Le professeur McGonagall ne riait pas. Je sais, vous allez me dire que de toute manière, ce n’est guère chose courante chez elle ; néanmoins, il lui arrivait de-ci de-là d’esquisser un fantôme de sourire, lui redonnant une attitude d’humanité. Ici, en revanche, il semblait que jamais plus elle n’allait se permettre un tel relâchement. Ses sourcils, froncés, s’étaient rejoints en un seul trait contrarié. Ses lèvres, minces, étaient crispées en une attitude acide, posée. La marque des tracas sans fin dansait au fond de ses yeux, transformant Minerva McGonagall en une statue d’autorité.

Sa classe de premières années venait de se vider ; elle patientait à présent la venue des deuxièmes, troisièmes, quatrièmes et cinquièmes années. L’idée d’un cours inter-niveau lui était venue en constatant les terrifiantes prouesses transfiguratoires de certains (Neville Londubat, pour ne citer que lui). Aussi le fait de mélanger novices et chevronnés pour un retour aux enchantements de bases lui paraissait être profitable. Ses notes étaient disposées bien droites sur son bureau, rédigées dans un écriture bien nette, reflétant son esprit de structure et d’organisation. Elle avait eu vent des pratiques pédagogiques lamentables de sa nouvelle collègue – Dolores Ombrage – et elle comptait bien lui démontrer ce qu’était une véritable expérience professionnelle.

D’un pas de sénatrice, elle arpenta les allées entre chaque banc, donnant un petit coup de baguette magique à chaque passage pour faire apparaître une série de verres à pied en cristal. Aujourd’hui, les sortilèges de Démobilisation s’étaient imposés d’eux-mêmes, non seulement pour leur incroyable efficacité dans la vie de tout les jours, mais également pour la demande courante dont ils étaient sujet au sein des BUSEs. Elle se rassit derrière son propre bureau, les mains jointes.

Elle ne souriait toujours pas.

Peu à peu, à rythme plus ou moins régulier, les élèves investirent la classe, jetant un regard intrigué aux verres à pieds et prenant place en silence. D’instinct, ils avaient sorti leurs baguettes magiques – et Merlin savait comme ils avaient raison. Cela devait les dépayser de la Défense contre les Forces du Mal.

- Bonjour à tous, dit lentement le professeur McGonagall d’un ton sec. Suite aux nombreux enjouements exprimés quant aux cours inter-niveaux, je me suis décidée à vous reclasser en groupes mixtes. J’espère bien que, après de tels efforts de bonne volonté, vos résultats n’en seront que des plus conséquents.

Elle leur promena un regard éloquent.

- Aujourd’hui nous aborderons les sortilèges de Démobilisation, maîtrisés par certains, méconnus par d’autres. Le principe consiste à ensorceler un objet pour le transformer en quelque chose d’infiniment petit, facilitant ainsi le transport de ce dernier. Cela peut, par exemple, démontrer toute son efficacité si vous devez déplacer un meuble particulièrement lourd et encombrant.

Pour illustrer de la manière la plus concrète cette évocation, elle pointa sa baguette sur l’une des étagères de la classe, et la changea instantanément en un fin anneau d’or blanc qu’elle glissa à son doigt, rendant le résultat bien visible pour tous.

- L’incantation, continua-t-elle d’une voix neutre, comme si elle venait d’écrire au tableau, est relativement simple. Il s’agit – soyez un peu attentif Snow ! – de la formule « Demobiliartus animi ». Veuillez accentuer les deux dernières syllabes de « demobiliartus », c’est là que réside toute l’efficacité du sort. Le mouvement de baguette requiert un peu plus de souplesse : voyez comme je fais pivoter la pointe de mon instrument tout en gardant une certaine rigidité à sa base. Plusieurs essais seront nécessaires avant de parvenir à quelque chose de probant, c’est évident.

Elle claqua dans ses mains avec force, réveillant les quelques endormis du fond.

- Pour la fin du cours, je veux que vous maîtrisiez ce sort au maximum. La consigne est simple et claire : il suffit de transfigurer votre verre à pied en une bille d’agathe. Vous me rendrez également une courte dissertation de dix lignes m’expliquant l’efficacité de cette technique de métamorphose ; et vous en profiterez pour me donner votre propre définition du sortilège de Démobilisation. Bonne chance à tous !

Et elle redressa les épaules d’un geste vif, comme pour mettre quiconque au défi de parler.

La métamorphose, une matière qui passionait la jeune Gryffondor.
Bien sûr passionée ne veut en rien dire disciplinée!
Pourtant en arrivant Lily reprit la démarche calme et posée d'une élève qui va d'un cour à un autre. Pourquoi ? McGonagall ne laissait même pas un fantôme de sourire éclairer son sévère visage.
Strict et droite, toujours fière, sa directrice de maison restait fidèle à elle même.
Il était clair qu'elle voulait prouvé par la parfaite organisation de sa classe, inter-niveau qui plus est, qu'elle était bien plus compétente que leur riducule merringue de DCFM.
Tout le monde sait qu'une classe inter-niveau est bien plus difficile à surveillée qu'un cour où l'on dicte de la théorie à une classe endormie....
Lily faisait donc savoir son avis sur la chose à son voisin lorsque McGonagall reprit un autre élève. La gamine rit -interieurement c'est plus prudent- en pensant à son admirable capacité à ne pas se faire remarquer !

