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Citation :

Et il avait eu raison de suivre son instinct, puisque dans cette lutte acharnée pour déterminer qui des deux visait le plus loin, il avait évidemment remporté haut la... main. Mais cette joie fut de courte durée car l'infâme professeur d'Etude des Runes s'était pointé, sans doute à cause des pleurs d'un Blackwel trempé.

Citation :

Au fond, il était peut-être aussi inoffensif que Wright ? Sa pensée le fit rire si bien qu'il s'esclaffa. Seul. Son rire résonna dans le couloir. Il se tût immédiatement. Non, c'était ridicule. Nielsen et inoffensif ne pouvaient décemment pas aller ensemble. Comme si on disait Livingstone et jolie. Granger et sympathique. Ou même Peters et attirante ! Oui bon là, c'était de la mauvaise foi.

Citation :

Il bougonna contre le comptoir, avant de reporter son attention sur la Chose. Et il lui parla. Dieu qu'elle sentait mauvais. Et son haleine, BEUH. Fétide. Pire que Whitersen et Wells réunies. Pire que l'odeur corporelle du Blaireau.

Citation :

Il ne pût s'empêcher de sourire. Ca, il était au courant. Il se murmurait même que Maya Livingstone n'aurait pas vu cela d'un très bon oeil. Beh oui, que sa meilleure amie s'amuse à enlever sa robe devant son meilleur ami, personne n'aurait apprécié. Quoique, vu qu'il s'agissait de Carlie... A cette pensée, il réprima un rire.

Citation :

D'un mouvement brusque, Catherine tira la chaise la plus proche d'elle et s'assit bruyamment à la table, se retrouvant face à Nathan Larsonn, le regard vide, qui mâchait ses toast d'un air bovin. "Hé Larsoon, ça gaze ?" Tenta Cat, essayant désespérément de mimer une conversation crédible, sous le regard incrédule du pouffsouffle qui ne demandait manifestement qu'à finir son petit déjeuner.

SALE a écrit:

La punition était tout aussi stupide qu'inutile -trois mètre de parchemin sur l'Histoire et la condition des Elfes de Maison, un sujet qui aurait passionné une Rouge- mais Fawkes ne s'en plaignait pas.

Entre toi et moi, il y a \"et" a écrit:

"Entre mon lit et le tiens, il y a Adam. Et je dois t'avouer que lui et moi adorons faire des batailles de vêtement sales..."
La phase fut coupée par le soupire amusé de Fawkes qui ne pouvait empêcher son sourire de s’étirer en imaginant la scène, Wright et lui se balançant des chaussettes et Hayden courant au milieu avec le visage ressemblant au Cri de Mounch.

La curiosité est un vilain défaut a écrit:

Sauf lorsque une jolie bouche en particulier s’étirait en un charmant sourire et lui faisait basculer le cœur, lui donnant irrésistiblement de goûter ces lèvres. Mais ce 'était que de la curiosité. N'est-ce pas?

C'est de toute beauté ! a écrit:

L'aiglon avait lâché se dernière phrase avec conviction, mais c'était aussi crédible que d'affirmer que Foster aimait s'enduire les ongles de vernis bleu pastel. Ah...quoique...

Qu'est ce qui est à l'abri mais toujours trempé? a écrit:

Faisant face au Heurtoir de Serdaigle (si la salle commune des serpents et des lions était protégée par un mot de passe, celle des blaireaux par un code à taper, celle des aigles ne s'ouvrait qu'à la résolution d'une énigme), Wayoth se demanda un instant si on ne se fichait pas d'eux : avec une question pareille, même Larsonn serait capable d'entrer chez les bleu et bronze.

Qu'est ce qui a des dents mais qui ne sait pas mordre? a écrit:

Allons-y, c'est la fête ! Les clefs, les fourchettes, Jimmy J. Kent le gentil lionceau ou encore Squeamish, le chat trouillard d'Elwyn !

