I. IDENTITÉ DU PERSONNAGE ♦ NOM : Van Castel
♦ PRÉNOM(S) : Hippolyte Alcofibrasse Romuald O'maley Lisa Donovan
♦ AGE & DATE DE NAISSANCE : Hippolyte est âgé de 11 ans et est né le 13 juillet.
♦ ORIGINE : Si hippolyte a eut un ancêtre moldu il n'en a jamais entendu parlé et sa mère sans être anti-sorcier d'origine moldu, prend plaisir à rappeler son ascendance sang pur
♦ ANIMAL ÉVENTUEL : rien de tout ça
II. TEXTE PERSONNEL[list]Est-il possible de s'épanouir pleinement dans l'existence quand vos parents vous ont appelé Hippolyte, Alcofibrasse, Romuald, O'maley, Lisa, Donovan?
Depuis bientôt une dizaine d'années aux quelles s'ajoutaient 364 jours, le protagoniste qui nous occupe tendait à prouver que la réponse à cette question ne pouvait être que négative.
Tout avait commencé bien avant mais limitons nous nous à raconter ce qu'il était advenu, onze ans auparavant, et choisissons cela comme début.
Donc, à l'aube d'un nouveau jour qui connaîtrait la naissance d'un petit d'homme que l'on accablait avant même ca naissance d'un arbre généalogique démesuré, Anouchka, enceinte jusqu'aux yeux avait entrepris l'ascension d'une montagne; celle qu'on lui avait indiqué à la question:
"là ou se réfugia Fridluva!" (cela ressemblait plus à une affirmation mais le carthographe, comme tout le personnel de la maison, était habitué à répondre à des phrases à l'impératif).
Dire qu'elle avait entrepris l'ascension de la montagne serait cependant beaucoup présumer de ses aptitudes. Disons qu'elle avait fait préparer au lever du jour la chaise à porteurs (le transplanage l'irritait au plus haut point) et ses elfes de maison, au nombre de quatre avaient alors entamé l'ascension du mont d'Europe du Nord voulu, qui sur la carte ne portait pas de nom, avait-on eu trop peur de l'écrire ou avait-on juste oublié? allez savoir...
La première vision qu'offrit le monde à Hippolyte fût donc un plafond de roches sombres dégoutantes d'eau. Les premiers sons qu'il reçut de mère nature fûrent la psalmodie angoissante d'une vieille dame dont les tons, tantôt aigus, tantôt de basses graves se fondaient avec le fracas de la pluie au dehors. La langue devait être de l'Araméen, sorti d'on ne savait quel grimoire. Quand à la première odeur qui saisit Hippolyte, elle était composée des relents de pourriture et d'humidité d'un végétale quelconque, mêlée à celle d'un feu exhalant la senteur âcre d'herbes fraîches en train de se consumer sans bruler. L'atmosphère était lourde et pesante, les nuages noirs et le rideau de pluie qui cachait l'extérieure de la grotte étaient sporadiquement altérés par un éclair blafard qui plaquait des ombres aigus sur les murs de pierre.
On eût pu rêver mieux comme naissance.
Ce fût au terme de la troisième semaine de vie d'Hippolyte qu'Anouchka redescendit parmi les hommes, regagnant ca chaise à porteurs. Non qu'elle eût eu véritablement besoin de telles conditions pour donner naissance à son fils, mais Anouchka avait toujours manifesté une force de caractère qui faisait faiblir les plus téméraires. Aussi, quand elle avait annoncé qu'elle désirait accoucher en communion et plus à propos en lutte avec les éléments, personne n'avait songé à contester. La vieille sorcière qui se faisait appeler sage-femme était arrivée par portoloin le lendemain, son apparence avait semblait-il fort satisfait Anouchka qui s'était toujours attachée aux rites animalistes, et tout le personnel s'était trouvé soulagé.
