[Avril] Un défi pimenté. [Foster]

Invité

Un, deux, trois, Soleil ! Un bruit résonna dans une pièce, vide. Un, deux, trois, Soleil ! Une série de pas résonna dans la bibliothèque. La nuit avait obscurcie ses lieux ou une odeur de papier régné, que dire de plus que parcourir, cette pièce pour jouer avec le feu, sachant qu’une pièce y été interdit pour tous élèves, une pièce que tout le monde désirait le plus. Si elle y avait été ? Oh oui, plus qu’une fois. Sa venue dans cette grande salle n’était pas pour but de s’introduire et enfreindre encore une fois un règlement, mais d’affronter un défi, qu’elle avait lancé, enfin. Cela il y a plusieurs année, il s’était passé un jeu dans cette salle : un action et vérité, deux filles lançant des actions pour aller et bousculer les gens, jusqu’à ce que cela dégénère. Cela devenait beaucoup ennuyant, vous comprenez ? Il fallait mettre plus de piquant, plus de folie en ce jeux ? L’autre est les questions. Serena ne s’en souvenait plus de l’ordre précis. Mais sinon, oui de tout.

C’était un jour de pluie, où tout élève s’ennuyait, un week-end parce qui n’y avait plus de cours. L’idée de passé, un peu de temps dans ce lieu, lui avait plu, répéter un peu lui aurait pas fait de mal, non ? Elle s’était assise à une table en face d’une Poufsouffle. Leur regard avait fait démarrer la partie. Pour qu’elle finisse en un baiser, sous cette phrase.

« Tu as choisi action, embrasse un fille dans la bibliothèque. »

Par pur hasard, ce fut les deux qui s’embrassèrent, pris dans le jeu ou envie soudaine ? La jeune fille, qui attendait dans le lieu de rendez-vous, ne pourrait pas vous répondre. Ce fut avec excitation et plaisir qu’elle l’avait embrassé. Sa curiosité lui avait poussé de lui envoyé par un hibou le défi de venir pour un jeu, le quel ? Elle ne le savait pas encore, mais il y aurait un jeu qui lui ferait plaisir. Elle s’était assise sur une table regardant dehors. Ses pensées l’enveloppèrent pour céder à son désir d’être avec lui, en regardant ses yeux et se perdant dedans, se demandant pourquoi ? Pourquoi elle l’avait fait autant souffrir.
La réponse n’apparaissait pas devant ces yeux, ayant aussi peur de se faire délaissé comme ça ? Par un bond, la jeune femme ne fut plus assise. Elle se baladait dans cette grande bibliothèque et ouvrent des livres qui avait un nom intéressant pour le refermée quelque seconde plus tard parce que cela ne l’intéressait pas. Elle tournait en rond comme un chien, s’ennuyant. Elle devait attendre. C’est tout ce qu’elle devait faire, attendre. Cela avait été si simple de venir jusqu’ici, sans problème. Elle rêvait, d’un rêve, avec des images de guerre, avec son père mort. Elle s’était réveillée en sueur. De toute façon, elle avait du se réveiller pour aller aujourd’hui dans ce lieu poussiéreux de livres. C’était les images de son père qui l’avait réveillé, ne sachant pas pourquoi elle avait rêvée de ça sachant que quelque minute en arrière. Ce fut des images de rêve et d’amour qui était dans sa tête. Et non, pas elle tachait de sang qui allait aider son père devant chez elle, à se battre contre des gens. Ces images s’étaient un peu détruites quand elle repensait qui était vivant, ce rêve en même temps lui donnait du courage pour la suite. Ses jambes l’avaient redirigée s’asseoir sur le point de rendez-vous, pour attendre son invité, en oubliant ses terribles songes, se replongeant dans des pensées plus positive. Qu’est-ce que elle pouvait faire pour passer le temps ? Elle sortit sa baguette n’aimant pas le noir, se concentrant elle fit un geste en disant : « Spero Patronum »

Un jet de lumière sortit pour éclairer la pièce. Un animal rampait sur le sol pour bondir près d’elle. Elle aimait ce sort, le trouvant si beau. Son animal était une panthère des neiges, ayant tout la finesse. La première fois qu’elle avait fait se sort, elle avait échoué, mais ayant essayer plusieurs fois, sans jamais laisser tomber. Elle avait trouvé qu’elle animal, son caractère et elle-même incarnait : ce n’était pas un serpent mais une créature digne d’elle. Cela lui prouvait qu’elle n’était pas une sorcière sans cœur, mais qu’elle jouait avec les cœurs. Serena s’était perdu dans ses pensées, en attendant que le rendez-vous arrive vite, enfin la personne, dont elle avait lancé un défi, qui la provoquait pour venir. Si elle se rappelait bien il était marqué :

[Ps. J'ai un probème avec mon correcteur. Faudra attendre un petit moment, pour les fautes.]