Elle ne retenta pourtant pas l'experience, préférant se pencher sur le discourt de son professeur sur un sort des plus interessants... Et si elle réduisait les affaires des autres en billes d'agathes ? Génial non ?
La formule , "Demobiliartus animi " à ne pas déformer : trop dangereux ça aussi.
Lily porta donc un regard interessé au verre au pied qui se tenait devant elle, il devenait en un instant plus interressant que les cuisines de Poudlard, ce qui est peut dire lorsqu'on connait la gourmandise de la gamine.
Le claquement de main de la sorcière réveilla Lily qui était déjà bien attentive, inevitablement elle jeta un regard de compation aux pauvres rêveurs arrachés si durement à leur univers.
La merringue était dans certains cas préférable... Enfin ce n'était
pas une vérité générale.

"Bon au boulot !"

La petit brune retoussa ses manche et jetta sa cravate par dessu son épaule -xD- pour ensuite tenir fermemant sa baguette. Tirer la langue dans un effort de concentration et prononcer l'incantation tout en effectuant le geste souple et assuré de sa baguette.
Raté, le verre se mit à devenir mou pour finir en une flaque pateuse sur sa table. Inévitablement son voisin pouffa de rire, vite étouffé par un regard noir de la gamine.
Second essai ? Un bille, toujours aussi molle. Troisième ? Le verre dans son état initial...
Les tentatives se succédaient sans donner de réels résultats. Les nombreux échec n réussissaient pourtant pas à décourager notre Lily. Pourquoi ? Ce sort était bien trop utile pour pourrir la vie des autres !
Détermination et entêtement combiné finissent toujours par donné quelque chose, chez certains élèves de la classe s'étaient des jurons reprit par leur professeur.
Chez Lily c'était une superbe bille d'Agathe et un écroulement sur sa chaise.
Il faudrait peut-être qu'elle pense à se modéré un peu.

Deuxième étape, la rédaction. L'adolescente sortit un parchemin, sa plume et son encre de son sac.
Sans tarder elle se mit à gratter le papier pour le noircir d'une écriture fine et ondulée .

Citation :

Sort de démobilisation

Ce sortilège permet à un sorcier -ou une sorcière!- de réduire des objets de taille cnséquente à une taille bien plus comode pour transporter les dit objets.
Pour ça les objet changent de forme et de consistance, seul probleme, il serrait possible de confondre son service de douze verre à pied avec un solitaire- jeu moldu- de pierre d'Agathe auquel cas vous n'auriez qu'à demander l'aide d'un sorcier expérimenté qui saurait faire la différence, à l'aide d'un sort certainement.
Le sort de démobilisation demande une grande concentration lorsqu'on le pratique pour les premières fois, mais devient rapidement naturel étant d'usage casi quotidient.

Un raclement de gorge fit lever le nez de Lily de sa feuille, son professeur jeta un regard à sa magnifique bille d'Agathe et reprit sa marche dans les rangs.
Lily regarda à son tour son chef d'oeuvre... Redevenu mou...
Rageusement elle remonta ses manches, prit sa baguette et effectua le sort d'un geste souple et légèrement nerveux : La bille réaparut.
Elle verrait bien à la fin du cour si elle restaient de marbre, euh d'Agathe, ou si elle s'amusait à fondre à nouveau.

Citation :

Ce sort est donc d'une très grande utilité pour dissimulé des objets à la vu des autres mais il est très peu prudent de l'enseigner à des personnes mal intentionnés qui pourraient tenter de réduir des camarades ou leurs affaires. De plus lorsqu'on change les objets de la sorte on risqe de perdre leur contenu comme par exemple une grosse soupière, ce qui est extrèmement embêtant lorsqu'on à faim !
Et puis quand on le rate et qu'on rend l'objet mou -par exemple- et qu'il y a de la soupe dedans et bien le verre -ou le métal- et la soupe se mélangent et sa devient imangeable donc on s'entraine d'abord sur des objets vide et...

La sonnerie retentie et Lily abandonna sa disertation à son triste sort de devoir inachevé.
Rangea sa plume son encre et sa baguette après avoir murmurer une nouvelle fois l'incantation, au cas ou le verre s'amuserait à reprendre sa forme après son départ !
Une fois ceci fait elle sortir tout en saluant son professeur et laissa un sourire qui n'anonçait rien de bon prendre possésion de ses lèvres.
Les pauvre Gryffondor allaient souffrirent de l'apprentissage de ce sort...

Alenn dormait encore dans son bol de porridge lorsque Lily l'attrapa par le col en criant de sa charmante voix de crécerelle : Métamorphose ! Même reflexion de la part de Lavande d'ailleurs. il fut limite pris par les épeules puis trainé de la salle commune jusqu'au escaliers où il repris les choses en mains et se remis sur pied pour les monter, non sans réprimer un léger Cvapalatêtebandedefole lancé envers le sol craignant la vengeance des deux filles si elle l'entendait. Il avait déja assez mal au crâne comme ça. Il rentra dans la salle parmis la masse d'élève en tant que parfait inconnu. Et s'installa au fond de la salle par habitute avant de faire semblant de fouiller dans son sac, celui ci étant posé sur la table, et de retomber dans un semi sommeil totalement incontrolé.
Il est vrai qu'au bout de 20 minute de fouille dans un sac, ça pouvait paraitre suspect. (Si si.) Quelqu'un lui donna un coup sur l'épaule en murmurant "Sullivan Debout !", heureusement pour Alenn que ce n'était qu'un élève, cette chère McGonagall le connaissait déja assez comme ça. Il fit une grimace en se rémémorant une rencontre des plus désagréabledas le hall d'entrée.

