Comment avez-vous connu ce site ? Par un autre forum
Age du posteur : 19 ans
Nom : O’leinleaf
Prénom : Morrigann
Age : 26 ans
Lieu de naissance : Dingle, Irlande
Origine : sang mêllée
Physique : La jeune femme est plutôt belle, elle a de très longs cheveux roux qu’elle porte rarement attaché ou noué en chignon sur sa nuque. Ses grands yeux verts sont comme deux billes dans son visage diaphane et constellé de taches de rousseur au niveau des pommettes. Elle est assez grande mais ne fais pas brindille pour autant, sans êtres forte, elle fait partit de ces femmes qu’on caractériserait de pulpeuse. Elle porte de longues robes assez sobres mais qui ont le mérite de lui aller à merveille. Généralement c’est une jeune femme assez souriante mais il lui arrive parfois de tiquer, dans ces cas là, elle commence à faire craquer ses doigts dans un horrible son qui ne présage jamais rien de bon pour la suite des événements.
Caractère : Comme pour le physique, la jeune femme est assez typé de son lieu de naissance… Elle a un caractère en acier trempé, voir légèrement emporté. C’est une femme de poigne et préfère les situations claires à l’ambiguïté. Avec les jeunes, elle est d’une patience inouïe mais gare à celui qui dépasserait malencontreusement les bornes… Elle est assez vive tout le temps, se plaisant à papoter et à plaisanter mais la règle d’or chez elle c’est qu’on ne copine pas avec les élèves d’ailleurs elle trouve que les professeurs tissant ce genre de lien ne devraient pas être professeurs, ça nuit à l’impartialité. La jeune femme a un appétit d’ogre et pas seulement point de vue nourriture. Morrigann est une jeune femme curieuse qui s’intéresse à tout où presque mais qui n’hésite pas à envoyer bouler son interlocuteur quand son intérêt décroît. Plus diplomatiquement, elle a appris récemment à changer de sujet ce qui lui évite les foudres de ses collègues.
Signes particuliers : Elle porte un triskèle avec deux corbeaux enlacés entre les omoplates et deux ailes en partent pour aller mourir sur ses épaules et une rune autour du cou.
Ce qu'elle aime : Morrigann aime les runes, les enseigner, les tirer. Mais elle aime aussi son île, la bière, son équipe de quidditch et en dire du mal peut s’attirer des foudres des plus dangereuses. Discuter, rencontrer de nouvelles personnes, apprendre de nouvelles choses. Elle a une affection toute particulière pour les corbeaux, le sien d’ailleurs se nomme Macha et la quitte rarement, elle trouve que ces charmantes créatures sont bien plus nobles et plus intelligentes que les hiboux. Point de vue culinaire, elle aime tout particulièrement le welsh. Elle a une affection particulière pour les grandes légendes de ce monde même si elle a en a depuis vérifié une grande partie.
Ce qu'elle n'aime pas : Ah ça… La liste n’est pas exhaustive mais elle n’aime particulièrement pas qu’on tente de lui marcher sur les pieds, qu’on envahisse son espace vital, qu’on empiète sur sa vie privée. En clair elle n’aime pas qu’on se mêle de ses affaires. Elle n’aime pas non plus qu’on la prenne de haut, spécialement quand ça a une origine anglaise pure souche. Elle n’aime pas qu’on mélange les sirop de tout genre avec la bière, elle trouve ça sacrilège. Elle n’aime pas particulièrement les légumes filandreux et les soupes en tout genre… Sauf le welsh mais c’est pas vraiment une soupe.
Histoire : Peut on dire qu’il existe des enfances tranquilles dans les familles de sorcier? Pas sur… Mais disons que son enfance Est-ce qui pourrait s’en rapprocher le plus…
Née un trente et un octobre 1982,d‘un père moldu et d‘une mère sorcière, elle-même fille de sorciers… Etc. Jusqu’à des temps immémoriaux, héritant à chaque génération de cette charmante battisse qui était leur demeure cachée à flanc de falaise surplombant une mer sans cesse hurlante. Comme l’on peut aisément l’imaginer quand Mebd O’leinleaf, fille unique d’une famille de sang pur épousa Osiann O’donnel, aussi moldu que possible, ce fut le drame… Ses parents se récrièrent, pestèrent, tapèrent du pied mais rien n’y fit. Étant leur seul fille et la seule descendante directe de leur famille ils durent bien finir par se rendre… A condition que les enfants portent le nom de leur mère et pas celui de leur père. Jamais ils ne voulurent voir Osiann, malgré les trésors de bonne volonté qu’il avait pu développer.
