[size=30]Adrastée AVERY[/size]
FICHE DE PRÉSENTATION

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Adrastée Avery DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 4 décembre 1967, 30ans ANNÉE : ORIGINE * : sang pur METIER : Directrice de SERDAIGLE AUTRE : texte explicatif (pas obligatoire d'y appartenir) BAGUETTE : If et ventricule de Dragon, 28cm. Aspect fin. PATRONUS : un papillon Argemme

HORS JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? tour de jeu ÂGE IRL : 33 ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Eva GREEN EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? non DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ?(voir Ici): AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : >

APPARENCE (300 mots) PHYSIQUE : Une beauté pure, sereine… une clarté spectrale et évanescente… sont les qualificatifs que l’on peut utiliser pour décrire Adrastée. Son visage de porcelaine, aux traits fins, laissent apparaître des lèvres d’un rouge bourbon impressionnant. D’aucun n’aurait pu le dire autrement. Son nez aquilin se termine à la naissance de deux sourcils sombres et minces surplombant un regard profondément énigmatique. Dès lors que l’on croise ses yeux, nous sommes conquis et captés par l’intensité du vert émeraude de ses iris. Cette beauté fragile et qu’elle sait n’être qu’éphémère, a souvent créé de graves problèmes à Adrastée. Mais nous y reviendrons plus tard. Issue d’une famille naturellement grande, elle n’a pu s’y soustraire. La génétique lui a fait hériter d’une taille avoisinant les 1m80. Sa silhouette longiligne et filiforme ne laisse entrevoir aucune forme particulièrement plantureuse.   Néanmoins, elle parait légère et cela donne à sa démarche un aspect presque fantomatique. Comme si elle se déplaçait en glissant sur le sol. Cette démarche, là encore singulière, lui a également valu quelques déboires. Pour finir sur l’aspect purement physique d’Alecto, sa tête est couronnée d’une épaisse chevelure noire et ondulée quotidiennement nouée en chignon haut et sophistiqué. Elle tient ce style de coiffure de sa mère. C’est comme si à travers elle, sa mère vivait encore. Tout le monde dans sa famille s’accordait à dire qu’elle lui ressemblait traits pour traits. A croire qu’elles étaient sœurs jumelles. Son style vestimentaire sobre, quelque peu austère, mais toujours extrêmement élégant, s’inspire de l’époque Victorienne de Londres. Elle est donc couramment vêtue de longues robes, de couleur généralement sombre, noire, verte ou bleue et coiffée de petits chapeaux : melon, cloche ou de sa propre confection ; ornés de fleurs et de papillons. Les chaussures montantes qui accompagnent ses tenus sont elles aussi généralement de couleur noir et se ferment à l’aide de lacets de cuirs.   .

PERSONNALITÉ (300 mots) CARACTÈRE : La jeune femme de 30ans est d’une nature plutôt solitaire. Ce qui ne fait pas d’elle une créature de la nuit taciturne et énigmatique. Elle est assez sûre d’elle pour se suffire à elle-même. En d’autre terme elle n’apprécie pas particulièrement la compagnie de ses semblables et ne lie aucune amitié ou très peu. Ceci étant aussi la résultante d’un passé difficile concernant ses relations amicales. Elle a appris à ne compter que sur elle-même et à ne faire confiance à personne. Elle n’est pour autant pas orgueilleuse ou narcissique, car elle sait reconnaître ses faiblesses, ses limites, bien que peu nombreuse d’après ses dires. Enfin, elle ne laisse transparaître aucune émotion, car elle en est certaine, c’est de cette façon que l’on pourrait lui faire du mal. Son visage est ainsi quasiment inexpressif. Voire de marbre, lorsqu'y lui prend parfois l’envie ou la nécessité de s’adresser aux autres êtres humains ou magiques. Malgré cette apparente distance, qu’elle impose, la jeune femme n’en reste pas moins attentive aux autres et à ce qui se passe autour d’elle. Elle est observatrice, à l’écoute et réfléchie. Plutôt intelligente, elle a par ailleurs réussi avec succès ses examens de magie à l’Ecole Beaux-Bâtons en France. Toutefois, Miss Avery n’a pas toujours été ainsi. Enfant, Adrastée était joyeuse, ouverte et très sociable. Elle aimait parler à ses camarades et même parfois faire des blagues. Difficile à croire aujourd’hui. Mais c’était avant le sinistre accident. Depuis cette époque la jeune fille perdit tout espoir et joie de vivre. Plus elle grandissait et devenait belle, moins elle parvenait à créer des liens avec les autres filles, qui, bien évidement, la jalousaient. Pour s’en défendre, Adrastée se plongea dans le travail et les études. Ce qui lui a permis de réussir brillamment et l’a rendu concentrée, organisée, méthodique et sérieuse. Aujourd’hui, elle souhaite transmettre son savoir, ses valeurs et ce en quoi elle croit, aux nouvelles générations de sorciers, à travers le respect, l’écoute et le dur labeur. PROJET(S) D'AVENIR : Adrastée est une jeune femme qui n’a plus rien a perdre et ne souhaite rendre de compte à personne. C’est en tout cas ce qu’elle pense au fond d’elle. Mais elle sait qu’elle doit faire attention car les temps actuelles sont des temps troubles et qu’un seul faux pas, avec le passé terrible de sa famille, lui sera fatale. Aujourd’hui, comme hier, elle n’a qu’une seule chose en tête, c’est connaitre les circonstances troublantes de la mort de sa mère. Et pour cela, il lui faut rentrer à Londres. La mort de son père et le message de son frère ont été une aubaine pour elle. Néanmoins, elle n' a pas comme souhait le plus cher de devenir une mangemort et faire du mal à d’autres sorciers. C’est davantage pour être au cœur et donc au plus prêt de l’ennemi qu’elle a accepté de devenir un serviteur des ténèbres. Elle en est sûre, son père, les mangemorts, son frère, Voldemor, tous autant qu’ils puissent être sont impliqués d’une façon ou d’une autre dans « l’accident ». Elle est donc revenue à Londres pour faire la lumière sur cette histoire. .

