[Sept] Promesses nocturnes [TERMINE]

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Tout se passa miraculeusement bien. Ils entrèrent sans se faire repérer (même si Cennyd se doutait bien que le Professeur Dumbledore était capable de savoir exactement ce qui se passait au château mais s'il n'avait pas de preuves, il n'y aurait pas de punition et c'était ce qui importait) et sillonnèrent les couloirs, main dans la main reveillant au passage quelques portraits et armures qui grommelaient. Ils devait avoir l'air étrange tous les deux. Lui, en simple robe de sorcier et elle, torse nu (ou presque) son pull a lui sur les épaules.

Ils étaient tranquillement descendus aux cachots et allaient retrouver la salle commune (et les douches de celles-ci lorsqu'Azéline décida soudain de prendre la direction des opérations. Sans prévenir, elle se mit à courir à toute vitesse, le tirant vers l'avant. Surprit, l'adolescent failli tomber mais se rattrapa on ne sait comment et courut après elle.

Cennyd était un garçon qui aimait le sport. Mais il était plus taillé pour la vitesse que l'endurance, plus agile que fort, plus souple que résistant. Il rattrapa sans peine la jeune fille qui courait pourtant à une vitesse respective mais était bien essoufflé en arrivant à destination.
La main posée sur la porte de la salle commune, la jeune fille s'approcha de lui et lui intima d'un geste de se taire. Précaution bien inutile étant donné qu'il n'avait pas du tout l'intention de parler.

Azéline le regarda à nouveau de ses magnifiques yeux verts et ceux-ci rassurèrent le jeune homme. Il n'y avait plus la troublante folie de toute à l'heure. Juste l'envie de jeu qu'il connaissait si bien chez elle. Il soupira de soulagement. La torture prenait fin. Maintenant, quoiqu'il se passe, elle serait consciente de ses actes et consentante. Il allait pouvoir se laisser aller à ses envies, libérer cette frustration qu'il contenait depuis toute à l'heure.

C'est pourquoi il ne l'envoya pas valser lorsqu'elle passa ses bras autour de lui, c'est pourquoi il l'attira encore plus vers lui et posa un baiser passionné sur ses lèvres.

"Ne t'inquiete pas pour ça, on va la prendre cette douche" lacha-t-il dans un souffle et d'une curieuse voix un peu rauque. "Laisse moi juste monter au dortoir prendre ce qu'il faut et je reviens." Il l'embrassa dans le cou, et se défit doucement de l'étreinte de la jeune femme. Il lui jeta un dernier regard et descendit quatre à quatre les escaliers qui menaient à son dortoir. Il prit ses affaires de toilettes, ses habits du lendemain (il était trop tard pourqu'il pense à aller se coucher) et son maillot de bain (au cas ou, restons decent tout de même) et retourna rapidement dans la salle commune en regardant autour de lui, presque effrayé à l'idée qu'Azéline soit retournée dans son propre dortoir pour se coucher et dormir un peu...

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Les bras entourés autour de la taille du jeune homme, Azéline le fixait dans les yeux. Elle ne voulait pas dévier son regard que se soit vers la droite ou vers la gauche juste lui et son regard d’acier comptait. Le noir régnait dans le couloir et les petits courant d’airs frais étaient présent venant se glisser sous le pull de Cennyd qui lui cachait pas grande partie hormis son dos. Elle frissonna un instant et regarda le plafond quelques instants plus tard. Vite fait elle observa la stature et les motifs incrustés dans le plafond et revint plonger son regard dans celui couleur acier de Cennyd. Un petit sourire en coin de lèvres, elle se demandait bien la réaction qu’allait avoir Cennyd suite à leur petite montée en pression soudaine. Sa faisait jamais de mal ma foi un bon petit sprint pour se dégourdir les jambes. Se sentant attirée vers la jeune homme, Azéline ne réagissa pas et laissa Cennyd lui déposer un baisé. Cette dernière quelque peu surprise du baisé ne répliqua rien et se contenta de lui sourire. Ce dernier lui dit alors qu’il allait chercher ses affaires et qu’il revenait.

« Hm hm … je vais en faire autant. »

Dit-elle en lâchant un petit sourire quand Cennyd l’embrassa dans les cou. Des frissons lui parcourèrent le dos et Azéline se cambra légèrement. Le regardant s’éloigner de plus en plus d’elle, Azéline regarda autour d’elle la grande salle commune qui était quelque peu éclairée par la cheminée qui donnait une chaleur stable et agréable à la pièce. Rapidement Azéline se sentit seule et décida elle aussi d’aller chercher les affaires qu’il lui fallait pour aller prendre une douche. Marchant doucement dans les escaliers elle se précipita et entra dans le dortoir doucement. Il ne fallait pas qu’elle réveille qui que se soit car les Serpentardes étaient toutes mais vraiment toutes des cafteuses de première classe et si Azéline se faisait chopper avec Cennyd c’était la punition assurée. Un regard vide et d’un pas rapidement elle prit un sac dans lequel elle fourgua une jupe, un débardeur, un grand draps de bain ainsi que le nécessaire de toilette. Enfilant rapidement son maillot de bain noir, ce dernier mettait en valeur ses formes avantageuses. Le pull sur ses épaules elles décida de redescendre enfin…

Azéline hésita a enfiler un débardeur ou tee-short par dessus le haut de son maillot. Son pantalon par en bas, elle préféra remettre le pull de Cennyd sur ses épaules et traversa la pièce doucement sur la pointe des pieds. Elle avait oublié quelques chose mais quoi ?! Elle était arrivée au bout de la salle commune quand elle réalisa qu’elle n’avait pas pris son sac. Et crotte ! Venant se pencher légèrement en avant elle regarda de nouveau les filles du dortoir qui dormaient paisiblement sauf 2 lits qui étaient fermés et qui n’avait pas encore été défait. Tiens bizarre. La jeune Serpentarde repartie vers son lit et récupéra son sac qu’elle glissa en bandoulière sur le côté droit de son corps. Quand Azéline se retourna brusquement, elle se retrouva nez à nez avec deux jeunes filles qui s’avançaient vers elle. Elles n’étaient pas net. Azéline arqua un sourcil surprise et ses dernières lui adressèrent un « Qu’est-ce que tu fais debout ?! t’as rendez-vous ? » Azéline gardant son calme, s’approcha d’elles et leur répondit d’une voix neutre et froide voir même méchante « Ne chercher pas mes chéries vous êtes incapable de me suivre ». Ses dernières tombèrent raides sur leurs lits et Azéline s’échappa rapidement.

La jeune femme resta quelques instants à la porte pour observer les deux énergumen complètement saoule et soupira traçant sa route. Descendant les marches de l’escalier elle arriva enfin dans la salle commune et se posa dans le fauteuil toute à gauche près de la grande cheminée. Le sac posé le long du fauteuil les jambes croisées de façon très féminine, les bras croisés devant elle, Azéline attendait Cennyd. Ce dernier arriva et Azéline lui adressa un grand sourire. Les yeux pétillants, elle se mordit la lèvre inférieur et termina par tirer sa langue à Cennyd. Elle réalisait qu’elle allait passer une douche avec Cennyd , c’était complètement la classe pensait-elle ? La jeune femme se releva et les bras qui vinrent se décroiser elle joignit ses deux mains derrière son dos s’avançant vers Cennyd. Elle lui dit d’une voix base et malicieuse…

« Rapide dis moi »

Un sourire aux lèvres, l’alcool semblait s’être dilué dans son corps et elle n’avait pas spécialement la « tête dans le cul » comme dirait pas mal de personne. Etant à même pas 30 centimètres de Cennyd, Azéline gardait un regard pétillant et un sourire malicieux cependant elle ne s’approcha pas mais détacha ses deux mains qui étaient jointes. Attendant peut être juste une petite réaction de Cennyd,elle devait pas cacher que sa hâtise d’aller sous l’eau été forte.

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Ah, elle était la. Assise sur un fauteuil face au feu qui donnait des reflets dorés à sa chevelure blonde. Exactement telle qu'il l'avait laissée mais un sac semblait avoir apparu à coté d'elle. Pourtant il n'avait pas eu l'impression d'être lent au contraire.

Bon il avait mit un peu de temps à trouver ses affaires c'est vrai. Comme beaucoup d'adolescents, Cennyd n'était pas particulièrement soigneux surtout qu'il avait l'habitude que ce soit sa mère qui s'occupe de tout ranger. Et puis il avait perdu encore un peu de temps à batailler contre sa robe de sorcier le temps d'enfiler son maillot. Mais généralement les filles étaient plus lentes que lui. Azé devait avoir bien hâte pour ne pas avoir pensé se faire désirer un peu. Ou alors elle était encore un peu saoule et n'y avait pas pensé.

"Evidemment, tu pensais quoi !" lui répondit-il en la regardant droit dans les yeux. Elle était très mignone et ce qu'il voyait de son maillot la mettait en valeur. Mais il ne pu résister à l'envie de la taquiner.

"On dirait que tu as cuvé toute seule, la douche est inutile maintenant" dit il en la prenant par la taille, l'attirant contre lui avant de lui déposer un chaste baiser sur le front. "a moins que tu n'y tiennes bien sur, je suis a ton service, comme toujours."

Il la lâcha, se recula de quelques pas et, toujours sans la quitter des yeux, s'inclina, jouant au romantique. L'ambiance endormie de la salle commune lui rappelait beaucoup cette autre soirée qu'ils avaient passés ensemble tous les deux. Il semblait écrit que la nuit les réunirait ! Ils se parlaient pourtant peu de jour, se croisant à peine en cours et n'ayant pas vraiment les mêmes amis. Mais des qu'ils se retrouvaient seuls et que le soleil était couché, il se sentait attiré vers elle comme la limaille sur l'aimant. Oui, ils étaient deux êtres des ténèbres comme il y en avait quelques uns chez les serpentards (surtout des filles d'ailleurs, tant mieux)...

