En cas de validation, vous pourrez poster votre test RP comme un sujet libre et attendre qu'un membre vous réponde.

Philip s'éveilla à plusieurs reprises, en maudissant le froid hivernal qui s'était installé dans le grenier. Un élève de son dortoir ne cessait de tousser, ce qui l'empêcha d'avantage à trouver le sommeil. Enfin, vers les petites heures du matin, Baker se redressa en agrippant sa couverture trouée. En écoutant de sorte à savoir d'où provenait la toux, il alla en direction du gamin. Celui-ci ne devait être qu'en première année, en vu de sa taille et de son visage enfantin. Et cet enfant tremblait, tant il avait froid. En le voyant ainsi, la première réaction de Baker fut celle de retirer son propre chandail et de s'infiltrer, quitte à brimer l'intimité de l'élève. Après quoi, il abrita l'enfant de sa propre couverture, en plus de celle qu'il avait déjà. Puis, il attira le petit sorcier entre ses bras, pour ainsi le protéger du froid. L'enfant se tourna automatiquement, mais il ne dit rien en apercevant Philip. Ce n'était pas la première fois que Baker agissait ainsi, du moins, pas avec ses nouveaux camarades. Il n'était jamais allé jusque-là, mais personne ne doutait de sa bienveillance. Un simple hochement de tête fut suffisant et le petit se permit un léger rapprochement, avant de s'endormir.

Le matin venu, le septième année alla écrire une lettre à son père, pour lui demander de lui faire parvenir des médicaments et du sirop pour la toux. Le tout devait être livré à une adresse spécifique et non pas directement à Poudlard. Dans les faits, les livraisons s'acheminaient chez l'un de ses amis dont le père était Auror. Ce n'était pas bien loin de Poudlard, alors il était facile pour Philip de passer. C'était la deuxième fois qu'il demandait des fournitures à son père adoptif, parce qu'il lui était devenu difficile de retrouver ce qu'il recherchait à l'infirmerie du château. La plupart du temps, il se faisait même refuser l'accès aux services médicaux. Il fallait croire que sa maison ne lui permettait plus les soins nécessaires. Enfin, en agrippant une cuillère qu'il avait cachée en dessous de son oreiller, il donna la dernière goûte de sirop à l'enfant qui l'eut accompagné durant la nuit. Il lui offrit de l'acétaminophène et lui étala un peu de Vicks sous le nez. Tout ce que son père avait réussi à lui rapporter se retrouvait dans une petite boîte fermée à clef et sur laquelle il posait nombreux vêtements, car il cachait la boîte dans l'une de ses valises. En sortant du grenier, une élève lui donna sa couverture. Un énorme trou déformait le tissu et elle ne pouvait pas dormir avec cela. En voulait l'aide de Baker, car elle savait qu'il n'était pas aussi égoïste que les autres pouvait l'être. Du coup, avant d'aller en cours, le sorcier retourna rapidement dans son dortoir pour y prendre l'un de ses cols roulés, le plus épais et le plus grand qu'il possédait. Il le prêta à l'étudiante, en lui promettant de recoudre sa couverture, et cela, dès l'atteinte de midi, mais qu'elle devra passer la nuit avec le col, puisqu'il n'allait pas avoir le temps de terminer le tout, pas avant l'arrivée de la nuit. Il lui demanda aussi de bien vouloir faire attention, puisque le col lui avait été offert par sa mère. En voyant la grandeur du vêtement, la sorcière le remercia aussitôt et lui promis de le lui remettre tel qu'elle l'avait reçu. Elle le questionna ensuite sur la santé de sa mère adoptive et... Philip lui répondit la vérité.

« Toutes mes condoléances... »

Le jeune homme courut pour se rendre à son premier cours et prit place juste à temps. À la fin de celui-ci, il dut se présenter ailleurs. Lorsque le midi arriva, il retourna à son dortoir pour commencer à coudre. Ne sachant pas par où commencer, il découpa l'une de ses nombreuses vestes pour combler le trou. Cependant, il n'eut pas le temps de finir que l'heure de la rencontre sonna. En après-midi, il n'allait pas à ses cours. Non... Au lieu de faire cela, Baker organisait des réunions pour partager les besoins et craintes de sa nouvelle maison. Il lui arrivait aussi de rechercher de l'aide en provenance des autres maisons. Si quelqu'un pouvait lui donner ne serais-ce qu'une seule couverture... toute aide était importante. En attrapant son foulard, il sortit pour se rendre au terrain de Quidditch. Il avait fait parvenir aux autres que la rencontre allait se dérouler dans l'estrade des Poufsouffles. Mais, à savoir que Philip Baker n'était pas un imbécile. Lorsqu'il parlait de l'estrade des jaunes, c'était à l'estrade des bleus qu'il fallait se présenter. Ceux qui faisaient parti du groupe d'entraide le savaient, mais pas les curieux. De ce fait, il n'avait jamais eu de mauvaises surprises en retrouvant les autres à destination. De plus, à l'aide d'une longue-vue, il allait pouvoir surveiller l'estrade des jaunes. Si le message s'était fait trop bruyamment, il ne tardait jamais à le savoir. Après tout, Philip ne faisait rien à l'écrit, pas pour ce genre de chose. Tout s'accomplissait à l'oral. D'ailleurs, cela faisait un moment qu'il désirait opter pour un langage différent. L'utilisation de codes lui semblait être une bonne idée, mais il voulait avoir l'accord des autres, avant de prendre une décision.

En arrivant sur place, une seule personne fut présente. C'était plutôt étonnant, puisque le sorcier avait pour habitude d'être le dernier. Tout en faisant attention à là où il mettait les pieds, Baker leva la main de sorte à saluer son (sa) camarade. Il alla ensuite s'asseoir auprès de celle-ci (ou celui-ci), en sortant de sa poche sa longue-vue qu'il tendit vers l'élève, l'invitant ainsi à surveiller les autres estrades. Ils devaient rester sur leurs gardes, même s'il était très peu probable que quelqu'un se présente ailleurs.

« Sais-tu où sont les autres ? » demanda-t-il en frottant ses mains dénudées contre ses cuisses. Dire qu'il avait déjà donné les trois paires de gants qu'il avait eues. Bref... En sortant sa lettre de sa poche, il siffla par la suite et repris place en attendant l'arrivée d'Anaximandre, son terrible grand-duc.