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| Sibylle Patricia Trelawney | |
| Auteur | Message |
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Invité | Sujet: Sibylle Patricia Trelawney Ven 25 Mai 2007 - 10:38 | |
| Comment avez-vous connu ce site ? J’étais occupée à alimenter le feu de ma cheminée, lorsque, soudainement, l’envie de me tirer les cartes m’est venue. Je me suis assise, et savez-vous ce que j’ai vu ? La mort. Votre forum. Le destin m’imposait de m’y inscrire. Qui suis-je pour contredire pareilles forces ?
Nom : Trelawney
Prénom : Sibylle Patricia
Age : (18 ans minimum) L’âge importe peu mes enfants ! Seule la lucidité de l’esprit compte !
Lieu de naissance : Cornouailles.
Origine : (Sang pur, sang mêlé, moldu) Famille sorcière.
Physique : (5 lignes COMPLETES minimum, votre description doit correspondre au personnage de votre avatar) Elle est grande, elle est mince, elle est… non, elle n’est pas séduisante. Vous y aviez cru, hein ? Avec ses lunettes rondes et aussi épaisses qu’un hublot de sous-marin, ses cheveux emmêlés, négligés et hirsutes qui l’enveloppent comme les branches d’un vieux saule et ses vêtements d’un autre âge, vous ne direz sûrement pas de Sibylle Trelawney qu’elle est d’une beauté suprême. Mystificatrice jusqu’aux chaussettes, elle tend à se donner un petit air éthéré, fantomatique, mais en fin de compte, elle est loin d’être aussi silencieuse que le plus indiscret des ectoplasme. En effet : affublée de bracelets, colliers et bijoux en tous genres, elle traîne dans son sillage un bruit agaçant de breloques qui s’entrechoquent – en même temps qu’un léger parfum de Xérès. Ajoutez à tout cela une démarche dépourvue de grâce, et vous obtenez le professeur Trelawney. A noter que Sibylle, à force de errer – selon ses dires – à la limite du monde des morts, est devenue une frileuse imbattable ; si bien que des châles lui recouvrent constamment les épaules et que sa salle de classe est perpétuellement surchauffée. Une dernière chose : en dépit de son troisième œil, elle se heurte souvent aux meubles.
Caractère : (7 lignes COMPLETES minimun)
Avant toute chose, cette pauvre Sibylle est bien naïve. Confrontée chaque jour à son manque cruel de compétence, dénoncée sans arrêt par les soupirs peu convaincus de ses élèves, elle persiste et signe à affirmer qu’elle est « une grande voyante totalement incomprise ». Grande voyante, certainement pas ; mais incomprise, ce n’est que plus vrai. Comment voulez-vous prêter crédibilité à une femme qui invoque les forces de l’avenir à grands gestes inutiles, cris stridents et tremblements exagérés ? Et surtout, par quel moyen peut-on ressortir éclairé d’une pièce plongée dans la pénombre, où votre mort a été annoncé plus de six fois ? Un peu de bons sens ! Sibylle est ce qu’on appelle vulgairement « une charlatane », mais qui – la faute aux lunettes sans doute – reste aveuglées quant à la nature de ses talents. Car elle possède un alibi en béton : elle est l’arrière arrière arrière petite fille de Cassandra Trelaweny, médium de haute renommée. Pour combler son manque de résultats, Sibylle se dissimule derrière des attitudes fantasques : sa voix n’est que murmure inquiétant, ses gestes paraissent glisser dans l’atmosphère, et ses yeux (rétrécis par les lunettes) ne voient en vous que la pire des catastrophe. Des prévisions, elle vous en lancera. A la pelle. Qu’elles se vérifient, c’est une autre histoire. Mais il faut lui accorder une chose, à la Trelawney : elle est observatrice. D’où parfois la pertinence de ses visions. Plaignez-vous à voix basse à votre voisin que vous souffrez de maux de ventre, et elle vous lancera : « Vous ! Un mal intestinal plane au-dessus de vous ! D’ici peu, vous irez aux toilettes ! » Vous voyez le genre ? Mais en dehors de tous ces aspects rebutants, il s’agit d’une femme charmante avec qui il est agréable de bavarder.