Il se donna enfin la peine de sortir la tête de son sac, les cheveux très ébourriffés et les yeux en deux touteeeees petites fentes. Il se réveilla au moment où le professeur était entrain de faire la démonstration du sort, un meuble en anneau d'or. Non franchement, une armoire c'est bien plus utile qu'un anneau. A quoi pouvais servir ce maudit sort ? Va ranger tes affaires dans un anneaux. On lui glissa un léger "C'est pour transporter" après qu'il est demandé indirectement par un grognement suivit d'un point d'interrogation.

"Merci.
-Soyez un peu attentif McAyr !"

Mais lui c'est Sullivan, youhou madame la prof !Cennyd n'est pas là ! Mais on ne vous en veux pas, si le serpent se fait punir se serait parfait. Surtout sans raison valable.
Alenn fut donc parfaitement dispo juste pour écouter les consignes et comment lancer le sort. Il pris sa baguette magique et un verre. Le déposant devant lui et bazardant son sac sur le coté , il attrapa un parchemin et une plume blanche. En succota le bout deux minutes, piqua un peu d'encre à son voisin et commenca à écrire avec de belles lettres en tirant un peu la langue...Alenn était doué pour le maniement de la baguette mais pas vraiment pour celui de la plume, en effet partout il oubliait les accents...

Spoiler:

Arghhh son cher voisin ratant son coup pour prendre de l'encre lui en voya plein sur sa copie, il regarda le parchemin, un peu dégouté. Puis remarqua qu'il n'avais plus le temps de recopier, la prof l'aurais comme ça ! Il pris sa baguette et fit quelques exercices de poignets avant de lancer le sort en accuentant bien sur les deux dernières syllabes.

Au bout de cinq tentatatives infructueuse le verre pris une forme ronde et bleu. Alenn ne savait pas vraiment à quoi resemblait l'agathe. Il savait juste que c'était une pierre précieuse. Il y avait droit de créer des pierre précieuse comme ça ? Une bille d'agathe vaut bien plus cher qu'un verre de cristal en temps normal ! Absorber dans sa comtemplation et ces reflexions , il regardait d'un air distrait les autres pour voir quelle couleur avait leur agathe. Lorgnant sur Zoé, il essaya de faire quelque chose d'apeu prêt ressemblant.

Une fois d'ailleurs, il visa à coté en transformant sa plume en bille blanche et laiteuse, il se frappa sur la front et la mit bien vite danssa sac avant que le prof ne le remarque.

Lorsque la sonnerie retentit, il posa sa feuille et sa bille ensemble rageant ses affaires, et sortant la tête dans les nuages.

Installée sur une des tables du deuxième rang, Jessicayumi attendait que le cour commence. Elle avait sortit ses livres de cours et sa baguette. Quand le professeur commença à parler elle ne souriait pas. La jeune Serdaigle se demandait bien comment elle pouvait faire pour ne pas sourire au moins une fois dans sa vie. Peut-être ne souriait elle que quand elle se trouvait avec d’autres professeurs… Et encore Jessicayumi Belmontet ne l’avait pas surprise à émettre le moindre sourire lors des repas. Vraiment, la jeune fille était bien curieuse de trouver le professeur en train de sourire. Elle essaya pendant un moment de l’imaginer joyeuse, le sourire aux lèvres. Quand elle arriva à trouver une image fixe, un sourire s’afficha sur son visage. Elle voyait le professeur aux anges, riant et souriant.

« Aujourd’hui nous aborderons les sortilèges de Démobilisation »

Jessicayumi se redressa. Elle venait de sortir de sa rêverie. Elle se redressa et regarda le professeur. Elle écouta le professeur avec attention. De première vue, l’exercice semblait être pour les plus normal, bien qu’il fallait sûrement arriver à bien manier sa baguette. Mais cela la fit rester sans voix quand le professeur McGonagall pointa sa baguette vers une étagère. D’un coup de baguette et d’une parole, le meuble se transforma en un souple anneau d’or blanc. Pour que le résultat soit bien visible, l’adulte glissa l’anneau à son doigt. Jessicayumi resta sans voix : Comment avez t’elle pu faire un si beau résulta ? Vue de sa chaise l’exercice semblait facile, bien qu’après expérience elle avait toujours trouvé les démonstrations du professeur remarquable. Ses yeux remplis d’admiration elle avala les consignes du professeur. Il fallait transformer un verre à pied en bille d'agathe, ça la jeune fille l'avait compris. Après concernant la formule, la consigne était encore floue. La Serdaigle lança quelques regards autour d'elle cherchant à trouver des réponses à ses questions : Les élèves avaient commencé leurs travaux pratiques : La plupart commencent par manier leur baguette. Jessicayumi regarda son parchemin et son verre. Après hésitation, elle commença par prendre la feuille, nota son nom et prénom, sa classe et sa maison. Elle nota ensuite en un peu plus gros le titre et souligna. Elle commença à rédiger sur un brouillon, le corrigea, modifia certaines choses et commença à recopier sur sa feuille en faisant attention de bien écrire. Elle écrivit le premier paragraphe et s'arrêta. Elle regarda ensuite de nouveau autour d'elle : Les élèves étaient toujours en train d'essayer leur manoeuvres. Rare étaient ceux qui étaient vraiment arrivés, sauf aucune faute. La Serdaigle se mordit la lèvre : C'était bientôt son tour d'essayer.
Elle retourna la tête, inspira un bon coup, prit sa baguette et mit en face d'elle le verre à pied. Elle répéta sans agiter sa baguette la formule dans un murmure. Puis une fois rassuré, elle regarda le verre, pointa la baguette sur l'objet et prononça à voix basse, stressé :