Comme ta b... betterave. a écrit:

La plaisanterie était du moins bonne, quoique basse et petite. "CTB", aurait dit Foster. MAIS! Justement, Foster n'était pas là, et ce, grâce à cette satanée porte qui posait des questions idiotes.
[...]
Assez fier de cette répartie qui égalait la taille d'un tournesol de Serpentard, Fawkes posa son sac sur le lit et commença à scanner son périmètre tout en bordel "rangé".

Les Serpy ! a écrit:

Arg... mauvais souvenir que voilà, puisque les serpents avaient pris la tête du match avec deux but seulement -ce qui était facilement rattrapable- avant que leur attrapeur ne se jette sur le vif d'or comme un Foster sur une jolie fille. Cent cinquante points d'un coup, voilà ce qu'avait fait gagner McAlister à son équipe. Fawkes n'était pas du genre mauvais joueur, mais il devait avouer que, pour le coup, il l'avait mauvaise et, s'il n'avait rien reproché à ses coéquipiers, il ne pouvait plus supporter le sourire colgate de Sevan.

C'est fun d'être bleu ! a écrit:

Non parce que, une fête, oui! Mais faire un concours de celui qui terminera ses mots croisés le plus vite contre Wright, non! D'une, parce qu'il était certain de perdre, et de deux, car Fawkes était trop en manque d'amusement pour qu'on lui fasse une farce pareil.

Cath à Strophe a écrit:

Il s'avérait que Maya était sérieuse, et aussitôt, le visage de gosse du jeune homme s'éclaira comme une ampoule au dessus de la tête de Strauss lorsqu'elle pige enfin comment faire voler une plume.

\"Vise l'Abeille" ? a écrit:

Un sourire enjôleur et Ô combien agaçant narguait la batteuse. Le visage photographié du Créateur du jeu "Vise l'abeille" faisait face à Maya et, après un petit maléfice sauce Fawkes, les Cognards se mirent à graviter autour du mannequin qui glissa un clin d’œil à la brune. Ouvrant grand les bras, très fière de lui, Wayoth faillit gifler un autre Serdaigle qui passait à proximité.
- Taaaadaaaaaaaam ! "Vise McAlister"! Je te le confie, fais ce que tu veux de son corps!

Serpentard se mord la queue a écrit:

Cette fois-ci, ce crétin de Foster ne fit aucune réfléxion, le regard de Breckenridge y étant sûrement pour quelque chose. Finalement, il pouvait servir, ce serpent!

Les batteurs se trouvent un nouveau jeu a écrit:

Tandis que les poursuiveurs, bleus comme verts, se bataillaient la plus grosse des balles, les batteurs de Serpentard semblaient s'essayer à la technique "Plus je vise mal, mieux c'est!"

Ouais, j'suis un rageux a écrit:

McAlister venait de faire remporter les cent cinquante points à son équipe. Et le match était terminé.
Ses yeux clairs fixé sur l'attrapeur adverse qui brandissait le vif d'or, le brun s'adossa à l'une des poutres des tribunes et expira tout l'air qu'il pouvait, comme si c'était la seule solution pour qu'il n'aille pas entièrement péter le bras à l'autre crétin toujours au sol.

Trafique de couleurs a écrit:

C'n'était pas possible d'être aussi bornée... Pas en portant le blason bleu et bronze ! Une lionne, encore, POURQUOI PAS ! Mais il fallait bien croire que le Choixpeau avait bien déconné au moment de la répartition d'Arya Howe... Ou alors, c'était un complot entre Macgonagall et Flitwick, du style "Bien, on a laissé Granger aux rouges pour remonter votre niveau, filez-nous une fille folle mais intelligente."

