RICTUSEMPRA
Gégory Wayne
I. IDENTITÉ DU PERSONNAGE ♦ NOM : Wayne Grégory.
♦ ÂGE : 16 ans.
♦ DATE DE NAISSANCE : 03/12/1982
♦ ORIGINE : Sang-mêlé. Mère sorcière et père moldu.
♦ ANIMAL ÉVENTUEL : Un petit chat noir offert part sa sœur quand il a reçut sa lettre pour Poudlard. Simca. Il ne sait pas trop pourquoi il lui avait donné ce nom. Ça sonnait bien, c'était l'essentiel.
Simca est un chaton noir au poil soyeux. Il est très joueur et toujours à demander des caresses. Il n'est pas méfiant ce qui lui cause pas mal de soucis. Ainsi qu'a son maître qui a souvent du aller le récupérer dans des arbres trop hauts, la maison des voisins, coincé dans un tiroir... Mais ses gros yeux jaunes peuvent dissuader n'importe qui de rouspéter après lui.
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II. APPARENCE & PERSONNALITÉ ♦ PHYSIQUE :Le visage de Grégory est fin ainsi que tous les éléments qui le compose : son nez, sa bouche, ses oreilles... En revanche, il est légèrement complexé par son nez. Il le trouve trop imposant. Mais bon, il se dit que tout le monde a ses petits complexes. Ses cheveux sont blonds cendrés, assez épais et constamment décoiffé, ses mèches viennent incessamment octroyer sa vue et elles cachent ses petits sourcils. L'épaisseur de ses cheveux en amuse plus d'un. Sa soeur Sally se faisait une joie de les lui ébouriffés. Il a la mâchoire fine et le teint pâle. Sa peau est lisse et douce. L'été, il a de très légères taches de rousseurs sur les joues et il n'aime pas trop ça. Ses yeux bleus ressemblent à ceux de sa soeur ainée.
Grégory est grand, mince et élancé. Il doit mesurer environ 1m78 pour 65kg. N'allez pas croire qu'il n'est pas musclé. Certes, ce n'est pas un grand sportif, il ne fait pas de pompes tous les jours, mais ce n'est pas une brindille qui s'envole au moindre coup de vent. En revanche, il n'est pas très bagarreur et bien qu'il ne soit pas dépourvu de muscles il n'aime pas - et ne sait pas - trop s'en servir.
♦ STYLE VESTIMENTAIRE : Grégory ne praire pas une grand importance à son style vestimentaire... tout du moins c'est ce que l'on peut penser ; en dehors des vêtements obligatoires à Poudlard il porte généralement des chemises trop grandes et des jeans simples. Simple oui c'est le mot qui définit son style, il est à la fois simple et passe partout, ni trop "has-been" ni trop décontracté.
Alors pourquoi des chemises trop grandes ? Ça lui donne un style « Je ressemble à un enfant mignon dans ces chemises trop grandes ».
Mais n'aller pas croire qu'il est négligé (bien que ces chemises froissées peuvent le contredire), il fait attention a être présentable, à ne pas tâcher ses vêtements et surtout à ne pas mettre ses chemises à l'envers.
♦ CARACTÈRE : Attaché aux valeurs traditionnelles de la famille et à l'appartenance à un clan, il éprouve le besoin d'être entouré de personnes avec qui partager. Mais il recherche avant tout son propre bonheur à travers les autres. Par ailleurs, il évite les conflits et les confrontations directes. Il sait très bien créer de bons moments pour faire oublier la grisaille du temps et celle de la vie...
Grégory s'exprime de façon familière, mais toujours poliment. La politesse est le masque de son hypocrisie. En revanche, il peut se montrer sincère avec les gens qu'il apprécie. Le seul soucis et de distinguer sa sincérité de son hypocrisie. En effet, il ne fait pas confiance à beaucoup de personnes. Sans doute parce qu'il ne peut pas s'empêcher d'analyser et de juger les gens. Quand il discute avec un inconnu il va tout scruté chez lui. Autant bien son parlé et ses propos que les moindres petits gestes qui en diront plus long sur lui que ces dires. Le corps ne ment pas.
