[Sept]Cauchemars [Azé]

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Il faisait encore nuit noire dehors lorsqu'un cri résonna dans le dortoir. Le coeur battant, en sueur, Cennyd se dressa sur son lit. Il mit quelques secondes à reconnaitre les murs pourtant familiers de son dortoir à Poudlard. Chaque début d'année c'était pareil. Cennyd stressait tellement d'être loin de ses proches qu'il n'en dormait plus.

Le jeune garçon s'abatit sur son lit avec un soupir et essaya de se rendormir. Peine perdue, ses paupières n'avaient simplement plus envie de se fermer. Il poussa ses draps, enfila ses chaussons, et se leva sans bruits. Quoique si son cri n'avait pas reveillé les autres, ce n'était pas le doux bruissement du coton qui allait le faire. Ennuyé, il se passa la main dans les cheveux. Il avait envie d'une douche mais si on le prenait hors de la salle commune à 4h du matin, il allait se faire punir. Pareil pour aller à la bibliothèque ou faire un tour sur son balais. Stupides règlements. N'avait-on pas le droit de faire des insomnies ?

Il ôta le haut de son pyjamas qui était trempé de sueur et descendit sans bruits dans la salle commune endormie. D'un geste de sa baguette, il ralluma le feu dans la cheminée et s'installa sans cérémonies sur le tapis, devant les flammes. Si on ne peut ni dormir, ni s'amuser, autant travailler. S'il voulait réussir à devenir Auror, il devait avoir les meilleurs résultats possible. Et s'il voulait se venger, il devait devenir Auror !

L'adolescent reprit ses notes d'histoire de la magie. Il n'avait pas tout noté, de loin. En fait, il avait une méthode spéciale. Il ne notait que les noms et faisait des recherches après pour retrouver les dates. Cela évitait de perdre le fil ou de bâcler ses notes. Et comme il était prévoyant, il avait emprunté le livre. Il lui suffisait donc de passer les deux porchaines heures à faire un mix entre les deux.

Il ouvrit d'un geste sur son encrier, prit sa plume et se mit à travailler. Noter un nom, chercher la date, la noter à coté. Noter un nom... c'était répétitif, facile, et utile. Pas besoin de réfléchir, pas besoin de penser à autre chose que la chaleur du feu, à des noms, à des dates. Surtout ne pas penser.

Un des tableau ouvrit les yeux et regarda la scène. L'adolescent silencieux, torse nu, penché sur une feuille posée sur ses genous qui écrivait, ses yeux rêveurs et tristes le plus souvent dans le vide, ses cheveux collés par la sueur, et à peine éclairé par les ombres mouvantes du feu. Un sourire attendrit passa sur ses lèvres avant qu'il ne se rendorme.

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Un mouton ! Deux moutons ! Trois moutons ! Un loup ! AAAAAAAAH fichu cauchemar. Azéline venait de se redresser brusquement sur son lit. La couette complètement sur la tête, elle se débâtit des bras et fit tomber la couette lourde qui lui tenait chaud. Azéline avait les yeux grand ouvert et était toute chaude avec des rougeurs sur les joues. Un petit soupire s’échappa de sa bouche et la jeune femme sortie de son lit manquant de peu de tomber. Elle se rattrapa au chevet et s’étira doucement. Elle avait un shorty et un débardeur moulant qui lui mettait en valeur ses formes. Elle avait ses longs cheveux blonds qui lui tombaient devant les yeux et ne voyait pas ou est-ce qu’elle marchait. Venant se cogner, elle criera un « AIE ». Son pied était légèrement gonfler et Azéline se mordit la joue. Que c’était douloureux. Elle alla dans la salle de bain pour boire un peu car elle avait soif. Venant a prendre un élastique, elle commença a descendre les escaliers en faisant attention de ne pas se faire voir par qui que se soit.

Un petit soupire sortant de sa bouche, elle fit que la porte de la salle commune était ouverte. Il y avait-il quelqu’un ? Azéline les cheveux divaguant sur son devant de visage et sur ses épaules chaudes, elle marcha et poussa doucement la porte et s’avança dans la pièce. Regardant derrière elle, elle regardait la porte et non devant elle. Elle percuta quelques chose de plein fouet et tomba dessus. Se rétamant le nez la première, elle sentit comme quelques chose se froisser. Mais qu’était-ce ? Venant se redresser légèrement, elle retomba et se retourna pour voir. Une petite tache d’encre c’était imprénier sur son débardeur blanc. Elle écarquilla les yeux et fronça les yeux d’un seul coup !

« Tu pourrais pas te mettre ailleurs ? »

Dit-elle les jambes sur les genoux de se dernier plein d’encre. Torse nu ? Non elle rêvait pas. Azéline avait déjà vu des homme torse nu et cela ne la choqua guère. Venant le fixer du regard, elle avait des mèches qui tombaient sur le côté de son visage. Elle le fixait et ne baisserait le regard. Au contraire !

