...On en reste à attaquer des moulins.

Mais Alenn était plus fou, et il ne serait jamais écrit un livre sur ce lutin. Pour la simple raison, qu'il serait impossible de le tenir tranquille sur des feuilles blanches couvertes de noir, il déchirerait les pages, il ecornerait intentionellement les coins et machonnerais le papier. Car il s'ennuirait.
Aussi, Cette nuit où l'insomnie est compagne de la facétie, l'enfant invoque dans un grand sourire, toute son imagination pour écrire une lettre digne des SG. C'est un rite. Il n'est pas difficile d'imaginer le candide gosse, debout au milieu de la pièce, entouré d'esprits tournant autour de lui, et dans un grand éclat de rire. Il les dévorerait tous. Sans exeption, il se foutait de savoir ce qu'il pouvait représenter. il avait envie de les manger, c'est tout. aprèstout, ce ne sont quedes brides de lui même, qui s'échappent de temps à autre tant l'enfant est instable.

Instable mais étrangement réel. Alenn existe, alors pourquoi son esprit est dans l'iréaliste ? Pourquoi un être bien réel préfère ce qui n'existe pas à ces condisciples.

Alenn souffla la bougie et replia le parchemin, il avait fini. Il se glissa sous sa couete, le lit grinçaun peu. Faisait gromeller Martin, qui se rendormis rapidement ensuite.

_________________________________________________

Citation :

Cher bande de SG !

Vous l'attendiez tous, voici votre troisième ordre de mission. Comme beaucoup de vous le savent, Lily ne fait plus partie de notre organisation, et cela à beaucoup changé nos plan. Nous devons être plus soudés que jamais !
La chose nous a été proposé par Hermoine Blake.
Les armures ont bien soufferts des Weasleys, à notre tour de leur faire la fête ! La nuit du 18 décembre, en l'occasion de...Ben. De la fête des Armures ! Nous nous amuserons à décoré les armures de façon la plus extravagante possible ! Maquillage, sorts, costumes. Tout est bon pour redonner de la vie à ces antiquités.
Après nous ferons un vote pour la plus belle armure et le gagnant gagnera le titre de grand costumeur des Sg. (Si c'est pas magnifique ?)

Vous pouvez créer de petits groupe pour les décorer, mais pas plus de trois personnes. Surtout, vu que c'est une mission nocturne,ne vous faites pas remarquer ! Bonne chance à vous !

N'oubliez pas de signer d'une couronne vos forfaits !
Si la gueuse se prend pour la reine, nous seront alors les révolutionnaires.

_________________________________________________

[Voila voila. Je posterais en dernier.
Vous pouvez faire ça comme un TP (Au minimum un post) mais aussi faire plusieurs posts. Faites gaffe si jamais Olivia est de garde, ou même faites gaffe à n'importe quel préfet \o/ (Si il y en a qui postent.)
Si autres questions, me contacter par Mp.]

Alors que le château était plongé dans l’obscurité, chaque résident étant allé rejoindre le mystérieux pays des rêves, une petite silhouette éveillée, attendait impatiemment que sa complice la rejoigne. Joulya, car c’était bien d’elle dont il s’agissait, commençait sérieusement à trouver le temps long. Planquée contre un mur du troisième étage, tenant un gros sac contre elle, elle était à la merci du moindre ennemi venu et parvenait difficilement à rester immobile, impatiente à l’idée d’accomplir son forfait. Les deux Turner ne s’étaient effectivement pas donné rendez-vous en plein milieu de la nuit par simple plaisir. Elles avaient en effet une mission de la plus haute importance à accomplir, une mission digne des S.G ! L’oreille aux aguets, pour être sûre de détecter le moindre bruit suspect, la rouge et or inspecta pour la cinquième fois consécutive le contenu de son sac à dos. Il ne s’agissait pas d’avoir la moindre hésitation lorsque le moment serait venu de s’atteler avec cœur à la tâche. Apparemment tout y était.

