* Comment avez-vous connu ce site (top site, pub...) ? Top Site, si je ne me trompe pas.
* Age du posteur : 16ans, à mes dernières nouvelles
* Nom/Prénom de votre personnage : Takahashi/Misu
* Âge du personnage (Harry et cie ont 15 ans) : 15ans
* Origine : sang-mêlé
* Animaux éventuels : Un hibou sombre prénommé Kakokei ou encore Kako. Signification : Passé
* Nom/Prénom de la célébrité sur votre avatar (si ce n'est pas un manga ou un dessin) : Takeshima, Atsuaki (Uruha de The GazettE)
* Texte personnel :
Je la recommence, un truc me chipotte! <3 Voilà le début de la nouvelle version... Plus difficile à comprendre, moins précise... Utopique! Rêveuse!De petits battements faibles, si faibles qu'ils en sont quasiment irréelles, surréalistes. Utopique même. Et pourtant, ils sont bien là, comme dans un rêve. Un rêve doucereux fait pour souffrir. Un rêve. À la fois magnifique et horrible. Un cri charcuta ce rêve, cette nouvelle douleur. Un cri d'enfant, des pleures subtiles, mais présent. L'inquiétude grimpe comme une flèche, elle ne descend pas. Pourquoi le ferait-elle? Son enfant, son petit amour venait de crier. Les yeux fatigués de la japonaise se dilate pour capturer le peu de lumière que la maison exploite. Rien, aucun sons suspect, simplement des reniflements, des bruits sans échos. L'inquiétude grimpe encore un peu. Ses yeux se dilatent modestement et puis finalement une difficulté à voir survient encore plus impossible que ces essaies précédents. Ses yeux essayent de franchir la brume qui embrouille instantanément ses yeux. Puis progressivement, le noir vient à elle. Un noir qui semble invitant et envoûtant. Il semble l'appeler, la vouloir. Or, ce noir la possède, car elle y est maintenant tombée. Son corps arrête de se battre et le noir franchit la défense de son frêle corps pour l'emporter dans un monde où sont situés les voiles insaisissable et diaphane. Un peu comme les draps de la Morphée, mais plus lourd de sens et de froideur.
Naufragée dans son propre monde, irréelle et atroce. Un voile de souvenir survient, une lueur dans le noir. Ce noir embrumé fut éclairé par une couleur. La couleur du gazon, d'un émeraude. Cette couleur ressemblait à un fil. Un fil d'or, mais verdoyant. Étincellent, comme le soleil, mais vert. Ce fil se rapprochait rapidement et puis... Noir, le vide... Une notion peu venir à l'esprit un fil lumineux vert venait de l'endormir ou bien la tuer? La tuer certainement, mais pourquoi? Il serait préférable de penser qu'elle ne faisait que dormir, mais... La vérité arrive bien trop rapidement! Elle était morte, tuée par qui? La question ne se pose même plus. Le qui n'a plus d'importance, mais le pourquoi? Elle connaissait quelque chose. Une simple chose, qui promettait à sa vie, une fin. Un truc qu'elle n'avait dit à personne et que personne ne saura, car elle n'a plus la capacité d'ouvrir sa bouche. Le secret mourut ainsi avec elle... Pourtant, un truc échappait à tous. Un enfant, un bébé. Les pleures, les réclamations. Tous avaient arrêtés, le silence total. Plus personne n'habitait la maison, la hantait à l'exception de ce bébé. Bébé laissant simplement l'air sortir de sa bouche mi-close. Cet air qui provoquait de jolis frisons sur son corps. Son petit corps frêle et inoffensif laissé seul au grand jour.
Le temps filait comme une voleuse. Une voleuse qui ne prenait pas le temps de respirer, qui chassait tout et qui volait. Ainsi, toujours! La voleuse volait rapidement chaque année de vie. Elle aidait les gens à oublier, oublier cette douleur qui martyrisait leurs coeurs, mais cette douleur ne partait jamais totalement. Le temps n'arrange pas tout et encore moins les cicatrices. Cicatrices qui s'ouvraient fréquemment. La mort d'une mère. Comme oublier? Ne pas y penser? Ne plus le vivre... L'abandon de son père? Le lâche. Un ancien serpentard, sans aucun doute. Il avait laissé son enfant, son ange seul. Comment vivre étant bébé, seul? Cette abandons lui causa bien des problèmes. Orpheline, bien sûre, mais... Comment accepter de vivre dans un centre d'accueil? Un lieu avec des valeurs affectives en plastique. Fausse! Irréelle! Mensonge, que des mensonges.