HISTOIRE DU PERSONNAGE (800 mots)


Adrastée Avery est la descendante d’une longue lignée de sorcier au sang pur. Elle fait parti des quelques grandes familles dans le même cas. Elle est la fille de Sr Avery, ancien mangemort et admirateur de Tom Jedusor. Il a été élève en même temps que lui à Poudlard. Ce dernier eu deux enfant une fille et un garçon Avery 2ème du nom fit ses études à Poudlard et devint par la même occasion et comme son père un mangemort et participa à la première guerre des sorciers, à la différence de sa sœur.
Adrastée, née en 1967, fut, quant à elle,  envoyée pour ses 11 ans à l’école française de magie. Son père, pour des raisons encore inconnues, ne souhaitait pas que cette dernière aille à Poudlard.  C’est donc en 1978 que commença son apprentissage de jeune sorcière.  Dans ses premières années à Beaux-Bâtons, la petite fille était heureuse et entourée de beaucoup d’amis. Mais c’est en 3ème année que sa vie a basculée. La mort de sa mère, dans des circonstances mystérieuses et tragiques ont eu raison de sa force de vie. Depuis ce jour elle n’a cessé de vouloir devenir la meilleure pour trouver des réponses à ses questions. Des réponses concernant la mort de sa mère.
Plus elle se mettait à travailler et moins elle ne se liait d’amitié avec les autres. Il lui restait pourtant une amie : Coralie De GUILLERMET ; une jeune fille douce et apaisante pour Adrastée. C’était la seule personne qui pouvait de temps en temps lui redonner le sourire.
Adrastée était aussi amoureuse d’un garçon qui s’appelait Benjamin LISERON. Un sang de bourbe. Il n’était pas très apprécié par ses camarades, car à l’instar de ce qui se passait à Poudlard et à Londres, des mouvements extrémistes rejetant les sangs mêlés et autre être impure pour pratiquer la magie arrivaient en France.

Un soir, Coralie avait donné rendez-vous à Benjamin dans la salle commune pendant la nuit. Elle ne voulait pas être vue et avait quelque chose d’important à lui dire. Du moins, c’est ce qu’il pouvait comprendre du message qui lui avait été transmis par son hibou. Coralie, qui était jalouse des sentiments qu’Adrastée ressentait pour ce jeune garçon, voulu lui tendre un piège. A l’heure dite du rendez-vous, Coralie et 5 autres garçons lui tombèrent dessus et le rouèrent de coup. Malheureusement, Adrastée qui faisait régulièrement des insomnies depuis la mort de sa mère, était dans les alentours et pu apercevoir toute la seine. Elle brandit alors sa baguette et stupefixa le plus de personne qu’elle pu pour venir en aide à Benjamin.
Depuis cette nuit là, elle ne parla plus à Coralie. Et d’ailleurs, plus à grand monde... Ce fut le jour où la confiance en l’être humain, en l’autre, s’était éteinte. Elle finit ses études et passa ses examens de fin de cursus en excellant dans tous les domaines. Par la suite, elle prit un poste de professeur dans l’école de magie. Elle enseigna jusqu’en 1996  les sortilèges de magie noire et de protection.