« Demobiliartus... animi »

Elle ne s'attendait à un résultat, mais le fait d'être si stressé ne la rassurer pas. Elle jeta un regard vers le professeur, cherchant à voir si elle avait vu son échec. Mais rien ne prouva que l'adulte ait vu la scène. Elle n'arrêtait pas de regarder les élèves un par uns, toujours sans sourire. La Serdaigle replongea sur son exercice. Bon d'abord, il fallait trouver ce qui n'était pas bon... Après réflexion, la jeune fille trouva des motifs à son échec : Elle n'avait pas convenablement tenu sa baguette, elle n'avait pas fait attention à prononcer le ''Demobiliartus'' comme l'avait expliqué le professeur et de plus, la jeune Serdaigle avait marqués une légère pose entre les deux mots. Jessicayumi comprenait un peu plus son erreur et prit son parchemin et continua son ''récit'' en entamant le second paragraphe.
Un léger courant d'air passa dans la classe : Les fenêtres étaient ouvertes.
Une fois avoir écrit son deuxième paragraphe la Serdaigle posa sa plume et son parchemin. Elle prit sa baguette en la positionnant le plus correctement possible, puis elle récita la formule tout en faisant bien attention d'accentuer. Une fois sûr d'elle, elle prononça d'une voix pleine d'énergie et d'espoir :

« Demobilartus animi.... A... Achoum ! »

Elle aurait sûrement réussit si l'envie d'éternuer ne l'avait pas prise. Elle s'était temps appliqué à bien se tenir. Elle avait temps d'espoir, qu'elle avait cru un instant que cela suffirait à transformer l'objet. Mais à présent elle devait reprendre. Et pas une seconde à perdre, l'heure tourner et à tout moment la sonnerie pouvait retentir. Elle se redressa, jeta un coup d'oeil vers le professeur puis vers son verre à pied.

« Demobilartus animi »

Elle l'avait fait ! Elle avait prononcé comme il fallait. Elle devait réussir. Après avoir prononcé la formule Jessicayumi se pencha vers son verre, observant le moindre changement. Son verre avait pris un ton argent - gris. L'objet semblait rétrécir et s'arrondir. Mais en plein milieu de la métamorphose, plus rien ne se passa. L'objet n'était ni un verre à pied, ni une bille d'agathe : Il semblait être un mélange des deux. Le visage triomphant, apparu un peu plus tôt s'effaça aussitôt. Certes, c'était du mieux, mais elle n'arrivait toujours pas à faire correctement son sort. Elle ne s'avait comment s'y prendre à présent de peur d'à nouveau échoué. Il fallait réessayer. Jessicayumi pointa l'objet de sa baguette et sans espoir commença à dire la formule qu'elle connaissait à présent par coeur, quand à son plus grand étonnement la sonnerie se fit entendre. Non, pas maintenant ! Jessicayumi fixa l'objet du regard comme si cela terminerait la métamorphose, mais rien à faire. Elle n'avait plus le temps, le professeur commençait à ramassait les copies et les sois disant billes. Le coeur de la Serdaigle s'accéléra : Elle n'avait pas fini sa feuille non plus ! Par la barbe de Merlin, quel mal chance (ou incompétence) ! Elle essaya de trouver une idée pour terminer son texte, mais aucune ne lui venait, il aurait fallu plus de temps. Elle prit de même sa feuille, gribouilla un petit mot et regarda son travail. Elle avait honte d'elle ! Elle s'en voulait d'avoir éternuer : Elle se disait que si cet incident n'avait pas eu lieu, elle aurait eu plus de temps pour terminer son texte ! Non vraiment, la jeune fille avait la rage.



____________________________________________________________________________
Métamorphose - Démobilisation

---------------Le sort de la Démobilisation est un sort fort utile quand un voyageur a beaucoup de valises ou quand un déménagement est en cours. Ce sort admirablement magique reste un moyen fort utile pour aider les personnes manquant de force.
Le sort en lui-même permet de transformer un objet lourd et gros en objet petit et léger.

---------------Ce sort qui semble facile de première vue et au contraire compliqué et demande une forte concentration. Il faut faire attention à la prononciation si on ne veut pas se retrouver avec un objet qui ne ressemble à rien.

[Manque de temps pour la suite, mille excuses professeurs]
____________________________________________________________________________

Quand, le professeur prit son travail, elle ne souriait toujours pas. Une sorte de flash réussit à faire remonter le moral de la Serdaigle : Bien qu'elle ne souriait pas, il lui avait semblé avoir surpris le professeur affichait un léger sourire quand un ou une élève avait réussit son cours. Elle ne s'avait qui, mais rien qu'avoir cette pensée fit oublier à la Serdaigle que le cours s'était plutôt mal passée pour elle.