Ce petit garçon de 3ans avait une bouille adorable, un visage à croquer et pourtant... Personne ne le voulait. Pourquoi? Il était mignon et parfait. Gentil et charmeur, même à cet âge. Charmeur et un brin manipulateur avec ses sourires mesquins et trop adorable. Beaucoup trop, un sourire féerique. Entre le rêve et la réalité. L'irréelle et le réel. Mais qui voudrait d'un enfant a tempérament explosif. Sans double sens. Des évènements pouvaient arriver. Des explosions, des disparitions, des différences dans les couleurs... Trop de choses indiquait une anomalie. Une différence, une rébellion. Et ce défaut était catégoriquement désastreux. Pourquoi un simple moldu voudrait d'une personne qu'il ne comprendrait pas? Une personne qu'ils ne comprendront jamais? C'est ainsi que Misu fût enlevé de la liste adoptive. Plus personne ne pouvait l'acheter. Encore là, qui le voudrait? Pourquoi le voudrait-il? Il eut son sa vie dans cet établissement, un établissement vide de vrai joie, de vrai amour, de vrai sentiment... Tout était calculé, planifié, étudié. Rien de naturelle! Les plantes, elles-mêmes ne l'étaient pas.
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Journal de Misu; 4septembre, 6ansLa vie est injuste, j'ai encore été refusé, parce que j'ai eu peur. Il parait que je me suis encore mis dans le trouble. Ce n'est pas comme si j'avais fait quelque chose, si? Alors, pourquoi il m'enferme toujours dans cette chambre, là? Je ne l'aime pas cette chambre là, ils vont tous le payer. Je fais toujours tout comme il le faut, pourquoi ça n'arrive juste à moi! Je ne suis pas beau alors? C'est pour ça? Ils essayent de trouver des excuses pour ne pas que je sois triste d'être laid alors? Hum, j'ai une idée... »
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Journal de Misu; 27octobre, 8ansJ'ai finalement été retiré de l'adoption. Comme si je voulais vraiment aller dans une famille de fou et peut-être même tomber sur des gens qui me voudront du mal. Je ne suis peut-être pas en sécurité ici, mais au moins il y a toujours des gens pour surveiller. Pas que je ne leur prêterais pas ma vie, les dames peuvent être bien gentilles, mais niveaux qualités, elles ne me valent pas. Elles sont profitables et ce trop rapidement. J'ai pu les convaincre de me donner une plus longue permission pour sortir. En fait, je l'aime bien mon visage... Il m'aide plus que n'importe quoi d'autre. Lise, ma surveillante attitrée, a encore « perdu » ses clés. Navrez, je devrais dire je lui ai encore volé. Elle se croit dingue, car elle ne les retrouve jamais à la bonne place. Toujours très tard ou trop loin. J'aime de plus en plus semez la panique... Bientôt je m'attaque à un truc plus gros... Un truc dans le bureau de la directrice de l'orphelinat »
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Flash Back d'un vol; 29octobre, 8ansUn silence lourd de froideur. Ce silence désagréable, insoutenable. Le seul silence prouvant le couvre-feu, qu'il est trop tard pour des petits enfants d'être encore dans les couloirs. Encore moins dans ceux de la directrice. Un noir accueil les pupilles noirs du jeune garçon. Un noir si profond que l'incapacité de voir plus loin que son nez le récompense. Le jeune garçon, petit et frêle, ne pourra pas voir où il s'en va, mais est-ce vraiment le moment de se poser la question? Il continue à s'aventurer, posant un pied délicatement devant l'autre. Les mains tâtonnant les murs et objets dans son chemin. Finalement, sa main touche une plaquette froide. Une plaque de métal, un peu plus bas une poignée. Le bureau de la directrice. Avec une habileté praticienne, le jeune gamin put ouvrir la porte pour pouvoir observer le contenu de cette pièce. Des dossiers, des tableaux, des photos, des dessins et des millions d'objets traînaient un peu partout dans la pièce. Ses doigts glissèrent sur une vitre froide. Une vitre installée sur le bureau de sa jeune directrice. Facilement maniable, il glissa le cadre à photo dans sa poche et sortit rapidement en barrant la porte. Cachant le cadre le mieux possible, dans sa tête chambre, il s'endormit un sourire mesquin aux lèvres. Le début d'une nouvelle façon de voir son séjour ici, il allait s'amuser. Ho oui, s'amuser au dépend des autres!»
Jouer, manipulateur, hypocrite, menteur... Il n'aime pas, n'aimera jamais. Ne connaissant même pas les mots, il n'a pas cherché à les comprendre. Pourquoi faire? Doit-il vraiment aimer? Pour vivre en couple? Pour se faire aimer? Non! Toutes réponses à comme réponse non. Sa compagne pourra toujours aimer pour deux, jamais lui n'aimera. Ça fût depuis son jeune âge qu'il pensa de cette manière. Il courtisait tout ce qui bouge, qui était jolie, humain et femme. Beaucoup de femmes y rentrent. Énormément, beaucoup trop. Des coeurs brisés ressortaient de ses pinces. L'incapacité d'aimer avait mauvais prix.
