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[Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver]

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MessageSujet: [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] EmptyJeu 30 Juil 2009 - 12:57

Quand : Octobre 2002.
: Chemin de Traverse et Allée des Embrumes.
Avec qui : Jake Cleaver
Titre du sujet : « Tiens, un brigadier fumeur. »


    Nous sommes en Octobre 2002, cela fait quatre ans que Vous-Savez-Qui a été anéanti par le célèbre Harry Potter. Le monde des Sorciers est maintenant plus ou moins calme, plus personne n'a crainte de se faire tuer par les Mangemorts. Les problèmes dans le monde des Sorciers sont banals, quelques cambriolages, quelques meurtres, mais rien de bien méchant comparé aux années passées.

    Hélène Walker a maintenant 19ans, elle a quitté l'école Poudlard -connu pour avoir nourri / loger Harry Potter- il y a de cela un an. Durant ces un an, l'ex Serdaigle a su trouver du travail dans la Gazette du Sorcier en tant que simple rédactrice, mais cela lui suffit pour vivre et n'en demande pas plus. Comme tout les matins depuis ces un an, Hélène se balada dans les rues du Chemin de Traverse pour trouver de nouvelles choses à écrire, mais ces temps-ci, les temps sont bien calmes dans ces rues peu dangereuses. Le seul moyen d'avoir de bons articles que tout le monde lira, c'est de s'aventurer dans l' Allée des Embrumes.

    Hélène n'a jamais voulu y aller, pourtant aujourd'hui, elle a su prendre son courage à deux mains -tu parles, c'est juste que le chef de la Gazette des Sorciers voulait la virer si elle ne trouvaient pas de sujets croustillants-. Se dirigeant vers l' Allée des Embrumes d'un pas lent, Hélène vit un troupeau à l'entrée de cette rue si sombre. La rédactrice se précipita vers la foule et essaya de passer entre les curieuses personnes, elle donna quelques coups d'épaules aux plus petites personnes, mais cela ne changea rien, car d'autres personnes tout aussi curieuses que Hélène la bouscula et se retrouva éjecter de la foule. Rouspétant à tout va, elle réussit à contourner le troupeau en passant contre le mur.

    La demoiselle sortit son appareil photo avant même d'être arrivée à la scène. Le chemin qu'elle avait prit était tout de même pratique, car Hélène arriva devant la foule et aussi devant les brigadiers qui gardaient cet endroit. Elle se cacha derrière un mur, et commença à prendre des photos de la scène. C'était une jeune personne allongée dans un bain de sang énorme. Plutôt macabre comme scène. Continuant de prendre des photos, la jeune Walker se fit interpeller par l'un des brigadiers. En effet, Hélène a été trahi par son appareil photo faisant un bruit d'enfer et une fumée que l'on remarque directement. Mais malgré cela, elle avait réussit à faire deux trois photos, plutôt réussit d'après elle. Hélène s'en alla alors, sous ordre du brigadier qui ne voulait pas la laisser prendre une quelconque photo de ce crime, pourtant, elle lui avait dit qu'elle faisait partie de la Gazette du Sorcier, mais c'était un non catégorique. Hélène ne voulait pas partir sans avoir pu prendre des notes, têtue comme elle est, elle se fraya un nouveau chemin en passant de l'autre côté de l' Allée. Risquée ? Oui, mais ça valait le coup ! Hélène essaya de passer par des chemins pas trop dangereux, histoire de ne pas trop se faire remarquer. Quand elle fut arrivée, une nouvelle fois, à la scène de crime, Hélène aperçut encore plus de brigadiers que tout à l'heure. Mais il le fallait cet article, sinon Hélène n'aurait plus de travail.

    « Il faut que je tente ma chance... »

    La jeune femme se dirigea vers un brigadier, pas le même que tout à l'heure, bien entendu.

    « Bonjour. Je travaille pour la Gazette du Sorcier, et j'aimerai, s'il vous plaît, reprendre quelques photos de cette scène et noter quelques lignes sur mon parchemin. »

    Munit de sa plume, elle attendit la réponse du brigadier.
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MessageSujet: Re: [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] EmptySam 8 Aoû 2009 - 21:52

[HJ: Je sais, c'est long... À ta place je serais découragé de devoir lire tout ça... Mais bon, j'espère que ça te plaira!!]