I♥Arya a écrit:

La mâchoire contracté par l'agacement, Fawkes filait sur son balaie, une batte à la main. L'entraînement des bleu et bronze aurait pu très bien se passer si l'aiglon et l'attrapeuse de l'équipe ne s'étaient pas pris la tête à propos d'un simple "conseil" que s'était permis de donner le brun à la jeune fille. Pourquoi avait-il fait ça ? Quel crétin ! Ce n'était pas faute de savoir qu'Arya ne pouvait pas le supporter -et ce, grâce au club de musique où ils ne cessaient de s'envoyer des fleurs sur les roses à la moindre réfléxion venant de l'autre. Forcément, son "Arya, tu devrais te redresser sur ton balaie. Là, t'as l'air aussi à l'aise qu'un Troll jouant une partie d'échec avec Adam." n'avait pas vraiment été bien accueillit.
[...]
Trempé, Wayoth entra en silence dans les vestiaires, pour ôter le plus gros de l'équipement qui devait être lavé en prévision de leur match contre les verts. A ce propos, le vil Fawkes fit une petite prière pour qu'Arya tombe de son balaie ou se prenne un Cognard dans la tronche. Bon, oui, c'était mal de penser à ça, et pas très réglo, mais s'il voulait entrer sur le terrain, le bleu devait pour cela attendre qu'un de ses coéquipiers ait besoin de se faire remplacer. Et vu leur efficacité à travailler ensemble, il était préférable qu'ils ne se retrouvent pas sur le terrain en même temps.
[...]
comme d'habitude, il avait oublié son sac et, comme d'habitude, il laissait ce sac dans son casi... Ah non?
Pris d'un doute, l'aigle au regard vert d'eau regarda le banc sur lequel il avait laissé son équipement. Disparu. Bon, sûrement qu'il avait été envoyé aux Elfes de Maison. Après avoir jeté un œil dans le casier de ses collègues masculins sans plus de succès, Fawkes expira doucement. Ne pas perdre son calme.
Arya...
Mais non mon grand, t'es parano...

PASMAYA! a écrit:

- Eh! Ya encore quelqu'un? ... Les filles, est-ce que...?

Pourvu qu'elles soient habillées, et pas la tête sous le jet, à chantonner l'hymne de Poudlard, du shampooing plein les oreilles. Pas qu'il ne pourrait pas supporter la vue d'une fille nue, hein... 'fin... Le souvenir d'une Maya de troisième année s'invitant dans son lit en culotte-lapin-carotte pour l'écraser sauvagement le retenait tout de même.
Pas Maya.
Pitié.
Même Arya, si vous voulez, mas pas Maya... Pas Maya, PasMaya, pasmaya, pamayapamayapamaya...
Personne. Et c'est dans ces moments là où, entre la déception et le soulagement, vous vous sentez bien seul. Pas que les filles ne soient pas en train de se savonner, hein.

Je vous aime ♥ a écrit:

On ne savait jamais, hein, elle [Arya] aurait pu être sympa, cette idiote. Nan mais, vraiment, qu'on l'envoie à Gryffondor qu'elle puisse copiner avec l'autre crétine de Strauss !

Les Garner a écrit:

Et puis, il avait rougit, comme un parfait crétin, chose qu'il faisait également actuellement. Il ne s'y connaissait pas du tout trop en matière de fille et de critères...séductivité? Séduction, plutôt, mais il aurait fallut avoir une sacré conjonctivite ou avoir perdu la vue pour ne pas se rendre compte que la demoiselle avait un minois charmant. Tout comme la silhouette. A bien y repenser, le bleu ne pensait pas avoir vu l'un des enfants Garner avec des traits déformés... Pas qu'il admire toute la fratrie Garner, hein! Allez pas penser des choses comme ça! Mais bon, ce n'était pas comme si la petite sœur de Kiarah partageait sa salle commune et que l'un des jumeaux lui était entré dedans en faisant voler leurs affaires respectives. 'Fin, passons. Tout ça pour dire que Wayoth ne trouvait rien à redire lorsqu'il entendait les mâles du château parler de sa jolie binôme verte, hormis "La testostérone, j'vous jure...".