Signes particuliers : (Tatouage...) Un troisième œil caché on ne sait où. Mieux vaut ne pas trop le chercher.
Ce qu'il ou elle aime : (3 lignes COMPLETES minimum) Elle aime la chaleur ; rien de tel qu’un bon feu de cheminée en plein été pour maintenir la concentration de votre don de double vue. Ensuite, elle a une petite inclination pour les parfums bon marchés et sentant extrêmement fort ; au point de vous donner mal à la tête. Mais surtout, surtout, elle adore le Xérès – son pêché mignon que tout le monde est censé ignorer.
Ce qu'il ou elle n'aime pas : (3 lignes COMPLETES minimum) Sibylle n’aime rien grand chose. La foule, pour commencer. « Cela trouble mon troisième œil », dit-elle. Que l’on remette ses talents en question tient une place importante dans le palmarès de ses irritations - les remarques acerbes du professeur Mc Gonagall, par exemple. Elle n’a jamais porté dans son cœur les centaures : fiers et hautains, ils remettent en doute la lucidité des humains, « Alors qu’eux ne sont que des chevaux ! » se plait-elle à critiquer. Enfin, pour viser une personne en particulier, elle déteste à un point inimaginable Dolores Ombrage. « Ne me parlez pas de cette femme ! »
Histoire : (15 lignes COMPLETES minimum, en incluant vos années passées à Poudlard et votre enfance)
Née de deux parents sorciers, Sibylle a grandi dans une famille plutôt terne. Son père, un employé du ministère pas vraiment renommé, brillait souvent par son absence, laissant la plupart des tâches familiale sur le dos de sa femme. Cette dernière, une pauvre âme – et mère au foyer de surcroît – éleva sa fille avec une lassitude presque contagieuse. Poussant de longs soupirs déprimants, elle errait dans la maison, faisant de-ci de-là les poussières ou, pour s’occuper, tirant les cartes à des interlocuteurs invisibles. C’est peut-être suite à cette vision constante que la passion divinatoire s’installa progressivement en Sibylle. Elle fit ses études à Poudlard, se fondant dans la masse chaotique des élèves, pour ensuite entamer deux ans de chômages : si elle avait décroché six BUSE et cinq ASPIC, il n’en demeurait pas moins qu’il ignorait totalement quel tournant donner à sa vie. Un soir où l’incertitude la rongeait plus que d’habitude, elle se mit en tête de ranger son grenier (une occupation des plus communes). Mais en déplaçant un piano usagé, elle renversa une caisse poussiéreuse et humide de moisissure, dont le contenu s’écrasa lamentablement sur le sol. Ecarquillant les yeux, elle contempla ce petit monticule de débris anciens : il s’agissait en fait d’albums photos dépareillés, certains ayant perdu leur couverture, et dont les clichés noir et blanc tentaient de conserver leurs sourires d’antan. Fébrile de curiosité, Sibylle se laissa tomber dans un fauteuil croulant, et décortiqua un à un ces fragments de souvenirs jaunis. La plupart des photos dataient de plus de cent ans et semblaient porter en vedette un grande femme au regard lourd et profond, un long châle tombant élégamment sur ses menues épaules. Tirant des cartes, sondant les profondeurs d’une boule de cristal ou s’abîmant dans la contemplation des étoiles, Cassandra Trelawney, l’arrière arrière grand mère de Sibylle était partout, inondant les albums de sa présence dérangeante. Prise par la nostalgie, Sibylle s’empara du portrait en meilleur état qu’elle pu trouver et l’accrocha dans sa chambre, bien visible quel que soit l’angle de vue. Puis le reste de la journée se déroula sans autres histoires, et le grenier fut entièrement dépoussiéré. Les désagréments, eux, choisirent la nuit pour intervenir. Insomniaque à ses heures, Sibylle rejoignit les limbes du sommeil après moult agitations dans son lit, le