[ très court pour commencer désolé = / ]

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Perdu dans ses notes, Cennyd n'avait rien vu venir. En quelques secondes, une tornade blonde avait trébuché, marché sur ses notes qui étaient jusqu'alors si propres, renversé l'encrier sur le papier, le sol, son débardeur, et ses genoux à lui avant de lui tomber dessus. Les bras du jeune garçon se fermèrent sur la taille de la jolie blonde qu'il n'avait toujours pas reconnu.

La surprise si elle avait fait battre son coeur plus vite ne l'avait presque pas fait réagir. Il avait inspiré plus rapidement, voila tout. Cela dit, il ne l'avait toujours pas reconnue. Ce n'est que lorsqu'elle parla qu'il su à qui il avait à faire. Azéline.

Cennyd la connaissait plutôt bien. Ils étaient dans la même classe depuis près de sept ans et s'ils n'avaient jamais été amis, ils n'avaient jamais été ennemis non plus. En plus elle était de sang pur, et très très jolie. Tyson n'était qu'un imbécile ! Une fleur pareille ne se jettait pas, au contraire.

Il plongea ses petits yeux dans les siens, le gris dans le vert et les laissa là. Il ne les baisserait pas. Il ne la lâcherait pas non plus d'ailleurs, ca lui apprendrait à se balader en petite tenue sur les genoux d'un gars.

"Je suis très bien là, mais peut-être aimerais-tu être plus confortable ?"

Merlin qu'elle était belle et attirante dans cette position. Il en serait presque gêné. En fait, il était gêné mais pas du genre à le montrer. Oeil pour oeil, dent pour dent était l'une de ses devises. Si Azé s'amusait à le chauffer comme on disait qu'elle le faisait souvent, elle allait être surprise ou il ne s'appelait plus Cennyd !

"Qu'est ce que tu fais debout à une heure pareille ? Tu allais rejoindre ton amant ?"

Il ressera un peu sa prise, sans aller jusqu'à lui faire mal ou l'empecher de partir si elle le désirait. Ses yeux s'étaient teintés de malice et il avait un sourire amusé sur les lèvres. Pour une fois, il n'avait presque pas l'air triste.

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Azéline avait vaguement sentit les mains de Cennyd se poser sur ses hanches. D’ailleurs en y pensant, elle détestait qu’on lui touche ses hanches quelques peu potelées si on pouvait dire cela comme sa. Malgré qu’elle puisse avoir quelques petites rondeurs , elle n’aimait pas qu’on lui touche le ventre ou les hanches hormis la personne autorisée. Cennyd lui n’était guère autorisé à la base mais cela faisait 7 ans qu’ils se connaissaient plus ou moins et puis sur le coup elle ne réagissa pas. Il commença a lui parler et Azéline soupira a ses quelques paroles. La jeune femme ne bougeait pas au contraire, elle restait plus ou moins allongée. Elle était pas forcément dans une posture ou elle se sentait mal. Voyant le regard de Cennyd posé sur elle , elle s’apprêta a dire quelques chose que ce dernier lui posa une certaine question : « Qu'est ce que tu fais debout à une heure pareille ? Tu allais rejoindre ton amant ? ». Azéline lui répliqua en lui tirant la langue.

« Mais non banane Je sortait juste d’un petit cauchemard et toi qu’est ce que tu fou la ? »

Dit-elle en le regardant avec un petit air malin. A peine réveillée qu’elle pensait déjà a jouer. Azéline se redressa et s’aseilla bien. Les bretelles légèrement trop grandes tombaient de ses épaules. Elle ne bougeait pas les mains de Cennyd autour de sa taille. Venant accrocher ses cheveux avec son élastique, elle avait quelques mèches qui lui tombaient dans les yeux. Elle se rapprocha de son oreille et lui murmura aussi d’une voix des plus maline mais amicale.

« Et toi ? T’attendais qui ? près de cette cheminée torse nu ? »

Dit-elle avant de se reculer doucement avec un grand sourire la langue tiré. Elle le fixait du regard. Dieux sais qu’elle ne avait eut de délire avec le jeune Serpentard mais rarement, elle avait été en contact ainsi. Rangeant sa langue elle attendai tune réponse toujours en le fixant.

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Ce qu'il y avait de bien avec Azéline, c'était que malgré tous ses défauts et ce sadisme qu'on lui attribuait, elle était honnête et franche. Jamais Cennyd n'aurait accepté d'avouer qu'il faisait des cauchemars. Même lorsque ses camarades de dortoir se plaignaient du bruit !
Le jeune garçon pencha un peu la tête. Elle avait une jolie langue qui donnait envie de mordre. Heureusement pour la jeune fille, il n'avait pas été élevé comme ça. Il savait faire taire ses hormones. La plupart du temps en tout cas.

Il lui sourit pour toute réponse, laissant ses yeux poser les questions pour lui. De toute façon les cauchemars des autres, il s'en fichait, il avait déjà bien assez à faire avec les siens. Une fille comme Azéline, toujours gaie et heureuse ne devait pas avoir eu une vie très difficile de toute façon. Pas comme lui.

Il frissonna tandis qu'une des images de son rêve lui revint en mémoire. Sa mère, en position foetale, les traits du visage contractés de douleur dans une immobilité qui ressemblait à s'y méprendre à la mort...

