RICTUSEMPRA
Ma Présentation
I. IDENTITÉ DU PERSONNAGE ♦ NOM : Park, Kwan Soek, Henry
♦ ÂGE :16 ans.
♦ DATE DE NAISSANCE :14/05/1982
♦ ORIGINE :Ascendance moldue
♦ ANIMAL ÉVENTUEL :Un chat gris, Moon
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II. APPARENCE & PERSONNALITÉ ♦ PHYSIQUE :On me répète souvent que je ressemble à tous les chinois Londoniens. Un peu normal, puisque je suis de type asiatique. J'ai donc les yeux bridés, les cheveux noirs comme le geai, et la peau plus ensoleillée que celle d'un Anglais lambda. Mais de là à dire qu'on se ressemble tous... Non, c'est faux. Je suis facilement reconnaissable grâce à ma démarche légère, voire même dansante, dont je détiens le secret. Cette démarche de beau-gosse, accompagnée de mon sourire et mon froncement de sourcil particulièrement aguicheurs, qui font, je pense, mon charme. J'ai la silhouette athlétique, et je fais souvent des folies de mes cheveux, les laisse pousser puis les coupe, selon mes envies. Mais ça fait un bout de temps que je les porte aux épaules. Autre chose : Je suis glabre, de la barbe aux orteils. J'ai horreur de la pilosité !
♦ STYLE VESTIMENTAIRE :Je ne suis pas très difficile en matière de vêtements, mais j'aime la sensation du coton contre mon torse. Je me promène donc souvent avec des chemises ou des maillots en coton, et les accorde avec un jean large, généralement sombre, ou avec un pantalon troué aux genoux - c'est mon côté rebelle. Je porte toujours autour de mon cou une chaîne en argent, et une gourmette au poignet droit comportant mon nom en Coréen. Aux pieds, je me contente de converses ou de chaussures de ville dans la même lignée. Lorsqu'il fait froid, je préfère les keffieh aux écharpes, et j'enfile un blouson de cuir ou un sweat. Je n'aime pas les doudounes et les imperméables, je préfère encore avoir froid ou être mouillé, au risque de tomber malade, que d'avoir l'air d'un esquimau.
♦ AUTRE(S) :Un léger accent coréen qui parfois me dérange dans la prononciation de mes formules...
♦ CARACTÈRE :J'ai beau être plutôt beau garçon, je suis loin d'être parfait. Je suis par exemple un véritable moulin à paroles. Je parle tout le temps, tout le temps... Parfois même trop. Il m'arrive de dire des choses qu'il ne faut pas. Vexer des gens, ou parler un peu trop ouvertement d'un quelconque sentiment envers une personne. Je suis aussi quelqu'un de relativement maniaque, quitte à aller ranger les affaires de mes camarades de dortoirs - ce qui ne leur plaît pas forcément - et je déteste lorsqu'une affiche ou un cadre n'est pas droit. Mais je suis aussi quelqu'un de bien, heureusement. J'ai un bon niveau scolaire, dû à la pression de la famille. "L'honneur de la famille, mon fils, repose sur tes épaules." Bien sûr. Bien ma veine d'être fils unique ! Je suis sociable, on peut même dire attachant, mais aussi possessif et jaloux. J'ai très peur du noir, et souffre facilement d'angoisses lorsque je m'y retrouve confronté. Mais à part ça, je n'ai pas peur de grand chose. Je suis attaché à la nature. Lorsqu'un amie me hurle de tuer l'araignée sur son bras, je préfère la prendre sur ma main et la déposer plus loin. C'est pas grand chose, mais je n'aime pas arracher la vie à un être. Sauf... Les moustiques. Oh, les moustiques... Ceux là, je les tues sans pitié. Et je ferais bien pareil avec mes ennemis, car oui j'en ai, et lorsqu'on me cherche des noises, je sais me montrer très méprisant. Il suffit de pas grand chose. Un mot de travers, un geste provocateur peut me faire monter sur mes grands chevaux. En revanche, la moindre petite attention peut faire chavirer mon coeur : J'ai un coeur d'artichaut. J'ai une vision idéalisée de l'amitié et de l'amour, mais je sais me contenter de ce que j'ai ; et je suis, qui plus est, d'un naturel optimiste.