Toutefois il ne manque pas d'humour. D'humour noir (tantôt involontaire, tantôt malveillant). D' ironie. Souvent pour manifester une certaine rébellion face à un monde incompréhensible en raison de la multiplicité des conventions. Grégory n'est pas rebelle, mais il n'aime pas se soumettre à l'autorité. Toute forme d'injustice rebute, le dégoute. Sans doute à force de lire des ouvrages à valeur moralisatrice il c'est lui même éprit d'un sens de la justice un peu poussé.
Sensible et plutôt mélancolique, Grégory à tout de l'artiste: refus des conventions, besoin de liberté...
Extrêmement avide de connaissances, il a l'esprit ouvert et est toujours partant pour de nouvelles expériences. Il est brillant, ses notes le prouvent. Mais peut-être est ce pour compenser son caractère incertains, ses avis mitigés. Il trouve refuge dans la théorie et la connaissance. Car tout a une réponse précise. Pour tout dire, il ne saurait pas déterminer lui même son caractère.
Pour ce qui est de la famille, il l'aime. C'est les seules relations affectives qu'il arrive à tenir et bien qu'elles soit particulières. Ce qu'il peut vous dire en revanche c'est qu'il n'aime pas sa mère. Il voudrait l'effacer de sa vie mais il ne peut pas s'empêcher de penser à elle. Il voudrait la chasser de son esprit, mais elle est là, insidieuse et entêtante. Aussi loin que remonte sa mémoire, il ne trouve pas de douceur apaisante qui l'entoure. La douceur d'une mère. Cette mère égoïste et frustrée, qui vit dans l'ombre et le refus d'accepter la réalité il aimerait la chasser de sa vie. A l'instant ou il avait le plus besoin d'elle, elle s'est dérobée. Il n'a jamais eu de mère. Mais il reste ce mot, qui se répète à l'infini, ce mot qui lui fait mal. Mère.
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III. HISTOIRE & RP♦ HISTOIRE PERSONNELLE :Gregory Wayne est un garçon comme les autres. Il n'est pas spécialement drôle, pas spécialement intelligent et, pas spécialement beau. Tout chez lui est d'une extrême platitude. Il a grandi avec sa soeur dans une petite maison en Angleterre. Sa mère était une sorcière en devenir jusqu'à ce qu'elle fasse la rencontre son père et qu'elle en tombe follement amoureuse. Elle excellait dans l'art de la métamorphose et beaucoup de matières théoriques, bien qu'elle n'ait pas le moindre talent sur un ballait. Mais Isa décida d'abandonner la magie pour s'unir à Johan Wayne. Quelques mois plus tard naquit Sally, une jeune fille pleine de vie aux yeux d'un bleu étincelant et aux cheveux aussi noir que la suie. Mais plus le temps passait et plus la pluie rendait les esprits sombres. En grandissant, Sally devint froide, capricieuse et renfermée ; ses yeux étaient d'un bleu devenu sombre et fade alors qu'elle regardait la pluie tomber pendant des heures du ciel gris. Six ans plus tard naquit Grégory. C'était une sorte de nouvel espoir, de nouvelle flamme au milieu de cette vie froide.
