[Sept.] All for me and one for you.

Invité

[Viens me rejondre si tu l'ose, le serpent :D]

Vers les cinq heure du matin, une nuit pas vraiment différente des nuits de poudlard précédente. Une ombre se faufile parmis le marbre et parmis les préfets. Elle se cache derrière un rideau en voyant arriver l'ombre boitillante de Russard et arrête même de respirer lorsque Miss Teigne passe derrière lui. Heureusement la sale bête continu son chemin , il continu à pas de loup et arrive enfin à la cuisine où il rentre sans bruit.

Cet ombre, c'était Alenn vous vous en doutez ! Revenons quelques dizaines de minutes en avant pour comprendre.
Dans son lit, Alenn se tourne et se retourne ! Il a faimmmmm. Il avait pourtant bien mangé au repas mais là c'était horrible ! Pire que le supplice de Tantale, pire que le gouffre de bergerac plus profond que les fosse sous marin de l'océan pacifique, il avait faim ! Et rien de mngeable dans les environs, il avait fini ses provisions hier et savait pertinement que ses collège de chambres n'avaient rien. Argh Mondecruel. Il enfila sa robe, sachant très bien qu'il n'avait pas le droit de sortir, il s'y risqua tout de même.

Et le voila dans la situation que vous voyez à présent. Ouvrant la cuisine et y pénétrant tel un voleur.

"Lumos !"

Tiens, il y a déja quelqu'un.

Invité

Andréi avait décidé de se balader en solitaire cette nuit là. Il avait à l'origine voulu aller dans le parc, mais il avait eu une idée en passant devant le tableau qui cachait l'entrée de la cuisine. Tiens, il allait enquiquiner un peu les elfes de maison, ces créatures stupides et abrutissantes allaient voir ce qu'était faire du bon boulot...ils allaient se plier sous les exigences du jeune homme. Car ce n'était pas tout, mais le jeune homme s'était réveillé avec une petite fringale, mais il n'avait plus rien à se mettre sous la dent...certainement que c'étaient ces petites fouines de premières années qui lui avaient piqué tous ses bonbons. Bref. Passons. Andréi n'allait pas se formaliser pour un tel motif.

A pas de loup, il était donc sorti du dortoir, pieds nus, et il déambulait en baillant outrageusement. Il avait failli croiser Rusard et son saleté de chat, mais Andréi avait eu la vague idée de mettre un pétard dans sa nourriture, ou lui en faire gober un...ça serait drôle, et puis il ne pensait pas que l'odieuse Miss Teigne manquerait à quiconque. En fait, certains seraient même ravis de ne plus avoir ce suppot de Satan incessamment en train de les poursuivre.

Sur Ce, Andréi avait chatouillé la poire du tableau -quelle idée idiote, franchement- et il s'était faufilé dans la cuisine sans bruit. Mais où étaient ces fichus elfes? Granger le faisait bien rire avec sa stupide association. Ces cervelles gélatineuses n'avaient pas besoin d'être libérés, c'était dans sa nature même. Elle avait beau tout comprendre en cours, il n'en était pas moins qu'elle n'avait pas compris cette notion de base. N'est pas perspicace qui veut, quoiqu'on en dise, Andréi était beaucoup plus malin que Potter, Granger et Weasmoche réunis. Autant qu'ils se partageaient un neurone tous les trois, Andréi en avait un entier.

Tout en se laissant aller à ses sarcasmes et à son caractère de triste sir, il n'avait pas entendu quelqu'un entrer et murmurer le sortilège bateau que tous connaissaient: Lumos. Merde! Si quelqu'un le surprenait ici, il était mort. Mais la voix n'était pas du tout adulte, ni de quelqu'un qui avait pris en flag' un élève en train de fureter dans les réserves de l'école. C'était pire...Un gamin.

Andréi se retourna lentement, puis il distingua une petite silhouette toute frêle. Un gosse. Première ou deuxième année. Pas plus. Chouette. Il allait pouvoir l'enquiquiner. Il afficha un rictus méprisant, puis il lança de sa voix froide et rocailleuse.

