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| | [Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) |  |
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![[Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: [Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) Mer 4 Mar 2009 - 19:28 | |
| [Enigme réservée à Jill, Saffron et Jake - Premier groupe] Il neige toujours à l’extérieur, le soleil n’est pas encore levé. Vous vous êtes levé tôt aujourd’hui, peut-être n’arriviez-vous plus à dormir ? Quoi qu’il en soit, vous décidez de prendre votre petit-déjeuner tranquillement dans la grande salle avant de vous dégourdir les jambes à l’intérieur de château. Le ventre bien rempli, vous gravissez quelques étages jusqu’à ce que vous aperceviez une porte au loin, une porte petite et étroite, à laquelle vous n’aviez jamais fait attention jusqu’aujourd’hui. Intrigué, ou attiré pour une autre raison, vous décidez de vous y aventurer. Vous ne vous doutez alors de rien, voulant simplement jeter un œil à l’intérieur. Vous asseyez d'accoutumer vos yeux à l'obscurité de la pièce mais vous ne distinguez pas grand chose. Alors que vous vous apprêtez à partir, vous vous apercevez que la porte s’est verrouillée derrière vous. Vous êtes maintenant bel et bien coincé à l’intérieur. N’ayant d'autre choix que d’avancer, vous vous éclairez de votre baguette et continuez votre chemin. Un peu plus loin, vous apercevez l’ombre d’une silhouette puis, après quelques mètres, vous commencez à discerner son visage. Un élève inconnu vous attend, une feuille de papier entre les mains. Vous lui demandez où se trouve la sortie mais celui-ci refuse de vous répondre :
- Trouve la solution de cette énigme et la porte devant toi s'ouvrira. Continuer ton chemin ensuite tu devras...
Contraint à accepter, vous demandez à en savoir un peu plus. L’élève vous donne alors une feuille de parchemin, tout en commençant à vous expliquer l’énigme que vous devrez résoudre.
- Tu disposes d'une balance romaine, ainsi que neuf boules identiques, seulement l'une d'elles est un peu plus lourde.
Comment vas-tu t'y prendre pour trouver la boule plus lourde en effectuant que deux pesées ?
Schéma :
- Spoiler:
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Alors que vous n’avez pas encore eu l’occasion de vous pencher sur l’énigme, un second élève vient vous rejoindre (HJ : à voir avec l’ordre des réponses). Il s’est fait piéger exactement comme vous. Vous êtes maintenant plusieurs à pouvoir réfléchir à cette petite devinette loin d’être compliquée. L’élève vous précise qu’il n’hésitera pas à vous laisser là si vous ne lui donnez pas la réponse exacte de l’énigme.
(HJ : Discutez entre vous sur la réponse de l'énigme, envoyez-moi ensuite votre solution. Si elle est exacte, vous pourrez mettre tout ça, avec votre arrangement entre camarade, sous forme de Rp. Bonne chance.)
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| | | | Invité | | Sujet: Re: [Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) Ven 27 Mar 2009 - 0:11 | |
| Saffron se réveilla, le cœur battant, avec l’impression d’avoir trop dormit. Sans vraiment faire attention à l’heure, elle se leva rapidement et passa sans attendre dans les douches. Ce n’est qu’une fois habillée et bien réveillée qu’elle se rendit compte qu’il faisait encore noir dehors. Seuls les rayons de lune se réverbérant sur la neige donnaient un peu d’une lumière grisâtre qu’elle avait prit pour celle de l’aube.
Saf’ pensa vaguement à se recoucher mais elle savait qu’elle n’arriverait pas à trouver le sommeil. Elle avait l’habitude de passer de la veille au sommeil en un battement de cil, et inversement. Maintenant qu’elle s’était activée, elle n’aurait pas envie de dormir avant le soir. Elle pensa bien alors à faire ses devoirs mais elle s’était déjà avancée et n’avait pas spécialement envie de faire du zèle. Elle laissait ça aux dingues du boulot comme Wagner (qui était probablement déjà réveillé à cette heure ma foi avancée du milieu de la nuit). Non, elle avait envie de lait. Lui demandez pas pourquoi, c’était comme ça et pas autrement.