La mère de Sally était toujours de mauvaise humeur, au fond elle était frustrée et se demandait pourquoi elle avait renoncé à la magie. Son amertume était présente au quotidien et rendait la vie encore plus morne qu'elle ne l'était déjà. Quatre longues années passèrent avant que la jeune fille ne reçoive sa lettre pour Poudlard. Elle y fut conduite quelques mois après avant que le choixpeau magique ne l'envoie à Serpentard. Poudlard représentait sa deuxième maison,pendant les vacances, elle passait son temps chez ses amis sorciers s'attirant les foudres de sa mère. Johan lui était un grand homme aux cheveux gris et aux yeux bleues azur. Tout en lui imposait le respect, il avait été maçon autrefois avant d'être libraire dans une petite boutique abandonnée. Maintenant il restait chez lui, près de la fenêtre confortablement installé dans son fauteuil à lire. Il devait bien avoir lu des centaines d'ouvrages, mais rien ne le lassait jamais. Devant l'amertume croissante de sa femme il s'était enfermé dans une sorte de mutisme. Son fils, Grégory partageait également sa passion de la lecture. Grégory était un jeune garçon vif et très réfléchis. Il passait son temps dans la forêt en bordure de leur maisonnette. Seul il s'isolait l'été dans les sous bois, s'inventant des histoires en regardant les pierres et les brins d'herbes. L'hiver, il restait dans son abri, sous les énormes racines d'un grand chêne qui formait comme un dôme protecteur. Son père lui avait construit une petite cabane en bois, mais il s'en fichait. Il préférait faire bouger l'herbe en la regardant et créer des vagues dans l'eau rien qu'avec la force de son esprit. Il ne savait pas comment cela était possible, mais comme cela avait toujours été ainsi il ne se posa pas de questions. C'était un garçon calme, à l'image de son père mais toutefois pleins de sentiments se bousculaient dans sa tête, c'était un garçon très réfléchi. Peut-être un peu trop. Il avait tendance à se laisser submerger par ses émotions, bien qu'il maintienne cette carapace neutre et calme. Il semblait insensible à tout alors qu'un seul coup de vent lui donnait des frissons.
Quand il reçut sa lettre pour Poudlard il n'était même pas étonné. Il était conforté dans l'idée qu'il voulait faire de grandes choses et devenir quelqu'un d'important.
Toutefois, il l'avait longtemps observée. Les lettres complexes semblaient dansées sur le papier jauni et, il savait qu'il tenait dans ses mains le début de quelque chose d'important.
Ses parents n'étaient pas surpris, mais sa mère paraissait encore plus dégoutée et frustrée, comme si le départ de Grégory à Poudlard remuait le couteau dans la plaie de son passé. Son père l'avait félicité d'une petite tape dans le dos et d'un sourire radieux qui voulait dire « Je suis fier de toi mon fils ! »
Sa sœur lui avait envoyé un hibou pour le félicité et avait glissé les anecdotes les plus effrayantes qu'elle ait eues à subir dans cet établissement.
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Dès qu'il l'avait vu, il avait su que ce serait
sa baguette. Elle était fine et sans gravures un simple bâton d'un noir intense. Ébène et Licorne apparemment.
« - Le crin de licorne produit généralement la puissance magique la plus constante et se trouve le moins sujet à des blocages ou à des fluctuations. Les baguettes au cœur de licorne sont en règle générale les plus difficiles à mettre au service des Forces du Mal. Ce sont les plus fidèles et elles restent habituellement très attachées à leur propriétaire d'origine, qu'il s'agisse ou nom d'un sorcier ou d'une sorcière accomplis. L'inconvénient mineur des crins de licorne, c'est qu'ils ne donnent pas aux baguettes une très grande puissance -bien que le bois de la baguette puisse compenser ce défaut- et qu'ils sont portés à la mélancolie si on les malmène gravement, ce qui signifie que le crin peut mourir et qu'il faut alors le remplacer.
Quand à l’ébène, il convient à toutes les formes de magie de combat ainsi qu’à la métamorphose, ce bois d’un noir de jais a une réputation et une apparence impressionnantes. L’ébène trouve son plus grand bonheur entre les mains de ceux qui ont le courage d’être eux-mêmes. Souvent non-conformistes, hautement individualistes et très à l’aise dans leur statut de marginaux, les possesseurs de baguettes d’ébène se trouvent à la fois dans les rangs de l’Ordre du Phénix et dans ceux des Mangemorts. D’après ma propre expérience, le parfait propriétaire d’une baguette d’ébène est quelqu’un qui restera toujours fidèle à ses convictions, quelle que soit la pression exercée sur lui, et ne se laissera pas détourner facilement de ses objectifs. »
Jamais Grégory n'aurait pensé que les matières des baguettes étaient aussi importantes et significatives. Mais il se rappellerait toujours des explications du vendeur qui semblait lire en lui comme dans un livre ouvert. Il se rappellerait toujours de ses grands yeux globuleux semblant scrutés son âme. Il se rappellerait toujours du frisson glacial lorsqu'il l'eut saisit pour la première fois.