« Hey ! »

Surprise par la main qui s’était abattu sur son épaule, Joulya manqua de renverser le contenu de son sac et le cœur battant à tout rompre, tourna la tête. Les yeux pétillants de malice, un air de triomphe sur le visage, sa sœur, Joey, se tenait à côté d’elle. Rassurée, la fillette esquissa un léger sourire avant de s’empresser de grommeler :

« Hé ben, c’est pas trop tôt ! Ca fait des heures que je poireaute ici. Allez viens, on a assez perdu de temps. »

Elle tira sa sœur par la manche et toutes deux s’élancèrent en silence vers la galerie des armures, située à quelques dizaines de mètres de là. Parvenues devant la porte, elles marquèrent une pause afin de s’assurer que personne ne traînait dans les parages. Depuis quelques temps, l’horrible crapaud semblait renforcer encore plus les mesures de sécurité. Il s’agissait d’être prudentes !

« Allons-y »

La gryffondor poussa doucement la porte et pénétra dans la pièce, rapidement suivie de sa frangine. Ayant été repérer les lieux le matin même, elles traversèrent la pièce sans l’once d’une hésitation et s’arrêtèrent en face d’une grande armure, d’allure encore assez jeune par rapport à celles qui trainaient dans le château. Sans un mot, la fillette ouvrit son sac et en sortit différents accessoires. Un chapeau rose ridicule typiquement ombragien qu’elle avait reçu de sa mère cet été et qu’elle avait gardé jusqu’à maintenant, faute d’avoir pu s’en débarrasser. Une jupe rouge coupée en deux qu’elle avait piqué à la plus grosse de ses camarades de dortoir. Et enfin des pantoufles en forme de lion qu’elle avait monnayé à un gryffondor de septième année en échange de menus services. Jetant un regard complice à sa sœur, Joulya extirpa sa baguette de sa poche et la pointa tout d’abord vers le chapeau : « Wingardium Leviosa». Aussitôt celui-ci s’éleva pour aller se poser sur la « tête » de l’armure. Même si le chapeau, trop petit, ne s’enfonçait pas entièrement, cela faisait son petit effet. La blondinette recula d’un pas pour admirer son ouvrage et souffla, d’une voix satisfaite :

« Ouah du premier coup ! J’suis trop forte. Parfait ! Maintenant nous allons couvrir cette demoiselle comme il se doit. Il ne faudrait pas qu’elle attrape froid en ces soirées si glaciales ». L’enfant ramassa les morceaux de tissus et en tendit un à sa complice. « Tiens cette partie de jupe contre le devant de l’armure jusqu’à ce que je te dise de lâcher. Je vais attacher les deux bouts ensembles avec l’élastique, la Miss étant bien trop volumineuse pour l’enfiler normalement ».

La fillette se mit à l’ouvrage rapidement ne s’arrêtant que lorsqu’elle fut certaine que le gros élastique noir tiendrait correctement en place. Le résultat valait le détour. L’armure se retrouvait maintenant affublée d’une ridicule jupe rouge cœur qui se serait certainement attiré la convoitise du crapaud.

« C’est bon, il ne reste plus que les petons et le tour est joué. C’est qui le génie ? »

Sans prêter attention à la mine sceptique de la vert et argent, elle s’empara de la paire de pantoufles et se dirigea vers l’énorme silhouette de fer. Les pantoufles étaient ouvertes vers l’arrière, ce qui facilitait leur enfilement mais un problème subsistait : le poids de l’armure qui devait bien peser 10 kilos au minimum. Une lourde charge pour la petite fille qu’elle était.

« Joey ? Va falloir que tu te mettes derrière l’armure, pour la soutenir. Juste au cas où ben … elle manquerait de tomber ». Devant l’air effaré de la serpentard, Joulya pouffa avant de la rassurer. « T’inquiète, je maîtrise la situation. Simple mesure de précaution. Bon voyons… Desfecto attractio… non… Desafecto attractio. Oui, c'est ça!

Grâce au sortilège d'allègement, la fillette réussit à enfiler les chaussons sous les pieds l'armure, manquant toutefois de lui faire perdre difficulté plusieurs fois. Lorsque la tâche fut enfin accomplie, elle poussa un long soupir de soulagement et s'assit sur le sol, la mine radieuse. La partie la plus délicate du travail était terminée. Elle contempla quelques instants le résultat puis se tourna vers sa soeur.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

" Mission accomplie, à toi de jouer ma chère !"

[H.J : Suite dans le post de Joey]