"Tëëranolde maniait l'épée comme nul autre, Archastrasse s'était approprié la masse d'armes et Jugull louvoyait entre n'importe quel tir de flèche. Ils étaient au service du Ma.. Maha.. Mardja.. Mahara..""Hippolyte Alcofibrase O'maley Romuald Lisa Donvan Van Castel! Concentrez vous, reprenez!"La raison pour la quelle le vieux Hector persistait à toujours l'appeler par l'intégralité de ses prénoms échappait à Hippolyte. D'autant plus qu'il était son seul élève et que quand une sentence tombait il était peu probable qu'elle s'adressât aux étagères qui les entouraient ou à l'un des ouvrages qui les chargaient. Et la voix du vieil homme continuait inlassablement d'égrener quotidiennement chacun des nominatifs qu'Hippolyte c'était vu infliger à sa naissance.
Chacun d'entre eux avait pour but qu'il n'oubliât pas sa noble ascendance.
Ainsi Alcofibrasse Van Castel régnait au moyen âge sur une petite bourgade moldue dont il tirait tout ce qu'il voulait, il s'était fait passer pour un envoyé de Dieu ce que les pauvres moldus avait été trop heureux de croire.
O'malley était président de la guilde des potionnistes de Londres pendant la Grande Peste dont il se targuait d'être en partie responsable.
Lisa Van Castel, fille de O'malley était surtout connue pour avoir été mariée 45 fois et avoir empoisonné un à un chacun de ses amants, acte auquel la famille devait principalement sa fortune.
Donovan n'était autre que le père d'Hippolyte et avait pour principale mérite de vivre sur les rentes que lui procuraient la plus grande part des actions de la banque Gringot's.
Et enfin Hippolyte était le nom du célèbre dresseur de dragons, gloire parmi les gloires de la famille.
"M-A-H-A-R-A-D-J-A. concentrez-vous Hippolyte Alcofibrasse Romuald O'malley Lisa Donovan Van Castel! Comment voulez vous correctement articuler une incantation si vous êtes incapable de lire un texte?"Donovan avait tenu à ce que son fils reçoive un enseignement digne de son rang. Aussi Hippolyte passait)il huit heures de ses journée retiré dans la bibliothèque familiale. C'était une grande pièce dont le plafond s'élevait à sept mètres, tapissée d'ouvrages et battue par les courants d'air. Elle était située tout en haut d'une des tours du château des Van Castel. Glaciale et rendue sombre par la nuit elle était habitée que par la voix du vieux Hector mêlée aux bourasques continuelles qui agitaient les linteau des fenêtres.
Le col dur qui donne l'air d'un vicaire, la longue cape noire, et la robe de soirée tisée en double trame avec un fil d'argent qui renvoi des éclats gris sombres sous les lumières.
La grande salle de bal au plancher rutilant sur le quel se reflète les grandes fenêtre à meneaux, dédoublant l'espace dans un scintillement qui fait se perdre les yeux.
La chambre qui est trop vaste pour être personnelle, aux meubles trop massifs, impressionnants. La lumière de la lune qui rentre à flots par les croisées, plongeant la pièce dans des teintes bleutées et blafardes. L'espace sous le lit devient alors béant et les monstres tapis ouvrent un oeil rouge.
Les escalier à 667 marches, éclairées par des candélabres d'or, ou lorsque vous les parcourez seul le bruit de vos pas par l'écho vous rappelle votre solitude.
La longue table où quotidiennement l'on mange, chacun espacé par deux mètres de l'autre.
Hippolyte avait grandi avec le silence de ces murs. Il était un nourrisson calme puis un enfant silencieux. Il était devenu tout silence, aussi silencieux que les vieux murs de pierres qui l'entouraient.
La mère d'Hippolyte affirmait que ce dernier succèderait à son père avec fermeté et habileté à la tête de leur famille. Mais Anouchka, plongée dans la réalité de sa propre vie, n'avait jamais pris le temps de connaître son fils.