Un contact le fit revenir à la réalité. Azéline s'était approchée, tout près de lui pour lui murmurer des trucs à l'oreille. L'adolescent essaya de faire abstraction du parfum suave de la jeune femme, de ses cheveux qui lui chatouillaient le cou et le torse et de la jolie vue qu'il avait sur son décolleté pour essayer d'écouter ce que disait la jolie blonde. Il aurait été incapable d'en répéter les mots mais il réussi toutefois à en piger le sens.

"Mes trois maitresses Azé, a savoir la richesse, la gloire et... " il laissa passer une seconde puis s'approcha à son tour d'Azé pour lui murmurer à l'oreille "la troisième est un secret"

En fait il avait simplement perdu son mot. Il avait bien pensé à dire 'toi' mais il ne savait pas trop comment elle le prendrait. Il ne fallait pas non plus qu'elle se fasse des illusions. Elle venait d'être jetée par Alex et il ne l'aimait pas plus que ça. Pour le moment évidemment. Par contre il n'avait encore invité personne à aller au Bal. Mais ce n'était pas l'heure d'y penser.

Avec un soupir, l'adolescent lâcha les hanches de la jeune femme, croisa ses mains derrière sa nuque et se laissa tomber en arrière sur le sol. Il était maintenant allongé sur le dos avec l'adolescente sur les genoux. Si Rogue passait par la, ils étaient morts. Heureusement même Rogue dormait à 4h du matin.

"Dit donc Azé, tu n'aurais pas vu mes notes par hasard ?"

lança-t-il soudain d'un ton qu'il espérait détaché. Cennyd ou comment gâcher le romantisme d'une scène...en le faisant exprès d'ailleurs ! Parce que ses cours, inutile de dire qu'il n'y pensait pas...a part un certain cours d'éducation...hum... que lui avait donné son Oncle l'été passé à l'aide d'une jolie jeune servante.

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Azéline avait fortement envie de le taquiner. Malgré toute ses années, ou elle c’était retenue, qu’elle se cherchait, elle n’avait encore comme je l’ai dit jamais eut un tel contact avec Cennyd. Peut être que cela paraîtrait bizarre mais c’était agréable d’être assise sur les genoux d’un homme. Ouais très agréable même. Elle restait assise le regardant dans les yeux , non plutôt le fixant de se regard vert clairs qui ne savait plus ou se poser. Insensible au torse nu de Cennyd, malgré qu’il est un beau corps, elle ne resterait pas baver sur ce dernier. Malgré que ce soit un des plus beau torse qu’elle eut vu dans toute sa jeune vie. Un petit sourire, elle tira la langue qu’elle mordit au bout doucement. Cependant de le voir réagir de la sorte la faisait marrer au moindre petits gestes. Elle restait assise ne bougeant plus ou du moins ne bougeant pas plus que depuis le début. Elle regarda d’un rapide regard son débardeur blanc qui était tacher. Sentant l’encre passer à moitié a travers de la matière, elle l’étira légèrement devant elle. ARG !

Elle soupira et observa de nouveau la tâche sans rien dire. Un petit soupire s’échappa de sa bouche et se tourna vers Cennyd qui vint lui dire qui il attendait ou du moins, il se fichait plutôt d’elle. Azéline sourira légèrement a son énumération et se fit déséquilibrer légèrement quand il s’allongea. Qu’elle idée de s’allonger avec une nana sur ses genoux. Rahh je vous jure ! Le jeune Serpentarde regarda ce dernier s’allonger. Mais qu’est ce qu’il cherchait ? Azéline arqua un sourcil surprise et appuya doucement sa main sur le milieux de son torse. Non puis finalement, cette tâche d’encre l’énervait de trop. Pendant un court instant, elle avait amener ses mains juste a la base sur tee-short et avait commencer a le lever mais … Juste pour l’enquiquiner un peu, elle se contenta de juste remonter un peut le tee-short pour faire double épaisseur. Laissant son nombril a l’air, elle soupira et tourna son buste vers lui. Rah il était loin maintenant. Devait-elle rester Assise sur ses genoux ? Azéline voyait sur le jeux homme une expression fortement taquineuse et Azéline enviait cela.

Venant doucement se redresser, elle prit soin de ne pas faire mal à Cennyd qui était allonger. Ce dernier lui demanda si elle n’avait pas vu ses notes. Azéline arqua un sourcil et se mit debout. Ben non elle ne les avaient pas vu ! Qu’elle idée, surtout qu’elle ne voyait pas trop ou celle ci étaient. Elle se ravança doucement et passa une jambe de chaque côté du jeune homme. Jouese ? provocatrice ? Oh que oui . Elle se laissa tomber doucement à califourchon sur Cennyd. Qu’est ce qu’elle était chiante. Azéline se pencha de nouveau vers le visage pour venir dévier a l’oreille et lui dire …

« hum… NAH »

Dit-elle avant de se redresser légèrement et s’étirer. Son, débardeur remonta légèrement en plus de « l’ourelet » qu’elle avait fait pour cacher la tâche d’encre. Si il lui prenait l’envie de la chatouiller ou autre, il aurait une sacrée surprise !Bien sur cette dernière serais de loin désagréable pour ce dernier !