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III. HISTOIRE & RP♦ HISTOIRE PERSONNELLE :Avant, je m'appelais Kwan-Soek. Né au printemps, à la période où les pétales des cerisiers s'étendaient sur le sol comme un tapis blanc. Mes parents tenaient une épicerie dans un quartier mal famé de Seoul. Mes souvenirs de cette époque ne sont que flous, car à 5ans déjà, je quittais mon pays pour l'Angleterre, où mes parents espéraient trouver un travail plus stable. Pour une meilleure intégration, on leur proposa de changer mon nom en Henry. Nom ridicule, qui ne plaisait qu'à eux. Une fois installés à Londres, ils ouvrirent un restaurant Coréen à China Town, situé entre un "Sushi à emporter" et la boutique d'un chinoise à moitié folle que Maman m'avait interdit d'aller voir. J'ai donc grandi au milieu d'asiatiques venus de part et d'autre du continent. Autant de voisins que de langues que je ne comprenais pas. J'étais inscrit à l'école moldue du quartie voisin, avec des élèves anglais, qui m'apprirent à dire toutes sortes de choses plus ou moins grossières. Lorsque je lâchai un gros mot à la maîtresse, je fus punis. Chose normale. Mais je compris tout de suite que les autres élèves l'avaient fait exprès. Et celui qui m'avait appris ce mot là en particulier, c'était Mike. Un petit fils-à-papa, toujours le premier à rire des autres. J'avais envie de me venger. Ma punition était humiliante. Je devais aller au tableau, et écrire 30 fois "Je ne dois pas dire de gros mots". Lorsque je m'approchai du tableau, je n'eu même pas le temps d'écrire le premier mot. La craie se mit à tourner toute seule sur elle même, et fut lancée par une force invisible sur Mike, visant la tête. Je restai bouche bée devant le spectacle qu'il venait de se passer, tandis que la maîtresse, convaincue que j'avais jeté la craie, appela le directeur. Déshonneur de la famille. Apparition de la magie. Début des problème. Mes parents ne voulaient pas me croire, j'ai été puni, et renvoyé trois jours. Ce n'est que trois ans plus tard que la magie entra officiellement dans ma vie, lorsque ma lettre d'admission à Poudlard fut réceptionnée. Je crus d'abord à un canular, et à peine ai-je jeté la lettre à la poubelle qu'une autre, identique, s'engouffra par la boîte aux lettres. Ce n'était pourtant plus l'heure de passage du facteur. Jetant un coup d'oeil à la fenêtre, je vis un grand hibou perché sur le dossier d'un banc, près de la façade de chez moi. Je pris alors le temps de lire la lettre, m'arrêtant sur chaque mot. Du moins, autant qu'un enfant de 11 ans puisse en être capable. Puis je couru voir mes parents, leur tendant la lettre.
Magie. Réalité. Début d'une aventure merveilleuse.
♦ EXEMPLE DE RPG : Une douce matinée de printemps était sur le point de commencer. Un rayon de soleil passait à travers le baldaquin de mon lit, que j'avais pourtant précautionneusement fermé, et réchauffait la peau de ma main droite, étendue à côté de mon corps endormi. Une chaleur douceâtre, mais juste assez forte pour m'arracher aux bras de Morphée. Lentement,je me redressai, avant d'ouvrir le baldaquin pour regarder l'heure sur la montre à gousset que j'avais, comme toujours, posé sur la table de chevet avant de m'endormir. Huit heures du matin. Et déjà un soleil magnifique. Habituellement à cette heure-ci, en week-end, je profitais de la matinée pour rattraper le sommeil que me faisaient perdre mes devoirs, mais cette fois une priorité pointait le bout de son nez : la charmante Jude aux cheveux d'or m'avait demandé, la veille, de la rejoindre dans une heure à la Grande Salle. Pas la peine de préciser que j'étais aux anges ! Ce n'était certes pas la première fois que j'avais rendez-vous avec une fille bien sûr, mais cette fois je me sentais un peu nerveux. Soucieux de paraître un peu trop différent de mes habitudes, je ne pris pas la peine de choisir mes plus beaux vêtements. Je me contentai de prendre la première chemise et le premier jean qui me tombaient sous la main. Lorsque je me glissai dans la salle de bain, sans bruit pour ne pas réveiller mes camarades, la première chose que je cru voir fut un monstre. Et effectivement, il y en avait un. Là, en plus milieu de mon visage ; sur le bout de mon nez. Rouge, énorme, flagrant, un immonde bouton d’acné. Quelle poisse ! Je n'avais pas eu de boutons depuis deux ans déjà, pas le moindre ! Et voilà qu'un petit malin apparaissait, en plein milieu de ma figure. Pourquoi ? Pourquoi aujourd'hui ? Paniqué, je laissai tomber mes affaires et entrepris la pire des solutions : le percer. Erreur fatale. Maintenant ce n'était plus un bouton, mais du sang. Et j'avais beau essayer de calmer le saignement avec du coton et des mouchoirs que j'avais pu trouver dans un coin de ma malle, ça ne s'arrêtait pas. Bon sang, pourquoi ? Au bout d'un bon quart d'heure, le sang s'était arrêté de couler. Laissant, bien évidemment, la place à une croûte rouge bien voyante. Tant pis, quitte à avoir l'air bête, autant tenter de faire mieux. Après avoir pris ma douche et m'être habillé, je sortis de ma trousse de secours un petit pansement, que je me collai sur le nez. On m'aurait cru sorti tout droit d'un dessin animé moldu. Je soupirai, conscient qu'elle allait finalement me prendre pour le roi des imbéciles, et optai tout de même pour un peu de parfum d'homme virile - ce dont je n'avais pas vraiment l'air, comme ça.
Lorsque je me rendis à la Grande Salle, elle était déjà là. Toujours aussi sublime. Sa cascade de cheveux lui tombait le long du dos, et sur la poitrine, cachant presque entièrement le haut de sa robe. Je mis les mains dans les poches, et m'approchai d'un pas plus lourd qu'à mon habitude. Elle se tourna vers moi, et j'observai un regard de surprise dès l'instant ou son regard se posa sur mon nez. Je lui mis un doigt sur la bouche.
- Ne me demande pas pourquoi. Je préfère que tu ne saches pas, c'est assez gênant.
Après quoi, je lui offris ce sourire aguicheur que mes lèvres portent comme un gant. Quoi que, je devais avoir l'air fin. Sourire comme Georges Clooney avec le nez de Pinocchio. Oh oui, quelle élégance...
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IV. HORS JEU♦ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ?Recherche google !
♦ ÂGE IRL :18 ans.
♦ PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR :Lee Donghae ♥
♦ EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Non
♦ DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ? :Non merci !
♦ AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? :Oui ! (Veritaserum)