[Hors jeu : Je sais résultat nul, mais j'ai plutôt penché pour l'humour au lieu du travail du personnage... a mes risques et périls (Mais qui serait une classe sans ambiance, sans nul)]

Le premier mot, sentiment, embarra de Lucy lorsqu'elle se leva. Aujourd'hui, il y avait un cours, qu'elle détestait à cause de l'asperge qui l'enseignait ! La métamorphose. Ce cours pouvait être interréssant mais avec la directrice des Gryffondor, sa ne pourra jamais fonctionner pour Lucy, malgrès ses maigres efforts. En plus, elle avait mis les 5 années avec les nains de deuxièmes années ! * Elle va pas bien de toute façon ! * Lucy s'habilla de sa robe de sorcière puis se maquilla légèrement sur les yeux, d'un coup de crayon noir et de mascara. Enfin prête, la serpentard sortit du dortoir ou certaines de ses camarades venaient de se lever. La jeune fille sortit puis traversa la salle commune fit quelques caresses à son chat couchait sur un fauteuil, comme à son habitude. Lucy sortit de la grande pièce réservée au Serpentard, se dépêchant à moitié, sans raison, dans les cachots, puis traversa le hall pour sortir dans le Parc. Il ne fasait pas très beau aujourd’hui et le verte et argent regretta de n’avoir pas pris son écharpe verte et argent. Le ciel était couvert d’une épaisse couche de nuages gris souris, en ajoutant un vent fort désagréable fouettant le visage de Lucy. La jeune fille ne resta pas trois heures dehors, elle préféra rester qu’un petit quart d’heure… La température du château était dix fois plus agréable que le Parc. Dès qu’elle rentra dans le hall, elle suivit de nombreux élèves, pour aller dans la Grande Salle, prendre un bon petit déjeuner.

Après avoir bien manger, la jeune fille partit en cours de Botanique. Après avoir fait un TP, elle se dirigea à l’intérieur du château, monta quelque étage pour arriver devant la salle de Métamorphose. Les premières années sortaient, certains très fière d’avoir finit d’autres disant au revoir. Lucy, à elle sa ne lui effleurait pas l’esprit de dire au revoir ou bonjours au professeur de Métamorphose : Mc Gonagall. Lorsque les élèves soit tous partie, les suivants rentrèrent dont Lucy qui se dirigea vers la troisième rang. Elle dégagea un élève de Serdaigle qui c’était mis près de la fenêtre puis s’assise à la place du schtroumpf et posa assez brutalement son sac noir. La verte et argent observe la classe pendant un moment, tout en examinant les élèves qui rentraient dans la salle de cours. Le professeur commença à parler, ce qui voulait dire à Lucy, qu’elle pouvait commençer à s’endormir ! La jeune fille posa sa tête brune contre sa main, son coude s’appuyant sur la table en bois. Lucy ne fut pas éttonné que le loie discourt de Mc Gonagall fut ennuyeux et lassant, du premier mot jusqu’au dernier. Lucy éccouta en bref, elle avait vraiment écouté que lorsqu’elle avait entendut d’un TP. * Encore ?! * Elle venait d’en faire un en Botanique et maintenant en Métamorphose !? * Super. * Se dit-t-elle lorsque la directrice des Gryffondor en eut finit avec ces discours barbants. La jeune fille prit sa baguette la regardant d’un oeil interressait, ( même si sa fait 5 ans, qu’elle l’a ). Demobiliartus animi était la formule à dire pour ce sort et Lucy s’entraina pendant de bonnes minutes avant de pouvoir y arriver, c’est à dire à la cinquième fois. La verte et argent venait enfin d’arrivé à transformer son verre à pied en un collier en argent. Lucy sourit puis observa les autres pour voir leur résultat. Certains était entrain d’écrir sur un morceau de parchemin jaunit pas le temps, d’autre était toujours en train d’essayer de jeter normalement La verte et argent soupira décida de commencer son devoir sur feuille. Lucy sortit un parchemin beaucoup plus propre que certains, ( voisin de Poufsouffle ! ) et commença son devoir ainsi :



Maléfice Lucy
Serpentard - 5° année

Devoir de Métamorphose - 1
Les sortilèges de Démobilisation

Le sortillège de Démobilisation : Sortillège qui a pour tache de transporter des choses lourdes en choses légères.
Exemple -Expérience -> Verre à pied = collier.

Les qualités : Transporter facilement des objets grands lourds, en les transformant en objets léger et petit. Facilite les voyages et perd qu'une valise pour déménager sa maison.

Les défauts : Si l'objet que vous avez transformé ( armoire ) se transforme en un objet trop petit ( punaise ) la risque de perte est élevé.

L'oral : La formule est : " Demobiliartus animi " sachant qu'il accsentuer la fin du mot " Demobiliartus " . (Mouvement à la basse solide. )

En bref : Sortillège très pratique.

Lucy relut sa feuille une première fois puis se leva rangea son encre verte et noire, sa plume et sa baguette dans son sac (baguette dans la poche), le prit et le mit sur une des épaules avant de traverser la troisième rangées. Six à huit élèves étaient déjà partit et Lucy fut fière lorsqu'elle donna sa feuille au professeur et s'ennalla en vitesse de cette classe !