Maximilius Gryffondus à Fortecanto a écrit:

Le bleu avait toujours eu un peu de mal avec les lions. Casse-cou, mais également casse-autre-chose, ils étaient réputés pour leur énergie à revendre, leur bonne humeur, mais aussi pour la manie de se mêler de tout. Et, par tous les saints, ce qu'ils pouvaient être crevant! Sans rire, rien qu'en prenant Maximilien Dobson en exemple! Wayoth l'appréciait et aimait déconner avec lui, pouvant ainsi se lâcher de temps en temps... mais bon sang, ce qu'il pouvait avoir envie de lui foutre une paire de claques de temps à autres! Juste pour avoir un peu de silence! Et comme chaque animal sauvage a son point faible, le Maximilius Gryffondus à Fortecanto (en d'autre terme, le mec avait du coffre!) se trouvait apaisé par la musique. Alléluia!

-Le Destin, le Hasard... -Le cheval... #Raiponce a écrit:

Aussi, il laissa filer le sujet, rapprochant inconsciemment Jimmy J. Kent de son filleul -ou plus exactement, petit frère de cœur- Elwyn H. Miller. Deux garçons de cinquième année que le hasard (ou le chat) avait fait se rapprocher. Si son cadet aigle lui rappelait beaucoup l'un de ses cadets et lui-même (voir également son autre frère lorsqu'Elwyn jouait au con), sa relation avec Jimmy aurait pu s'échouer directement à cause du blason rouge et or du gentil lion. C'était con, mais comme ça : Fawkes avait un apriori sur les lions, choses qu'il n'avait pas avec les autres maisons.

Moi j'ai entendu dire que l'amour fait souffrir, que l'amour fait pleurer...A quoi ça sert d'aimer? a écrit:

Carlie avait été amoureuse, Way le savait. De Foster, un Serpentard que Fawkes…ne connaissait pas forcément.  Il ne savait pas si le vert voyait qui il était, d’ailleurs, mais s’en fichait pas mal. Sans avoir de la sympathie pour lui, il n’allait pas jusqu’à penser que c’était un sale type d’avoir rompu avec Carlie. Quoique…
[...]
*Voilà, Carlouille, si tu pouvais m'expliquer ce qui m'arrive, là, face à Lys, je te laisserai faire ce que tu veux de moi. Un esclave ou un harceleur de Foster, comme tu veux, mais je sens qu'en lisant tous les bouquins de la bibliothèque, je n'aurais pas de réponse satisf....*

La joie de cohabiter avec Fawkes a écrit:

]« Bravo, Lys ! Tu es douée… J’ai mis pas mal de temps à enchainer les deux sortilèges sans inonder le sol du dortoir. D’ailleurs, il va falloir que j’explique à Adam et Hayden pourquoi leurs chemises étaient à la lingerie… »
"Tu vas finir par te mettre tes colocataires à dos Way si tu continues comme ça… Je ne suis pas sûre qu’Hayden ou Adam apprécie vraiment de se retrouver dans un dortoir innondé, ou avec leurs affaires éparpillés partout…"
Le bruit qu'émit Fawkes à la suite de la remarque de son amie pourrait être comparé à celui d'un ballon de baudruche se dégonflant, mais je ne peux malheureusement pas le retranscrire par écrit. Ou peut être "Pppprrrrfffffooou", mais essayez donc de prononcer ça! Quoiqu'il en sit, le garçon fit bien comprendre que l'avis des deux aigles lui importait peut, et il haussa les épaules tout en roulant des yeux avant d'y ajoute un geste rapide de la main. Histoire de dire : "P'tain, mais si tu savais comme je m'en balance, les pauvres en on vu d'autres. "

Petit frère, le retour ! a écrit:

Avec Carlie, il fallait des mots. Ce n'était pas comme avec Adam ou un simple haussement de sourcil pouvait remplacer une phrase, ou comme avec Elwyn où un regard complice pouvait les faire sourire, du genre : "Tu as compris la même chose que moi, ou...? P'tain mec, j't'aime!". Ça, déjà, ce n'étais pas quelque chose qu'arriveraient à se dire les aiglons à voix haute, mais tous les deux n'estimaient pas avoir besoin de le formuler pour le faire comprendre à l'autre. La complicité qu'entretenaient les deux garçons était suffisante, mais besoin de mots.