"Alors cette douche, t'es cap' ou pas ?" Pensons à autre chose ! Finalement cette histoire de douche en couple n'était pas une mauvaise idée. Tout plutôt que de penser ! Et tant pis s'il se faisait encore reprendre pour son air fatigué le lendemain. Tant pis si l'infirmière l'obligeait à se reposer dans la journée. Cette nuit n'appartenait qu'à Azéline !

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Azéline restait parfaitement d’aplombs les deux pieds bien fixés au sol, le regard dans celui de Cennyd rien ne l’a ferait partie de cette salle commune sauf si ce dernier avait le malheur de dire une simple chose qu’elle ne voulait pas entendre mais cela était certainement rare. Azéline commença à jouer avec ses doigts derrière son dos de nouveau stresser du faits qu’il ne bouge pas ne dise rien mais il la regardait. Azéline sourira de nouveau et le fixant du regard l’écouta attentivement comme toujours. Qu’est-ce qu’elle pensait ? Et bien simplement qu’elle aurait été la deuxième à arriver dans la salle commune et que Cennyd serait déjà là à l’attendre mais aparament non. Toujours le regard figé dans les yeux, la jeune femme laissa de nouveau ses deux mains tomber sur le long de son corps. Bizarrement elle avait chaud sauf son buste qui était légèrement froid. Maintenant il partait sur la taquinerie ? Hum pas bon usage ma foi. Azéline le regarda et se laissa mollement attirer parla taille. Ses mains sur posèrent sur les avant bras de Cennyd qui ne tarda pas à lui déposer un baisé sur le front. Azéline le fixa du regard et le laissa terminer avant de répliquer.

« Bien sur que j’y tiens tu crois quoi ? »

Dit-elle légèrement en soupirant. La jeune femme observa Cenndy qui la lâcha. Ses mains glissèrent sur ses bras et Azéline ferma les yeux une fraction de secondes. Aaah elle voulait pas qu’il la lâche. Elle soupira et regarda Cennyd s’incliner , un petit sourire aux lèvres, elle leva les yeux au ciel et lui adressa un lus large sourire. Cennyd lui demanda peu de temps après si cette histoire de douche tenait toujours ou plutôt si elle était cap ou pas cap d’en prendre une. Mais on croyait quoi à la fin ? Qu’elle avait juste dit qu’elle prenait une douche avec lui pour le fun ? Non non non elle tenait ses paroles. Se dirigeant quelques secondes vers son sac elle sortie d’une rapidité extrême son grand draps de bain qu’elle lâcha rapidement sur le canapé. S’approchant de Cennyd à pas félin, elle enleva le pull de ce dernier de ses épaules et mit sur celles de Cennyd. Sans lâcher les deux manches, elle l’attira vers elle doucement laissant son visage dangereusement près de celui du jeune homme. Maintenant en haut de maillot de bain, elle restait pleine de malice proche du visage de Cennyd auquel elle répondit sans gêne d’une voix maligne et un brin de fermeté.

« Cap chéri. »

Répondit-elle en lui donnant un bref baisé sur les lèvres. Tsssssk même au plus tard de la nuit la jeune femme était prête a tout pour avoir ce qu’elle voulait, elle jouait, provoquait, boudait enfin elle aimait cela. Ce reculant doucement, elle laissa glisser ses mains sur le torse de Cennyd en se mordant la lèvre inférieur. Pas possible d’être aussi … provocante. La jeune femme se recula doucement et hésita quelques secondes à enlever son pantalon ici en cet endroit mais s’abtiendra. Imaginer que Rogue ou autres des professeurs ou même élèves descendaient et les voyait tout les deux en maillot de bain à se câliner à moitié. Pfiou vive les réputations ! Après tout sa ne la dérangerait pas d’être vu en compagnie de Cennyd loin de la mais dans toute situation il y avait un hic. Un hic se disant être une personne bref passons… Azéline prie sa serviette et revint vers le jeune homme. Lui prenant une main, elle l’attira vers elle et laissant tomber sa serviette avec celle de Cennyd, elle lui prit sa deuxième main et se glissa dans ses bras. Le dos contre son torse chaud, Azéline tourna la tête et la remonta légèrement pour venir lui murmurer à l’oreille quelques mots.

« Et toi tit cœur … Cap’ ou pas ? »

Après tout il lui avait demandé mais elle ne savait pas si il lui avait demandé juste cela comme sa pour l’agacer et lui dire non après. Malgré qu’elle savait très bien et était quasiment sur à 100% qu’il ne dirait pas non et puis il l’avait promis. Comme disait-elle toujours... Chose promise chose dût. Normale. Rabaissant la tête, elle avait les mains chaudes de Cennyd qui étaient liées aux siennes. Un sourire et un regard légèrement jouer mêlé de malice, la jeune femme lâcha une main de Cennyd mais garda l’autre et se contenta de tourner dans ses bras. Un sourire malin elle le fixa de ses deux billes vertes et glissa à son tour ses deux mains dans le bas du dos du jeune Serpentard. Déposant un doux baisé sur son torse, elle se cambra légèrement et attendait la réponse du jeune homme. Dans sa tête résonnait un « oui » mais fallait-il encore que la réponse était oui. Les mains posées dans son bas du dos, le corps légèrement cambré faisait une grande partie de contact de son corps et le sien, elle attendait patiemment la réponse. Déviant ses yeux une fraction de secondes sur le feux, une mèche blonde tomba sur le côté de son visage et Azéline revint vite regarder Cennyd dans les yeux comme depuis le début.

[ en espérant que sa te convienne= ] ]

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On attendait une réponse. Ce qui était une raison suffisante pour ne pas en donner. Dans l'esprit de Cennyd en tout cas. Le jeune écossais sourit, toujours moqueur, sans réagir aux quelques courtes phrases de la jeune femme. Il réflechissait à un moyen de se venger (gentiment, c'est d'Azéline dont il était question et pas d'un quelconque flirt d'un soir. Il n'y avait qu'Irina et Zéline pour bénéficier d'un tel traitement). Son sourire s'élargit soudain, il avait trouvé !

Rapidement, il embrassa la jeune femme qui continuait ses agaceries sans doute dans l'espoir de le faire craquer. Mais il était chez lui maintenant. Il avait récupéré sa tête et le contrôle sur ses hormones (enfin...disons qu'il arrivait à faire semblant de les contrôler ce qui était déjà quelque chose) et pouvait résister tranquillement. Ses yeux se posèrent sur le maillot d'Azéline qui, soyons franc, lui allait très bien et il lui murmura à l'oreille

"Et tu comptes te doucher en pantalon ?"

D'un geste souple il ôta son pull puis sa robe de sorcier, se retrouvant en maillot de bain et l'embrassa dans le cou.

"Qui m'aime me suive !"

Il entra dans sa salle de bain et alluma l'eau froide à fond. Frissonnant, il se força à aller dessous, espérant qu'Azé ne se méfierait pas et se retrouverait punie.

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Azéline regarda Cennyd dans les yeux un grand sourire coquin aux lèvres. Qu’est-ce qu’il lui réservait ? Azéline ne cherchait même pas à savoir qu’est-ce qui l’attendait. Elle suivrait Cennyd n’importe ou il irait, n’importe quoi qu’il ferait, vraiment partout. Regardant ce dernier, elle l’observa quelque instants et soupira heureuse de passer cette soirée voir même cette nuit avec Cennyd. La pièce était assez agréable et Azéline était en maillot ou du moins juste son haut de maillot mettant fortement en valeur sa poitrine. Elle avait ses cheveux blonds qui tombaient sur son dos et le devant de ses épaules. Un sourire déplacé ,elle laissa Cennyd l’embrasser et lui rendit son baisé avec un sourire. Ce dernier se recula un peu et lui posa une question fort bête à son goût. Bien sur que non . Elle regarda Cennyd ce déshabiller et le dévora des yeux de haut en bas retenant un sifflement. Elle se mordit la lèvre et regarda Cennyd dans les yeux la lèvre mordue. Quand il parla de nouveau Azéline secoua légèrement la tête et le laissa disparaître dans les douche en lui disant.

« Bien sur que … »

Azéline ne vit plus Cennyd. Ce dernier alluma rapidement l’eau froide et Azéline recenti l’humidité soudaine. Bien sur un courant d’air passa dans la pièce et Azéline commença à douter de la température de l’eau. Si sa se trouvait, il était tranquillement sous une douche bien chaude à l’attendre. Rolala veinard. Azéline défis son pantalon et s’étira avant de s’avancer doucement de la porte ou était situer les douches. Passant sa tête par l’ouverture, elle sourira malicieusement Cennyd et s’avança au milieux de la porte. Posant une main de chaque côtés de la porte ouverte, elle laissa se faire naturellement un déhancher et fixa Cennyd dans les yeux pendant de longues minutes. Venant s’avancer sans le méfier de l’eau, elle fit surprise par une douche bien froide. Sur le coup, elle s’avança vers Cennyd et frissonna. Posant ses deux mains sur le torse du jeune homme, elle les laissa glisser doucement sur le torse de ce dernier un peu refroidit. Le regard plongé dans le sien, l’eau coulait sur ses cheveux blonds et Azéline pencha sa tête en arrière pour bien les mettre plaqués . Ses yeux verts ressortaient de plus en plus. Elle lui dit d’une voix taquineuse et envieuse.