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Flash-back d'une séduction, 14 février, 10ansLe dernier coup de minuit venait de s'annoncer. Le 14 février, enfin, finalement. Une journée importe, pour les amoureux dirons-nous. Une journée que plusieurs filles attendent. L'attente d'une carte en forme de coeur, de carré ou de rectangle. Une attente pathétique, mais qui réussissait à faire sourire le prince des glaces. Misu. Pourquoi ne pas sourire devant le pathétisme? Ce pathétisme qu'il allait remplit, car lui aussi l'était. Du moins, pas totalement... Lui, il n'aime pas. Il fait tout comme, mais il n'aime pas... Son souffle chaud créait une brume nuageuse par le temps frais. Le seul endroit simple, vide. Ailleurs, il y avait possibilité de nuisances, des voyeurs. Qui voudrait être où le froid c'est installé? Misu, qui lui ne voit que par le froid et la jeune fille qui arrivait. La plus jolie, d'après la plupart. Jeune fille sans être petite, mince. Petit nez, yeux très grands. Perfection enfantine.
-Tu es ravissante, Lady Anymède!
-Tu l'es tout autant!
-Jamais autant que toi, jamais!
-N'exagère pas!
-Anymède, j'ai à te parler... Je ne ferais pas comme chaque garçon. Je ne te fais aucune promesse. Aucune que je ne peux pas tenir! Je ne te promets ni la lune, ni les étoiles. Je ne vais pas dire que tu es la personne parfaite pour moi, ni que tu es mon âme soeur. Je ne vais pas dire que tu es tombé du ciel, que tu es le mot beauté. Je ne te promettrais pas une éternité avec moi... Tout ce que je te promets c'est d'être avec toi en ce moment. Je ne te dirais jamais je t'aime, car mes mots ne sont que des paroles que le temps et le silence efface. Mais je vais faire bien plus, je vais te montrer que je t'aime, chaque jour un peu plus...
-Je t'aime aussi, Misu! »
Une histoire normal diront certain? C'est l'âge de la conscience. De l'acceptation. Du charme! Vrai, totalement vrai, mais... Le hic dans ce couple, le différent, l'anormal reste Misu. Jeune homme manipulateur, menteur. Les mots n'ont plus aucun sens. Aucun mensonge pourtant. Aucune promesse, mais... Que promettre quand les mots n'ont aucun repères, aucun sens? Faire comme Misu, jouer? Manipuler? Et finalement blesser? Ses amours ne lui restent pas longtemps. À cause de lui, des erreurs. Il se fait prendre pendant qu'il courtise une autre, mais ça ne lui dérange pas. Pourquoi faire? Il les courtise une seconde fois et elle retombe. Aucune promesse faite, encore!
Les temps passent, il ne reste que peu de temps avant son onzième anniversaire, pourquoi s'en faire? N'est-ce pas un évènement de tous les ans? Oui, non! Cette année il va apercevoir ce que la majorité ne sait pas sur lui. Ce qu'ils ignorent ne leur fait point de mal, pourtant. Il découvrira qu'il est un sorcier, il fait de la magie, il n'est pas totalement différent, malgré ce qu'il a toujours cru. Il n'est pas un imbécile ou un garçon relativement bizarre. Il est simplement différent des moldus, que dis-je, il est magique, totalement différent des autres, mais magique comme d'autre. C'était irréaliste de recevoir cette lettre, une lettre qui lui expliquait tout, du moins, tout ce qu'il devait savoir et apprendre sur ce qu'il ne sait pas...
Et l'aventure commença! Fébrilement, doucement...
Irréaliste, était sa première année. Différente de ce qu'il aurait pensé. Qu'aurait-il pu penser d'une grande école reconnue pour ses grands sorciers. Pour le vieux glucosé et le vieux serpent sénile! Que des rêves...
Et c'est ainsi que les années passèrent. Bien et mal! Tranquillement ou abruptement. Entre réel et l'irréel. Drague et étude. Examen et repos.
Et l'été de sa 4e année commença. L'an prochain sera sa 5e année. Que de joie, que de bonheur. Il avait finalement apprécié cette école, les farces qu'il pouvait faire pour dénigrer tout ce qui n'était pas lui, les parties de drague, les cours à écouter même avec ennuie...
Depuis sa première année, les changements étaient radicals. Il était toujours petit, pourquoi vouloir changer un fait aussi mignon, tendre et sur réelle. Petit, mais sa prestance dégageait beaucoup, montrait son nez en tout temps. Il avait toujours ces airs légèrement efféminé, mais on ne choisit pas nos traits. Ses grand yeux toujours aussi grisonnant de sensualité criant l'élégance. Noisette, simple couleur pâlotte, mais clairement attirante. Un physique de rêve, douce et équivalente. Sans injure, ni excès de gras. Une peau diaphane dans ses moindres recoins, douce et laiteuse. Et des cheveux brunit, entre le brun foncé et le blond clair. Assez long, mais élégamment.
Cette année encore allait subir ses sarcasmes aux professeurs, ses blagues douteuses aux élèves, sa drague innocente à la gante féminine et tant d'autres choses... Cette année sera utopique!
* As-tu lu le règlement ?? Okay!