Le professeur Binns qui dormait quasiment la plupart du temps venait encore de passer une nuit dans la salle des professeurs. La pièce n'avait rien d'attirant en effet ; c'était une vaste pièce lambrissée, remplie de chaises en bois sombre. Il s'y trouvait une grande penderie où logeait parfois un Epouvantard. Deux gargouilles en pierre encadraient la porte et défiaient tous les étudiants qui voulaient frapper à la porte. Le professeur Binns était tout simplement attaché à cette pièce car c'était dans celle-ci qu'il était mort il y avait maintenant bien longtemps. Un matin il s'était levé et avait laissé son corps derrière lui en allant faire son cours.

Le matin venait donc de se lever et le professeur Binns se rappela qu'il devait dispenser un cours à des premières années de la maison de Serdaigle. Avec un bâillement il se leva et se mit à flotter dans les airs. Il passa à travers la porte au moment même où le professeur Flitwick passait par là. Cuthbert le traversa et ne sembla même pas s'en rendre compte tandis que le minuscule professeur faisait une grimace. Le corps fantomatique du professeur d'Histoire de la Magie se promenait dans les couloirs, croisant au passage des élèves qui se rendaient à leurs cours. Le professeur ne fit pas attention à eux et arriva au premier étage où se trouvait sa salle de classe. Il n'y avait personne et le professeur entra en n'oubliant pas d'ouvrir la porte pour que les élèves, qui ne pouvaient pas passer à travers les portes, puissent entrer. Il s'installa près de son bureau et remarqua que sans s'en rendre compte, il avait pris un autre chemin que d'habitude et n'était pas passé derrière son tableau noir. Cela inquiéta Cuthbert qui d'habitude détestait les choses nouvelles...

Soudain la cloche sonna. Le professeur fantôme ne bougea même pas un sourcil. Les élèves entrèrent alors et prirent place, la majorité préférant les places de derrière pour pouvoir dormir à leur aise sans faire perdre des points à leurs maisons.

Le professeur Binns commença le cours, avec une voix nasillarde.

Bienvenue à tous... Je suis le professeur Binns et je vous enseignerais l'histoire de la magie cette année...


On aurait dit que sa voix ressemblait à un vieil aspirateur usé. Certains élèves se regardèrent en haussant les sourcils. Le professeur ne devait pas leur faire bonne impression comparé à des professeurs aussi compétents que Filius Flitwick ou Minerva McGonagall.

Il observa les élèves et repris alors :

Très bien, tout le monde est là. Nous pouvons commencer le cours. Aujourd'hui, comme dans le reste de ce trimestre, nous allons étudier l'histoire de Poudlard. Prenez des notes.

Les élèves ouvrirent bruyamment leurs cahiers, sortirent leurs plumes et écoutèrent le professeur.

Il y a plus de 1000 ans, les quatre plus grands sorciers et sorcières de l'époque partageaient un rêve, celui de créer une école où les jeunes gens du Monde Magique pourraient étudier et être entraînés aux sciences magiques nécessaires pour devenir des sorciers habiles et instruits. Ces quatre grands sorciers fondèrent chacun une des "maisons" de l'école qu'ils créèrent en travaillant ensemble : l'École de Sorcellerie Poudlard était née. On fait référence à eux sous le nom des "Quatre de Poudlard".

Durant plusieurs années, cette union fonctionna sans problème. Chacun des fondateurs avait à sa charge un groupe de sorciers à instruire qui étaient envoyés dans une des quatre maisons à leur arrivée à Poudlard. Même s'ils n'avaient pas les mêmes opinions sur qui devait être accepté, le système des maisons les aidèrent à travailler tous ensemble. Cependant, au fil des années, Gryffondor et Serpentard furent sérieusement divisés par leurs opinions et Serpentard finit par quitter l'école.

Sa voix était si monotone que plusieurs des élèves commençaient à dessiner sur leur cahier plutôt que de prendre des notes. Le professeur ne sembla pas les remarquer, il semblait connaître son cours par coeur, ne regardait jamais les élèves et semblait se sentir seul dans la salle de classe.