« Moi je t’aime... »

Répondit-elle avant de s’approcher du jeune homme. Se mordant la lèvre, elle avait son haut du corps assez chaud et ses jambes de même. Rarement elle c’était retrouvée en maillot de bain avec un homme dans les douches de la salle commune. D’être seuls, tout les deux donnait de fortes envie de déconner à ne plus pouvoir s’arrêter. Déposant un baisé sur la joue de Cennyd, elle décala vers ses lèvres frôlant celles ci mais se contente juste de lui mordre doucement la lèvre. L’eau coulait sur les deux corps des deux jeunes Serpentard. Azéline était fortement provocante et faisait cela à cœur plein. Elle s’approcha encore un peu plus du jeune homme et laissa le contact de leurs deux corps se toucher. Un petit sourire malin se laissa apparaître sur les lèvres de Azéline qui était totalement heureuse en compagnie de Cennyd. Venant doucement se laisser glisser sur le côté, elle passa derrière Cennyd et lui déposa un baisé sur le haut de l’épaule. Elle s’appuya contre le mur de pièce légèrement chaude grâce à la cheminée et et se cambra légèrement. Elle voyait le dos de Cennyd et sourira malicieusement. Elle espérait qu’il se retourne bien sur. Les cheveux gouttant, l’eau coulant sur sa poitrine recouverte de son maillot, elle brillait sous les quelques rayons de lune qui apparaissaient dans les douche.

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Cennyd n'avait plus grand chose à faire maintenant, il attendait Azéline, endurant le froid en vrai écossais qui a plusieurs fois utilisé ce stratagème, ne serait-ce que pour se prouver qu'il le pouvait.
Elle ne tarda pas. Elle avait elle même terminé de se déshabiller et prit tout de suite des poses provoquantes. Sacré Azé. Pourvu qu'elle ne change jamais, qu'elle ne tombe jamais amoureuse de l'un de ces idiots romantiques qui lui interdiraient de jouer avec lui. Azé devait pouvoir s'exprimer, avec ses mots mais surtout avec son corps. Et c'était un langage que Cennyd aimait beaucoup déchiffrer.

Elle entra finalement dans la douche et frissonna. Le sourire du serpentard s'amplifia. Gagné ! Il ne la quittait pas des yeux mais l'eau froide qui coulait sur lui l'aidaient à maitriser ses hormones et à garder les idées claires. Il avait eu une très bonne idée avec cette douche. Tant que l'eau ne deviendrait pas trop chaude, il allait pouvoir s'amuser sans perdre pied.

Les paroles d'Azé, pourtant, l'estomaquèrent un moment. Apres l'avoir appelé 'Tit coeur' toute la soirée, voila qu'elle lui faisait une déclaration ! Par Merlin, elle ne pouvait pas être sérieuse hein ? C'était du jeu, rien que du jeu ! Bon c'est vrai que 'Tit coeur, comme surnom, il aimait bien mais il ne fallait pas que la serpentarde tombe amoureuse de lui. Il était un dragueur. Il allait d'une fille à l'autre, au détour d'un couloir, d'un soir, d'une discussion. S'il était fidèle en amitié, il ne s'était jamais préoccupé d'amour. Trop compliqué. Et puis lui il rêvait de meurtres, jamais de filles.

Et puis les filles il les avait quand il était eveillé. Franchement a quoi bon dormir lorsque vous aviez un spectacle aussi beau que celui qu'Azéline lui montrait là ? Sans parler des baisers aussi brûlant que l'eau était froide. Non, rêver servait à construire l'avenir mais le présent était également une bonne chose. Il sourit une nouvelle fois et se retourna, plaquant ses deux mains autour d'Azé pour 'l'emprisonner' dans ses bras. Puis, il l'embrassa avec passion sur les lèvres avant de la déshabiller du regard (il n'y avait plus grand chose à faire).

"Tu n'as pas froid ?"

Le son de sa propre voix parut étrange à ses oreilles. Pourquoi avait-il ouvert la bouche ? Il n'en savait trop rien, peut-être justement pour ne pas avoir à confondre le coeur et le corps. Peut-être aussi parce qu'il se sentait stupide d'avoir envie d'aller jusqu'au bout de l'expérience tout en étant retenu par le stupide règlement de cette non moins stupide école.

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Et c’est partie. La jeune femme était confortablement appuyée contre les pierres humidement chaudes du mur qui longeait certainement le mur de la cheminée allumée. Le feux crépitait dans l’âtre large et noire de la cheminée et Azéline restait appuyée contre le mur ne bougeant pas pour aller voir quoi que se soit. Cennyd était devant elle et lui tournait le dos. Le fixant de ses deux billes vertes claires, elle avait un petit sourire sadique aux lèvres mêlés de malice naturelle chez la jeune femme. Azéline vit Cennyd qui se retourna et plaqua ses deux mains contre le mur autour d’elle. Pas mal, pas mal ! Le dos cambré elle avait ses cheveux blonds en arrière avec l’eau qui continuait de couler sur les deux corps des jeunes Serpentards. Ses mains posées contre le mur autour d’elle faisait comme une prison rejoignant ses bras et Azéline se contenta de lui sourire malicieusement. Ce dernier l’embrassa et Azéline savoura pleinement ce baisé en posant ses deux mains sur les hanches du jeune homme.

« Ma foi je vais t’avouer que non pas du tout… »

Glagla ! Menteuse va. Des frissons étaient installés sur sa peau depuis qu’elle était rentrée subitement sous l’eau avec Cennyd. L’eau froide continuait de glisser sur les deux corps. Azéline avait son corps plus ou moins chaud mais l’eau ne pouvait s’empêcher de lui faire perdre de la température. Les deux mains chaudement mouillées et glissantes, elle les avaient posées sur ses hanche. Regardant de nouveau Cennyd dans les yeux elle sourira et joignit rapidement ses deux mains derrière le dos du jeune homme. Le forçant à se rapprocher d’elle, Azéline serra son corps contre cela de Cennyd rapidement. Un regard malin, elle remonta doucement ses deux mains dans le haut du dos de Cennyd. Déposant doucement ses lèvres contre celles du jeune homme, elle lui donna un baisé tendre et descendit dans le cou et s’arrêta sur le haut de son torse. Le regardant quelques secondes après dans les yeux elle descendit une main et fit claquer l’élastique du maillot de bain de Cennyd.

« Oup’s c’était pas voulu »

Dit-elle. Azéline se mordit la lèvre inférieur. La jeune femme glissa une main sur le côté près des robinets. S’il vous plait du chaud. L’eau froide commençait à vraiment la glacée. Azéline n’était pas du tout frileuse mais l’eau froide était quelque chose qu’elle détestait. Cependant elle avait fait un effort pour se retrouver avec Cennyd. Un filant d’eau chaude dégoulina sur le dos de la jeune femme qui par surprise s’accrocha comme « un petit signe » à Cennyd. Ce dernier serait certainement surpris mais bon tant pis. Imprévisible woman disait-on. Azéline crocha ses pieds derrière Cennyd pour se tenir et le fixa du regard. L’eau coulait sur son buste . Une eau limpide et légèrement tiède mais toujours à une température fraîche. Proche du mur, elle colla son dos contre le mur attirant Cennyd avec elle. C’était certainement la plus belle soirée qu’elle aurait passée dans toute sa vie. Le fixant de ses deux prunelles vertes claires dans les yeux, Azéline lui murmura à l’oreille d’une voix des plus sensuelle..

« Et toi ?! Tu as froid ? Cela métonerait… »

Dit-elle en se reculant doucement. Son jeux de provocation de tentation, ne marcherait peut être pas c’était tellement naturel. La jeune femme caressa du bout du doigt gauche la joue de Cennyd et s’avança pour sceller ses lèvres aux siennes mais recula doucement à la dernière minutes. Un sourire malin aux lèvres, elle ferma les yeux et pencha sa tête légèrement sur le côté pour que ses cheveux soient bien mis en arrive. La jeune femme restait accrocher à Cennyd et ne disait rien juste le regard et geste parlaient.

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Raisonnable, raisonnable il devait rester raisonnable. Elle n'était plus saoule et d'ici une demi-heure, les plus matinaux de sa maison allaient débarquer. Ce n'est pas qu'il n'avait pas envie d'aller plus loin mais le faire dans l'enceinte de l'établissement lui semblait plus idiot que sage.

Seulement si sa tête restait aussi froide que l'eau, ses réflexes ne l'étaient pas du tout. Ce ne fut pas de douleur qu'il frissonna lorsque son maillot claqua et il n'y fut pour rien si ses mains faisaient des bêtises. Il se laissa mener en bateau un moment par une Azéline de très bonne humeur en espérant qu'elle prendrait la première la décision de s'arrêter. Mais elle ne le fit pas et lorsque l'eau devint tiède, il comprit que ce serait à lui de jouer les troubles fête.

Il l'embrassa longuement une 'dernière fois' et la regarda droit dans les yeux avec un sourire moqueur.

"Hmmm, nan. Il faut dire que ma copine a tenu moins longtemps que toi l'autre nuit. Elle a mit l'eau chaude beaucoup plus tôt, mais ce n'était pas mal non plus."

Voila, normalement elle devait se facher. Evidemment, il mentait. D'abord il ne savait pas si Irina accepterait la dénomination de 'copine' vu qu'ils ne s'étaient engagés que pour le bal, ensuite il n'avait jamais prit de douche avec elle. Cela dit, mentir n'avait jamais gêné le jeune homme et il n'y avait rien dans sa voix ou son regard qui prouvait que ce n'était pas vrai. Au contraire il semblait évaluer Azéline comme s'il la comparait mentalement à cette copine imaginaire.