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Strip teaaaaaase ! Azéline avait un réel talent de danseuse. Si jamais un jour elle ne savait pas quoi faire, sa carrière était assurée ! Et s'il lui fallait des recommendations, elle pouvait compter sur lui. Elle l'avait bien gagné !

Cennyd avait beau être couché, il ne quittait le nombril d'Azé des yeux. Merlin, ce que cette fille était bien fichue ! Avec un joli visage par dessus le marché. Sans compter qu'elle était de sang pur et pas totalement stupide. Pour être franc, le jeune écossais aurait été libre de ses choix, il l'aurait demandé en mariage. On ne trouve pas tous les jours un partit comme celui-là, surtout à... Bonté Divine mais elle était à qualifourchon sur lui là !

Surtout ne pas agir, ne pas faire n'importe quoi. Garder son self contrôle. Ne pas se jeter sur elle et finir de la deshabiller. Ce serait un coup à se faire renvoyer !
Cette seule idée le refroidit aussi sec. Non, il n'allait pas risquer son avenir pour une fille, ce serait idiot. Même si les avances venaient d'elle et étaient... Merlin... terriblement chaudes. Azéline choisit ce moment pour tomber à nouveau sur lui et lui chuchoter deux mots à l'oreille. Cennyd avait totalement oublié à quoi elle répondait mais comme c'était négatif, ce n'était pas important. Puis, elle se releva et s'étira, laissant son T-shirt remonter encore un peu plus.

Il faut dire pour la défense de l'adolescent qu'il n'avait plus grand contrôle sur ses pensées et ses gestes et que celui-ci était tout entier dirigé vers le bas de son corps. La main droite du jeune homme frôla le ventre plat de sa condisciple. Si elle était chatouilleuse, elle ne pouvait que réagir ! Mais il ne continua pas tellement sa taquinerie et lui saisit à nouveau la taille. L'autre main vint se poser de façon symétrique à la premiere et d'un seul geste puissant, il souleva une seconde la jeune femme histoire de s'installer plus confortablement sur le sol avant de la laisser retomber à qualifourchon sur lui. Il la lâcha alors et se mit à jouer avec les bretelles de son débardeur, le tout sans la quitter des yeux.

"Tu me cherches Evans ? Fait attention à toi..."

S'il souriait, il n'y avait aucune trace de rire dans sa voix, rien qu'un sérieux un peu effrayant quand on y pensait. Cennyd commençait à perdre le contrôle de lui-même et, le connaissant, ça pouvait mener très loin.

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Azéline était fortement chiante quand elle s’y mettait. Malgré que Cennyd n’avait pas l’air de trouver cela très chiant. Elle gardait se petit sourire malin en coin de bouche la langue légèrement tirée et pincée avec le bout de ses dents. Elle le fixait du regard, ses deux prunelles vertes c’étaient plongées dans ses yeux et ne déviraient pour rien au monde. Azéline avait peut être l’aire d’une nana facile quand elle était calme mais loin de la. Elle possédait un énorme caractère très fort, une poigne que pas mal de filles désireraient et surtout un sadisime très développé. Quand ce dernier vint frôler sa main a son ventre. Azélin,e fit un petit bond amusée et éclata de rire. La jeune femme restait assise sur Cennyd quand ce dernier la prit de nouveau par la taille pour la soulever. Azéline sur le coup surprise, posa ses deux mains sur son torse et n’eut a peine de le temps de se débattre un peu qu’elle était de nouveau assise à califourchon sur Cennyd. Il commença alors à jouer avec ses bretelles de débardeur. Elle sourira malicieusement au jeune homme et lui répondit en le fixant du regard la langue légèrement sortie et pincée avec ses dents.

« Ouuuhhh J’ai peur !»

Dit-elle avant de laisser passer un rire qui résonna dans la pièce. Elle mit quelques secondes pour ce calmer et soupira un grand coup pour reprendre son souffle. Venant sentir les mains de Cennyd jouer avec ses bretelles de débardeurs, elle leva les yeux au ciel amusée encore de sa réplique. Elle se rabaissa sur Cennyd et approcha dangereusement avec provocation son visage de celui de Cennyd et lui tira la langue histoire de le taquiner. Elle donna un bref coup d’épaule et sa bretelle de sous vêtement gauche tomba avec celle du débardeur. La bretelle se balada quelques instants quand la deuxième tomba aussi. Oup’s c’était pas au programme sa. Azéline fit comme si de rien n’était et grimaça. Elle sourira quelques minutes et se pencha sur Cennyd venant lui dire au creux de l’oreille de nouveau.

« Olala Melle. Evans a les épaules dénudées … c’est pas bien !!! »

Dit-*elle juste histoire de l’embêter un peu. Elle se remonta au niveau de son visage et se redressa encore un petit peu. Un grand sourire de chieuse aux lèvres, elle appuya ses deux mains par terre sur le tapis et le fixa du regard.

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Bon allez, assez joué. Azéline semblait savoir ce qu'elle faisait alors il n'allait pas se laisser arrêter par un truc aussi stupide qu'un règlement. S'il se faisait prendre, il dirait simplement qu'elle l'avait provoqué au delà du raisonnable et qu'il était tout à fait naturel qu'il réagisse ainsi.