La jeune femme sortit donc tranquillement du dortoir, sa baguette à la main et le sourire aux lèvres, pas plus effrayée par l’idée de croiser Rusard que par celle de faire hurler la Grande Inquisitrice. A cette heure là, tous ceux qui ne travaillaient pas dormaient du sommeil des justes. Les pourris encore plus que les autres.
Une fois arrivée au rez-de-chaussée, elle hésita. Chatouiller la salle ou se réserver un petit-déj’ de roi sous les étoiles et les flocons ? Ça revenait au même puisque dans les deux cas il fallait supposer que les elfes étaient réveillés. Cela dit, elle n’avait jamais prit les elfes de maison de Poudlard en défaut en près de 7 années. Avant ses ASPICs elle leur offrirait une médaille. Mais une chose en son temps, elle avait le Jour J à préparer avant.
Elle entra finalement dans la Grande Salle et s’assit à la table des Serpentards (elle se sentait d’humeur provocatrice ces derniers jours). Un elfe apparut aussitôt, lui demandant ce qu’elle voulait et c’est avec une gourmandise non dissimulée qu’elle commanda viandes et laitages pour commencer la journée. Quel plaisir que de se retrouver seule ! C’était un luxe dont elle ne profitait que rarement, l’Internat et Poudlard étant toujours bondés et elle-même souvent demandée par ses nombreux amis et protégés. La rançon du succès. Ou simplement celle d’être trop bonne poire. Quoiqu’il en soit, elle savoura ses tartines et c’est le ventre bien remplit qu’elle se décida à faire une petite « ronde ». Elle monta tout un tas d’escaliers, un peu au hasard et arriva soudain devant une petite porte qu’elle n’avait jamais vu en sept ans de vagabondage intensif. Poussée par la curiosité et faisant fi de sa prudence naturelle, elle alluma sa baguette et poussa le panneau de bois.
Un « clac » sonore la fit sursauter, révélant ainsi toute sa nervosité. Elle se retourna d’un mouvement souple. La porte s’était refermée toute seule. Par acquit de conscience, la jeune fille essaya de faire jouer la poignée mais c’était peine perdue. Elle était coincée ici.
Les sourcils froncés, elle hésita une seconde à se mettre en colère (pas qu’elle était claustrophobe mais elle n’aimait pas avoir l’impression de ne pas pouvoir battre en retraite si les choses tournait mal. Question d’éducation.) mais décida de faire contre mauvaise fortune bon cœur et d’explorer la pièce. Il n’y avait pas grand-chose. Les tableaux sombres dormaient, vides de tout être vivant. Une ou deux chaises, pas de tables, drôle de pièce, presque inquiétant s’il était dans ses habitudes d’avoir peur. Et au fond, un être vivant humanoïde. Un humain. Un élève. Quelqu’un qu’elle ne connaissait pas qui se prenait pas pour un crétin à parler à l’oracle.
« Ouais ouais, je vois le truc. Fait voir encore ton histoire de billes ? »
Généralement, elle n’avait pas de difficultés particulières avec ce genre d’énigme mais là, fatigue ou agacement, elle ne voyait pas comment faire. D’un geste impatient de sa baguette, elle envoya une boule argentée au dessus d’elle pour faire plus de lumières et s’assit sur le sol, dessinant l’énigme dans la poussière. Concentrée, elle n’entendit pas la porte prendre un autre clampin au piège et ne le vit pas plus approcher. |
| | | | Invité | | Sujet: Re: [Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) Lun 30 Mar 2009 - 18:31 | |
| Le sommeil, c’est sacré ! Ca vous repose le corps et vous apaise l’esprit. Ca permet d’évacuer les tensions de la veille et d’être frais et dispo pour le lendemain. Et en plus, c’est un moment plutôt agréable. Ainsi, quand on se réveille en plein milieu de la nuit à cause d’un élève indélicat qui n’a pas apprit à se déplacer en silence, on est en droit de se montrer de fort mauvaise humeur.