Bien sur, au fond de lui, il n'était pas très content de blesser Azéline. Il l'appréciait beaucoup. Mais il devait d'abord penser à lui. Elle l'avait frustré une bonne partie de la nuit, puis elle l'avait chauffé alors qu'elle savait (tout comme lui) qu'il ne pourrait rien y avoir entre eux. En tout cas pas à Poudlard. Mettre Azéline en colere était la seule chose qu'il avait trouvé pour que ce soit elle qui arrête les enchères. Son honneur serait sauf. Cela valait bien une claque même s'il savait qu'il serait dur de récupérer l'amitié d'Azéline après. Qu'importe, un défi ne lui avait jamais fait peur et il tenait trop à sa blonde amie pour ne pas se promettre de faire tout le nécessaire pour se faire pardonner après.

Et puis avec de la chance elle allait juste arrêter ce petit jeu et passer aux sarcasmes ? Si c'était le cas ils pourraient discuter. De toute façon il comptait lui dire qu'il s'était trouvée une cavalière pour le bal.

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Azéline avait le regard plongé dans le sien restant sans rien fait juste appuyée contre le mur les jambes autour de Cennyd. Arf finalement elle était mieux bourrée. Azéline le regardait et soupira sentant des frissons s’installer sur sa propre peau. Cennyd frissonna de même après qu’elle eut fait claquer le haut de son maillot de bain. Souriant légèrement, elle regarda un instant les autres douches. Toutes pareilles, identiques, sauf que l’eau ne tombait pas à cet instant même dans les autres douches. Prenant une profonde inspiration, elle passa ses bras autour de son cou. Elle le laissa l’embrasser et lui rendit son baisé. Voyant ce regarde et se sourire, elle se douta rapidement qu’il allait lui annoncer quelque chose de pas très bon. Elle le connaissait. Cennyd commença alors à lui débiter toute une phrase du genre "Hmmm, nan. Il faut dire que ma copine a tenu moins longtemps que toi l'autre nuit. Elle a mit l'eau chaude beaucoup plus tôt, mais ce n'était pas mal non plus.". Azéline le regarda dans les yeux comme choquée avec de gros yeux.

« QUOI ? »

Non mais c’était pas possible ! Azéline lâcha ses bras autour de son cou et décrocha d’un geste vif et rapide ses jambes autour de Cennyd tombant sur ses deux pieds, elle se cogna légèrement contre le mur et fixa Cennyd du regard. Un regard plus que vexée. Oui pourquoi osait-il lui dire cela alors qu’ils étaient que tous les deux ? Azéline le fixa d’un regard mauvais pendant une fraction de secondes et avala difficilement sa salive qui avait du mal à passer. Sa lui restait dans la gorge. L’eau continuait de couler et Azéline serra ses poings. Allez décolle en une, aurait dit sa sœur ou autres personnes mais Azéline était loin d’être violente cependant qu’est-ce qu’il l’avait chercher. Sa copine je t’en ficherais sa copine pensait-elle fortement. Le ventre noué, elle avait la haine. Non elle n’irait peut être pas jusqu’au pleurer, pas maintenant en tout cas. Peut être seule dans sa chambre pour quoi pas… L’eau avait arboré leurs visages. Azéline ramena une main directe claquer sur la joue de Cennyd. Sa y est elle le détestait ,elle l’aimait. Hésitant à lui en donner une autre, elle tenait son poing.

« Tu me dégoûte… Me parle plus McAyr »

Tellement dégoûté ? Non sans déconner. La jeune femme n’avait jamais appeler le jeune McAyr de la sorte. Jamais son nom de famille avait atteint sa bouche mais maintenant si. La jeune femme le bouscula verte de rage mais qui plus est mêlée de jalousie. Oui elle croyait qu’il avait jamais cela une bonne douche que avec elle, ne pensant que à elle. Et non aparament sa copine était dans ses esprits. Vous parler. Cependant Azéline avait apprécier le temps qu’elle avait passé avec lui. Son cœur venant d’en prendre un coup. Comment avait-il put ? Azéline se demandait encore et toujours. Il le savait qu’elle était jalouse, il le savait. Azéline c’était mise à marcher dans les douche repensant à ses paroles. Arf elle lui avait dit de plus lui parler mais c’était chose impossible. Si Azéline refusait de l’entendre parler, elle serait obligée de lui parler. Qu’elle galère mais fallait résister, il venait de lui faire mal il devait assumer. Si il comptait s’excuser il en faudrait pas que un peu. La jeune femme se dirigea vers les lavabo et s’appuya les deux mains contre les rebords laissant couler les gouttelettes d’eau.

« …Il a pas le droit… »

Marmonna-t-elle pour elle même. Un courant d’air passa dans les douches laissant un bruit fuyant et atteignit Azéline qui frissonna directement. Ses cheveux blonds sur son dos étaient mouillés et restaient immobiles. Azéline se demandait même si elle avait encore des cheveux. Elle ferme les yeux quelques instants espérant que ce n’était que un rêve et que Cennyd la verrait le jours et qu’il viendrait vers elle pour parler de toute chose. Elle réouvrit les yeux. Elle était au dessus d’un lavabo , elle avait décidément vraiment entendu ses paroles, elle avait décidément gifler Cennyd. La jeune Serpentarde se sentait mal. Non pas pleurer avait-on dit. La tête baissée au dessus du lavabo, elle remonta un peu sa tête et s’observa ; Cette mine déçue, triste, vexée elle l’avait encore jamais vu sur son doux visage. Etait-ce vraiment possible ? Oui décidément. Repensant à Cennyd vu qu’elle n’avait que cela en tête, elle l’entendait redire le mot « copine, copine, copine ». STOP ! Azéline se retourna et appuya le bas de son dos contre le rebord du lavabo. Un soupire s’échappa difficilement et Azéline rabaissa la tête. Il l’a faisait souffrir. Il lui avait promis qu’il le ferait pas … Elle le détestait, elle l’aimait.

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Sa joue le brûla soudain et Cennyd s'apperçu qu'il venait de se prendre une claque. Ce n'était ps la première et il l'avait méritée de toute façon. Le serpentard n'était pas fier de ce qu'il venait de faire mais il avait agit dans l'urgence. Sentant qu'il était en train de s'attacher trop à Azéline, il avait brutalement coupé le lien. Il n'y avait pas de remors à avoir, pas non plus d'excuses à présenter. Il avait mérité cette claque et beaucoup d'autres qu'il n'avait pas reçues.

L'expression de son visage ne changea pas d'un iota. Il restait droit, avec un sourire amusé qui semblait figé sur ses traits, seuls ses yeux étaient soudainement devenus las, éteinds.

*Pardonne-moi Azéline*, semblaient-ils dire dans la semi-obscurité de la salle de bain à l'aube, *Pardonne moi Azéline, c'est la seule solution.*

Il la regarda sortir de la douche et marcher dans la salle de bain. Tranquillement, enfin en apparence, il ferma l'eau et poussa le loquet de la salle. Il n'avait pas envie de d'autres élèves entrent en ce moment précis. Qu'ils aillent se doucher ailleurs s'ils aimaient tant l'aube ! Il n'avait bien sur pas du tout l'intention de lui obéir en ce qui concernait l'ordre de ne plus lui parler mais ne savait pas trop comment relancer la conversation sans s'en prendre une seconde ou sans s'excuser. Cennyd ne s'excusait pas. D'ailleurs il regrettait rarement ses gestes. Ils étaient calculés et même lorsqu'ils lui faisaient aussi mal qu'à sa victime, il les assumait.

Toujours aussi tranquillement, il prit le drap de bain d'Azéline et le lui posa sur ses épaules en prenant soin de ne pas la toucher juste avant qu'elle ne se retourne pour s'adosser au lavabo. Il s'adossa également contre le marbre froid, non loin d'elle sans pour autant être trop proche.

"Ne va pas attraper froid Azé. Ce serait idiot de louper l'interro suprise de potion de demain."

Il ne parla pas de copines, pas de sortie ou pas d'alcool. Ce n'était pas la peine, sans doute trop tot. Mais il ne voulait pas qu'elle croit qu'il se détournait complètement d'elle car ce n'était pas le cas. Il restait donc dans les sujets neutres. Ces conversations qui n'étaient intéressantes que par ce qu'elles ne disaient pas. Il allait probablement se faire envoyer paître mais il reviendrait à la charge. Autant de fois qu'il le fallait, jusqu'à ce que leur amitié renaisse. C'est que mine de rien, il y tenait à sa petite Zéline. Il n'en était pas amoureux puisqu'il était marié à la Vengeance mais elle faisait partie du petit groupe de gens à Poudlard qu'il considérait comme des amis.

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Le regard toujours aussi vide, froid, sombre, elle réfléchissait. A quoi bon réfléchir ? IL n’était décidément qu’un être dégoûtant qui lui avait fait du mal. D’après la vision de Azéline maintenant. Elle gardait le regard baissé , les cheveux dégoulinant. Elle frissonna. Un autre courant d’aire venait de traverser les salles de bain venant faire claquer les portes non correctement fermées. Elle le détestait. Elle sursauter et de grosse gouttes d’eau tombèrent sur ses joues. De grosses gouttelette d’eau chaude qui refroidirent vite. Ses cheveux gouttaient jusqu’a venir goutter sur ses joues. Incroyable. Elle avait maintenant froid en dehors de la douche et surtout éloignée de Cennyd. Azéline réfléchissait toujours au pourquoi tu parce que qui l’avait poussé à dire ses paroles la. Elle ne chercha pas plus longtemps lassée. Pinçant ses lèvres elle les humidifia passant un petit coup de langue dessus. Elle sentit alors quelques chose se poser sur son dos. D’un vif regard elle releva la tête et aperçu Cennyd qui venait de lui poser son drap de bain sur le dos. Après ses paroles elle répliqua fortement.