Il devint donc sérieux pour changer un peu. Son visage se ferma, son sourire disparut un peu et ses yeux devinrent graves. Il ressera ses mains sur Azéline mais toujours en lui laissant la possiblité de se dégager. Il n'était pas du genre à forcer les autres. Ses tactiques étaient habituellement plus subtiles. Enfin on ne pouvait pas lui demander d'être un saint non plus. Il était un homme non mais oh !

Plop, la deuxième bretelle tomba, dévoilant les épaules de la jeune fille. On ne pouvait pas dire qu'elle était habillée maintenant ! L'honneur était donc sauf. Cennyd prit quelques minutes pour déshabiller totalement Azéline... du regard, laissant ses yeux s'attarder sur les quelques endroits de son corps encore cachées par le tissu puis revint sur le bout de langue. Il allait vraiment devoir faire quelque chose à propos de ça !

Elle se pencha à nouveau sur lui mais se releva trop vite. Le jeune garçon du donc faire travailler ses abdos pour voler un rapide baiser à la jeune fille. Bien fait na ! Un peu court malheureusement mais c'était fatigant de lever si haut la tête avec les jambes et la taille coincée au sol. Il n'avait été un adepte de gymnastique.

"Allez, arrête ça. Je vais me coucher moi, on a des tas de cours demain."

Cela pouvait sonner comme une capitulation. Sauf que si on jouait sur les mots, Cennyd était déjà couché. Au lieu de se relever et de se dégager de l'emprise d'Azéline (ce qui n'était somme tout pas difficile) il remit ses mains sur sa nuque et ferma les yeux, un léger sourire aux lèvres. Inutile de dire qu'il ne dormait pas. Il faisait même son possible pour ne pas penser à sa famille. Il n'allait pas s'humilier en faisant un cauchemars devant Azé !

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Aïe ! Aïe ! Aïe ! pensait-elle. Azéline regardait Cennyd dans les yeux sans laisser son regard imposant dévier. Elle restait sur lui a califourchon comme si tout allait bien. Connaissant Cennyd, elle adorait l’embêter mais ce qui se passait pour le moment était loin d’être du sérieux, plutôt de la déconnade si on pouvait appeler cela ainsi. Elle savait se maîtriser malgré que des fois elle pourrait devenir folle mais cela était extrêmement rare. Elle le fixait du regard sans rien ajouter juste se petit bout de langue qui continuait de dépasser. Azéline avait toujours eut cette petite habitude de tiré la langue et de la mordre légèrement au bout. Pourquoi ? Parce que gamine, elle s’amusait a mordre le plus loin possible. Encore un jeux débile des gamins et gamines de sont âges. [ je parles de quand elle étai gamine ] Cependant, Azéline avait gardé cette habitude quand elle s’amusait ou provoquait. Un léger petit sourire aux lèvres, elle tira entièrement la langue a Cennyd.

Pendant quelques instants elle c’était penchée sur lui et n’avait pas bougée. Le voyant la détailler du regard, elle haussa un sourcil se demandant intérieurement ce qui se passait de mal ou encore ce qu’elle avait fait de mal. Après tout peut être rien. Venant se relever doucement , elle le regardait dans les yeux quand ce dernier se releva directement pour venir lui voler un baisé. Azéline surprise n’eut pas le temps de réagir qu’elle resta bouge bée devant lui et en quelques seconde aquiessa un petit rire. Elle lui tira de nouveau le langue et l’écouta dire ce qu’il avait a dire. Un petit sourire en coin de bouche, elle hésita a descendre de lui mais avant de descendre, elle voulait ce « venger » de ce baisé. Le regardant les yeux fermés. Elle se ravança et l’embrassa pendant quelques secondes juste histoire de l’enquiquiner un petit peu.. Pour elle c’était purement du jeux avec Cennyd.

« Aller Stop »

Dit-elle en descendant doucement de lui et venant s’allonger a ses côtés. Elle posa sa tête sur le ventre du jeune homme et ses pieds sur le rebord du canapé. Elle ferma aussi les yeux gardant un sourire malin aux lèvres.

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C'était du jeu, mais également fort agréable. S'il n'était pas amoureux d'Azéline (Cennyd collectionnait les conquètes mais n'était jamais tombé amoureux. C'était probablement pour ça qu'il n'avait pas de problèmes pour draguer les filles, il ne se prenait pas au sérieux et n'avait donc pas peur des refus), il l'aimait bien, amicalement parlant. Sans compter qu'elle était attirante et qu'ils venaient de jouer un bon moment tous les deux. Cennyd lui rendit donc son baiser tout le temps qu'il dura mais n'insista pas lorsqu'elle abandonna soudain. Il était d'accord avec elle, il était temps d'arrêter.

Il la laissa s'installer confortablement sans rien dire et savoura ce doux contact. Il invitait aux confidences et après tout, Azé était ce qu'il pouvait considérer comme une amie. Il ne se confierait pas vraiment à elle, mais il s'interessait à ce qu'elle devenait. Surtout qu'elle sortait d'une rupture difficile.