Jill était claqué ! Il s’était couché à plus d’une heure du matin pour rédiger un semblant de compte-rendu pour Rogue. Il avait complètement oublié ce devoir ! La mémoire sélective, que voulez-vous ? Toujours est-il que, forcé de travailler comme un forcené jusqu’à très tard, le jaune et noir avait perçu son lit comme un cadeau des dieux. Et à présent qu’il dormait d’un sommeil profond, il fallait que quelqu’un le réveille. Personne ne s’offusquera donc que le Poufsouffle se montre un brin énervé.
Ca commence d’abord par l’idée vague que cet éveil pourrait n’être qu’un rêve. Bien sûr, l’idée est vite balayée par le froid et la fatigue. Le plus souvent, on se pelotonne ensuite dans les couvertures pour tenter de retrouver le sommeil. Peine perdu. Vient alors la troisième phase : celle où on a vraiment envie de se défouler et de tout casser. Sauf qu’un tel acte n’aurait rien de constructif. Conclusion : il n’y avait rien d’autre à faire que de se lever et d’attendre jusqu’au petit matin. Jill alla donc s’habiller en maugréant. Que faire en attendant que le Soleil se lève ? Un petit peu de musique ? Pourquoi pas, après tout… Et tant qu’à faire, autant se dégourdir les jambes dans les couloirs du château.
Jill empoigna son baladeur, se piqua les écouteurs dans les oreilles et descendit dans la salle commune à grandes enjambés. Il quitta la pièce à l’instant même où les paroles de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] commençaient. Et c’était parti pour un petit footing matinal. Peu habituel chez Jill, mais bon…
Il ne passa même pas par la Grande Salle pour grignoter quelque chose. Il n’avait pas vraiment faim. Et au moins, il avait la possibilité de déambuler dans Poudlard sans croiser les regards méprisants de la Brigade Inquisitoriale. Les joies de l’exploration ? Pas vraiment, en fait… Jill laissait la cartographie de Poudlard et la découverte des passages secrets à des personnes beaucoup plus intéressé que lui sur le sujet. Ce n’était pas qu’il s’en fichait, mais… Si, en fait il s’en fichait ! Et s’il se promenait aujourd’hui, c’était pour le plaisir. Et aussi parce qu’un idiot l’avait réveillé !
Bien sûr, même les meilleurs principes peuvent s’effondrer face à la curiosité. Ainsi, le credo de Jill comme quoi l’exploration de Poudlard était réservée aux "autres" disparut instantanément quand le jeune homme tomba sur la porte. Bon, en apparence, c’était une porte vétuste et poussiéreuse comme toutes les autres. Mais à y regarder de plus prêt, elle semblait émettre une infime lueur et dégageait une aura étrange. On aurait cru qu’elle incitait les passants à poser la main sur la poignée et à ouvrir. Jill s’en approcha lentement : plus il avançait, plus il avait l’impression que la porte émettait une sorte de pulsation dans l’air. Il hésita une seconde, puis oublia tout prudence et ouvrit la porte.