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Pour ce qui est des loisirs, Grégory les passaient la plupart du temps dans une bibliothèque miteuse dans un coin de Londres. C'était une boutique que personne ne remarquait. Il était tombé dessus par hasard en voulant se protéger de la pluie et il n'était plus jamais reparti. Le plancher grinçait, les livres et les vieux vinyles étaient entassés dans des étagères. Ils n'étaient pas triés et chercher un ouvrage précis était une véritable épreuve. La salle principale se composait uniquement d'un canapé, une cheminée et d'un phonographe. Il prenait souvent un livre et se mettait sur le sofa en face de la cheminée et, l'odeur du bois qui brûle lui emplissait les narines, une chaleur presque exagérée s'emparait de ses membres durcis par le froid de l'extérieur.
L'été en revanche il passait la plupart de son temps dehors au soleil à lire ou bien sur un ballait. Il aimait cette impression de liberté et de vitesse quand il était dans les airs. Il n'était pas particulièrement doué, mais il se débrouillait plutôt bien.
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En amour, Grégory n'avait jamais vraiment su comment s'y prendre. Et il n'avait jamais vraiment aimé.
Il lui suffisait de se montrer gentil, patient et désirable quand il voyait quelqu'un qui avait un faible pour lui. Le jeune sorcier avait souvent eu de petites histoires d'un soir, mais jamais plus. Peut-êtres de petites amourettes, mais rien de très important. Il s'en fichait. Il se fichait des jeunes filles qui le regardaient avec insistance dans les couloirs ou dans la rue. Il s'en fichait des hommes qui lui faisaient des clins d’œil en le pensant homosexuel. C'est vrai qu'il avait un visage étonnement féminin, des mains fines et lisses, des jambes élancées et beaucoup de personnes pouvaient le penser homosexuel au premier coup d’œil, mais peu lui importait, il s'en fichait lui de tout ça. Il attendait la personne qui lui fasse ressentir quelque chose de si puissant qu'il penserait à elle toutes les secondes de sa vie, la personne qui pourrait le rendre fou, lui faire dire et faire n'importe quoi. La personne avec qui il n'aurait pas besoin de parler pour discuter. La personne qui comprendrait toute la complexité de ses émotions en regardant simplement ses yeux. Mais cette personne, il ne la connaissait pas encore, mais il ne s'en souciait pas trop. Il savait qu'elle viendrait. Il ignorait seulement quand, comment et la forme qu'elle aurait. Oui. C'est comme ça que Grégory définit l'amour. Comme une phase de la vie. Et si l'amour ne vient pas ? Tant pis, il s'en fiche. Actuellement dans les relations, ce qui lui importe c'est quand il sent que la personne va faiblir, quand il sent qu'elle va s’abandonner à lui. Il aime les contacts charnels, les caresses et les étreintes. Et tant qu'il ne trouve pas l'amour, ça suffit à le contenter.
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Vous l'aurez compris, Grégory était tout ce qu'il y a de plus normal dans ce monde magique...
♦ EXEMPLE DE RPG : Vous êtes dans la bibliothèque en train de faire des recherches pour votre sujet à rendre le lendemain matin. Vous souhaitez tourner la page du livre que vous êtes en train de feuilleter, mais sans le vouloir vous la déchirez. Que faîtes-vous, sachant que Mme Pince, la bibliothécaire se trouve dans les parages ?
Non mais sans blagues, la métamorphose c'est vraiment pourrit comme matière quoi. Il s''en fiche de savoir transformé son chat en citrouille. Quatre pages en plus. Qu'est ce qui les intéresse tant dans leurs devoirs. Ils reçoivent je ne sais pas combien de copies et en plus ils se farcissent quatre pages de correction. Enfin bon, puisqu'il le faut. Il se décide enfin à se bouger de leur table. Élise est plongée dans sa lecture et Jo' souffle sur sa plume. Sans doute as-t-il baissé les bras depuis longtemps. Grégory fais exprès de faire grincé sa chaise et s'attire les regards foudroyants d'Élise et de Mme Pince. Il choisis de regarder le visage de Mme Pince, avec ses petits yeux accusateurs. Il lit dans ses yeux la frustration de ne pas pouvoir le mettre dehors alors qu'il fait sans arrêts de petits bruits. Avec sa gorge, sa chaise, ses pieds...