« Tu crois vraiment que sa m’intéresse le contrôle surprise en Potions ? Vois-tu non je viendrais pas en cours. Un 0 de plus un de moins 0 ça revient au même »

Répondit-elle froidement. Elle enleva le drap de bain qu’il venait de lui poser sur les épaules et l’envoya balader aux pieds de Cennyd. Elle frissonna, elle avait froid. Inutile de dire que ses frissons c’étaient installés sur sa douce peau. Elle fixait Cennyd du regard. Un regard plus vert clair mais assez foncé. Cependant ses yeux verts reviendraient que lorsqu’elle aurait plus de rage envers Cennyd. C’était mal partie. Elle aurait voulu à ce moment précis lui sauter dessus et lui prouver tout ce qu’il voulait savoir d’elle.. Tout. Elle c’était déjà livrée à Tyson qui avait su le garder mais avait disparu subitement. En y repensant elle le détestait lui aussi. Les mains tremblantes de haine, elle se demandait qu’est-ce qu’elle fichait encore là. Elle pouvait s’enfuir sans rien dire et aller pleurer dans la salle commune près du feux soit elle persistait et aurait le courage d’assumer son regard. Elle choississa la solution deux.

« Tu sais quoi ?! Je vais m’en aller gentillement avant de t’en décoller une autre… Je pensais pas Cennyd je pensais pas mais … »

Elle lui en voulait. Elle lui en voulait tellement. Elle l’aimait, elle le détestait. Elle était loin d’être facile et voulait pas se décourager tout sa parce que un homme venait de l’envoyer balader. Mais sa faisait tellement mal venant de cet homme… Ses yeux se voilèrent d’eau mais la jeune femme retenue longuement ses larmes. Rare avait été les fois ou Azéline pleurait. Très rare. En y pensant depuis sa naissance cela devait bien faire 3 fois au maximum qu’elle avait pleuré. Azéline soupire et s’accrocha les cheveux avec une pince qui traînait sur le rebord du lavabo. Les cheveux tirés lui allaient bien mais pas mieux que détachés. Elle le fixa du regard et réalisa que Cennyd comptait vraiment beaucoup… trop pour elle. Elle crispa légèrement le visage pour éviter que les larmes coules et resta figée. Elle le fixait dans les yeux et une larme coula. AH MAIS NAN ! Elle n’avait donc pas pu se retenir. Rapidement s’apercevant de cela elle se retourna et passa de l’eau sur son visage les mains tremblante.

« … mais je me suis trompée aparament… Cennyd tu n’as jamais rien compris… »

Dit-elle doucement mais toujours froide. Qu’est ce qu’elle lui en voulait. Pas possible d’imaginer. Elle resta la tête baissée, les deux mains contre le lavabo. Elle releva la tête et regarda Cennyd dans le miroir. Elle respirait doucement. Très doucement. Le fixant pendant quelques secondes, elle frissonna de nouveau s’empressant de fermer les yeux et se pincer les lèvres. Elle n’avant pas tenue ses paroles. Elle devait partir mais elle était encore là et en plus elle avait versé une larme. Elle était triste très triste. Mais c’était la vie. Cependant Cennyd elle s’y accrochait de plus en plus. Restant les yeux fermés elle avait ses deux mains posées sur le rebord et restait immobile. Elle tremblait. Soit Cennyd lui remettrait le draps de bain mouillé sur le dos, soit il lui mettrait le sien, soit il la prendrait avec elle ou soit… Je sais pas. Azéline soupira difficilement et entrouvrit la bouche légèrement avant de la refermer. Elle se sentait vide.

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Oh si il avait compris. Et s'il n'avait pas comprit avant, il aurait suffit de cette colère et de cette unique larme pour ouvrir les yeux. Ce n'était pas qu'il comprenait pas. Ce n'était pas qu'il ne voulait pas non plus mais qu'il ne pouvait pas. En fait, c'était elle qui ne comprenait pas. Mais il ne pouvait lui en vouloir, cette partie de son âme restant inconnue de tous, même de sa mère.

Il se fichait pas mal de sa réponse concernant le cours de potion. Qu'elle sèche les cours si elle en avait envie, ça ne le regardait pas. Lui n'aurait évidemment jamais fait ça mais une fois encore ce n'était pas par plaisir mais par besoin. Il ne dirait jamais ce qui le poussait malgré tout à obéir aux stupides règlements de l'école, ce qui le faisait travailler d'arrache pied pour avoir des notes acceptables (optimales même).

Son sourire c'était fait doux et triste. Il ne s'excuserait pas même s'il souffrait de l'avoir fait souffrir autant. Il ne pensait pas qu'elle réagirait autant tout de même. Ils n'étaient qu'amis, il ne l'avait pas trompée. Et elle ne pouvait lui demander de rester célibataire pour lui faire plaisir non ? Certes elle était jalouse mais comme ils n'étaient pas ensemble il avait pensé que sa réplique serait seulement de mauvais gout. Visiblement, il s'était trompé.

Il ramassa la serviette comme si Azé ne la lui avait jamais jeté dessus et s'approcha tranquillement de la jolie blonde avant de la lui re-poser sur les épaules.

"Va pas attraper froid en plus, ce serait idiot."

Oui, bon, lui aussi avait froid, il était écossais mais humain malgré tout (pour ceux qui en doutaient, la preuve est faite !). Il frissonna sous les courant d'air. Ses yeux redevenus gris argent se posèrent sur le vert sombre des prunelles d'Azéline. Ils étaient face à face, assez proches. A tout les coups il allait recevoir une nouvelle claque. Déjà la première faisait une trace rouge sur sa peau pâle. Une deuxième lui donnerait bonne mine, ce serait déjà ça de prit !

"Qu'est ce que je n'ai pas compris ma Zéline ?"

Après tout, il ne risquait plus rien à demander, hein ? Ce ne pouvait pas être pire...

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La jeune femme restait les yeux fermés. Elle c’était promis de jamais pleurer pour un garçon et elle avait faillit à cette promesse. Tant pis c’était bien la première et dernière qu’elle désobéirait. Elle frissonna de nouveau. Il faisait vraiment froid dans ses douches. Longuement elle attendit un simple geste de Cennyd qu’il soit déplacer ou non, elle ne pouvait pas rester la sans rien dire sans rien faire. Elle stressait elle n’aimait pas être dans cet état. Venant rouvrir les yeux elle se regarda dans le miroir. Ses yeux étaient redevenus clair mais toujours autant perturbés par le voile d’eau qui était plus ou moins présent. Elle soupire de lassitude. Elle se retourna et le regarda qui s’avança vers elle. Aller une autre gifle… Et nan ! La jeune femme se contenta de le fixer du regard. Il lui déposa de nouveau son draps de bain sur les épaules .Elle était quasiment sèche sauf les cheveux qui gouttaient. Elle réfléchissait se demandant pourquoi une tel réaction après tout. Ouais mais non c’était normal pour elle. Comment avait-il osé lui dire le mot copine. Bon sang.

« Pas plus que toi »

Répondit-elle froidement mais une pointe de mal être dans la voix. Cennyd était loin d’être un idiot. Elle le savait très bien mais elle n’arriverais certes pas à lui faire du mal en y pensant en disant de tel bêtises. Faillit qu’elle touche LE pointe sensible. Mais qu’était-ce ? Elle ne l’avait jamais vraiment remarquer chez le jeune homme. En faites il yen avait tellement. Azéline baissa le regard sur ses pieds pendant des secondes qui paressèrent passer comme des minutes et des minutes en heures. Elle releva le regard pour le regarder dans les yeux. Oser le regarder, elle n’en avait pas honte au contraire mais lui par contre il devrait en avoir honte de la regarder dans les yeux. Le voyant frissonner, elle enleva de nouveau la serviette qu’elle avait sur les épaules et la passa d’un mouvement vif et bien placé sur les épaules du jeune homme. Soupirant, elle avait des frissons sur la totalité du corps mais ne frissonna pas plus que cela. Elle était gelée mais elle, si elle loupait le cours de potions elle se rattraperais bien sur le prochain étant sans difficultés.

« C’est pas moi qui veut faire le contrôle demain donc sa serais plutôt à toi de ne pas attraper froid. »

Répondit-elle sans vraiment de voix. Elle était vide cette voix. Vide de tout être qui ne serait capable d’assumer quoi que se soit . Cependant c’était le contraire de la jeune Serpentarde. Elle l’observa en remontant la tête. Ils étaient proches, trop proches. Si elle avait été une Gryffondor elle lui aurait sauter dessus et aurait fait ce que bon voulait, une poussoufle m’en parler pas , une Serdaigle peut être abstenue et aurait pris la fuite mais elle était une Serpentarde. Elle soupire et le fixa du regard. Son beau regard gris acier était plongé dans ses yeux verts troublés. Elle observa son torse qui semblait froid. Elle aussi avait froid mais que voulez-vous.. Azéline écouta sa question et ne bougea pas d’être aussi près de lui. Elle aurait bien eut envie de faire l’imbécile de faire comme si rien ne c’était passé et retourner dans la salle commune au chaud dans les bras du jeune homme mais sa ne se passerait pas ainsi. Beaucoup trop fière pour se laisser décourager devant un obstacle de la sorte. Elle lui sortie franchement d’une voix froide et à moitié tremblante comme ses mains.