Alex Tyson. Serdaigle. S'il le croisait celui-la... bon d'accord il ne se passerait rien mais il allait devoir faire attention à chaque bouchée qu'il allait avaler durant toute la fin de ses études, se méfier à chaque coin sombre, surveiller son balais ou ses affaires préférées. Cennyd attaquait rarement ses victimes directement. Il préférait les coups en douce, moins dangereux pour sa réputation. Mais il était un vengeur. Un vengeur très patient même car il se fichait d'attendre des mois ou des années pour commettre ses forfaits. Tyson avait fait pleurer Azé, il allait payer. On ne touchait pas à la famille d'un McAyr !

"Alors Zéline de mon coeur, comment tu vas en vrai ?"

Il avait parlé d'un ton doux mais un rien détaché pour ne pas avoir à le prendre mal si elle l'envoyait bouler. Il enleva sa main droite de sous sa nuque et se mit a jouer pensivement avec une meche des cheveux blonds d'Azéline. Ses yeux étaient toujours fermés. Si quelqu'un entrait dans la pièce, il aurait du mal à croire que les deux serpentards n'étaient pas ensemble. Et pourtant...

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Azéline restait allongées la tête posée sur le ventre de Cennyd qui ne bougeait pas et ne semblait pas répliquer a sa posture envers lui. En quelques secondes, la jeune femme perdit un peu son sourire et réouvrit les yeux pour regarder le plafond. Il était gravé de plusieurs formes géométriques voir même à de nombreux endroits des salamandres. Venant soupirer légèrement, elle détourna le regard vers Cennyd qui commença à lui parler. Sur le coup la façon dont il l’appela, fit hausser un sourcil à la jeune Serpentarde qui fit très étonnée. Cependant elle ne rejetterait pas ce surnom qu’elle considérait comme « mignon ». Elle chercha pendant de longues minutes comment elle pourrait bien le surnommer lui aussi avec un petit surnom sympathique et seulement elle qui l’appellerait ainsi. Que pensez-vous de … Cenydounet ? Non celui ci était beaucoup trop courant auprès des autres demoiselles. Cennyd d’amùùr ? Sa c’était bien. Elle serait la seule à pouvoir et surtout à avoir le droit de l’appeler ainsi.

« C’est vide … c’est très vide . Je vais pas forcément bien mais bon et toi Cennyd d’amùùr ? »

Demanda-t-elle. Ce dernier commença a jouer avec une de ses mèches blondes et Azéline ne sourira que quelques secondes après avoir sentit les doigts de ce dernier se glisser dans sa chevelure blonde. Venant prendre doucement la main de Cennyd elle commença a jouer avec. Elle jouait tantôt avec le pouce tantôt avec l’index et Azéline laissa tomber la main du jeune homme au niveau du haut de son buste. Fermant les yeux, elle soupira se sentant bien auprès de la chaleur du feux en compagnie de ce charmant jeune homme. Elle avait ses deux pieds qui étaient posés sur le bord du canapé. Ses cheveux blonds crèmes formaient une auréole sur le ventre de cennyd et azéline en bougea pas. Venant de amener une main au niveau de l’épaule du jeune homme, elle laissa glisser le bout de ses doigts doux et bien proportionnés sur l’épaule de ce dernier. Elle se sentait détendut.

« Cennyd d’amùùr tu me fais un massage ? »

Demanda-t-elle avec un petit sourire envieux. Que oui elle voulait un massage. Elle avait tellement mal au dos ses dernier temps. La jeune femme gardait les yeux fermés en ne pensant à rien ou si peut être 3 choses… Ou plutôt devrais-je dire 3 personnes.

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Bien ce qu'il pensait. Pour qu'Azéline le provoque ainsi, il fallait qu'elle soit pas bien. Pas dans le sens folle ou idiote hein. Mais il y avait eu quelque chose de désespéré. Comme ci elle voulait être sure qu'elle plaisait encore. Cennyd n'avait rien contre être le cobaye. Il espérait juste qu'il avait été le seul parce que d'autres pouvaient la croire sérieuse et ça pouvait causer des problèmes. Enfin, il l'apprendrait tôt ou tard. Ce n'était pas le moment de questionner l'adolescente à propos de ça.

Un craquement sonore du feu de bois le fit sursauter mais il reprit rapidement ses caresses, fremissant sous celles d'Azé. Elle avait des doigts très doux.

"C'est Tyson qui te tracasse hein ? Tu veux que je m'occupe de lui ? Ou tu préfère peut-être ne pas en parler ? Mais je veux que tu puisse te confier à moi lorsque tu as besoin. Je sais que Kark est ton meilleur ami mais un second avis peut parfois être utile tu sais. Je ne te trahirais pas, promis."

Il lui sourit gentiment mais une ombre passa sur son visage tandis qu'il hésitait à lui répondre franchement. Il s'y volontier laissé aller dans cette ambiance feutrée mais un reste de fierté et de méfiance le retint. Il allait se confier mais pas totalement.

"Toujours mes insomnies et mes cauchemars. C'est même pire cette année que les précédentes. J'ai comme un mauvais pressentiment."