Qu'est ce que tu fais là, à traînasser dans les couloirs, minus?

Invité

"Qu'est ce que tu fais là, à traînasser dans les couloirs, minus?"

Il était face à des pieds, des grands panards de grand dadais. Un dadais vert, de plus. Un des plus dangeureux et stupide. Il eu la merveilleuse idée de lever les yeux pour admirer autre chose que la fin de la robe et les pieds d'Andreï. Il n'y avait pas grand chose à admirer, et en tout état de cause, Alenn se demanda si le visage qu'il avait devant lui pouvait être agréable, s'il n'était pas tordu d'un rictus dédaigneux. Il avait essayer de faire peur à Alenn avec sa phrase et sa voix. Mais beaucoup de gens le saurons. Pour faire peur à Alenn...

On ne peux pas faire peur à Alenn. Ou alors seulement sans le vouloir. Oui le gamin pourrait être pris de tremblement mais pas devant des truc dont on a peur d'habitude. Par exemple, il a une sainte horreur des canards. Les truc qui font coin coin. Vous voulez vraiment savoir pourquoi ?

C'était par une sombre nuit d'octobre, alors qu'Alenn prenait son bain acompagné d'un innoffensif canard en plastique, il...Quoi ? C'est pas le sujet ?

Enfin bref, Alenn était tout sauf terrorisé devant l'adolescent. Il haussait vaguement un sourcil avec la question.

"Nous sommes dans une cuisine. Je viens donc manger."

Une camera aurais pu filmer ce rare moment de lucidité dans l'esprit de l'enfant. Lucidité, à moitié. Il y avais aussi de l'inconscience. Les grands appréciait peu de se faire prendre au dépourvu.

Invité

Andréi le dominait de sa taille. Le jeune homme était trés grand, mais il avait également une carrure assez imposante. Ca lui valait surtout des quolibets du genre "grand dadais" mais Andréi s'en fichait, il faisait vite passer l'envie de l'insulter au petits chenapans qui osaient le braver. Et là, Andréi était venu aux cuisines, Dieu seul sait pourquoi. Parce qu'il avait eu une intuition. Et ses intuitions ne le trompaient jamais. l'oeil aussi affûté qu'un lynx, l'allure aussi fière qu'un lion, le regard aussi mordant que les crochets d'un serpent, la parole aussi venimeuse que le venin des serpents les plus venimeux, Andréi Jovovitch se tenait là, droit et fier, charismatique, avec un regard à décourager le plus hardi des trois Mousquetaires.

Bien sûr, ses airs bravaches et dédaigneux en horripillaient plus d'un, mais le jeune Serpentard faisait tourner de nombreuses têtes, et Andréi savait qu'il était beau, il n'avait pas besoin que quelqu'un lui dise pour en être certain. Mais il n'attirait pas la sympathie, sans doute à cause de la réputation sulfureuse qu'il traînait, mais qu'importe. Il s'en foutait de l'opinion des autres. Il se plaisait à lui même, il était même démesurément narcissique, mais ça lui allait parfaitement.

Le mioche qu'il avait en face de lui ne pouvait pas en dire autant. Il avait entendu parler de Sullivan, en même temps que Northfell, une véritable tornade blanche, qui avait à son actif un nombre impressionnant de bêtises en tous genre, était connu pour son côté encore plus "chiant" que Peeves lui même. Andréi n'en doutait pas. Il avait en face de lui l'un des fleurons de la bêtise Poudlardienne, un sérieux rival à l'esprit frappeur. Mais, dans l'obscurité de la cuisine, en train de manger, il avait vraiment l'air innofensif.Il vient donc manger? Dans une cuisine?