« Qu’est-ce que tu n’as pas compris ? Tu le sais très bien alors te fou pas de moi … Je me demande même comment tu oses me regarder… »

Azéline était calmer par rapport à dans la douche. En faites elle ne voulait plus rien savoir de lui elle en avait été dégoûtée, déçue, vexée, triste, malheureuse… Elle se demandait même qu’est ce qu’elle faisait encore là.. Le regard de la jeune femme resta posé dans celui de Cennyd. Les yeux toujours autant troublés, elle soupira. Une mine dégoûtée s’afficha essayant de comprendre si il comprendrait ce qu’il se passait. Beaucoup trop accrochée à lui. Ne pouvant supporter se regard, elle baissa le regard et posa une main gelée contre le torse de Cennyd. Un fraction de secondes elle fronça légèrement les sourcils et crispa ses doigts. Elle le griffa doucement. Elle décrispa sa main froide sur le torse de Cenndy et le caressa toujours légèrement remblante, elle amena une main à son visage pour éviter que la moindre larme ne coulent de nouveau. Il l’avait blessé. Son cœur avait mal beaucoup trop mal pour pardonner facilement.

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Azéline le griffa légèrement. Qu'est ce qu'elles avaient toutes a vouloir sa peau comme ça ? C'était la mode chez les filles ? Il ne réagit pas plus que lorsqu'il s'était s'agit de June ou de Majandra mais se posa beaucoup plus de questions. Après tout Azéline jne faisait rien pour rien.

Comment il faisait pour la regarder ? Pas très dur en fait, il suffisait de poser ses yeux sur elle et de se laisser emporter. Surtout quand elle était dans cette tenue. S'il n'en était pas responsable il aurait trouvé que cet air triste lui allait particulierement bien. Un reste de culpabilité l'empêchait de faire ce compliment malvenu. N'empêche, il le pensait, na !

Il resta un moment silencieux. Oui il savait ou en tout cas il s'en doutait. C'était elle qui ne comprenait pas. Et tant mieux, il ne voulait pas être comprit. Il hésita à être vraiment dur, se moquer d'elle, lui dire qu'elle était drôlement orgeuilleuse pour avoir un jour pu croire qu'elle était pour lui autre chose qu'un jeu. Seulement...déjà c'était pas vrai, elle n'était un jeu et en plus il ne voulait pas lui faire plus de mal.

Que dire. Il avait envie de l'embrasser mais il risquait une autre claque. Il s'approcha un peu plus d'elle, toujours sans la quitter des yeux. Elle était vraiment attirante. Sans s'en rendre vraiment compte, il se pencha et posa un doux et chaste baiser sur ses lèvres. Dangereux ? Peut-être mais Cennyd ne craignait pas le danger. Lorsqu'il se releva, la serviette glissa et tomba sur le sol. Il ne s'en soucia pas vraiment, il regardait toujours Azé dans l'attente de sa réaction. Comprendrait-elle qu'il regrettait mais qu'elle ne lui avait pas laissé le choix ? Verrait-elle derrière cet éternel sourire moqueur qu'il avait réellement du prendre une décision sérieuse et qu'il s'y tiendrais coute que coute ?

"Je le sais, mais j'aimerais que tu me le dise quand même."

Il ne la laisserait pas tomber. Il l'aimerait comme une soeur, la protégerait, serait jaloux des garçons qui l'approcheraient comme l'est un grand frère aimant (et peut-être un peu plus). Il pourrait même parfois se laisser aller à jouer avec elle mais Azéline ne serait jamais sa copine et comme il n'entendait pas rester célibataire, il allait falloir qu'elle apprenne à faire avec. Apres tout il s'était bien retenu d'aller casser la gueule à Tyson, elle pouvait bien en faire autant avec Irina non ?

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Azéline gardait samain posée contre Cennyd encore pendant quelques instants qui passèrent doucement. Le yeux rivés par terre, elle avait envie de lui crier des choses, pleins de choses qu’elle recentait mais l’écouterait-elle ? Et puis elle risquait de le blesser en parlant de cette Irina. Bouuh elle lui en donnait froid dans le dos cette peste qui s’immissait dans toutes les vie. Ayant été bonne amie avec elle, Azéline se demanda longuement si elle la détestait pas maintenant. Si elle la détestait mais quoi qu’il arrive de mal ou de bien, elle lui ferait un jours. Qui aurait pensé un jours voir Azéline se venger de une de ses « amie ». Elle la détestait. Elle le détestait. Revenant à des idées plus proche, elle releva la tête pour regarder Cennyd dans les yeux. Sa main se laissa glisser jusqu’a elle. Une main gelée qui n’attendait que chaleur. Elle soupira.

La jeune femme avait une douleur atroce à l’intérieur de la poitrine. Elle le fixait dans les yeux. Son corps frissonna sous tout contacts. Elle l’observait, elle le dévorait. Elle avait des arrières pensées et sa conscience qui ne cessait de lui dire « Vas-y fonce embrasse-le et fait lui oublier toutes les autres choses » ou encore « Tu va te venger tôt ou tard de cette peste. Fonce ! ». Non non non elle ne foncerait pas. Malgré que l’envie était immense, elle ne pouvait résister à Cennyd. Le voyant s’approcher doucement d’elle, elle hésita à mettre une mains être eux deux pour l’éviter mais elle ne pouvait pas. Le dévorant de fois plus, elle sentit les lèvres du jeune homme toucher les siennes. Un frissons de chaleur parcouru le corps de Azéline. Hésitant fortement à lui décoller une gifle elle ne le fit pas. Elle l’observa et lui répondit alors à ses propos…

« Tu veux jouer à chat et la souris aparement… Je ne vois pas l’intérêt de le savoir en double exemplaires. Tu sais très bien ce que je pense de toi… Si sa saute pas aux yeux maintenant remets toi en questions »

Dit-elle d’une voix tremblante et froide. Elle restait appuyée contre le rebord du lavabo et sentait un blocage quelques par. Elle devait lui dire comme cela elle serait débarrassée mais qu’est ce qu’elle souffrirait de cela. D’un même côté si elle ne le disait pas elle serait aussi mal. Prenant son courage à deux mains, elle se redressa et fit un ou deux pas frissonnant de plus belle. Elle était au milieux du couloir Elle s’arrêta et se retourna pour le regarder dans les yeux. La pénombre était autour d’elle et ses yeux verts clairs reflétaient dedans. D’un geste vif ,elle baissa la tête et la releva pour de nouveau oser regarder le regard du jeune homme. Elle se rapprocha de lui comme attirée comme un aimant et s’approcha de lui. Elle laissa glisser une main froide derrière sa nuque et le pencha légèrement au dessus d’elle. Déposant un tendre baisé sur les lèvres, elle dévia à son oreille et lui jeta toujours tremblante de froid, de peur, de haine, de mal être.

« Je te le dirais… mais avant faut que tu saches autre chose avant et tu comprendras mieux après… »

Reculant doucement, elle frôla sa joue du bout des lèvres et déposa de nouveau un doux baisé au niveau de la commissures des lèvres. Reculant, elle ramassa les deux serviettes. Cela insiterait certaine Cennyd à la suivre dans la salle commune. La jeune femme arriva au bout des salle de bains et s’arrêta fixant Cennyd le dévorant de nouveau. Elle entra dans la salle commune. Si il n’avait pas compris qu’il devait la rejoindre. Elle ne se relèverait pas pour aller le chercher. Fixant les environs elle soupira et s’aseilla dans le canapé attendant le jeune homme. Elle allait se dévoiler à Cennyd. Bon sang c’était tellement dangereux mais si il voulait comprendre pourquoi… Azéline avait vraiment aimé que une fois dans sa vie et sa avait été Tyson. D’ailleurs elle lui en voulait à lui. Elle était gelée et la chaleur de la cheminée serait bienvenue. Ayant pris bien soin de fermer toutes les portes elle attendait Cennyd. Il y aurait certes des haussements de voix, des larmes, du mal de cœur mais au moins il serait enfin ce qu’elle recentait et pourquoi elle agissait ainsi. Elle le détestait comme ami. Elle l’aimait comme …

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Azéline le destabilisait. Sa voix était froide et coupante comme de la glace, ses yeux aussi mouillés que l'océan artique et ses gestes avaient la chaleur de l'océan indien. Sans ciompter ses yeux qui avaient la couleur des mers émeraudes. Comment un marin pouvait-il s'y retrouver parmi ces courants contraires, ces pièges, ces merveilles et ces monstres des profondeurs ? Azéline était un océan pour lequel il n'existait ni cartes, ni règles. Une mer enchantée qui retenait les marins dans ses eaux agitées. Et lui, sur sa barque, devait faire son possible pour louvoyer et quitter cette zone dangeureuse. Mais, comme tous les marins, il aimait trop la mer pour ne pas souhaiter y retourner des qu'il la quittait.

Seul un autre marin pouvait comprendre le mélange d'attirance et de répulsion que Cennyd ressentait vis à vis de la jeune femme. Cette peur de s'attacher à elle autrement qu'en amitié et cette envie d'être fou et de sombrer avec elle sans espoir de retour. Il n'y avait que son entraînement qui lui permettait de garder la tête un peu froide et de ne pas se laisser emporter dans ce tourbillon.