Voila inutile de parler des meurtres, ca faisait trop penser aux histoires d'horreur des moldus. Puis il ne voulait pas y penser... Trop tard. Cennyd se figea le temps d'effacer de son esprit les images horribles et pourtant si floues de sa tendre enfance. Et pourtant il n'avait vraiment rien vu. Mais dans un sens c'était peut-être pire. Il ne pouvait qu'imaginer. Il frissonna de tout son corps, ce qu'Azéline n'avait pu que sentir et rouvrit les yeux pour les plonger dans ceux de sa compagne.

"Ca dépend de deux choses Zéline de mon coeur. Ou tu veux que je te masse et qu'est ce que tu me donne en échange."

Il sourit faiblement pour faire croire que ce n'était rien, qu'il était comme d'habitude, mais le coeur n'y était pas. Ses yeux restaient sombres, tristes, préoccupés. Il se mouilla les lèvres de sa langue et détourna le regard, espérant qu'Azéline ne serait pas trop curieuse.

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La jeune femme n’osait plus bouger. Non plutôt elle ne voulait plus bouger, elle se sentait tellement bien installée la tête posée sur le bas du buste du jeune homme qu’elle n’avait strictement aucunes envies de quoi que se soit hormis le massage qu’elle avait si gentillemment demander à Cennyd. Le feux crépitait dans la grande cheminée centrée au milieux de la salle commune. Elle était quasiment certaine que si elle se décalait de quelques mètres vers le fond de la pièce, elle frissonnerait à cause du changement de température soudain. Elle continuait de caresser doucement l’épaule de Cennyd avec le bout de ses doigts qui étaient chauds. Cela faisait très longtemps voir même jamais qu’elle avait passer une fin de nuit ainsi. Auprès d’un jeune homme charmant, dans sa salle commune à se « câliner ». Venant a réouvrire les yeux doucement, elle laissait Cennyd faire ses gestes doux envers elle. C’était si agréable d’avoir une personne qui nous portait attention malgré que le contexte n’était peux être pas le fait de l’attention mais plutôt affection. Elle écouta Cennyd par la suite.

« ... Même pas envie d’en parler… »

Dit-elle en venant soupirer légèrement. Qu’est-ce qu’elle détestait parler des personnes qu’elle aimaient. Elle préférait encore critiquer les plus jeunes ou ceux qui étaient toujours faux culs avec les autres. Azéline ne supportait pas de ce faire critiquer mais bon il y avait toujours des personnes critiqueuses sur cette terre. Ce dernier vint répondre à sa question ou plutôt le renvoie de sa question. Il commença à lui énuméré quelques petites choses au quelles Azéline ne réagira pas. La jeune Serpentarde se demandait bien ce qui avait put se passer. Pourquoi parlait-il d’insomnies et de tous ses cauchemars ? Pourquoi revenait-il sur ses années passées ? Azéline avait tellement envie de savoir mais se retint ne voulant pas blesser ou être trop indiscrète envers son compagnon. Elle avait souvent été indiscrète ou même trop curieuse et c’était longuement fait accuser d’avoir fait revenir des souvenirs. Depuis ce jours la, elle ne disait plus rien qui pourrait offensé quoi que se soit. Quand il lui demanda ou elle voulait le massage et se qu’il aurait ne échange, elle le regarda et soupira un petit instant voyant bien que quelques chose n’allait pas forcément mais si il avait envi de parler il pouvait.

« Tu es sur que ça va Cennyd d’amùùr ?! … Sinon sa seras au dos et en échange ce que tu veux … »

Dit-elle en le regardant en restant allongée comme elle était . venant prendre la main de Cennyd et l’enlever doucement de son haut de buste, elle se laissa tourner doucement sur son côté gauche pour venir se redresser un peu. Etant maintenant sur le ventre, elle s’allongea juste a côté de Cennyd tout près de lui sur le ventre. Les bras croisé sous sa tête, elle avait la tête tournée vers lui et les fermée.

Invité

Il n'insista pas. Il comprenait qu'elle n'ai pas envie d'en parler et n'était pas du genre à forcer les confidences. L'atmosphère feutrée de la pièce malgré sa couleur verte les invitaient déjà assez à s'ouvrir l'un à l'autre.

Cennyd aussi goûtait ce moment de paix. Il était rare qu'une nuit le repose autant en début d'année et il en savourait chaque instant. D'ailleurs il ne pensait à rien, ce qui était pour lui une bénédiction. Il se concentrait sur ses sensations, le poids (léger) de la tête d'azé sur son torse, la douceur des cheveux tout autour, la chaleur de ses doigts sur son épaule, et les siens, posés en haut du torse de la jeune femme. Oui Cennyd était de ceux qui préfèrent ressentir que penser. Surtout si les sensations sont agréables et les rêves sombres.

Azéline lui répondit en lui laissant le choix de la récompense avant de se mettre en position. Avec un soupir d'aise, le sang pur se releva et commenca à masser le haut du dos de la jeune femme avec plus de maladresse que d'efficacité. Les massages il en avait jamais fait. Il en avait toutefois déjà reçu et s'appliquait à imiter les gestes du Kinémage.

"Hum...qu'est ce que je pourrais bien te demander en échange..."