Seamus Finnigan
5e année- Gryffondor.




Définition du sort:

Aha ! En voilà au moins une qui partageait l’humeur de Ron !
Bon, d’accord, il était de notoriété publique que Ron était un râleur professionnel (diplômé avec mention). Il s’enfermait dans la bougonnerie si la sauce de sa viande était trop froide, si tel tableau mettait trop de temps pour céder le passage, si Peeves caquetait un peu trop fort… Ici, le simple fait d’avoir cours avait suffit à lui faire voir rouge. Et à conclure, le professeur McGonagall ne paraissait pas non plus animée des meilleures attitudes du monde.

Ron avait déjà dû se farcir les sortilèges de Disparition la semaine dernière, et il s’était révélé complètement nullissime en la matière. Même en s’entraînant dur chaque soir, il n’était parvenu qu’à rendre ses escargots un peu plus palots. Mais soit ! Cette fois-ci, il comptait bien se remettre en selle. D’autant plus qu’il allait se retrouver face à des élèves plus jeunes que lui ; alors autant montrer l’exemple et prouver que Ron Weasley était un sorcier très puissant et peu commode.

Il s’installa lourdement devant un verre effilé, gracieux, se demandant vaguement en quelle nouvelle horreur il devrait le changer. Puis, jetant un regard mauvais à un élève de deuxième année qui le dévisageait d’un petit air stupide, il sortit sa baguette et attendit. Le professeur McGonagall fronça les sourcils en balayant la classe de ses prunelles glaciales (Jusque là, tout va bien, pensa Ron). Discours habituel s’il en était. Bonjour à tous, décidé de faire un cours inter-niveaux, bonne volonté, gné gné gné, sortilèges de Démobilisation. Ron déglutit avec difficulté. Pour rien au monde il ne s’était attendu à pareille poisse. Ce foutu sortilège de Démobilisation… Merlin ! Le seul qu’il ne sache pas manier correctement et qui lui avait valu un 8/20 à la partie pratique de son examen final de troisième année. Vieille chouette décatie de McGonagall ! Elle avait pensé à lui en lançant ce sujet, il en était sûr. Et par-dessus le marché, il fallait en tirer une courte dissertation.
D’avance et par habitude, le Gryffondor adressa à Hermione une large sourire douloureux qui sous-entendait parfaitement : « Je t’aime beaucoup tu sais. Tu m’aideras pour la dissertation ? » Mais Hermione plissa les yeux en une attitude butée et se concentra sur son verre à pied. Espèce d’égoïste, va ! C’était beau l’amitié ! On la tirait des griffes d’un Troll, on l’extirpait de la paralysie d’un Basilic, on la laissait s’occuper de sa S.A.L.E., et voilà tout ce que l’on récoltait : mépris et froideur. Il réfléchirait à deux fois avant de la sauver de la gueule d’un Scroutt à Pétards, tiens.

Sortilège de Démobilisation. Ce n’était pas celui qui exigeait un mouvement horriblement compliqué du poignet ? Sa mère avait récolté une tendinite une fois, en tentant de transformer une vieux poêle au bois en une simple vis de métal.
Le « bonne chance à tous » du professeur McGonagall ramena Ron à la réalité, et des « Démobiliartus Animi » fusèrent un peu partout. Le Gryffondor remonta ses manches, bien décidé à montrer que l’on n’était pas le meilleur ami d’Harry Potter pour rien, pointa sa baguette et s’écria :

- Démobiliartus Animi !

Torsion du poignet, concentration… Aucun résultat si ce n’était une douleur dans les articulations. Mille gargouilles, il détestait ça ! A côté de lui, Hermione souriait en manipulant une bille d’Agathe parfaitement ronde.

« Attends un peu, attends un peu ! »

- Démobiliartus Animi !

Le verre frémit, ternit légèrement, et ce fut tout.

-Mais bon sang ! hurla Ron en donnant de grand coup de baguettes sur le calice, tu-vas-obéir-oui ! Démobiliartus Animi !

Son poignet se contorsionna tellement qu’il en eu les larmes aux yeux. Néanmoins, l’objet perdit sa consistance, coula en un liquide épais, se reforma en une bille d’Agathe pas vraiment ronde mais plutôt convaincante.

«Bah voilà, je savais bien que j’y arriverai ! »

Il redressa les épaules, s’autorisa un air de supériorité contagieuse et regarda - non sans une fierté déplacée - une élève de troisième année se débattre avec la formule. Pauvre gosse incompétente, on les faisait de plus en plus petits et de plus en plus empotés. Ron se sentait tellement victorieux qu’il se mit à siffloter en débouchant sa bouteille d’encre, se faisant presque immédiatement réduire au silence par le « chuuuut » combiné d’Hermione et McGonagall. Il n’y avait pas plus rabat-joie que les femmes. Trempant sa plume avec précaution, il réfléchit quelques secondes à ce qu’il allait mettre, puis se plongea dans la rédaction.