portrait de son aïeule l’observant depuis son mur avec déférence. Puis, alors qu’un rêve particulièrement agréable prenait forme dans son esprit, elle eut une vision. « Une grande ombre tournoyait autour de moi ; terrifiante, oppressante. » raconta-t-elle plus tard au professeur Dumbledore. « Elle voulait m’engloutir, et je ne savais où aller. Et au moment où les ténèbres tendirent leurs bras pour m’agripper éternellement… Ah ! Cassandra Trelawney est intervenue ! Balayant la nuit d’un battement de paupières ! » Et de renchérir avec un hochement de tête théâtral : « Alors elle m’a regardé et m’a ordonné de poursuivre la grande lignée des voyants. De voir comme elle avait vu. De ressentir comme elle avait ressenti. Et quand je me suis réveillée, je voyais le monde différemment. Avec un troisième œil ! » Bien entendu, personne n’eut jamais le courage de lui avouer la vérité : un déménagement complet du grenier, la découverte d’un album de famille et une accumulation de fatigue s’étaient simplement fusionnés en un rêve farfelus et dénué de toute signification véritable. Mais comme, de toute façon, Sibylle était une bornée de première, les mauvaises langues retinrent leur venin. Pendant plus de cinq ans, l’apprentie médium se plongea dans les mystères de la préscience. Elle consacra tant et tant d’heures à fixer les volutes de fumée de sa boule de cristal, ou encore à contempler d’informes feuilles de thé, qu’une myopie assez coriace lui voilà les yeux. D’où les fameuses lunettes. Au bout d’une demi-décennie, une étude approfondie de la voyance en avait fait une femme à moitié folle, emmitouflée dans de larges châles dans une pâle imitation de son ancêtre. Se mettant en quête d’un travail stable, elle prit rendez-vous avec Albus Dumbledore, le directeur de l’école de sorcellerie de Poudlard. De tout cœur elle espérait transmettre à des élèves le noble art de la divination. L’appointement fut fixé à la Tête de Sanglier, pub peu recommandable mais aux prix raisonnables - les revenus financiers de Sibylle faisant défaut. Si au début de la conversation Dumbledore parut assez distant, il changea littéralement d’optique suite au malaise de Sibylle. (La pauvre n’avait pas dormi du tout – des punaises infectant le lit – et n’avait pas osé manger ce que proposait le barman.) Au grand bonheur de la voyante, le poste de la divination lui fut transmis. Ce qu’elle ignorait complètement, c’est que le sang de Cassanra Trelawney coulait efficacement dans ses veines, et qu’elle venait de produire sa première et pertinente prophétie. (Une copie fut transférée au Département des Mystères.) 1979 vit donc Sibylle débarquer à Poudlard. Durant treize ans, elle se donna des airs de professionnelle incomprise, s’attira tantôt la compassion et tantôt l’irritation de ses collègues ou élèves. Mais jamais elle ne provoqua d’antipathie, car en fin de compte, elle se révélait plutôt agréable. Quand Harry Potter pointa son nez dans sa classe, elle vit en lui la promesse d’un sujet inépuisable. Et elle visa juste. « La mort planait au-dessus de lui. Le Sinistros ! La Grande Faucheuse et ses sbires ! Tous s’étaient donné rendez-vous sur le chemin de son destin ! » Cette même année, elle réalisa sa seconde (et dernière à ce jour) prophétie vérifiée. A son insu, bien entendu. Durant la période scolaire 1995-1996, l’arrivée de Dolores Ombrage chamboula ses habitudes. Elle, une voyante au talent indiscutable, se voyait inspectée, ridiculisée et mise à l’épreuve. Cette enchaînement de mauvaises fortunes se conclut par son renvoi, auquel Dumbledore s’opposa. Il fut permis Sibylle de rester à Poudlard, mais une boule d’aigreur lui tenaillait la gorge. Elle se consola dans le Xérès.