Le conflit...

Les élèves ne surent pas la suite. Le professeur Binns venait de s'endormir, là, au beau milieu de sa phrase sans prévenir personne ! Beaucoup d'élève se regardèrent avec un air plutôt étonné.

Après 10 minutes d'attente ; un élève plus hardi que les autres s'avança du professeur.

Euh... professeur Binns excusez moi...

Le professeur fit un léger sursaut et ouvrit les yeux. Il vit le jeune Serdaigle en face de lui et parut surpris.

Ah euh oui... Où en étais-je ?

L'élève alla se rasseoir à sa place. Personne ne répondit au professeur pour la simple et bonne raison que aucun élève ici ne se rappelait les derniers propos du professeur d'histoire de la magie.

Bon très bien alors nous allons faire des travaux pratiques. Vous allez me faire des recherches à la bibliothèque sur le conflit Gryffondor/Serpentard ainsi que sur chacun des quatre fondateurs... Mrs. Pince est prévenue et elle vous a réservé la bibliothèque pour cette heure-ci... Allez y !

Les élèves se levèrent bruyamment et se préparèrent à aller effectuer leurs recherches tandis que le professeur recommença à s'endormir...

[HJ : Je vous demande de poster ci après vos recherches svp. Elles seront notées et rapporteront des points. Essayez de l'organiser sous forme de paragraphe ; par exemple, un paragraphe sur la présentation des quatre fondateurs et un autre sur le conflit Serpentard/Gryffondor.]

Irma Pince préférait se déplacer. Largement. Voir entrer d’une seule traite une véritable file d’élèves bruyants, aux doigts sales et gras, pour manipuler ses précieux ouvrages l’aurait horrifiée au plus haut point. Surtout qu’elle avait compté classer par catégories l’étagère 231 ce matin-même et qu’arpenter les tables de lectures pour éviter toute dépravation lui aurait très certainement grignoté sa concentration. Donc, plutôt que de s’user la santé, elle préférait user celle des autres. L’affreuse nouvelle était tombée en début de semaine ; lorsque Cuthbert avait traversé le mur pour lui annoncer qu’un travail de recherche allait bientôt être mis en place. Deux alertes à une cirse cardiaque plus tard, elle commit l’incommensurable erreur de se renseigner sur l’état de santé du professeur Binns – ce dernier étant mort, il ne pouvait qu’être de marbre. Mais Irma s’en fichait ! Les défunts n’étaient pas censés frustrer les vivants avec des idées aussi saugrenues que révoltantes ! Tous les jours, elle vivait un état de stress extrême tandis que des petit voyous tournaient violemment des pages, empruntaient des livres à l’aveuglette, soulignaient des mots-clés dans les manuels… Et c’étaient chaque fois des menaces de mort qui s’abattaient sur leurs têtes, à ces hooligans égoïstes qui ne prenaient pas en compte « l’âme » d’un manuscrit. Car, après tout, ni avait-il pas plus doux chant que le craquement d’une couverture neuve ? N’était-il pas reposant de humer ces senteurs de papier vieilli ? Irma, elle, comprenait ces choses-là. Elle entrait en osmose avec les sens d’imprimerie. Les élèves, eut, n’y comprenaient strictement rien. Leurs esprits étaient aussi vide que leur capacité à s’émouvoir. Alors plutôt que de les laisser venir – contre leur gré en plus – pour dépraver ses précieux trésors et salir la bibliothèque, compassion lui fut donnée en étant traversée par une idée géniale : elle préférait faire une sélection de tous les livres les plus aptes à répondre à leurs questions, les apporter directement en classe, les laisser se documenter sous son œil perçant et attentif, puis reprendre le tout à la première sonnerie. De plus, épaulée par le professeur Binns, ils ne seraient pas de trop à deux pour affermir leur attention. C’est donc de son pas lent mais méthodique qu’elle se promena le long des tranches d’ouvrages - vieux de plus de cinq cents ans pour certains – pour opérer sa petite sélection avisée. Une fois satisfaite du tri réalisé, elle agita sa baguette avec raideur et les livres s’élevèrent dans les airs, comme portés par un vent indolent. Une seconde torsion du poignet les fit frémir puis se ranger dans le sillage d’Irma. Lorsqu’elle sortit de la bibliothèque (chose rare), les manuels la suivirent docilement, comme autant de grotesques papillons. Les claquements de ses pas hantèrent trois étages, après quoi elle s’immobilisa devant la salle de classe d’Histoire de la Magie, décidée. Trois coups furent frappés. Nul besoin de préciser « entrer », elle respectait juste ce code par coutume. Elle poussa donc le panneau, entra et fit face à la dizaine de visages tournées vers elle. Une fille s’abaissa sur son siège – sûrement une inconsciente qui n’avait pas remis un emprunt à temps. Irma salua le groupe d’un rapide signe de tête.