Un jour, elle reçu un hibou de la part de son frère :

Père est mort. Il faut que tu rentres. Nous avons besoin de toutes les forces disponibles. Rallie-toi à notre cause.

Elle ne comprit pas tout de suite la teneur de ce message. Il y’avait beaucoup d’informations et aussi des demandes étranges. De quelle cause parlait son frère ?

*Je ne comprends pas. Il me parle des mangemorts certainement. Mais alors c’est vrai. Il est de retour. Le maître des ténèbres…*

C’était comme si toutes ces années passées à travailler, dans l’obscurité, sans une vie à l’extérieur et sans réponse… c’était comme si enfin tout avait un sens. Tout allait enfin s’éclairer. Adrastée allait comprendre, apprendre, savoir tout ce dont elle a toujours voulu, toujours espéré, toujours attendu. Elle était comme une enfant devant une boite et qui attend avec impatience qu’on lui permette de l’ouvrir et de regarder à l’intérieur. Elle allait enfin pouvoir regarder elle aussi à l’intérieur.

Elle fit ses valises et rentra à Londres rejoindre son frère sans tarder. A la suite de quoi elle fut reçue par Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, afin de lui être présentée et lui fit allégeance. Elle fut par la suite missionnée à Poudlard par la ministère de la Magie afin de reprendre la direction de la Maison SERDAIGLE.

Il est difficile de comprendre cette obéissance soudaine et ce retour d’Adrastée. Elle n’avait jamais eu comme espérance d’être un jour une mangemort, mais c’est ce qu’elle fit. Elle n’avait jamais espérer être sa partisane, ou encore professeur à Poudlard, mais c’est ce qu’elle fit. Bien des interrogations, bien des faits encore sans réponse.

Arrivée au seuil de la grande porte de l’école de magie anglaise, elle redressa la tête, jeta un coup d’œil à l’immense bâtisse en pensant, le cœur serré, à ses années à Beaux-Bâtons. Elle ajusta son chapeau et les quelques plis de sa robe avant de pénétrer dans l’enceinte de ce qui allait être son foyer pendant quelque temps.
Tout en avançant dans la cours intérieure du château, elle posa délicatement la main sur sa poitrine en touchant une boursouflure sous le vêtement. La forme qu’elle dessinait semblait avoir l’aspect d’un pendentif de forme ovale.

« Je t’en ai fait la promesse. Je saurais. »



EXEMPLE DE RP (1000 mots)

ON VOUS DEMANDE DE CHOISIR UN SUJET PARMI CEUX-CI :


2/  Racontez le premier Patronus Corporel de votre personnage (le souvenir heureux utilisé, les difficultés, la symbolique de l'animal.