Il se laissa faire, lui rendant ses baisers avec de plus en plus de chaleur malgré la douche froide de toute à l'heure. Il fallait qu'elle arrête ou ils reviendraient rapidement au même points ! Il l'avait prise dans ses bras et la dévorait également des yeux. Sans voix, touché par cette détresse qu'il ressentait dans la voix d'Azé, il se contenta de hocher la tête lorsqu'elle lui demanda la permission de lui expliquer autre chose avant. Puis il la laissa prendre le large, emmener les deux serviettes et sortir de la douche vers la salle commune. Il prit une minute pour se changer (au cas ou certains matinaux se pointeraient) et suivit Azéline dans la salle commune, vêtu de l'uniforme de l'école. Il la rejoignit rapidement et lui prit la taille avant de l'embrasser une derniere fois et d'ajouter avec un sourire encourageant.

"Tu voulais me dire quelque chose ?"

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Azéline arriva dans la salle commune en maillot de bain noir. Les canapé étaient chauds et Azéline se posa quelques secondes sur l’un d’entre eux. Elle voulait voir Cennyd. Il lui manquait déjà. La jeune femme soupira et se redressa pour enfiler son jean ainsi que son haut aussi. Elle ne ferma pas le chemisier qu’elle avait pris de rechange et le garda ouvert. Restant debout quelques instants, elle observa le feu qui crépitait dans l’âtre de la cheminée qui chauffait depuis belle lurette maintenant. Rogue n’était pas passer dans la salle commune et se n’était pas maintenant qu’il passerait. Le regard toujours aussi mouillé et triste, elle soupira et regarda encore quelques minutes la cheminée. Quand elle bougea un peu pour venir s’asseoir, elle se fit surprendre par Cennyd arriva rapidement. Il la prit par la taille et l’embrassa. Azéline surprise, hésita et se laissa faire lui rendant son baisé et posant ses mains sur ses avant bras. Elle était tellement bien près de lui. Elle soupira et s’aseilla dans le fauteuil.

« Je commence… Tu me connais comme Azéline Evans, élève de Serpentard 6ème année 16 ans et demi bientôt 17 ans . Jeune femme blonde aux yeux verts irrésistible mais y’a deux choses que tu sais pas sur moi. Deux chose qui change beaucoup de choses une fois qu’on les sais …»

Le jeune femme avait la voix qui tremblait. Elle avait les mains moites, le regards quasiment troublés, elle avait peur de la réaction de Cennyd une fois qu’il saurait tout ce qui lui était passé. Elle soupira et hésita à tout lui dévoiler. Si elle lui disait qu’elle avait été battu par son père puis les histoire de cœurs qui l’avaient manipulées pour autres choses personnelles c’était vraiment plus que la galère. La jeune femme prit la main de Cennyd et le poussa dans le canapé. Elle se frotta le front froide et lâcha sa main doucement et s’approcha de lui. Elle avait froid mais n’avait pas le courage de fermer son chemisier ouvert. Elle était mal. Prenant son courage à deux mains, elle commença la tête baissée.

« … Tu dois te poser la question pourquoi je réagis comme cela … Je vais t’expliquer. Gamine j’ai souvent prit les coups à la place de ma sœur. Elle avait tout , vraiment tout. C’était la petite aimée de la maison. Jusqu’au jour ou elle disparu. Plus rien, mais mon père continuait de me battre … Dans ses moments la j’ai commencer à fréquenter des personnes que mon père ne savaient pas. Un groupe de Garçon que je pensaient bien seulement ils se sont juste servit de moi… je me suis retrouvée trop bête devant eux… Trop bête… J’ai eut un amour à cet époque.. L’un d’entre eux seulement je me suis rendu compte bien trop tard qu’une petite peste c’était immissée entre nous deux … J’ai faillit le tuer de dégoût... Cennyd si je suis comme sa avec toi c’est que je veux pas te perdre … Je veux pas que tu me laisse que tu t’en ailles avec l’autre fille … je ne te demanderait pas qui c’est sinon je risquerait de fortement lui faire payer… »

La jeune femme avait une voix tremblante, les yeux remplie de larmes. Elle prit la main de Cennyd et s’approcha encore de lui. Elle était assise proche de lui. Sa jambe touchait la sienne et la jeune femme baissa la tête quelques secondes. Elle hésita à continuer son histoire à continuer ses malheurs .Il devait en avoir strictement rien à faire pensa-t-elle quelques minutes. Elle releva le regard et soupira. Elle se fichait bien de plaire ou pas elle allait lui dire un point c’est tout. Elle se pencha légèrement au dessus de lui et caressa d’une main frêle et froide la joue du jeune homme. Elle reprit une respiration. Le regard triste, mal, elle replongea ses deux billes vertes dans les yeux de Cennyd. Elle continua…

« Tu dois me prendre pour une folle… Mais je m’en fiche… Tu sais je vais te dire j’ai rarement aimé et les personnes que j’ai aimées ne m’on pas forcément rendue heureuse juste foutu de moi… Seulement toi … Je me sent bien avec toi … je suis à l’aise … je suis trop bien avec toi Cennyd … »

Dit-elle la voix encore plus tremblante. Elle soupira et regarda l’accoudoir du fauteuil. Pourquoi venait-elle de dire tout cela. Pourquoi dans cet état la ? pourquoi ? POURQUOI ? La jeune femme soupira de nouveau eu caressa la joue de Cennyd. Elle hésita à s’approcher et l’embrasser .Elle ne le fit pas et resta à sa place proche tout de même de lui. Elle se sentait ridicule… Elle restait à le fixer de ses deux prunelles vertes clairs dans ses yeux. Il pouvait partir sa serait de sa faute. Il pouvait lui dire que non il voulait rien sa serait de sa faute. Tout serait de sa faute. Elle avait les yeux qui brillait. Elle ne voulait pas le laisser filler. Non pas maintenant …

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Azéline en avait également profité pour s'habiller, a moitié au moins et ce n'était pas un mal. Elle avait beau être tres mignonne dévêtue, il préférait encore qu'elle soit couverte lorsqu'il fallait parler parce que sinon il ne répondait de rien. Ils s'embrassèrent un moment, comme s'ils ne s'étaient jamais vraiment disputés. Cennyd avait rapidement compris comment il fallait s'occuper d'Azéline. Rechercher le contact, ne jamais la laisser seule, faire comme ci elle était la seule qui comptait. Cela plus un bisou de bonjour, un autre d'au revoir et quelques entre et il était peu probable que l'on se fache avec elle.

D'un autre coté s'il voulait qu'elle se fache il lui suffisait de l'ignorer un peu, voire s'il voulait la blesser, parler de ses flirts ou de ses copines comme il l'avait fait aujourd'hui. Seulement il n'avait jamais su pourquoi. D'ailleurs il ne s'était pas posé la question. Cennyd était (contrairement a son oncle) un garçon éminement pratique qui ne s'embarrassait pas de questions. Il acceptait évidemment les réponses mais il ne se posait pas de questions sur ce qui l'entourait. Il trouvait des solutions et les appliquait sans chercher midi à quatorze heures.

Voyant le trouble de son amie, le jeune homme s'assit derrière elle, la prit par la taille et l'attira contre lui. Elle était à présent sur ses genoux. Le dos contre son torse. Il l'écoutait tout en reniflant le parfum doucâtre de ses cheeux encore humides et c'était très agréable.
Et la elle lui raconta une histoire horrible de soeur perdue et de père violent. Cennyd n'avait que tres peu de souvenirs de son pere. Il s'en souvenait comme d'une grande ombre douce et bienveillante. Par contre il avait un souvenir tres vif de sa mere pleurant l'homme qu'elle avait épousé et en parlant avec une grande tendresse. L'idée d'un pere violent lui paru impensable mais il était tout aussi évident qu'Azéline ne lui mentait pas (de toute façon il ne la pensa pas une seconde en train de mentir. Pas la dessus !)

"Ecoute ma Zéline. Je peux pas t'expliquer pourquoi mais on peut pas être ensemble tous les deux. C'est pas possible. Toi tu vas avoir tes copains, et moi j'ai mes copines et c'est comme ça que va le monde parce que tu sais qu'on ne peut pas toujours pleurer. C'est pour ca que tu es un rayon de soleil d'ailleurs. Mais c'est pas parce que je suis avec d'autres filles que je peux pas être avec toi aussi hein ?"

Ouais bon ce n'était pas très honnête comme proposition mais il ne se sentait pas assez naze pour le 'restons ami' même s'il le pensait très fort. Il savait juste que ce n'était pas le fait de sortir avec Irina qui allait l'empêcher de protéger Azéline, de jouer avec elle ou de vouloir détruire quiconque lui ferait du mal. Même s'il aimait beaucoup Azéline, il aimait aussi, différement mais tout de même, la jeune Irina. Il allait falloir qu'Azé accepte de le partager mais il s'était promis et se promettait toujours de veiller sur elle.

Comme s'il ne pouvait pas rester trop longtemps sérieux, son éternel sourire moqueur revint faire briller ses yeux gris. Il vola un nouveau baiser dans le cou de la jeune femme et planta ses pupilles argentées dans l'emeraude mouillé d'Azéline au moment même ou elle lui faisait comprendre qu'elle l'aimait. Il soupira intérieurement. Ne comprenait-elle pas que c'était pour ça qu'il ne pouvait être aussi près d'elle qu'il le souhaiterait ? Lui qui n'aimait personne d'autre que sa mère et sa Vengeance ! Lui qui n'avait pas assez de place dans son coeur froid pour aimer d'amour une jeune fille.

"Je suis désolé Azé. Je suis bien avec toi aussi, et je resterais tel que j'ai toujours été. Mais je ne veux pas sortir avec toi. Considère moi comme un frère... un frère avec des jeux certes un peu incestueux peut-être mais rien de plus parce que je ne pourrais t'apporter ce que tu recherches. Cela dit, tu peux toujours compter sur moi, quelque soit le nombre de copines que je peux avoir en même temps."