Personne n'avait pris le temps de connaître Hippolyte. Il sortait et suivait une existence normale avec des enfants de son âge mais il ne leur parlait pas beaucoup, il se contentait d'être là. C'était d'ailleurs l'activité principale de"Hippo" comme le nommait affectueusement la femme de chambre:
" tu est encore là à attendre Hippo?" et Hippo attendait.. On n'aurait pu dire ce qu'il espérait et lui même ne le savait sûrement pas. Il attendait tout simplement, ce n'était pas un garçon malheureux, en se penchant sur son psychisme vous n'eussiez rien trouvé d'inhabituel; un enfant normal ayant une histoire désespérément prévisible, étant distrait et aimant la vanille. Mais en vous rapprochant encore un peu vous auriez aperçut quelques incohérences, comme si l'esprit qui l'eût pensé n'ait fait que copier grossièrement un enfant, sans s'attarder sur les détails. Hippolyte ne toussait jamais après avoir mangé une cuillère de tiramisu saupoudrée de chocolat.
Quand la lettre arriva ce ne fut pas Hippolyte qui la lut mais sa mère
"ils mentionnent qu'il y a un fond pour les élèves nécessiteux.. Quelle idée!" Hippo avait hoché la tête quand on lui avait dit qu'il serait à Poudlard l'année prochaine, on lui en parlait régulièrement depuis son enfance et l'idée lui était familière.
Le lourd soleil de fin Août inondait le parc, les arbustes taillés pour former des allées et des arabesques projetaient une ombre irisée aux formes fantastiques; Se promenant dans les allées du labyrinthe qu'Anouchka tenait à entretenir dans le jardin, on rencontrait le seul bruit des insectes qui se fondaient dans les taches de soleil. Le regard était comme marbré par la succession des zones d'ombres et de lumières. Hippolyte aimait se perdre dans cet étourdissement calme. À cette heure il était étendu dans une flaque de cette lumière jaune et épaisse, il écoutait le silence composé de milliers de petits bruits répondre a la chaleur. Il était bien, perdu dans ses sensations colorées. Si on les alignait dans le bon ordre, les premières lettres de chacun de ses prénoms écrivaient H.A.R.O.L.D. Un gros hanneton passa au dessus de lui, il pensa à poudlard, il y avait des maisons là)bas, c'était un grand château, avec un parc
"tu ne seras pas dépaysé, au moins" lui avait dit ca mère; Chaque élève était réparti dans une maison. Un frottement dans l'herbe derrière lui l'éveilla, ce devait être un chat, il regarda le buisson. Au loin il entendit la gouvernante:
"Hippo!"; Il se releva, laissant le silence tout seul. Empruntant les allées qu'il connaissait par coeur il courut pour se réveiller.
Griffondor, Serpentard, Poufsoufle, Serdaigle.
Débouchant du labyrinthe il vit la vieille Sophia perchée sur le perron, une main sur les hanches elle se protège du soleil avec l'autre:
"votre valise est prête Hippo, la voiture pour Londres vous attend."Désormais, décida-t-il, il s'appèlerait Harold.
"tenez, un sac, vous y trouverez votre billet, des sous. Votre père a décidé que vous dormiez à Londres ce soir. Demain le chauffeur vous conduira au quai 9 trois quart"La voiture était un coupé teinté d'une allure victorienne. Sans chevaux étrangement. Le moteur qui ne semblait situé nulle part ronronna doucement et sans soubresaut la voiture démarra. Par la fenêtre il regarda la demeure familiale s'éloigner dans la chaleur étouffante de cette fin de journée. Harold considéra son billet de train pour la première fois de sa vie Harold savait ce qu'il attendait; sous la grande voûte étoilée savoir qui il serait dans ce nouvel endroit. Serdaigle, Serpentard, Poufsoufle ou Grifondor?
III. HORS JEU
♦ COMMENT AS-TU CONNU CE FORUM ? Par le biais d'une amie totalement intarissable sur le sujet!
♦ AGE IRL : Je crois me rappeler que j'approche les 18 ans ou environ.
♦ PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : Je conte faire un dessin dans un avenir proche
♦ EST-QUE TON PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Je ne crois pas, il n'a en tout cas jamais manifesté quelque chose de semblable à ma connaissance.
♦ DÉSIRES-TU ÊTRE PARRAINE(E) ? : Du point de vue de l'orthographe ce serai peut être souhaitable dans l'intérêt de la communauté.
♦ AS-TU LU LE RÈGLEMENT ? :
Oui,
Confirmation