Citation :

Maximilien attrapa le bouquin de cette vieille sorcière d'Arya Howe qui traînait dans le coin –cette fille la suivait, c'était pas possible autrement, pour le balancer sur Peeves (...) la fillette lui courut après, sans oublier de jeter un regard mauvais à la Serdaigle. Genre elle savait lire, en plus, cette fille.

Citation :

Croisant Foster au passage, l'enfant le gratifia d'un doigt d'honneur gratuit, juste pour le plaisir.

Citation :

Un secret... Elle en avait, des secrets. Genre c'était elle qui avait mis du savon dans la soupe de Gabriel. Qui avait discrètement mis des petites fleurs en papier dans la chevelure beaucoup trop gominée d'un serpentard de septième année dont elle ignorait le nom et qu'elle préférait ne jamais recroiser, même s'il ignorait qui était responsable. C'était elle aussi qui avait mis des cafards dans le sac de couchage de Foster, le dernier soir de la colonie. Bon, là-dessus, elle s'était trompée, elle pensait que c'était que c'était le sac de couchage de Larsonn.

Louise Fitzgerald a écrit:

Citation :

Un secret... Elle en avait, des secrets. Genre c'était elle qui avait mis du savon dans la soupe de Gabriel. Qui avait discrètement mis des petites fleurs en papier dans la chevelure beaucoup trop gominée d'un serpentard de septième année dont elle ignorait le nom et qu'elle préférait ne jamais recroiser, même s'il ignorait qui était responsable. C'était elle aussi qui avait mis des cafards dans le sac de couchage de Foster, le dernier soir de la colonie. Bon, là-dessus, elle s'était trompée, elle pensait que c'était que c'était le sac de couchage de Larsonn.

Citation :

Asher n'avait rien contre les librairies, ce n’était pas si mal. Il n'avait rien contre les livres non plus. Bien que ce soit plus drôle à ensorceler qu'à lire, pour qu'ils claquent sur le nez des gens par exemple. Wayoth n'avait de chance au jeu du "Utilise le livre qui n'est pas dangereux pour ton pif". Sûrement une question de probabilité vu le nombre de bouquins que lisaient les Serdaigles.

Citation :

Tout le premier post.

Citation :

Louise qui ? Il connaissait une Louise, mais son nom, c'était pas tellement le fouillis de consonne qu'elle venait de prononcer. Peu importe, elle devait parler de la même personne : l'espèce de minipuce mangeuse de chocogrenouille rouge et or.

Citation :

Gabriel vivait une journée normale d'une chose normale que la normalité elle-même ne désavouerait pas. Bref, en somme, il s'ennuyait. Il traînait ici et là dans les couloirs, en songeant que s'il ne s'améliorait pas en métamorphose, Howe allait finir par lui bouffer les oreilles avec de la sauce à la citrouille. Pourquoi était-il en binôme avec cette fille depuis des années déjà ? Il avait oublié. Oui, il lui avait dit qu'il réviserait aujourd'hui. Oui, oui. Puis il avait trouvé ce super livre à la bibliothèque sur les pirates, et depuis, il ne pouvait s'empêcher de le feuilleter. Il allait d'ailleurs de ce pas le lire sous le soleil un peu timide de ce mois de mai.

Le soucis fut que lorsqu'il vit au détour d'un couloir, Arya Howe, il eut comme toujours, une réaction stupide mais normal, de faire semblant d'être très occupé. Juste en pause entre deux études. Promis. Il entra alors dans les toilettes et soupira longuement. Bon, au moins, ici, il serait tranquille.

:rolling eyes: a écrit:

Rooooh. Ironie incomprise. Wayoth roula des yeux, un peu comme l'avait fait Adam Wright, un garçon de son dortoir aux boucles brunes, la veille au soir quand Fawkes avait émit une théorie "idiote" pour empêcher l'un des autres garçons du dortoir de faire trembler les murs du château par ses ronflements.