_ Bonjour, dit-elle sèchement. Vous étiez supposés vous rendre à la bibliothèques aujourd’hui mais je préfère opposer une objection.

Elle promena un regard cuisant sur toute la pièce.

_ La dernière fois qu’une tâche de recherche a été menée dans MON territoire, deux, je dis bien DEUX livres ont été signalés absents. C’est un véritable SCANDALE ! Aussi je décide dans l’immédiat d’innover les méthodes pédagogiques. Désormais c’est MOI qui amène les livres, et c’est MOI qui décide lesquels sont les plus susceptibles de vous servir. Il est hors de question d’en compulser un autre sans me demander mon avis. Ai-je été bien claire ?

Un murmure discret mais général approuva.

_ Bien, très bien. Maintenant (un coup de baguette incita les ouvrages à se poser délicatement sur le bureau de Binns) je vais vous énoncer les différents titres. Vous pourrez en disposer UNIQUEMENT dans le cadre de ce cours. Si vous désirez emprunter, veuillez remplir la fiche de demande. Je vous ai donc apporté…

L’Histoire de Poudlard : un inconditionnel, c’est évident.

Un projet coupé en quatre : Tout sur la fondation de Poudlard.

Lion et Serpent : un siècle de rivalité : Le titre est éloquent, débrouillez-vous.

Les couleurs derrière Poudlard : Pour en savoir un peu plus sur le passé des quatre fondateurs et leurs rencontres.

En réaction à l’Histoire de Poudlard : Un essai particulièrement virulent qui démonte ledit ouvrage – parfait pour les ironiques.

Quoi, ma Chambre ? Qu’est-ce qu’elle a ma Chambre ? : Le tracé de la Chambre des Secrets.

_ Voilà, conclut Irma d’un air catégorique. Maintenant faites attention à ce que vous faite et bougez-vous, bande d’analphabètes !

Ruth avait toujours considéré que les êtres doués de magie, les sorciers quoi, n'était pas normaux. Mais depuis qu'elle était à Poudlard, elle découvrait avec frayeur que c'était encore pire qu'elle ne le pensait. Des bougies qui flottaient dans les airs, des plumes, du parchemin mais surtout des fantomes, des peintures qui parlaient, des armures qui bougeait, des garçons, de profs nains et d'autre morts.

Non, mais quelle idée, un prof mort. Rien qu'à le regarder être transparent, la petite fille avait peur. Son éducation ne l'avait absolument pas préparée à tout ça et même après deux mois, elle n'arrivait pas à s'y faire. Surtout que ses cours étaient... terriblement ennuyant. Sa voix était tellement monocorde qu'il s'ennuyait lui-même.
Est ce que les fantômes pouvaient ronfler ? Quelqu'un aurait-il le courage de reveiller leur professeur ? Quoique le laisser dormir était surement une bonne solution. Ainsi, pas de devoirs à faire !