_____________________________________________________

Ronald Weasley
5ème année, Gryffondor

Devoir de métamorphose n°1
Le sortilège de Démobilisation

L’efficacité du sortilège de Démobilisation peut être variable : il permet tout d’abord de réduire la consistance d’un objet et d’en envoyer la masse et le volume dans le… (tache d’encre) le néant. En revanche, où se trouve la néant ? Personne ne saurait le dire. Mon père dit que c’est très subjectif et qu’il est plus proche que nous ne le pensons. Il affirme également que nous traversons ce même néant lorsque nous transplanons. Personnellement, je n’ai jamais transplané, je ne vois donc pas ce qu’il veut dire. Bref, masse et volumes disparaissent. A la place, il ne reste qu’un objet ridiculement petit, comme un anneau ou une épingle de sûreté. Ou alors la masse ne disparaît pas mais est compressée dans l’objet final ? Non, sans quoi l’épingle de sûreté pèserait une tonne. En fait, on croit transporter une épingle de sûreté mais c’est tout un piano, ou toute une armoire que l’on glisse dans sa poche. Dingue, non ? Le sortilège de Démobilisation est donc avant tout très pratique pour des déménagements. Cela permet aussi de cacher la vue de certains objets. Mes frère savaient une fois acheté un sac complet de Bombabouses, mais pour éviter que ma mère ne le trouve (elle serait devenue folle), ils l’ont changé en un œuf de crapaud. Le problème c’est que ma mère l’a utilisé pour faire sa soupe. Maintenant que j’y pense, je comprends pourquoi ils ont déclarés ne pas avoir faim.

Définition du sortilège de Démobilisation :

Le sortilège de Démobilisation consiste à ôter la signification première d’un objet pour la réduire ou la changer ou la faire disparaître et obtenir quelque chose de différent mais toujours le même dans le fond car ce n’est que la forme qui est différente et, après tout, c’est l’essence même des choses est importante, pas l’extérieur.
__________________________________________________

Ron n’eut même pas le temps de relire sa copie que la cloche sonna. Hermione rendit quarante centimètres de parchemin, lui se contenta de sa dissertation dans les normes imposées. Etrangement, il eut l’impression qu’une bonne relecture aurait été bénéfique : sa plume auto-correctrice semblait avoir eu quelques ratés.

Dans un élan d’indéfectible loyauté, Harry veillait à ne pas tenir compte des mouvements d’humeur de Ron. Là où Hermione prenait la mouche un peu trop vite, lui restait à l’écoute de son meilleur ami, soutenant les argument de ce dernier par des « oui, c’est vrai ça ! » ou des « ouais, parfaitement ! ». Ici, Ronald réfutait tout bonnement le simple fait d’aller en cours. Métamorphose plus particulièrement. Dans un sens, Harry comprenait parfaitement la situation : se retrouver mêlé à des jeunots de toutes les années n’était pas fait pour l’enchanter. Il savait ne posséder ni la patience, ni l’efficacité pour encadrer correctement des élèves qui passeraient l’essentiel de leur temps à s’émerveiller de sa cicatrice. Déjà traverser un couloir dans l’indifférence générale passait pour un exploit. Les remarques ne manquaient pas : « Hé Potter ! T’as encore vu beaucoup de revenants ces temps-ci ? ». Dans pareils cas, il s’appuyait sur Hermione qui – figure de noblesse et de supériorité – passait devant eux le nez en l’air et la mine réfrigérée.

Minerva McGonagall accueillit ses élèves avec un peu pus de sécheresse que d’habitude. Ses consignes n’en furent pourtant pas moins claires. Sortilèges de Démobilisation. Harry se permit de pouffer là où Ron laissa échapper un profond soupir. Et pour cause : son meilleur ami avait failli se faire recaler à cause desdits sortilèges au cours de leur troisième année. Harry, de son côté, estimait ne pas s’en être trop mal sorti. Il suffisait juste de bien assimiler le mouvement de baguette ; ce que son poignet rendu souple par les entraînements de Quidditch n’avait aucun mal à reproduire. Il lui semblait aussi vaguement que l’accent tonique y avait une certaine importance, mais sa mémoire n’alla pas plus loin.

Le professeur McGonagall se lança dans de longues explications qui eurent tôt fait d’arracher d’autres soupirs à Ron, laps de temps pendant lequel Hermione s’entraîna voix basse. Harry, de son côté, contempla bêtement son verre à pied sous l’œil amusé de Seamus. Lancer le sortilège puis se frotter les mains et sortir lui paraissait beaucoup trop simple, aussi l’annonce d’une rédaction à rendre pour la fin du cours lui mina le moral, le ramenant un peu trop au niveau d’allégresse de Ron. Le départ fut donné, la plupart des élèves de deuxième levèrent aussitôt la main pour demander de l’aide, et Harry retroussa ses manches.

Bon, concentration. Une bille d’Agathe.

- Demobiliartus Animi !

Il sentit le flux de magie parcourir sa baguette, mais rien de vraiment flagrant ne se produisit. Le verre vibra en une note aiguë, point. « Demobiliartus Animi ». Pourquoi ça ne marchait pas ? Question de concentration ? Allons donc ! S’il était capable de créer un Patronus corporel, se représenter une bille d’Agathe était un simple jeu d’enfant. « Demobiliartus Animi ». Le visage d’Hermione lors de leur première année lui revint en tête : « C’est LeviOsa ! Pas Leviosaaaaa. » L’accent tonique, mince ! Les deux dernières syllabes. Il pointa à nouveau sa baguette.