Rien de bien notable à première vue : juste une salle de classe abandonnée. Et depuis longtemps à en juger les toiles d’araignées ! Il y avait un détail insolite, cependant : deux élèves ! Aïe ! Avec sa chance, Jill venait de déranger un couple de tourtereaux. Il fit rapidement volte-face et tenta de sortir. Rien à faire. Le Poufsouffle avait beau y appliquer tout ses efforts, la porte refusait de s’ouvrir. Il regarda les deux autres élèves et posa une question, avec une pointe de doute dans la voix.« C’est une blague, pas vrai ? Juste une mauvaise blague ? »Raté. Vu leurs regards, c’était tout, sauf une plaisanterie. Sans compter qu’un des deux inconnus débita ce qui ressemblait à une énigme. Une devinette, donc ? Et pour sortir, il fallait la résoudre ? Oui, mais non ! Jill n’avait pas que ça à faire : il s’avança vers celui qui semblait être l’instigateur de ce tour pendable et le fixa droit dans les yeux, dans l’espoir de lui intimer l’ordre d’ouvrir la porte. Les résultats ne furent pas concluant. Jill se retrouva donc à chercher une solution avec celle qui s’avéra être une de ses condisciples de Poufsouffle : Saffron.
Il empoigna certaines boules et tenta de les soupeser. Sans résultats. S’il y avait une différence de poids, elle devait être infime. Pas le choix : il faudrait recourir à la balance pour trouver la plus lourde. Mais pourquoi diable se limiter à deux pesés ?« Franchement, je ne me destine pas à être épicier ! Surtout que maintenant, ils ont des balances électroniques et pas les vieux modèles en fonte ! Raaah, quelle plaie ! »Ce fut à ce moment qu’il entendit la porte s’ouvrir. Il se redressa et courut pour essayer de l’empêcher de se fermer. Mais il n’allait pas assez vite. Il interpella le nouvel arrivant.« Garde la porte ouverte ! Vite, retiens-là ! »Un claquement sec se fit entendre. La pièce renfermait à présent un nouveau prisonnier. |
| | | | Invité | | Sujet: Re: [Fev.] La curiosité est un vilain défaut (Jill,Saffron,Jake) Dim 7 Juin 2009 - 2:23 | |
| HJ: désolé du retard
«Maudite chausette! Où est-ce que tu peux bien te cacher?»
Rageur, Jake écarta une nouvelle chemise, lança derrière lui un nouveau bouquin et extirpa un paquet de cigarette vide du fond de sa valise. À genoux au sol, il poussa un profond soupir et continua sa recherche. Des papiers froissés, des cravates pèles-mêles ainsi qu’un vieil emballage de chocogrenouilles; il y avait de tout là-dedans, de tout! Excepté une quelconque chaussette, bien entendu. Par Merlin, où étaient-elles donc toutes passées? Jamais un de ses camarades n’oseraient lui voler quelque chose… N’est-ce pas? De toute façon, pourquoi lui volerait-on ses chaussettes? Elles n’avaient strictement aucune valeur. Bon sang, lui qui voulait tant profiter de la matinée pour réviser ses notes de métamorphose se retrouvait à perdre son temps dans son merveilleux dortoir afin de trouver une satanée chaussette qui… Oh là! Calme-toi Cleaver, ça ne sert rien de t’énerver pour si peu. Il prit une grande inspiration, les yeux clos, et reprit graduellement le contrôle de ses nerfs. Tant pis pour sa chaussette, il irait pied nu, voilà tout. Il quitta donc sa salle commune avec un pied dévêtu dans ses souliers. Il traversa couloirs et escaliers d’un pas régulier sans voir aucunes âmes qui vivent. Il ne se posa toutefois pas de questions sur le sujet. À voir la noirceur qui régnait à l’extérieur, il était facile de deviner où la majeure partie des étudiants se trouvaient…
Esquissant un sourire face à la tranquillité des lieux, Jake atteint finalement la grande salle où il comptait engloutir un bon petit déjeuner. Cela, bien sûr, juste avant d’aller étudier à la bibliothèque. Il franchit donc les immenses portes en bois et… Surprise! Il y avait déjà quelqu’un d’attablé à l’endroit réservé aux verts et argents. Ce quelqu’un, en plus d’être un lève-tôt, faisait partie de la maison des poufsouffles. C’était un intrus. Un intrus qu’il pouvait identifier avec certitude : Saffron Draig. Qu’est-ce qu’elle faisait là? S’assoyant complètement à l’opposé de la demoiselle, il ne la quitta pas des yeux. Il essayait, en vain, de comprendre ce qu’il lui avait passé par la tête. Il agrippa une pomme avant de la mener à ses lèvres qu’il entrouvrit dans le but bien évident d’en prendre une bouchée. Pourtant, il n’en fit rien. Arrêtant son geste subitement, il dévisagea la poufsouffle qui venait de se lever de table. Elle passa devant lui sans le voir, puis sortit de la pièce sans un mot. Eh ben!