Malheureusement, une jeune serdaigle ne se fit pas se raisonnement et réveilla le fantôme qui leur donna un TP à faire. La bibliothèque. Ou elle étaitdéjà celle là ? Bah, elle suivrait les autres et trouverait surement n'est ce pas ? Ruth se leva , prête à déménager ses affaires lorsque la porte s'ouvrit et Mlle Pince entra, des livres la suivant comme les rats le joueur de flute. Et si Mlle Pince était en réalité une sorcière et qu'elle allait les noyer. Elle avait vraiment la tête de l'emplois, il ne lui manquait que les verrues.

Ladite sorcière prit la parole d'une voix effrayante et proposa des livres. C'était le genre de devoirs que Ruth aimait bien. Il suffisait de trouver dans le livre et de recopier avec ses mots. Bon alors. Lequel allait-elle prendre ? Les couleurs derrière Poudlard avait l'air moins chiant que les autres. Lion et Serpent : un siècle de rivalité était pas mal aussi. Elle n'était pas sure d'avoir le droit d'utiliser les deux.

Hésitante, elle alla vers le bureau de son professeur, se mit sur la pointe des pieds, lançant un regard apeuré et rond à Mlle Pince, prit les deux ouvrages sur la pile et revint à sa place. Un parchemin fut tiré de son sac et une plume bien taillée se plongean dans l'encrier. MaisRuth n'était pas encore habile avec cet ustencile qui tomba sur le sol dans une grande gerbe d'encre qui épargna miraculeusement les ouvrages. En désespoir de cause, elle prit un bic et commença sa rédaction.



Le conflit Gryffondor/Serpentard :

Godric Gryffondor a dit que l'école devait être ouverte a tous les gens qui savaient faire de la magie, mais Salazard Serpentard voulait que ce ne soit que des anormaux qui était nés d'anormaux qui y soient. Il disait que les anormaux qui avaient des parents normaux (comme moi on dit aussi né de moldu ou sang de bourbe) devaient rester chez les gens normaux. Ils se sont disputés très fort la dessus et lorsque Rowena Serdaigle et Helga Poufsouffle ont prit le partit de Godric, Salazard c'est faché et est partit. Depuis les deux maisons sont tout le temps en train de se battre.

Les quatre fondateurs :

Helga Poufsouffle était une femme. Petit et ronde connue pour sa gentillesse et ses manière douce. Elle aimait rassemblerdes gens différents et était tres doué pour les sorts culinaires. Elle était très copine avec rowena Serdaigle.

Rowena Serdaigle etait aussi une femme mais grande, très intelligente et tres sage. C'est elle qui a demandé a ce que les pieces changent. Elle était très forte en enchantements.

Godric Gryffondor était pas une femme. Il était tres noble et il avait caractère. Et il voulait que tout le monde apprenne la magie. Et comme son copain Salazard était pas d'accord, il s'est faché avec.

Salazard Serpentard etait aussi un garçon mais lui il voulait que seuls les enfants anormaux nés de parents anormaux l'apprennent pour que les enfants de gens normaux restent normaux. Mais comme Godric voulait que tous les gens deviennent anormaux et que Rowena et Helga pensait comme lui, il est partit.

Cours d'Histoire de Magie ? Par Merlin, tout mais pas ça. Cela faisait déjà quatre ans, que Jessicayumi Belmontet, élève de la -fière- maison Serdaigle, supportait ce fantôme, dit professeur. Certes au départ, Jessicayumi prenait ses cours au sérieux. Elle essayait de rester attentive. Mais à chaque fois, à chaque cours, c'était le même scénario : Le fantôme s'assoupissait. Au départ, elle se levait et allait réveiller le professeur ; mais cela ne valait vraiment pas la peine. Au bout de sa deuxième année, la jeune fille prit l'habitude de s'installer au fond de la classe ; pour profiter de cette heure de cours pour se reposer. A quoi, donc, cela servait de travailler si qu'on cherche ou non, on n'avait pas le soutient de son professeur ? A rien, justement. La jeune fille ne cherchait donc plus à travailler et faisait le minimum. Quand je parle de minimum, c'est : Faire le travail avec sérieux ; mais pas plus. Moins, par contre, elle ne pouvait se l'imaginer.