Choixpeau a écrit:

Parfois, Wayoth se disait que le choixpeaux avait peut-être besoin de repos, car son année de répartition avait été bien étrange : Granger chez les rouges, Neville chez les courageux, Lil' chez les vicieux-parfois-crétins, et lui, cul entre deux chaises.

les trucs en "eure" a écrit:

Ok... Mais quel bande de crétins, ces Serpentards. Que Merlin protège Aster de leur connerie. Foster, Cleaver, McAlister, tous les autres "eure" semblaient déjà être passé du mauvais côté, mais on pouvait toujours sauver le Soldat Liliael. Nope?

Sevan « The Captain » McAlister a écrit:

« Savoir que les bleus doivent être en train de se morfondre dans leur salle commune à l’heure qu’il est me remplit de joie ! »

Huhuhuhuhu! Tout à fait oui...
Cette lecture fait mon bonheur et ma journée!

Citation :

Quelques minutes avant le début du cours, il avait croisé dans les couloirs celle qui illuminait sa vie. Celle qui rendait ses journées moins monotones. Celle dont le sourire le faisait fondre. Celle dont le parfum excitait ses sens... Kiarah Garner. La Serpentard de 16 ans qu'il convoitait depuis maintenant quelques temps.

Citation :

Interventions inutiles, inattentions, perturbations en tout genre : Maximilien était déchaîné. Il s'était d'abord amusé à lancer des petites boulettes de papier dans les cheveux de Strauss, qui se trouvait juste devant lui. Puis il avait entrepris d'arracher la plume de son voisin, qui n'était autre que Neville Londubat.

Citation :

Et ce fut surtout lorsque Carlie apparut dans son champ de vision, les mains sur les hanches, les sourcils froncés, qu'il se rappela qu'il avait oublié son traitement.

Citation :

Cette fois-là, son éternelle maladresse avait repris le dessus... Et il avait raté une marche. Une marche de trop. Il finit en roulé-boulé en bas des escaliers, et il rentra littéralement dans une personne, qu'il entraîna dans sa chute. Il ne mit pas bien longtemps à reconnaître celle sur qui il était tombé.

- Hestia...

Son parfum, la chaleur de sa peau. Il l'aurait distinguée à travers une foule de cent personnes. Les yeux fermés. Citrouille. Hestia.

Citation :

Quand vint le moment du repas, évidemment, Maximilien était davantage déchaîné. En général, il mangeait souvent seul car trop agité le midi. C'était d'ailleurs le cas aujourd'hui : lancer de nourriture en direction du trio de pierres tombales (à savoir Mallory, Cleaver et Hawthorne), ébouriffement de tignasses en tout genre (Louise, Amaryllis et Maya faisaient partie de ses victimes favorites) et pour terminer, il s'était amusé à balancer les feuilles de révision de May un peu partout.

Meredith a écrit:

Alexander Foster ... oui, tu es bien informé, j’ai été mise en retenue avec lui. La forêt interdite, ça ne pardonne pas. Il n’empêche que sans lui, rien de tout cela ne serait arrivé, et je n’aurais pas fait perdre autant de points à Gryffondor ! Mais ce nigaud n’est pas vraiment du genre discret. Je ne comprend pas trop ton animosité pour lui. Il est un peu bête, un peu vert, un peu trop penché sur la boisson et la bonne compagnie, mais pas méchant du tout.

Meredith Breckenridge a écrit:

Nom du(des) personnage(s) cité(s) : Alexander Foster
Lien vers le topic : D'Adam à Meredith.

Meredith a écrit:

Alexander Foster ... oui, tu es bien informé, j’ai été mise en retenue avec lui. La forêt interdite, ça ne pardonne pas. Il n’empêche que sans lui, rien de tout cela ne serait arrivé, et je n’aurais pas fait perdre autant de points à Gryffondor ! Mais ce nigaud n’est pas vraiment du genre discret. Je ne comprend pas trop ton animosité pour lui. Il est un peu bête, un peu vert, un peu trop penché sur la boisson et la bonne compagnie, mais pas méchant du tout.