Avec toi, gamin, non seulement Peeves a du souci à se faire, mais en plus tu es un sérieux rival à La Palisse.

qui ne connaissait pas La Palisse? Ce personnage était connu pour avoir proféré des propos d'une évidence...du genre "cinq minutes avant sa mort il était encore en vie. Et; à ce qu'il paraissait, Alenn Sullivan pouvait en sortir de belles aussi. Il afficha un sourire moqueur, puis il murmura d'une voix laconique

En parlant de lapalissades, tu n'aurais pas le cran de me faire profiter du florilège de ta poésie?

Invité

Contrairement à ce qu'Andréï savait d'Alenn, Alenn ne savait rien d'Andréï.
Le jeune gryffondor ne connaissait pas grand monde en véritée, juste les gens qu'il mettait dans une petite minorité appellée "interessant.". Il connaissait de vue tout les gryffondor et avait entendu ici ou à quelques rumeurs sur des perssonne qu'il ne connaissait pas mais à par cela. Rien. Il était conscient que pas mal de rumeur sur lui devait circuler, et il en était moitié fier, moitié soucieux. Il savait pertinnement qu'à cause de ça, il serait le premier convoqué dès une bétise commise.

Il tenais toujours ça baguette, fine et légère, entre ses doigts. Il l'aimait beaucoup cette baguette. Lapalisse ?Il ne savais pas vraiment qui était Lapalisse mais il le pris comme un compliment.

"Je ne fais que répondre à tes questions."

Peut-être aurait-il dû dire quelque chose de plus original ? Tel que : "Je me tricote des bas dans cette cuisine. Oui oui. Interessant, n'est-il pas ?" Ou encore : "J'aime chatouiller les poires. D'ailleurs je vais resortir pour pouvoir le refaire. Tu m'excuse."
Mais sans doute le Serpentard n'aurais pas compris que l'enfant se serait moqué de lui.

"Florilège de poésie ?J'avais prévu tout autre chose moi."

Il passa à coté du Serpentard, et farfouilla jusqu'à trouver un gateau à la crème. Il le pris et le déposa sur la table. Et pris un peu de crème avec le doigt pour la déguster.

"A ventre repu, esprit détendu. Toi aussi, tu devrais manger un brin. Tu m'a l'air stressé."

Et avant même qu'Andréï n'est eu le temps d'esquisser un rictus (Oui, et non un sourire), Alenn avait attraper la tarte à la crème sur le bord et l'avais levé de toute ses forces. La tarte était atterie pile sur la face du Serpentard.

"C'est bon ?"

Maintenant, il joua très vite, avant que le Serpentard ne se débarasse de la crème il s'était enfuis dasl'énorme cuisine et s'était caché.

Invité

Il regarda le gryffondor, toujours avec la même expression de mépris, de supériorité. Andréi n'arborait pas le blason de Salazard Serpentard pour rien. Et là, il honorait sa maison. Narcisisque et fier, imbu de lui même, avec ce qu'il fallait d'ambition et de venin pour couronner le tout. On prêtait la perfidie aux jeunes filles, mais la perfidie d'Andréi dépassait de loin tout. Il se savait apprécié, il se savait détesté. Et on ne pouvait pas grand chose à cela. sinon subir une réputation qu'il n'aurait pas voulu. Le jeune Jovovitch écoutait sans rien dire, indifférent aux propos du gamin. Ce qu'il voulait, c'était bouffer, quitte à bouffer le petit gryffon avec. Et là, il n'aurait pas le choix. Andréi sourit. Un sourire pas bêta et niais, mais un sourire sarcastique.

Je ne fais que répondre à tes questions.

Vraiment? Alors pourquoi en posait t'il, alors? Andréi répondit d'un air moqueur:

Je sais pas, moi, connaissant ton excentricité j'aurais plutôt donné une réponse du genre "je suis en train de danser la polka" ou "je suis en train de parler au mur"... Quoique, ça n'aurait rien en soi d'original, parce que dans cinq minutes, tu vas réellement danser la polka, et tu es actuellement en train de parler au mur.

Avait t'il capté son intention de lui jeter un sort? Mais Andréi bluffait, il n'avait pas l'intention de gaspiller sa magie contre un minus. il préférait la joute verbale, genre dans lequel il excellait.