Dernière édition par le Sam 26 Mai 2007 - 14:35, édité 1 fois |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Ven 25 Mai 2007 - 20:17 | |
| Bienvenue !! J'adore la façon dont tu joues Trelawney, j'espère que tu seras accéptée parce que tu me semble parfaite pour le role ! |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Sam 26 Mai 2007 - 13:03 | |
| Merci ma chérie. Mais mon sens de double vue m'avait averti de votre compliment. Je sens des ondes positives autour de vous. |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Sam 26 Mai 2007 - 14:38 | |
| Double post, j'en suis désolée : le premier était trop long.
Exemple de rpg : (Vous venez de recevoir une lettre de la banque Gringotts qui vous annonce que vous n'avez plus d'argent dans votre coffre. Vous ne comprenez pas, vous y avez pourtant été hier pour en prendre et votre coffre était plein ! Comment réagissez-vous ? 10 lignes COMPLETES minimum, respectez les règles d'écriture)
Un voile gris et morne recouvrait Poudlard. Ses tours, ses pierres et ses reliefs étaient humides et froids, ne rayonnaient d’aucune gaieté. Une fine pluie fouettait l’air, emprisonnant le ciel sous des herses filiformes. Verrouillée dans sa tour, à l’abri des intempéries et de la déprime, Sibylle somnolait, confortablement enfoncée dans son fauteuil de velours rouge, son menton reposant sur le torse. Dans la cheminée, un feu ronflant et minutieusement entretenu projetait des êtres lumineux contre le mur, les faisant danser selon une chorégraphie tremblotante et fantastique. La journée n’avait pas été des plus mémorable pour le professeur de Divination. Non contente d’avoir vu Neville Londubat casser sa dernière tasse bleue, une nouvelle offensante était tombée nette : elle était mise à l’épreuve. Dolores Ombrage, cette horrible bonne femme, avait eu le culot immodéré de remettre son savoir et ses capacités en questions. Sibylle en avait passé son après-midi à boire. Le week-end commençait bien.
Soudain, un tapotement sec résonna dans la pièce. Sibylle grogna dans son sommeil, une bulle de salive enflant au coin de sa lèvre, ses lunettes perchées de travers. Le tapotement se répéta, insistant et sonore. Le professeur ouvrit des yeux vitreux, bailla à s’en décrocher la mâchoire, et regarda autour d’elle. Perché devant le plus petite de ses fenêtres, une chouette grisâtre s’impatientait, donnant de petits coups de bec contre la vitre. Une lettre pendait à sa patte, constellée de gouttes de pluie. Sibylle se leva – trop vite, car la tête lui tourna – et tituba jusqu’à la lucarne, qu’elle ouvrit doucement. L’oiseau s’engouffra dans la pièce, ses plumes complètement trempées, et se posa sur le bras du fauteuil. Elle hulula d’un air pressant.
- Voilà, voilà, dit Sibylle d’un ton pâteux.
Elle détacha la lettre de la patte de la chouette, brisa le sceau très officiel, et déplia la lettre. Si c’étaient encore là des remontrances de cette Dolores Ombrage… Deux minutes de silence furent consacrées à la lecture de la missive. Quand Sibylle releva la tête, ses yeux minuscule étaient embués de larmes. Comment une telle situation était-elle possible ? Le ministère s’était-il donc décidé à déjà lui couper les vivres ? Elle fut parcouru d’un tremblement et resserra un peu plus son châle autour de ses épaules. L’indignation la gagnait. Il n’y avait pas de temps à perdre, autant régler le problème tout de suite. D’un pas hésitant, hagard, elle sortit de sa salle de classe, puis, mesurant chacun de ses gestes, descendit son étroite échelle d’argent. Elle manqua par trois fois de rompre le cou en dévalant les escaliers de la tour Nord, ses perles et colliers clinquant avec force. L’alcool embrumait encore ses pensée, si bien qu’elle ne garda presque aucun souvenir de sa traversée du château. Elle croisa le professeur Flitwick, et le renversa sans vraiment y prêter attention. Le temps pressait. Parvenue au Hall d’entrée, elle franchit la double porte, fit apparaître un parapluie d’un coup de baguette magique, et le déploya pour s’engager sur l’allée de terre boueuse. Le clapotement de la pluie sur la toile de son parapluie s’accorda bien vite aux battements de son cœur, et elle pressa l’allure. Au loin sur sa gauche, la cabane de Hagrid se perdait derrière un mur de bruine, que seul venait trouer un panache de fumée, craché par la cheminée. Bientôt, Sibylle dépassa les deux statues en formes de sangliers ailés, et sortit de l’enceinte de Poudlard. Elle transplana immédiatement. Les couleurs se confondirent, s’étreignirent, puis se relâchèrent pour changer le décor environnant en un hall propre et bien éclairé. Celui de Gringott.
