Je ne perds jamais. Je ne perds jamais. Trois fois, quatre, cinq, six. Je ne perdrais pas. Ma volontée est le bout d'une aiguille, je percerais tout les mystères avec. Je veux étudier la chance. Je ne crois plus aux hasards. Et si tout était décidé ? Et si j'étais un pion d'échequier ? Je serais une tour noire ou blanche ?
Je ne veux pas être le roi du jeu, je veux être la dame. Celle qui peux jouer tout les coups sans vraiment craindre les autres. je serais la clé du Jeu.

Et lorsque je tomberais...Ce sera long. Car je serait tellement haut. Je me rattraperait à une planète et je m'y installerais.
Là haut.
Comme le bonhomme de Lune que je suis.



Nous somme en Septembre depuis déja un mois. Tout s'organise correctement ! J'ai la main qui tremble un peu en écrivant ses lignes. es sales Gosses, qui n'était qu'une utopie à vraiment vu le jour. Lily à accepter sanstrop de problème l'invitation au bal.
Je suis fier de moi. Un peu. Non. Je suis un être génial. Mais ça je l'ai toujours su.
Lorsque je relis la dernière phrase, je rigole un peu. J'ai l'impression que je me ment à moi même. Je triche avec moi même. C'est pour ça que je vois tout bien. C'est plus facile. Tout le monde devrait tricher avec soi même et être franche avec les autres.
Et alors. Moi. Muni de mes grands ciseaux à bavasse, je couperais toute les fausses langues. je me taillerais un costume d'Or et d'argent pour cacher mon âme. La renfermer dans un écrin de métal. Avant je me draperais de soie. Je me sais fragile, puis rien ne vaut un peu de douceur.
Je baille un peu. Il est temps de rejoindre la Lune mon amie lumineuse.




Octobre ! Les feuilles deviennent rouges, oranges, brunes puis tombe au sol...Le saule cogneur les as toutes perdu d'un coup comme à son habitude, Cet arbre m'étonne, c'est vraiment un être pensant ou vraiment une masse de bois enchanté ? Où un être enchanté pensant. Il faudrait que je demande à professeur Gobe Planche, je suis sûre qu'elle doit être au courant.



On dit que je suis né le jour le plus froid du monde
On dit que je suis né avec le coeur gelé
On dirait même qu'on m'a porté à bout de ventre
En haut de la colline qui surplombe la ville et ses clochers
Là-haut vivait dans une drôle de maison
une sage femme dite folle par tous les habitants
Elle a glissé une horloge dans mes débris glacés en lieu et place de mon petit coeur gelé

Oh Madeleine qui aimait tant
Oh Madeleine qui adorait
Oh Madeleine qui aimait tant
Réparer les gens

Elle m'a dit mon petit, il y a 3 choses que jamais, Ô grand jamais tu ne devras oublier
"Premièrement ne touche pas à tes aiguilles
Deuxièmement ta colère tu devras maîtriser
Et surtout ne jamais oublier quoi qu'il arrive, ne jamais te laisser tomber amoureux
Car alors pour toujours à l'horloge de ton coeur
La grande aiguille des heures transpercera ta peau
Explosera l'horloge, imploseront tes os, la mécanique du coeur sera brisée de nouveau."




J'ai fait le rêve d'être un enfant qui joue sa vie de son plein gré
Et tout est guerre et tout est trêve et on lui dit que c'est ça la vie
Le sac au dos tout plein de bouquins voilà revenir le moins que rien
Il se demande qui sont ces hommes, quelles sont leur place dans son destin
Il étudie à contre-coeur mais c'est une flamme qu'il a dans l'âme
Les années passent l'enfance s'écarte à la recherche d'une vie parfaite
Les années passent l'enfance s'éloigne et pour tout le monde il devient fou