« Cleaver! »

Interpellé par son supérieur, l’ancien Serpentard leva la tête du rapport qu’il venait de débuter. Il avisa sans peine le colonel, un trentagénaire endurci pour lequel les mots détente, plaisir et rigolade ne voulaient rien dire. Il se tenait bien rigidement à la porte de son bureau. Avec lui, il valait mieux oublier les sarcasmes et toute réparti. Sinon, gare aux descentes dans la hiérarchie des brigadiers. Un mot de trop et paf! Une diminution importante de son salaire. Dire que Jake s’était un jour plaint d’Ombrage…

«Oui Monsieur? »

Pouah, Monsieur… Le mot même lui faisait grincer des dents… Les politesses forcées, il les avait en horreur. Chaque fois qu’il s’adressait à un supérieur, il voulait mourir de honte. Jamais il n’avait respecté qui que soit. Jamais il n’avait fait de flafla pour s’autoriser les bonnes grâces des gens. Du moins, jusqu’à ce qu’il entre dans ce département du ministère. Ici, il se devait de jouer les mielleux et les respectueux… Arg! C’était insupportable! Toutefois, ce travail avait bien quelques compensations.

« On a besoin de toi dans l’Allée des embrumes. Un code 75-92, on fera une exception à ta clause… Voilà ton Portoloin, il partira dans 5 minutes. »

Le colonel lui lança un sachet de thé avant de faire claquer la porte et de disparaître dans l’un des couloirs du ministère. Eh ben! Il n’avait même pas eu le temps de placer un mot! Et s’il avait voulu protester? Après tout, son rapport n’allait pas s’écrire tout seul. Il avait besoin de temps pour rédiger tout ça. Toutefois, au lieu de lui en accorder, on préférait le foutre sur le terrain. Un 75-92 et puis quoi encore? Comme s’il n’y avait personne de plus compétant que lui pour délimiter un périmètre de sécurité. Ouais, il avait tellement traumatisé de passants qu’on l’avait exclu de tous les 75-92. Et voilà qu’on lui en confiait un nouveau… Les autorités devraient peut-être augmenter leur nombre de personnel… Quoique, les 75-92 avaient leurs avantages. Il pouvait s’amuser avec les petits curieux morbides ou les pleurnicheuses anonymes… En fait, c’était surtout pour cela qu’il avait décidé d’être brigadier… Énerver les gens, quel passe-temps exquis! Par exemple, il pouvait donner des contraventions aux gens pour des futilités. Cela lui procurait une de ces joies immenses. Alors emmenez-en des politesses, il pourrait bien dealer avec ça!

Entre ses mains, le sachet de thé commença à s’agiter. Déjà 5 minutes d’écoulées? Le temps passait drôlement vite. D’un geste vif, Jake vérifia que sa baguette se trouvait bien dans la poche de son jean. Parfait, elle y était. Constatation faite, il disparut l’instant d’après, propulsé par le Portoloin vers l’Allée des embrumes. Qu’allait-il donc y trouver?


----------------


Eurk! Quelle horreur! Jake repassa devant le corps de la jeune demoiselle et retint un haut-le-cœur. La quantité effroyable de sang qui entourait la victime ne le dégoutait pas vraiment… Après tout, ce n’était qu’une substance rouge et visqueuse… Non, ce qui le rendait malade, au sens propre du terme, c’était les blessures et la position du cadavre. Les membres retournés et étirés. Les coupures et les hématomes par centaine… La vue des intestins qui sortaient d’une lésion au ventre… Tout ça l’écœurait au plus au point. Le pire, par contre, c’était que tout cela n’avait rien de sorcier. Aucune magie n’avait été décelée autour du corps lors de l’examen des enquêteurs. En tant que sorcier d’origine moldu, Jake avait tout de suite reconnu les effets d’armes blanches, de bâtons et de corps à corps… Toutefois, il avait préféré se taire. Pourquoi? Bah, ce n’était pas le premier meurtre exécuté à la moldu. En fouillant des les annales, l’ancien serpentard avait trouvé les rapports d’une dizaine de cas semblables… Inquiétant non? Enfin, tout cela était top-secret. Pas question que le public soit au courant. Le Lord Noir avait disparut depuis seulement 4 ans et déjà une nouvelle aura noir se profilait à l’horizon. Des sang-de-bourbes voulant se venger des sang-pur? Possible mais inquiétant… Très inquiétant… Les sorciers les sous-estimaient en général, mais les non-sorciers étaient capable de choses horribles… Toutefois, la mentalité du ministère n'avait pas changé. Plus les gens restaient dans l'ignorance, mieux le monde magique se portait. Donc, comme il ne voulait pas subir un rafraîchissement de sa mémoire, Jake se taisait.