Le professeur Trelawney hoqueta, et un arrière goût de Xérès lui envahi la bouche. Elle s’avança sans grande élégance vers le comptoir le plus proche, derrière lequel un Gobelin donnait de larges coups de tampons sur tout ce qui lui passait sous la main. A la vue de Sibylle, il releva sa tête repoussante.
- Madame ? demanda-t-il d’un ton ennuyé.
- J… Jeune homme, balbutia-t-elle en guise de salut.
Puis elle aplatit la lettre complètement détrempée sur le comptoir.
- J’ai reçu ça ! dit-elle sèchement.
- Et alors ? répondit le Gobelin sans daigner regarder le papier.
Sibylle eut un nouveau hoquet puis rétorqua avec mauvaise humeur :
- Alors ? Il y a que mon compte est vidé ! Complètement ! Alors que l’on m’avait bien certifié le versement mensuel de mon salaire ! Je trouve ça scandaleux ! Mais bien sûr, cela vous importe peu ! Je le sais ! Nous autres voyants sommes toujours dénigrés, ramenés plus bas que tout.
Elle rajusta ses énormes lunettes, et ajouta d’une voix tremblante :
- C’est notre lot à tous, en échange d’un peu de clairvoyance.
Le Gobelin parcourut rapidement les quelques lignes de la lettre, et s’autorisa un sourire asymétrique.
- Il est normal que votre compte aie été vidé, assura-t-il.
- Je… commença le professeur Trelwaney. Comment ?
- Il s’agit simplement d’un transfert, dit le Gobelin avec patience. Vers votre compte courant. C’est noté ici, vous voyez ?
Il tapota une phrase écrite à l’encre noire, et Sibylle s’empourpra violemment.
- Tiens… murmura-t-elle, oui. Oui, vous avez raison.
- Mais je suppose qu’en tant que médium vous le saviez déjà ? railla le Gobelin.
Le professeur fit la moue, et son châle glissa un peu sur ses épaules.
- Mais… bien évidemment, rétorqua-t-elle prestement. J’étais au courant de cette affaire avant même de recevoir la lettre.
- Je n’en doute pas un instant, rétorqua le Gobelin.
- D’ailleurs, s’empressa de rajouter Sibylle, je n’étais pas venue pour ça. Je venais vous… vous prévenir ! Oui, c’est ça, vous avertir. Le Gobelin haussa un sourcil, tandis que le professeur Trelawney pointait sur lui un doigt tremblant.
- Un grand danger pèse sur vous, psalmodia-t-elle sur un ton théâtral. Un énorme cataclysme ! Quelque chose de sombre rode dans votre sillage ! Je peux le voir ! Vos jours sont comptés !
Elle hocha la tête de façon exagérée, fit volte-face, et transplana dans l’instant, ne laissant derrière elle qu’une odeur prononcée de Xérès bon marché et un Gobelin interloqué.
Magie blanche / Magie noire ? Blanche.
Post désiré : Professeur de Divination bien sûr, mais j'ai vu qu'il est déjà occupé >_<
As-tu signé le règlement ? Oui mon enfant, et une odeur funeste y régnait.