Le petit bonhomme reprend sa route, de l'inconscience comme disent les autres
Il mène sa barque à sa mesure, à quoi ça sert une vie sans rêve ?
A quoi ça sert une vie sans risque, il troque sa vie contre un stylo
L'amour d'écrire a fait de lui un incompris de ses amis
Il reste ferme et convaincu, pour la plupart il est perdu
Il reste ferme et convaincu, pour la plupart il est vaincu

Il vit le rêve qu'il a choisi, de plus la chance lui donne raison
Il a trimé à chaque saison pour pouvoir faire sa petite maison
Si j'étais fou j'aurais pu dire que la vie c'est le rêve que l'on affronte
Si j'étais fou je te dirais même qu'il n'y a pas de montagne que l'on ne surmonte
Si j'étais fou tu penses franchement que je pourrais croire tout ce qu'on me raconte
Si j'étais fou je serais qu'une horloge que l'on décompte au fil des soirs

J'ai fait le rêve de tous ces gosses où tout serait beau comme une colo
J'ai fait le rêve de tous ces gosses où je m'envolerais au bout du monde
J'ai fait le rêve, je ferai mon rêve, je vis le rêve
J'ai fait le rêve, je ferai mon rêve au bout du monde
je fais le rêve, je vis le rêve, je ferai mon rêve au bout du monde


J'me sens Rimbaud, Je est un autre. Moi je suis moi. Et pourtant, ce corps est-il le mien ? Pourquoi. Toujours pourquoi.



La Folie. Mon Enfant, la Folie, c'est la réponse à tout les maux du monde. La folie, c'est vouloir s'échapper et voler avec des ailes de carton. C'est répondre Merde à celui qui t'opprime. C'est connaitre sa véritée. C'est confondre neige et rêve durant toute sa vie. C'est appeller une personne géniale : Etoile.
Je suis Fou. Je crois que tout peu se régler par un coup de baguette magique.
L'arme à la main et la larme à l'oeil. Répandue le deuil. Et je vais pleurer ta vie qui nous quitte.
Aujourd'hui, j'ai fait une étoile à l'encre autour de mon oeil. Elle s'est effacée dans la nuit emportée par mes rêves. Montée loin dans le ciel.



Et je cultiverais à jamais ma bêtise pour qu'elle fructifie jusqu'à faire éclater les tympans de tout le monde. Que plus personne ne puisse ignorer, cette folie et cette joie. Tremblez ou souriez, marchand de rêves, épaves d'étoiles !
Epaves d'etoiles qui ne savent plus sourire, que je n'aime pas et qui ne m'aime pas. Les detesterais-je vraiment ? Non, pas vraiment. Mais je sais que je ne pourrait jamais les aimer. Car s'il ne font pas d'effort je n'en ferait pas non plus.
Alenn Sullivan, tu es trop têtu.
Marchand d'étoile même pas foutu de faire osciller les prix.
Faut marchander dans la vie.
Alors, les étoiles cassées, tu triche un peu pour les aimer. Et tu les recollent.




See you Later Alligator.
Chacun à une couleur, moi rouge, eux vert, eux jaune et eux bleu. Bleu, rouge, vert, jaune...
Un deux trois quatre.
Quatre fondateurs. Il y eu cette bagarre.
Pourquoi sommes-nous obligé de répété les erreurs des anciens ? Ce sont de vieux crouton à présent ! La sagesse n'est pas fait pour nous, la guerre non plus.
Qui connais vraiment la mort ?Pas moi, ni même l'assassin. Il ne faut que pas fricoter avec, il faut voir sa grande faux argentée qui fend l'air devant vous, si vous avez le courage de le voir.
En ce dernier moment je sourirai.
En attendant, je tourne, tourne tourne.
Que la faux brise les anciens et leurs préjugés ! Brise chacun qui ne veux pas accepter l'autre.
Non. Pas eux.
Brise leurs préjugés. Moi je distribuerait mes étoiles dans les ruines. Et tout ira mieux.




Incendio...MAXIMA !