L'heure de cours arriva -plus le plus grand malheur de certains étudiants-. Jessicayumi fut une des premières à rentrer dans la classe. Elle prit soin de prendre sa place favorite : Du côté des fenêtres donnant vu à l'extérieur, tout en prenant soin de s'installer au fond de la salle. Au moment voulut, le professeur commença son cours. Jessicayumi s'affaissa sur sa table, tout en écoutant les paroles du professeur. Ses paroles étaient sèches. L'apprentie sorcière n'y prêta pas attention et sortit des rouleaux de parchemin quand celui demanda de sortir de quoi noter. Mais alors que le fantôme donnait son cours, il s'assoupit. Jessicayumi en profita pour sommeiller.

Le temps passa et finalement un élève de sa maison se leva et alla réveiller le professeur. Après avoir reprit ses esprits, il donna des exercices. Bon d'accord. Une recherche. Ça va c'était pas trop la mère à boire. Il fallait ensuite choisir le bon livre. D'ailleurs, la bibliothécaire s'était elle-même déplacée. Il y avait un certain nombre de livres disponibles. La Serdaigle hésita un long moment et décida de prendre l'ouvrage intitulé : Quoi, ma Chambre ? Qu'est-ce qu'elle a ma Chambre ? Elle alla à sa place et l'ouvrit. Elle regarda les images un instant avant d'entamer une longue et calme lecture. Elle apprit beaucoup sur Serpentard, et en particulier Salazard. Mais en ce qui concerne Poufsouffle et Serdaigle ; la jeune fille n'eut aucun renseignement. Elle comprit alors son erreur : Elle aurait du prendre deux livres. Elle aurait apprit plus sur les autres fondateurs de l'école. M'enfin l'erreur était faite et il fallait se mettre à écrire un paragraphe argumenté. Elle se mit donc au travail.



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Histoire de Magie – Paragraphe argumenté

---------------L’école fut crée, il y a bien longtemps, par quatre sorciers : Godric Gryffondor, Salazar Serpentard, Helga Poufsouffle et Rowena Serdaigle. Tout quatre faisaient partis des plus grands sorciers de l’époque. Ils se sont assempblés pour crée une école où chaque élèves aurait sa chance ; ou chacun apprendrait l’art qu’est la magie. Godric représentait le courage. Salazar, lui, l’ambition et en particularité la ruse. Helga, pour sa loyauté et Rowena symbolisait la sagesse. Pendant plusieurs mois ; ils travaillèrent en partenariat.

---------------Les problèmes commencèrent après une dispute entre Gryffondor et Serpentard –qui était auparavant de bons amis.-. Salazard voulait être plus sélectif par rapport aux choix des élèves. Ce sujet provoqua un long débat. Serdaigle et Poufsouffle se joignirent à Gryffondor : Apprendre la magie a des moldus ne leurs poser point problème. Mécontent, Salazar créa une Salle où il pourrait enfermé un monstre : C’est ainsi qu’est née La Chambre des Secrets. Le monstre en question était une chose qui avait le pouvoir tuer par un simple regard et pétrifier. Ce monstre était enfermé dans une salle et pour y sortir, il fallait que l’héritier de Salazar l’appelle. Et seul l’héritier pouvait donner un ordre au monstre.
Après avoir crée la Chambre des Secrets, Serpentard quitta le château.

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Elle relut son texte. Elle était assez fière de paragraphe. La Serdaigle ferma les yeux en attendant la fin de l’heure.

Points :

Gryffondor :
- Judith Werner (inactive) : +50 pts.
Excellent. Parfait
Total : +50 pts.

Serdaigle :
- Jessicayumi Belmontet : +25 pts.
Bien.
Total : +25 pts.

Poufsouffle :
- Ruth Sherrington : + 20 pts.
Correct.
Total : +20 pts.


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