« Hey, Cleaver! Arrêtes de lambiner comme ça autour du cadavre, va faire ton boulot.»

Le Cleaver en question fusilla son collègue de travail. Il se prenait pour qui lui? Pour le chef? Pour le saint des saints?

«Ferme-là Joster, je ne vois pas de quoi tu te mêles!»

Malgré ses paroles, Jake décida quand même d’aller faire son boulot. Il sortit lestement sa baguette de son jean puis s’avança avec autorité vers la foule de passants. À l’aide de quelques incantations, il éleva une barrière magique qui empêcherait les plus curieux de s’approcher trop près de la scène du crime. Il s’occupa de son périmètre dans la cacophonie et les bousculades. Au loin, il entendait les bruits d’un appareil photo.

«Joster, occupe-toi de ta zone, bon sang! Il y a quelqu’un qui prend des photos.»

Son collègue lui jeta un regard venimeux avant de suivre gentiment son conseil. Jake ne put s’empêcher de sourire. Mine de rien, il s’entendait bien avec celui-là. Une animosité réciproque les unissait. C’était mieux que cette politesse feinte qu’il entretenait avec les autres. Secouant la tête, il retourna à ses oignons, c’est-à-dire, à la bande de fous qui se pressaient contre sa barrière.

« Dégagez-de là, y a rien à voir! »

Il prononça une nouvelle incantation et avança un peu sa barrière. Les passants reculaient bien malgré eux dans un concert de protestations et de cris indignés… Quelle bande de sauvages! La barrière à nouveau stable, il rangea sa baguette et essuya un filet de sueur qui roulait sur son front. Ouais, il n’avait pas d’immenses réserves magiques…

« Bonjour. Je travaille pour la Gazette du Sorcier, et j'aimerais, s'il vous plaît, reprendre quelques photos de cette scène et noter quelques lignes sur mon parchemin. »

Tournant la tête vers sa droite, il avisa une jeune femme avec un appareil photo à la main. Une journaliste… Comme il pouvait détester les journalistes… Toujours à fouiner ici et là… À déformer les paroles des uns et à exposer le malheur des autres… Et, surtout, à compliquer son boulot. Ouais 75-92. Le 75 consistait à établir un périmètre de sécurité et veiller à ce qu’il soit respecté. Tandis que le 92 obligeait à tenir au loin les journalistes des scènes qu’on devait garder secrète. Secrète, mon œil! Avec tous ces fous avides de scènes morbides, le tout ne resterait pas confidentiel très longtemps… À moins que le ministère ait prévue une séance générale d’altération de la mémoire. Enfin, là n’était pas la question. Pour l’instant, il devait éloigner cette fouineuse. Il lui fit donc face, la dominant entièrement par sa taille. Premièrement, lui faire peur.

« Désolé mademoiselle, mais aucunes informations ne seront divulguées tant que l’enquête n’aura pas été complétée. »

Il lui adressa un faux sourire compatissant avant de s’avancer dans le but de la faire reculer.

« Aussi, aucunes photos ne sont permises alors… Destructum »

D’un geste de sa baguette il détruisit l’appareil photo… Technique assez brutale, je vous l’accorde, mais efficace. Les supérieurs ne seraient certainement pas contents, toutefois. Après ça, ils devraient s’occuper des plaintes rapportées par la Gazette pour bris de matériel. Ouais, ce n’était pas dans ses droits de confisquer des objets… ou de les détruire… C’est peut-être bien pour ça qu’on ne lui confiait presque plus de tâches ayant un contact direct avec le public… Il compliquait toujours tout… Toutefois, Jake vivait très bien avec cela. Les remontrances des dirigeants le laissaient de marbre. Et s’il se faisait renvoyer, ça ne serait pas plus dramatique que ça. Il deviendrait concierge et vivrait avec le strict minimum. À moins qu’il ne devienne criminel? Ça pourrait être marrant… Bon, en bref, il ne regrettait en rien son geste et se fichait bien des conséquences qui s’en suivraient.

« Maintenant, je vous prierais de quitter les lieux, merci! »

Il lui tourna le dos et retourna à sa barrière sans un commentaire de plus. Elle devait être partie, furibonde mais obéissante. Il retrouva sa concentration et raffermit sa barrière qui commençait à faiblir…

Les journalistes vraiment, quelle plaie pour l’humanité!