Enfin bon, le voilà devant ces trois tonnes de livres. Il a bien mis deux ans à savoir comment étaient disposés tous ces livres. Alors, métamorphose... il avance de quelques pas et s'engouffre entre deux épaisses bibliothèques qui s'étendent jusqu'au plafond. Plus il les observe et plus cet endroit lui fait penser à un labyrinthe. Il s'attarde devant quelques ouvrages avant de poser ses yeux sur le motif de son déplacement : « Métamorphose, sorts avancés ». En posant sa main sur la tranche du livre il peut lire sur celle du livre voisin : « Manuel de métamorphose à l'usage des débutants ». Ce livre l'a tellement servis l'année dernière, que ça le rendrait presque nostalgique.
Il a suffisamment perdu de temps. Il émerge du labyrinthe d'ouvrages et rejoint ses amis. Il ne manque pas de faire trainer sa chaise en s'asseyant. Mme Pince est derrière lui, il peux sentir ses mauvaises ondes depuis sa place. Il ouvre le vieux livre et attrape du bout des doigts la première page. Il a vraiment des doigts de fille, c'est fou. Juste à ce moment-là, Jo' tape son coude contre le siens et c'est le drame. Face à la collision inattendue de leurs coudes, sa prise sur la page du manuel devient si sèche qu'en un quart de seconde la page est déchirée. Le son du papier démembré hurle dans toute la bibliothèque. Mais personne ne bouge. Grégory a l'impression que Mme Pince regarde par-dessus son épaule. Il regarde Jo' d'un air meurtrier, il espère qu'il peut sentir le poignard imaginaire qu'il lui enfonce dans le ventre. Mais apparemment non. A moins que la douleur ne déclenche chez lui une violente euphorie. Jo' n'arrive plus à s'arrêter et, même la tête dans ses bras Grégory sent qu'il a les larmes aux yeux tellement il rit. Grégory a envie de rire aussi, mais le moment est grave. Il se retiens et aborde un regard plein de courage. Il bombe le torse et ferme d'un bruit sec le manuel. La page mutilée dépasse. Elle lui fait pitié. Après avoir saisi le livre, Grégory se dirige vers les bibliothèques, il avance toujours plus, d'un pas assurer alors qu'il se dirige vers une partie inconnue de la bibliothèque. Il s'agenouille, saisit le livre le plus bas, le plus sale et le plus vieux. Il vérifie qu'il n'y est personne et l'ouvre. Les pas de Mme Pince se font entendre. Il étale par terre les deux livres en sa possession, saisit la page déchirée de l'un et la glisse dans l'autre. Il range aussi discrètement que possible le vieil ouvrage et se redresse aussitôt. Grégory voit Mme Pince qui l'observe du bout de l'allée de livres. Elle n'a pas l'air de l'avoir vu. Elle s'en va. Ouf... Mais, où est passé le premier livre ? Après avoir regardé dans toutes les directions disponibles par son cou, il se rappelle qu'il est au sol. Il le saisis et vas d'emblée le reposer dans son emplacement. Grégory retourne s'asseoir.
Il ferme ses livres, les mets dans son sac et chuchote : « - Bon, on bouge ? » Jo' lui lance son plus beau sourire. Élise roule des yeux et ferme son roman. Ils sortent silencieusement de la bibliothèque et Grégory se sent tel un héros qui aurait sauvé le monde sans que personne ne se rende compte de rien.
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IV. HORS JEU♦ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ?Par une amie !
♦ ÂGE IRL :16 citrouilles.
♦ PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR :Mitch Hewer
♦ EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Non ça ira !
♦ DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ? :Non merci !
♦ AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? : T'as tout compris mon chou !