En troisième année, à 13ans, Adrastée du apprendre, comme il est de coutume de le faire, le sortilège du Patronus. Ce sortilège, qui permet de se défendre de l’attaque des Detraqueurs est d’un apprentissage difficile. Il faut à la fois ne pas avoir peur, ne pas se laisser aller aux doutes, à la terreur que peut inspirer ces créatures et trouver un souvenir joyeux de sa vie. Tout ceci était par conséquent fort complexe pour la jeune fille. D’autant que depuis quelques jours de ce mois de décembre, Adrastée avait comme une boule à l’estomac. Quelque chose n’allait pas mais elle ne parvenait pas à comprendre ce que c’était. Elle n’en avait parlé qu’à sa meilleure amie Coralie. Cette dernière avait quant à elle réussit sans véritable difficulté à créer un magnifique patronus en forme de faucon.
« - Quel est le souvenir que tu as utilisé pour éveiller ton Patronus ? demandait Alecto  avant d’entrer dans le cour de défense contre les forces du mal.
- Le jour où mon frère est né. J’ai trouvé ce petit être tellement beau et j’ai ressenti tellement d’amour pour lui que je m’en suis servi pour créer mon faucon.
- Je comprends. C’est merveilleux. Mais tu sais, je n’ai pas de souvenir comme celui que tu as. De plus ma famille est particulière. Je n’ai jamais vraiment vécu de moment heureux. Hormis lorsque ma mère me préparait des gaufres pour le goutter. Ca sentait bon et elles étaient délicieuses.
- Essaye avec ce souvenir Adrastée. Je t’aiderais. Nous irons nous entraîner après le cours si tu veux.
- Ok, merci Coralie. »
Les deux jeunes filles s’enlacèrent.
Le cours fut long et difficile. Adrastée, malgré ses multiples tentatives et tout le soin qu’elle mettait à la tâche ne parvenait pas à lancer le sort d’une façon convenable.
« - Tu va y arriver je t’assure, lui dit une voix qui venait de derrière elle.
- Qui… euh… en se retournant elle aperçu un jeune garçon de sa classe et aux yeux exceptionnellement noir lui sourire.
- Moi c’est Benjamin, lui dit-il en lui tendant la main en guise de bonjour. J’ai aussi mis un temps fou à trouver mon souvenir précieux. Mais j’y suis arrivé. Ne t’inquiet pas.
- Merci, lui répondit-elle passablement gênée, mais étrangement joyeuse. Au même moment Coralie agrippa Adrastée par le bras et couru à l’extérieur de la salle de classe.
- Oui, je sais qu’elle y arrivera, je l’entraîne déjà, sifflât-telle en direction de Benjamin. »
Les deux amies sortirent ensemble et d’un pas rapide de la classe. Adrastée réussi néanmoins à jeter un dernier regard au jeune garçon et à lui sourire. Coralie avait quant à elle l’air très agacé. Dans les couloirs de l’école Adrastée fut rattrapée par un professeur. Elle devait immédiatement aller voir la directrice qui l’attendait dans son bureau. Respectueuse du règlement et de l’étiquette qui régnait à Beaux-Bâtons, Adrastée pris soin d’aller d’abord se changer pour enfiler des vêtements propres avant de se rendre auprès de la directrice.
C’est lors de cet entretien qu’Adrastée appris la mort de sa mère… Elle fit immédiatement le lien avec la sensation dans son ventre. Cette sensation qui l’a suivait depuis plusieurs jours maintenant. En entendant cette nouvelle, Adrastée s’effondra et sortît en courant du bureau. Elle  se rendît dans la cours principale de l’école, essayant d’apaiser son chagrin sur le rebord de l’immense fontaine au centre du jardin français ornant l’internat. Elle fut rejointe par Benjamin, qui passant à travers la cours s’arrêta quelques instants auprès d’elle. Il s’accroupit entendant les sanglots de la jeune fille.
« - Que se passe-t-il ?
- ...
- Je comprends. Tu me le diras quand tu te sentiras de la faire.
- Merci, lui répondit-elle joignant son regard au sien. »
Ils restèrent plusieurs minutes ensemble, assis, sans un mot. Le soleil débutait sa course descendante. Ses flamboyants rayons rouges vifs donnaient au spectacle de son couché une intensité particulière. Benjamin en profita pour interrompre ce moment mutique en invitant Adrastée à regarder en direction du soleil couchant.
«  - La lumière laisse place à la nuit… mais uniquement pour quelques heures. Demain il fera jour… et tout recommencera ainsi. »
Cette phrase, ces quelques mots, simples et presque naïfs, prononcés par Benjamin, eurent un écho profond chez la jeune fille. Elle se redressa, essuya ses larmes et lui répondit :
« -  Tu as raison. Je crois que c’est ce que je vais attendre : Que le jour revienne !
- Comment ça ? Que veux-tu dire ?
- Benjamin, j’ai appris une chose terrible aujourd’hui. Ma mère est morte. Ou plutôt a été assassinée et dans des circonstances étranges. Mais je sais tout, j’ai compris.
- Abon ? Mais qu’as-tu compris ?
- Je sais que je me vengerais et je ne vivrais plus que pour ce jour à partir de maintenant. »
Elle se tourna face à lui et plongea ses yeux emplis de larme dans les siens. Et de cet intense moment, elle dit solennellement et de manière presque effrayante :
« - Je n’aurai de cesse que de les traquer, je n’aurais de cesse que de chercher à connaitre cette vérité qui m’a été dissimulée pour l’heure. Et le jour le plus merveilleux, le plus heureux de ma vie, ce jour sera celui où ils payeront pour ce qu’ils ont fait. »
Au terme de cette tirade, elle se leva et d’un bond sortit sa baguette et ardemment cria :

«  Expecto Pratronum !!!!! »

Jaillit alors d’une lumière merveilleusement blanche et pure, un immense et magnifique papillon, symbole de sa renaissance et de son courage face aux obstacles et difficultés qui ont et vont jalonner son chemin. Car il s’agira de vaincre ou se transformer pour renaître plus fort encore. Et de cela, elle s’en fait la promesse.

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