Nom et prénom de votre célébrité sur votre avatar : Emma Thompson. |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Sam 26 Mai 2007 - 17:12 | |
| bienvenue c'est vrai que tu entre parfaitement dans le role :wahooooo: |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Sam 26 Mai 2007 - 17:37 | |
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| | | EMPLOYE AU COMPTOIR DES AFFAMESAdmin charmeur AVATAR : Elijah Wood
MESSAGES : 9749
INFOS PERSONNAGE SITUATION AMOUREUSE: obnubilé malgré lui par une indomptable rouquine DATE & LIEU DE NAISSANCE: 05/01/79, LondresSANG: mêlé | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Sam 26 Mai 2007 - 23:58 | |
| Je n'ai qu'un mot à dire "excellent" !! Ta fiche est excellente, tu rentres à merveille dans la peau du personnage et en plus y a de l'humour !! Bravo !!
Je suppose que ce n'est pas la peine de vous le dire....vous savez déjà que vous êtes acceptée n'est-ce pas :;):
(PS : Pour le poste, l'autre professeur n'est plus venue depuis un bail alors je pense qu'on peut vous le confier chère madame! Vive le glandage !!) |
| | | SERDAIGLE6ème annéeAdmin fouineuse AVATAR : Mandy Moore
MESSAGES : 9509
INFOS PERSONNAGE SITUATION AMOUREUSE: DATE & LIEU DE NAISSANCE: SANG: SANG MÊLÉ | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 8:22 | |
| Bonjour, bienvenue... J'ai une question... Comment on sait si un jour, j'arriverais à ne plus être folle ? Merci madame ! |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 11:22 | |
| Je vous remercie chaleureusement mes chéris. Quant à vous Miss Belmontet, hum... heu... voyons voir... Oh ! Regardez ! Le Sinistros ! * s'enfuit en courant tandis que Jessicayumi tourne la tête * |
| | | SERDAIGLE6ème annéeAdmin fouineuse AVATAR : Mandy Moore
MESSAGES : 9509
INFOS PERSONNAGE SITUATION AMOUREUSE: DATE & LIEU DE NAISSANCE: SANG: SANG MÊLÉ | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 12:00 | |
| Ben, elle est partis ^^ Je savais pas que je faisais si peur ! :( Bon RPG |
| | | GRYFFONDOR7ème annéeAdmin tout en douceur AVATAR : Matthew Lewis
MESSAGES : 3194
INFOS PERSONNAGE SITUATION AMOUREUSE: DATE & LIEU DE NAISSANCE: SANG: SANG PUR | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 12:39 | |
| Bienvenue Sibylle ! Excellent ton rpg. Hâte de voir ce que ça va donner en classe |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 14:04 | |
| Bienvenue !!!
Amuse toi bien !! ^^ |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 14:29 | |
| (voix éthérée) Soyez remercié pour cet accueil chaleureux ; c'est une chose rare dans mon métier. |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Dim 27 Mai 2007 - 14:50 | |
| Bienvenueeeeeee chère Madaaaaaaame J'aime bicoup votre RP ! :reboit: |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Mar 29 Mai 2007 - 18:04 | |
| - Sibylle Trelawney a écrit:
- Merci ma chérie. Je sens des ondes positives autour de vous.
ah oui forcément le mythique troisième oeil défaillant de cette chère Trelawney ! Parce que pour voir des ondes positives autour de moi il faut y aller (je travaille Allée des Embrumes XD) c'est vrai que l'humour est excellent, je m'en vais lire la suite de la biographie ^^ |
| | | Invité | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney Mar 29 Mai 2007 - 18:11 | |
| Merci mes chéries ! Quant à vous, Mlle Shinomori... vous travaillez Allée des Embrumes ? Maiiis, mais j'étais au courant. Je l'avais pressenti. Et merci pour vos compliments, dans la foulée. |
| | | | Sujet: Re: Sibylle Patricia Trelawney | |
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| | | | Sibylle Patricia Trelawney | |
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