- Démobili-artus Animi.

Le verre se changea en un objet rond aux couleurs chatoyantes : le produit final demandé. Très content de lui, Harry observa le résultat avec une attention méticuleuse, souriant d’une oreille à l’autre au professeur lorsqu’elle passe entre les bancs. Une fois satisfait de sa contemplation, il s’attaqua à sa dissertation – soit la partie la plus pénible à ses yeux.

_____________________________________________________

Harry Potter
5ème année, Gryffondor



La technique de Démobilisation, apprentissage plutôt basique dans l’enseignement sorcier, n’est pas pour autant d’importance moindre. En effet, il son utilité se retrouve bien vite hélée lors d’un besoin pressant de dissimuler quelque chose.
Par exemple, vous vous trouvez dans l’urgence de cacher votre dernier achat : soit une imposante bibliothèque de plus de mille cinq cents ouvrages. Il suffit d’incanter correctement pour transformer cette masse dénonciatrice en un innocent bibelot tout ce qu’il y a de plus banal.
Le sortilège de Démobilisation prend aussi tout son sens pratique lors d’éventuels déménagements. Si vous vous refusez à voir votre garde-robe préférée embarquée brutalement dans des Transplanages mobiliers, une simple métamorphose vous permettra de transporter votre trésor dans le plus doux des écrins.
Autant dire que ce sortilège est devenu l’un des plus populaire et des plus nécessaire de tout ménage sorcier.

Définition : Le sortilège de Démobilisation consiste à diminuer la masse et la volume d’un objet pour les compresser en un second item d’importance moindre, permettant un déplacement ou une dissimulation des plus efficace.

_____________________________________________________

Harry reposa sa plume d’un air inquiet. Sa copie contenait beaucoup de termes purement théoriques extraits du manuel, et inspiré de loin (ce n’était pas plutôt de près ?) des écrits d’Hermione. Néanmoins, il espérait que le professeur McGonagall négligerait d’être vigilante pour une fois, et ferait preuve d’un peu de clémence et de compréhension. Il rendit sa feuille sans rien laisser paraître, soucieux d’avoir réalisé correctement chaque étape. Après tout, il était en année de BUSE, et l’erreur était à bannir.

Voici les résultats (peu brillants pour certains) de vos rédactions en métamorphose. Je tiens à vous rappeler que les cinquième année étaient censés connaître et maîtriser ce sort, non pas le déformer jusqu'à en faire un poème abstrait.

Ainsi donc, ont obtenus :

Ann Snow : Piètre et vingts points pour Serdaigle.
Veillez nénamoins à être cohérent dans vos propos. On n'écrit pas comme on parle et, si possible, on emploie la ponctuation. Si vous n'aérez pas un peu vos phrases, je serai au regret d'annoncer au professeur Flitwick votre décès par étouffement.

Lily Northfell : 15/20 et trente-sept points pour Gryffondor. Transformation presque parfaite, mais production écrite assez faible : la théorie se "noie" dans la soupe.

Alenn Sulivan : 13/20 et trente-deux points pour Gryffondor.
Vos technique de métamorphose sont à affiner quelque peu. Et faites-moi penser de vous changer en cochon pour le prochain cours ; vous aurez au moins une bonne raison d'encrasser vos copies.

Jessicayumi Belmontet : 12/20 et trente points pour Serdaigle.
Merci beaucoup pour ce travail peu achevé de transfiguration. Le verre à pied n'a plus aucune utilité ; et encore moins de dignité.

Lucy Maléfice : Acceptable et trente points pour Serpentard.
Bonne métamorphose, mais rédaction très incomplète. Veillez à relire vos consignes et à produire des textes soutenus, sans quoi j'omettrais de vous fournir une note stable et continue.

Seamus Finnigan : Effort Exceptionnel et quarante points pour Gryffondor.
Je dois dire que j'ai été très impresionnée, Finnigan, très impresionnée. Jusqu'ici, je ne vous croyais capable que d'afficher votre palette de déformations faciales. Fort heureusement, j'ai changé d'avis.

Ronald Weasley : Piètre et vingt points pour Gryffondor.
Honnêtement Weasley ! Vous connaissiez ce sort ! Il serait temps d'accorder à vos études autant d'attention qu'à votre estomac.

Harry Potter : Effort Exceptionnel et quarante points pour Gryffondor.
J'ai longtemps hésité entre "A" et "E", Potter. Soit vos yeux se sont un peu trop attardés sur la copie de Miss Granger, soit votre niveau langagier à augmenter d'un cran. Je préfère me dire que vous n'employez plus le terme "bouse de dragon" et vous accorde le bénéfice du doute.

Irina Collins : Optimal et cinquante points pour Serpentard.
Excellent travail, Collins. Votre rédaction n'avait pas encore le niveau de celle rendue par Granger, mais était néanmoins digne d'un "O". Pour la douane, je vous conseille le sortilège de Confusion ; il est bien moins ardu, et bien plus rapide.

Ophélia Tyler : Acceptable et trente points pour Serdaigle.
Un peu court, non ? Aussi bénin que votre attention en cours. Et il serait plus préférable de vous voir dormir dans un vrai lit que sur votre banc : la bave tache les bancs.

HJ : Beau travail pour tous ! Je suis très contente de vos posts, ils m'ont fait passer un agréable moment.