Fit-il à haute voix, recommençant à jouer pour ne pas avoir à penser.

"Voyons...hum nan...pas assez...un peu trop celui-là...oh je sais"

fit-il faisant semblant de faire repasser différentes options dans sa tête alors qu'il savait très bien ce qu'il voulait.

"Je veux que tu me chantes une chanson rien que pour moi, celle que tu veux. On m'a dit que tu chantais bien, je veux entendre !"

Il lui fit une petite tape (pas forte) sur l'épaule, s'étira et bailla. Il commençait à se faire tard.

Invité

Azéline sentit les mains de Cennyd qui commencèrent a lui toucher le haut du dos. Un frisson parcoura son dos ou plutôt tout son corps. Elle ferma les yeux et ce dernier commença le massage comme elle lui avait demandé. Il se débrouillait pas trop mal ma parole. Elle n’avait jamais vraiment été massée par qui que se soit, et que Cennyd soit le premier à avoir l’honneur de masser la jeune Evans la rendait comment dire… Fière. Elle soupira et laissa son corps entre les mains du jeune homme. Rare avait été les fois ou elle c’était sentie aussi bien, aussi détendue. L’atmosphère était sereine et personne ne venait s’incruster pour une fois. La salle commune était plus que calme et les paroles des deux jeunes résonnaient légèrement quand ils parlaient. Azéline restait allongée sans rien dire. Elle l’écouta alors demander se qu’il voulait en échange. Une chanson ?! mais comment savait-il qu’elle chantait. Azéline tourna la tête et le regarda puis lui répondit d’une voix douce et ferme.

« Hmm… Si tu veux »

Azéline sentait son tee-short remonter plus ou moins avec les mouvements que faisaient Cennyd au fur et a mesure du massage qui devenait de plus en plus agréable. Elle réfléchira longuement a la chanson qu’elle pourrait lui chanter et regarda Cennyd a côté d’elle avec des yeux assez simple et mystérieux. Pour changer ! Elle décida donc de se relever légèrement et de laisser glisser ses bretelles de d »bardeur pour venir à glisser le bout de tissus jusqu'à son nombril laissant place juste a son sous vêtement quasiment cacher . Elle était allongée a plat ventre donc juste les bretelles et une barre de tissus passait dans son dos. Venant lui sourire légèrement la tête dans les bras elle commença a chanter doucement …

« If I should stay
I would only be in your way
So I'll go but I know
I'll think of you every step of the way.

I will always love you
I will always love you.

You, you, my darling you (mm)

Bittersweet Memories
That is all I'm taking with me
So goodbye please don't cry
We both know I'm not what you
You need

I will always love you
I will always love you.

I hope life treats you kind
And I hope you have all you dreamed of
And I wish to you joy and happiness
But above all this, I wish to you love.

Termina-t-elle doucement. Elle soupira avec un petit sourire…

« Je préfère accompagné au piano mais si tu veux autre chose n’hésite pas »

Invité

C'était simple, il s'était renseigné. Cennyd était peut-être un dragueur, sûrement même car il aimait les jolies filles et qu'en plus il tenait à sa réputation de don juan léger et sans interêt. Ainsi personne ne viendrait le soupçonner. Donc, disais-je, Cennyd était peut-être un dragueur mais il y avait des filles qui l'intéressaient plus que d'autres. Azéline était de celles-là. Tant qu'elle avait été avec l'autre piaf, il s'était tenu à l'écart mais cela ne l'avait pas empêché de poser ici et là quelques questions, au cas ou. Et voilà que sa prévoyance payait.

Il continua à la masser tranquillement, savourant le contact de ses mains sur sa peau si douce. Il ignorait qu'il était le premier à faire ça. S'il l'avait su, il se serait sentit honoré, peut-être même un peu angoissé à l'idée de ne pas être à la hauteur au fond de lui. Quoique, non, probablement pas. Il ne s'angoissait pas pour des trucs aussi triviaux.

Et la voix d'Azéline s'éleva dans le silence de la nuit. Elle chantait vraiment bien, avec un émotion prenante qui donnait du relief aux paroles d'amour qui sortaient de sa bouche.

"C'était vraiment très beau Zéline de mon coeur. La prochaine fois que tu es amoureuse, tu n'as cas lui chanter ça et il te suivra jusqu'au bout du monde."

Il s'étira une nouvelle fois avec un baillement. L'horloge de la salle marquait 5h30 et il devait se lever à 8h. Il avait le temps de dormir encore un peu pour être en forme demain. Curieusement, il se sentait plus détendu qu'il ne l'avait été depuis des semaines. Comme si c'était lui qui avait reçu le massage avant de le donner.
Une lueur de malice brilla dans ses yeux clairs. Il regarda Azé, un sourire joueur aux lèvres et lui fit une petite tape (pas forte du tout) sur les fesses avant de se lever.

"Merci pour l'intermède. C'était hyper sympa. Je vais m'coucher maintenant histoire de pas être trop crevé demain. Bonne nuit"

Il s'agenouilla à coté d'elle, lui fit un bisou sur l'épaule et lui tendit la main pour l'aider à se relever. Il n'était pas rustre au point de monter sans lui accorder une dernière attention.

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