Florilège de poésie ?J'avais prévu tout autre chose moi

La fausse modestie. Tout un programme . Andréi le vit prendre une tarte, sans se méfier. Il parut vouloir la manger. Le jeune homme haussa les épaules, puis il murmura d'une voix tranchante.

T'sais petit, on ne fait jamais ce qu'on veut, dans la vie. La preuve, tu viens pour manger, tu ne t'attendais sûrement pas en venant ici, de me croiser.

On ne fait jamais ce qu'on voulait.Soit. Mais Andréi faisait toujours ce qu'il voulait. Parce qu'il s'arrangeait pour que ça se déroule selon ses plans. Des fois, il improvisait totalement, mais en fait, ses plans ne tombaient jamais à l'eau. Andréi croisa les bras. Il toisa le petit Gryffondor.

A ventre repu, esprit détendu. Toi aussi, tu devrais manger un brin. Tu m'a l'air stressé

Stressé, lui? Tsss il était parfaitement détendu. Tout allait bien, pour lui. tout.

Je t'aurais bien mangé, p'tit bouffondor, mais quelque chose me dit que tu ne serais sûrement pas...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Quelque chose de poisseux venait de lui atterrir dans la figure. Andréi réalisa qu'il venait de recevoir la tarte à la crème que l'horrible garnement venait de lancer. Ce chenapan avait profité du moment d'aveuglement du garçon pour filer. Espèce de lâche! Andréi avait pris une tomate, puis il s'était rué à la suite du gamin. Le voilà! planqué derrière une colonne. il visa (il était même trés bon viseur) verrouilla sa cible, et il lança la tomate qui atterrit sur l'épaule du gamin. Touché! Mais sûrement pas coulé.

Invité

[HRPG :Merci bien de votre invitation. Je sens que tout cela va me plaire.]

Peeves avait badigonné quelques poignée de portes de colle. Ce qui fut une trèèès mauvaise surprise pour quelques préfets décidé à regarder ce qui faisait tant de bruit dans la salle de métamorphose. Il s'était enfuis et avait croiser dans sa fuite, Rusard, sans doute au courant des quelques malheureux. Il lança un coup d'oeil au phénomène de foire qu'était Peeves et passa en marmonnant une histoire intégrant Ombrage, le renvois et bien d'autre mots qui séparement voulait dire quelque chose.
Là, il n'avait compris qu'une haine profonde envers lui de la part du gardien. Et cela lui fit très plaisir.

Il croisa sur sa route, un petit Rouge et Or. Pourquoi ne cria-t-il pas ? Car il l'avais reconnu, c'était Alenn. Haleine. Une Haleine sucré et joueuse. D'après certains.
S'il était là en pleine nuit, c'était surement pour préparer un forfait, et Peeves ne saurait empêcher un élève d'une tel chose.
C'était contraire à tous ses principes.

Il le suivit donc jusqu'à la cuisine où il entra avec lui. Peeves s'était mis en mode transparent, bien entendu. Il observa les échanges entre les deux garçons. C'était assez étrange. D'un coté, il y avait la grandeur et la prestance même, la personne sûr de lui. Complètement sûr de lui. Et de l'autre un "nabot", un gamin. Si jamais on ne lui avait pas dit, jamais il n'aurait imaginé le gosse comme une peste.

Il commençais à s'ennuyer, déja. Il se pencha sur la tarte d'Alenn comptant y placer un pétard, lorsqu'elle fut brusquement projetée contre le serpentard.

*Bien joué.*

Il se rendis matériel tandis qu'Andréï essayais de riposter contre Alenn avec une tomate. Son rire traversa la cuisine.

"Je peux jouer moi aussi ?"

Et sans attendre de réponse, il renversa toutes les bouteilles d'huiles par terre.

Invité

Bizzarement, le vert et argent n'avait pas du tout apprécié la tarte à la crème, pourtant délicieuse, foi de gourmand. Il se reçu une tomate dans l'épaule. Elle éclata sous le choc et tacha touuute sa robe de rouge. Il était plein de sang de tomate.