Invité

Une silhouette sombre se déplaçait à pas feutré dans les couloirs de Poudlard. Pour monter à la bibliothèque, la jeune fille à la chevelure brune avait quelques minutes à marche puisqu’elle venait de la salle commune des Poufsouffle. Adelaïde Foster. Voila le prénom qui désignait la petite personne menue qui montait à présent les escaliers. Elle était presque arrivée. Elle regardait autour d’elle, sa baguette levée au niveau de ses yeux, une faible lueur bleue s’en échappant. Qu’est ce qu’elle faisait ici ?

La curiosité tout simplement. Et l’envie de prouver que la lâcheté ne faisait pas partie de ces vices. La jeune fille avait reçu ce matin même une lettre, amenée par un hibou qu’elle ne connaissait pas. Un hibou de Poudlard. Une missive d’un élève. Mais qui ? Voila la question qu’Adelaïde se posait. N’importe qui pouvait être à l’origine du petit mot griffonné, qui disait simplement.

Donc, si elle ne venait pas, elle serait classée comme froussarde par l’auteur de la petit missive. Etais-ce une mauvaise blague, destinée à l’attirer dans une situation embarrassante. Non, la jeune fille avait beau chercher, retourner ses pensée dans tout les sens, elle ne voyait, vraiment pas. Elle n’avait que très peu d’ennemis, et était même le genre de fille appréciée autant par ceux de sa propre maison que par les sangs purs de Serpentard. Son franc parlé et son caractère provocateur n’y était sûrement pas pour rien. La missive semblait avoir été écrite d’une main féminine.

Le soir même, elle s’était glissée sous ses draps encore habillée. Vers minuit moins vingt, elle avait délicatement enfilé des sandales et brossé ses cheveux, avant de se glisser sans bruit au dehors de son dortoir, et de la salle commune des jaunes et noirs. Elle avait marché une dizaine de minutes, sans se perdre bien entendu, Adelaïde arpentait tout de même ces couloirs depuis six ans maintenant. Ce soir, elle était une ombre, une ombre qui hantait les grands escaliers. Son jean était foncé, presque noir, ses cheveux attachés et son tee-shirt d’un bleu nuit. Elle ne faisait aucun bruit, n’émettait aucun son.

Adelaïde trouva la porte de la bibliothèque entrouverte. La personne était déjà là. La brune consulta sa montre. Minuit moins cinq. Elles étaient toutes deux en avances. Elle s’avança dans la grande pièce, à la recherche de l’auteur du mot. Une formule se fit entendre dans son dos. Et avant qu’Adelaïde n’ai le temps de comprendre les mots prononcés par la voix, définitivement féminine, une lueur apparut un peu plus loin. La jeune fille se rapprocha sans bruit. Non pas une lueur, un animal. Un patronus. Elle-même était capable d’en produire un patronus corporel, mais seuls les plus doués l’étaient. Avant qu’elle n’ait le temps d’essayer de deviner quelle pouvait –être la sorcière à l’origine de la panthère, elle aperçut son visage. Chelsea Valentyne. Qui d’autre qu’elle aurait put lui proposer un défi dans, cette pièce. Pourquoi n’y avait elle pas pensé plus tôt...

Chelsea et Adelaïde s’était rencontrée l’année dernière. La jeune fille était assise à une table, un livre entre les mains mais s’ennuyant profondément, lorsque la Serpentarde avait lancé le jeu. Un action ou vérité. Un jeu d’origine moldu, qui lorsqu’il était joué à la sauce sorcière, devenait plus intéressants. Des sortilèges, des provocations, des interventions loufoques. Les deux jeunes filles de cinquième année alors avaient passé l’après midi à jouer, au prix de quelques dérapages. Chelsea aimait jouer, et Adelaïde s’était laissée emportée. Tout cela s’était fini avec un baiser, après lequel Adelaïde avait quitté la bibliothèque. Elle gardait plutôt un bon souvenir de cette après midi en fait, si ce n’est qu’elle n’en avait pas trop apprécié la fin. Plutôt gênant qu’autre chose, pour la Poufsouffle. Elle n’avait jamais eu l’occasion de rediscuter avec la Serpentarde avant aujourd’hui. C’était donc elle qui était à l’origine du défi. Un jeu ? Elle voulait jouer ? Rien de bien étonnant, puisque c’était comme cela qu’elle l’avait rencontré.

Sans un mot Adelaïde Foster s’avança dans la salle vide, pour se placer au niveau de Chelsea. Elle la toisa un instant, avant de lui adresser la parole dans un sourire mi-figue mi-raisin.

Valentyne. J’aurais du me doutais que c’était toi.

Sa voix était presque dépourvue de son accent cockney. Elle s’adressait à une Serpentarde, quelqu’un de sang sûrement presque pur, et d’un milieu riche. Adelaïde savait s’adapter, même si perdre son accent demandait un effort de sa part. C’était un des prix à payer pour être apprécié par les vert et argents. Elle s’assit nonchalamment sur une table, et croisa les jambes.

Tu as parlé d’un défi, vas-y je t’écoute.