Aînée de trois enfants, Morrigann hérite de la maison à la mort de ses parents alors qu’elle avait dix sept ans. Un accident bête dit-on mais on a rien de très précis et de toute manière l’enquête a été bâclée selon la jeune femme. Bien sur, elle soupçonne que ses grands parents aient malencontreusement tendu la jambe pour qu’ils tombent dans l’escalier mais avec eux mieux valait ne pas se risquer à ce genre de supposition trop fort. Baignée de patriotisme irlandais et de créatures magiques, la petite fille grandit comme tout les enfants de l’époque, dans la peur du seigneur noir et l‘éducation sans faille de ses grands parents. Malgré tout cela, les O’leinleaf furent tout de même privilégiés et relativement peu inquiétés, par les événements ce qui permit à la jeune demoiselle de vivre une enfance plutôt tranquille quoi qu’un peu recluse dans leur maison à flanc de falaise. La règle était simple… On ne posait pas de question, ce qui paraissait étrange était éludé, et les indiscrétions punies. La jeune femme comprit rapidement qu’il lui valait mieux se plier à cette règle et n‘y fit pas entorse préférant éviter les foudres qui pourraient en découler.
Naturellement tout le monde se doutait que la talentueuse et vive petite O’leinleaf rejoindrait une école de magie à la hauteur de son talent alors quand la missive venue de Poudlard arriva ce ne fut pas réellement une surprise même si l’excitation était à son comble.
Arrivée le premier jour, là non plus il n’y eut pas de réelle surprises, comme sa mère avant elle, elle rejoignit la maison Serdaigle… Il eut une brève hésitation, où elle aurait pu rejoindre la maison Serpentard mais le choix fut autre, avec un certain soulagement et Morrigann préféra ne pas creuser plus loin la question, comme d’habitude quand cela se reportait au passé. La jeune femme était une élève studieuse, et connu un parcourt scolaire officiellement sans anicroches. Après reste toujours l’officiel et l’officieux. Quelques sorties passées certaines heures, quelques farces dont certaines plus méchantes que d’autres, bien sur personne n’a jamais eu de preuve que c’était elle. Elle tomba amoureuse, comme cela arrive souvent à l’heure de l’adolescence… Et comme cela arrive souvent à ce moment là… Ce fut l’occasion de nombres de larmes et peu de satisfaction.
Se renfermant sur ses études, elle découvrit l’art des runes et leur sens caché en étudiant la légende qui y était liée. Elle prit du temps, pour les apprendre, pour les apprivoiser, jusqu’à ce qu’elles lui révèlent leur secret comme à Odin, dans la légende…
Dans un premier temps, à la fin de son cursus, elle entra au ministère de la magie, au département de la justice magique, comme consultante. Il lui était souvent demandé d’user de ses connaissances des runes pour guider certaines enquêtes, mais au final, elle faisait plus la paprasserie qu’autre chose. Quand elle sut que le poste de professeur d’étude des runes se libérait à Poudlard, elle postula aussitôt voyant la une chance inespérée de faire ce qu’elle aimait faire par-dessus tout…
Exemple de rpg : Morrigann entra les talons claquant sur le sol marbré, sa robe virevoltant dans une envolée de tissus émeraude à la vitesse de ses pas. C’était forcément une mauvaise farce… Une farce de très mauvais goût que le petite plaisantin allait payer à hauteur de la somme que contenait son coffre. Elle se planta devant le guichet d’accueil, un poing sur les hanches, l’autre écrasant la missive qu‘elle venait de recevoir par hiboux.
« Pouvez vous me donner une explication de ceci, gronda-t-elle d’une voix qui se voulait posée. »
Le gobelin releva la tête de son relevé de comptes et regarda le parchemin à travers ses lunettes avec un petit air pincé.
« Je crois que c’est clair non, répondit-il d’une voix nasillarde. Votre coffre est soldé! »
« Impossible, répondit-elle catégorique. Je suis venue hier et il était encore plein. Je veux voir les relevés des tractations qui ont été faites depuis mon dernier passage. »
La créature eut un soupir agacé, tourna les pages de son livre, descendit le doigts sur des lignes écrite rigoureusement petites et poussa une exclamation triomphale en tournant le livre vers la jeune femme qui regarda son nom et sa signature accolée à la somme colossale qu’elle avait retiré une heure après son premier passage. Le visage de Morrigann devint livide.
« C’est impossible… A cette heure si j’étais au ministère! C’est une erreur. »
« Madame nous ne faisons jamais d’erreur. »
La jeune femme fit craquer ses doigts, profondément agacée. Le gobelin la regardait par-dessus ses petites lunettes rondes, avec un air à la fois dubitatif et presque méprisant. Dans l’esprit de la jeune femme, les suppositions allaient bon train. Déjà il lui fallait s‘assurer qu‘on l‘avait bien vue au ministère à ce moment là, si non il lui faudrait faire d‘autres suppositions celles-ci bien moins plaisantes…
« Je demande à ce qu’une enquête approfondie soit menée pour découvrir le fin mot de cette affaire! »
Le gobelin hocha de la tête en espérant se débarrasser enfin de cette harpie aux cheveux de feu. Dans une envolée d’étoffe, la sorcière tourna les talons. Ça oui… Elle avait bien l’intention de découvrir le fin mot de cette affaire…
Post désiré : Professeur d’étude des runes.
As-tu lu ET signé le règlement ? That's correct Miss
Nom et prénom de votre célébrité sur votre avatar : euh… y en a pas en fait je ne suis pas encore célèbre…
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Sujet: Miss Morrigan O'leinleaf 