"Arghhh, je suis touché."

Pour quelqu'un de mortellement blessé, Alenn se débrouilla très pour envoyer les différent truc qui lui tombait sous la main. Andréï vit arriver deux soufflés au fromage , trois oranges et trente centilitre de sauche béchamel accompagné de la saucière en porcelaine. Il essaya de se cacher derrière un meuble mais n'avais malheuresement pas remarqué la magnifique picine d'huile qui composait maintenant cette cuisine. Il tomba en arrière mais arriva a poser la paume de ses mains derrière. Mais il patinait.

"Oups ?Oops Oops Oops Oops !"

Et BOUM !Raté mon cher Alenn. La tomate se mélangea à l'huile dans une ffusion de rouge. Lui était tout déguoulinant. Il attrapa vite fait un pied de meuble avat de faire une glissade non controlé dans les bras du Serpentard. et essaya de se relever en s'appuyant sur le meuble. Dans son coin, Peeves riais comme un fou. Puis finalement Alenn se mit à rire aussi. Il était dans une drôle de situation. Normal que cela fasse rire.

"Le Serpy ?Il me manque des piments pour faire une sauce épicé ! Tu m'en envois ? Oh ! Et Peeves, du paprika, Steuplait !"

Son sourire ne décrochait pas de ses lèvres.

Invité

Andréï continuait à regardait la scène, à priori invulnérable, inébranlable. Le jeune Serpentard afficha un sourire satisfait en voyant Peeves. Au moins, ils ne se feraient pas punir, l'esprit frappeur porterait le chapeau. Andréï resta bouche bée en voyant l'esprit frappeur mettre toutes les bouteilles d'huile par terre, qui s'écrasèrent au sol dans un fracas épouvantable. Les deux garçons allaient se faire punir à cause de cet imbécile ectoplasmique. Andréï ragea. Le boucan allait attirer Rusard, et puis si Rogue ou Mc Go entraient dans la pièce et voyaient le fourbi...ça serait la catastrophe!

Oh et puis zut! Andréï n'était pas le fautif dans l'histoire. C'était pas lui qui avait jeté la tarte à la crème en premier. Voilà, c'était pas sa faute. Il avait pas lancé les hostilités, il avait juste riposté, et Peeves s'en était mêlé. Le minus s'en sortirait avec une punition, et Andréï n'aurait rien, car il se serait bien expliqué. Aïe aïe aïe. Andréï esquiva les deux soufflés au fromage, qui allèrent s'écraser sur le mur dans un "plotch" sonore, et dans un autre fracas de verre. Andréï, malheureusement, était trop prés du mur, et quand les plats contenant les malheureux soufflets explosèrent, un morceau de porcelaine alla se ficher dans son bras gauche. Flûte de flûte. Les oranges subirent le même sort que les soufflés au fromage. Sauf que le jus acide des oranges rebondit sur le bras déja blessé du jeune homme. Ca pique! Le jeune homme eut le réflexe de faire un pas de côté pour éviter la saucière. Cette fois ci, il ne se prit pas d'éclat de porcelaine dans le bras, et il s'isola derrière l'armoire pour défaire le morceau qui dépassait de son bras. Flûte. Il vit le gamin se vautrer par terre, lamentablement. Bien fait.

Le Serpy ?Il me manque des piments pour faire une sauce épicé ! Tu m'en envois ? Oh ! Et Peeves, du paprika, Steuplait !

Il voulait des épices? Il allait être servi! Andréï afficha un air diabolique, puis il prit un sac de poivre sur l'étagère. Puis, allègrement, il en saupoudra le gamin, vidant tout le sac sur lui.

Bons éternuements, gamin

Puis, ni une ni deux, Andréï s'élança, voulut faire le mariole, traversa en glissant -et sans tomber- la mare d'huile et éclata d'un grand rire.

Contenu sponsorisé