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MessageSujet: Re: [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] [Oct. 2002 - Chemin de Traverse - PV Cleaver] EmptyMer 30 Déc 2009 - 15:47

    « Désolé mademoiselle, mais aucunes informations ne seront divulguées tant que l’enquête n’aura pas été complétée. »

    Un refus. De toute façon, l'ex Serdaigle s'en doutait bien, ces brigadiers essayaient toujours d'éloigner les journalistes de ce genre de situation, pourtant, il fallait bien mettre au courant la population de ce qui se passait dans ces rues, mais de nos temps, tout le monde croit que les journalistes sont une sorte de paparazis ce qui n'est pas faux, certes, mais ils ne sont pas que ça. Ils sont censés faire des articles sincères qui ne déforment pas les propos, et c'est bel et bien ce qu'Hélène faisait. Être journaliste, on l'est, ou on ne l'est pas.

    « Aussi, aucunes photos ne sont permises alors… Destructum »

    Le brigadier afficha un sourire compatissant, un faux sourire évidemment. Ceci, c'est quelque chose à savoir, les brigadiers ne sourient jamais aux journalistes, car ils trouvent que justement, ils déforment les propos et ne savent faire que cela. Même si Hélène essayait de donner une autre image de ces personnes qui ne font que écrire des articles dans le journal, cela ne marchait jamais. En plus de cela, son appareil était désormais détruit. Porter plainte vous dîtes ? Tu parles, ça ne sert à rien à part avoir un nouvel appareil, mais il n'y aura plus les photos du cadavres, donc ce n'est d'aucune utilité pour l'article.

    « Maintenant, je vous prierais de quitter les lieux, merci! »

    Quitter les lieux ? Il est marrant lui, Hélène ne se laissera pas faire, surtout si ce brigadier ne lui repait pas un appareil photo. Il se retourna, croyant sans doute que la demoiselle était partie. La journaliste resta derrière lui, ne disant rien et ne bougeant pas d'un pouce pour le moment. Que faire ? Partir était une solution, mais elle se serait fait virer de son poste. Rester était la seule solution, mais elle ne pouvait plus prendre de photos, la bourde quoi... Hélène s'éloigna un peu plus loin d'un pas lent en réfléchissant à une solution quelconque. L'ex Serdaigle se cacha derrière un mur et comtempla la scène de crime sans que personne ne la voie. Elle avait trouvé une idée... Certes cette idée était brutale, mais elle ne voyait pas comment faire autrement. Puis elle risquait quelque chose si elle faisait ça, oui car l'idée consistait à assommer un des brigadiers puis prendre son uniforme et faire genre qu'elle faisait partie des brigadiers. Mais cela était risqué, elle pouvait risquer gros, mais si cela lui permettait de garder son poste de journaliste... Pourquoi pas ! La jeune demoiselle sortit de la rue où la scène de crime se déroulait elle alla dans une rue plus loin, de toute façon, il y avait des brigadier partout. Hélène s'arrêta plus loin, elle regardait les brigadiers en se demandant lequel elle allait choisir. Parmi eux, il y avait un gringalet tout mince, qui se demandait sûrement ce qu'il faisait ici vu son regard. La journaliste avait fait son choix. Ce petit gringalet, sans doute nouveau brigadier allait être sa cible. Elle marcha derrière lui et fit attention à ce que ne personne ne la voit. Hélène n'utilisa pas la magie pour l'assommer à quoi bon utiliser la magie quand on peut tout faire manuellement. Elle lui mit une tape dans la nuque et celui ci s'écroula. Elle tira le brigadier par les jambes toujours en faisant attention à ce que personne ne la voit, de toute façon les autres brigadiers étaient en train de parler entres eux. Elle emmena sa victime dans une ruelle et lui piqua ses vêtements, Hélène laissa les siens à côté de l'assommé puis partit à nouveau sur la scène de crime. Elle alla là où le brigadier lui avait dit de quitter les lieux et fit comme si elle faisait partie de la brigade. Elle s'approcha du corps discrètement et prit quelques notes, jusqu'au moment ou le brigadier qui était censé être assommé et le rester arriva avec les vêtements de la jeune journaliste. Elle baissa les yeux pour qu'on ne la repère pas et recula de quelques pas, dos à tous les passants hurlant derrière la barrière. Le brigadier gringalet se mit alors à parler avec d'autres brigadier en expliquant la situation... Fuir ou pas ? On se serait douter que c'était elle qui avait commit ce délit car elle avait laissé ses vêtements dans la ruelle...
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