Louise a écrit:

Passant auprès du serpentard gominé au prénom qu'elle n'arrivait pas à retenir mais qui indiquait clairement que ses parents ne voulaient pas de lui à la naissance, une vague odeur de lavande lui titilla les narines. Etrange. Le coup de porte devait avoir des répercussions sur son sens de l'odorat ou alors le septième année avait un pot-pourri dans sa penderie.

Citation :

Sa potion terminée, la Serdaigle profitait des quelques minutes de répit qu'elle avait, pour rêvasser. Son regard s'attarda un temps sur Nolan Sherman qui faisait équipe avec Stella Rowell. A en juger leurs visages réjouis, ces deux-là avaient réussi leur potion. Les enviant secrètement, Jessicayumi détourna les yeux.

Citation :

Voulant se rassurer, elle chercha des visages connus tel que Jimmy Kent ou Nolan Sherman et Stella Rowell qu'elle avait observé plus tôt. Mais sa vision était bien trop trouble pour les discerner avec précision. Était-ce le Gryffondor qu'elle voyait un peu plus loin... ? Et ces deux étudiants mal en point, un peu plus loin, étaient-ils Sherman et Rowell ? Jessicayumi n'en serait rien.

Citation :

Cette nuit, elle avait vu le visage du démon, et se demandait encore comment elle s’en était sortie entière. Elle ignorait même si l’homme toucherait un mot de ses observations aux Carrow, chose qu’elle semblait secrètement couver d’une espérance refoulée. (...) Elle n’avait pas du tout dormi cette nuit-là, et contrairement à d’habitude, elle n’était pas restée dans les couloirs pour combattre ses pensées trop remuantes. La peur de croiser à nouveau le vieil homme avait été trop vivace.

Citation :

La préfète, au fond de la salle, pu admirer le courage de certains – et notamment de Lou, handicapé et poursuiveur dans son équipe, une énigme à lui tout seul – et la débâcle des autres.

Citation :

En fait, elle se laissa tomber, saisie d’un brusque élan de survie. Elle entraîna avec elle Gabriel, quelques mètres derrière, en tirant sur sa jambe pour le faire s’effondrer. Ainsi allongée, ils étaient couverts, un peu à l’abri des tirs, ce qui lui permit de tirer sa baguette. Elle remonta sa manche, et d’un murmure, s’incisa le bras, tout le long de l’os. [...] Elle en barbouilla son visage et celui de son ami, rapidement, efficacement, avant de s’éloigner en rangeant son instrument de chirurgie élémentaire, avec un dernier regard plein de sens pour Gabriel. Reste à terre. Elle devait d’abord penser à se sauver. Elle, et Gabi. Cette réaction était terriblement égoïste mais aussi terriblement spontanée, et elle ne s’en voulait absolument pas.

Citation :

Meredith, elle, était tout de suite allée s’enquérir de ses amis, notamment de Gabriel qui n’avait pas répondu à une seule de ses lettres de tout l’été. Elle se rongeait les sangs à son sujet. Il était renfermé. Ne riait plus. Faisait des blagues à contre cœur. Et surtout, il avait perdu cette étincelle, cet éclat de malice et de jeunesse folle qui le caractérisait tant. A peine l’eut-elle aperçu sur le quai, qu’elle courut vers lui le serra dans bras en se retenant de pleurer. Lui-même semblait bouleversé.

Meredith Breckenridge a écrit:

« Je n’avais absolument pas réfléchi au fait qu’à peu près quatre autres joueurs de Quidditch épuisés avaient le droit à la salle de bain des préfets … » C’est en le disant, le regard posé sur le tableau mouvant de la sirène, que cette réalisation la frappa de plein fouet. Sa voix se fit préoccupée. « D’ailleurs, on ne risque pas de les voir débarquer à tout moment ? »