Il regarda sa pomme du coin de l’œil, ensuite la porte. La pomme et puis la porte. Il répéta le même mouvement, encore et encore.
« Curiosity killed the cat, but I’m much bigger than a cat! » (Kedd Burmeister)
Poussant un soupir à s’en fendre l’âme, il posa la pomme sur son plateau avant de se diriger lui-même vers la sortie. Quel misérable curieux il faisait! Sérieusement, se rabaisser à suivre une jaune et noire afin de comprendre sa psychologie n’était pas très glorieux. Il suivit le bruit de ses pas pendant quelques minutes avant de l'apercevoir au bout d’un couloir. Il accéléra sa marche afin de la garder bien en vue, mais tout de même… Qu’est-ce qu’elle était entrain de faire? Il n’y avait aucune pièce intéressante dans cette partie du château. Secouant la tête en signe d’incompréhension, il tourna l’angle du passage. Paf, il s’arrêta brusquement. Saffron avait disparue.
Idiot de Cleaver! Tu n’as pas été assez vigilant. Découragé, il se laissa glisser contre le mur de pierre. Gaspiller son temps comme il le faisait devrait être interdit par la loi. Il aurait simplement dû déguster sa pomme avant de se rendre bien sagement à la bibliothèque, comme un parfait petit serdaigle studieux. Mais non, à la place, lui, il jouait au gryffondor incapable de résister à l’appel de la curiosité. Parfois, il se demandait bien pourquoi on l’avait placé chez les «rusés et malicieux». Il allait continuer à divaguer ainsi lorsqu’un nouvel individu capta son attention. À l’autre bout du couloir, un adolescent, d’à peu près son âge, venait d’apparaître. Jake l’observa un instant. Le jeune homme s’approchait d’un des pans du mur, à pas lents et mesurés. À quoi jouait-il, celui-là? Il le vit ouvrir une porte et disparaître à l’intérieur. Étrange… Maintenant qu’il y pensait, il ne se souvenait pas d’avoir déjà aperçut cette porte. Il se leva tranquillement et s’approcha à son tour de la nouvelle apparition. Il l’observa sous toutes ses coutures sans y trouver quelque chose de suspect. Toutefois, comme le garçon ne ressortait pas de la pièce, Jake fut à nouveau saisi de curiosité. Il hésita à peine une pincée de secondes avant de mettre la main sur la poignée et de franchir le démarquation du connu vers l'inconnu.
« Garde la porte ouverte ! Vite, retiens-là ! »
Obéissant tel un automate, à cet ordre directe, Jake tenta de retenir la porte. Toutefois, elle lui glissa entre les doigts et se referma en un bruit sonore. Il essaya de tourner la poignée mais elle demeura coincée. Conclusion, il était pris au piège.
« Maybe I’m not as big as I taught. »
En soupirant une nouvelle fois, il pivota vers le centre de la pièce. Il avisa aussitôt Draig, assise au sol avec un élève bizarre. Puis, il aperçut le garçon de toute à l’heure. Il jeta une œillade à son badge puis sourit ironiquement. Le voilà pris au piège avec deux crétins de poufsouffle.
« Génial! Quelqu’un peut m’expliquer ce qui se passe ici? »
Une phrase lancée bêtement, enfin une bonne idée pour détendre l’atmosphère! Croisant les bras, il attendit qu’on daigne de lui répondre… |
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