Il avait parlé sur un ton doux, ferme et accompagné de ce léger sourire qui faisait qu'on ne savait jamais vraiment s'il plaisantait ou non.

Invité

La jeune femme assise sur les genoux de Cennyd, ne bougeait pas. Son dos collé contre le torse du jeune homme, elle avait ses cheveux en bataille sur sa petite tête blonde. Une mèche blonde rebelle tomba devant ses yeux et la jeune femme soupira. Elle détourna le regard. Les yeux brillants, elle savait très bien qu’il ne dirait rien de bon mais au moins il le saurait. Azéline posa sa tête contre lui et regarda le plafond le temps qu’il réagisse. Elle savait que sa serait pas bon elle le savait. Le cœur battant clampin clampant au fond d’elle, elle se sentait mal. Quand Cennyd lui dit qu’il aurait ses copines et elle ses copains, comme un gros pique donna un coup violent dans le cœur de la jeune femme. De un. Elle ferma les yeux et croisa ses doigts avec les mains de Cennyd qui l’avait attirée par la taille contre lui. Elle rayon de soleil ? Oui certainement mais peut être pas un rayons de soleil qui éclairerait tout les recoins de tout le monde. Azéline soupira et se contenta de garder le silence.

Elle restait assise l’écoutant le regard vide. Elle avait de profond sentiments peut être qu’elle ne montrait pas mais en avait. Cennyd lui demandait d’accepter d’être sa « copine » pendant qu’il y en avait d’autre. Elle n’était pas un jouet mais sa serait trop fort de refuser une tel offre venant de l’homme qu’elle dévorait. La jeune femme avait les larmes aux yeux mais ne laissa pas couler les larmes. Elle l’aimait peut être mais elle se découragerait pas de si tôt. Elle continuerait de le fréquenter, de l’embrasser, le câliner et puis c’est tout. Après tout Azéline était loin d’être la fille qui se laissait abattre. Azéline écouta toutes ses paroles qui poignardèrent la jeune femme les secondes après les secondes. Une fois se supplice terminé, la jeune femme se retourna doucement et observa Cennyd dans les yeux elle lui adressa un très faible sourire et caressa sa joue d’une main frêle. Elle figea son regard dans le sien et lui dit d’une voix douce…

« Peu importe ce que tu veux rien changera pour moi … »

Elle venait de le dire et c’était pas plus mal. Le figeant du regard, elle continue de caresser sa joue. Elle n’allait pas se mettre en pétard parce qu’il avait refusé. Après tout il pouvait avoir largement pire que cela. Il aurait pu refuser complètement lui dire qu’il voulait plus la voir, la laisser tomber… Mais non en temps que parfait homme, il voulait la garder près de lui, la protéger, continuer ce qui se passait. La jeune femme se sentait mal mais heureuse à la fois. Bizarre. La jeune femme se demanda même si elle avait bien fait de dire tout cela à Cennyd. Au moins il savait ce qu’elle recentait pour lui et comment qu’elle réagirait d’aurénavant. Regardant Ce dernier de nouveau dans les yeux, elle s’approcha de lui et frôla sa joue du bout du des lèvres. Venant à lui glisser quelques mots doux à l’oreille, elle ne se redressa pas tout de suite. Fermant les yeux une petite larme tomba sur ses cheveux blonds crème et Azéline eut la légère force de sortir quelques mots.

« Dorénavant je suis la maîtresse de jeux… »

Fallait absolument changer de sujet si Azéline ne voulait pas dérailler de nouveau. Elle avait dit cela d’une voix meneuse et sérieuse. La jeune femme se tourna un peu et se redressa légèrement. Frôlant ses lèvres à celles de Cennyd, elle voulait Profiter du temps qu’ils leures restaient ensemble pour la nuit. Elle savait très bien que de le quitter serait énormément dur mais il le fallait. Azéline le regarda de ses deux billes vertes irrésistibles dans les yeux. Elle savait qu’il ne tiendrait pas forcément des plombs regard dans regard. La jeune Serpentarde s’avança et laissant glisser doucement une main dans la nuque de Cennyd, elle laissa glisser ses lèvres sur celles du jeune homme. Trop fort c’était. Beaucoup trop fort. Elle l’embrassa. Elle ce sentait embarquer par son cœur qui chavirait de droite à gauche. Elle était à lui et elle le serait toujours quoi qu’il arrive… Serait toujours la pour lui.Malgré qu’elle savait très bien qu’elle serait obligée de cacher unepartie de ses envies et autres elle garderaitla même vision de Cennyd.La jeune Serpentarde Restait les lèvres scellée à celles du jeune homme. Elle n’osait plus se dégager et casser ce baisé.

Invité

La nuit s'en allait petit à petit, bien plus agréablement qu'elle avait commencé malgré la douleur que Cennyd savait avoir infligé à Azéline. Il préférait a tout prendre les doux baiser et les paroles tranquille que la passion qui les avait saisi un peu plus tôt. Preuve peut-être qu'il n'était pas encore totalement perdu pour le genre humain. Quoique même les plus froids aimaient la tranquillité et pouvaient être charmés par de tendres moments. Les plus grand dictateurs avaient tous des passions étranges comme la musique ou ce genre de choses.

Il continua toutefois à la frapper de ses paroles. Il ne voulait pas la détruire mais simplement qu'elle comprenne. Il ne l'aimerait jamais. Il n'aimait personne a part sa mère. Placidia...si grande, si belle, si fragile. Rousse comme lui, les yeux plus bleus que le ciel et plus tristes que la pluie, toujours si digne dans ses frayeurs et ses peines. Elle lui avait donné un nom qu'il portait avec fierté ne voulant rien avoir en commun avec le traitre, Elle lui avait donné la vie aussi et il allait la venger. Oui, sa mère était vraiment tout pour le jeune homme qui ne voyait pas ce que ce sentiment pouvait avoir d'inconvenant.

Azéline lui fit part de sa résolution et le jeune homme sourit. Il n'avait rien contre qu'elle l'aime c'était même plutot flatteur pour lui. Il voulait juste qu'elle aie en tête ce qu'il venait de lui expliquer. Et il savait que même si elle essayait de l'oublier elle s'en souviendrait car il l'avait blessée assez profondément pour qu'elle ne puisse pas passer outre. Il aurait ses copines (Irina pour le moment, apres on verrait), il serait secretement jaloux de ses copains et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Son sourire s'accentua.

"Tu l'as toujours été ma Zéline !"

Il se tourna vers elle et lui ferma délicatement son chemisier.

"Les autres ne vont plus tarder. Tu veux qu'on rejoingne nos dortoirs et qu'on fasse semblant de dormir ou qu'on reste ici et soit le centre des rumeurs de la semaine ?"

Il avait lancé cette derniere déclaration d'un ton enjoué et guilleret. Cela ne le gênait pas du tout qu'on parle de lui, d'autant plus qu'il n'y avait ps de preuves et qu'ils ne pourraient qu'imaginer. Cennyd tenait énormément a sa réputation de dragueur et de séducteur. Alors avec une fille comme Azé il n'allait pas dire non !

Invité

Azéline cessa le baisé et réouvrit les yeux doucement observant Cennyd. Elle se pinça les lèvres doucement et regarda le feux de nouveau. Il venait de vraiment la blesser au fond mais c’était comme sa. Azéline soupira et avait bien en tête que plus tard elle retenterait et ne l’oublierais jamais entre temps . Sa jamais ! La jeune femme soupira et regarda de nouveau Cennyd calmement. Azéline lui dressa un faible sourire et se rasseilla contre lui le dos contre son torse ; Ses yeux étaient d’un vert clair et un léger voile de brillance était présent comme quand on venait d’apprendre une nouvelle assez mauvaise ou bien le contraire, sa marchait dans les deux sens. Azéline prit les mains de Cennyd et les ramena au devant d’elle et croisa ses doigts avec les siens. Cela avait toujours été un geste qu’elle avait aimer faire, sentant la protection et la chaleur du compagnon. Posant sa tête contre lui elle réalisa qu’elle ne voulait plus bouger de ou elle était. Non elle pouvait y rester des heures.

Azéline avait toujours le mots « copines » qui résonnait dans sa tête. Pendant quelques minutes elle le supporta mais au bout de 2 minutes, elle commençait à se demander si elle dormait pas et que c’était un mauvais rêve. Fermant les yeux un fraction de secondes, elle les réouvrit et se retrouva dans les bras de Cennyd ses mains dans les siennes. Arf elle rêvait pas. La jeune Serpentarde regarda ses mains avec celles de Cennyd et sourira d’un très léger sourire presque invisible. Azéline se disait au fond d’elle qu’elle aura ses copains aussi mais malgré cela elle resterait secrètement jalouse très jalouses des copines de Cennyd sa serait plus fort qu’elle. D’ailleurs elle c’était promis que quand elle verrait Cennyd en compagnie d’une autre fille, elle dégagerait le plus rapidement possible pour s’éviter une grosse crise. Elle était donc cencer avoir compris se que lui avait dit Cennyd malgré que sa restait assez vague dans son esprit. Le jeune homme lui demanda se qu’elle voulait faire elle lui répondit.

« J’ai envie de rester avec toi. »

Répondit-elle doucement. Elle c’était calmer depuis les instants précédents ou elle était même aller jusqu'à la gifler. La jeune femme restait confortablement assise sur Cennyd le dos contre son torse. Cennyd lui attacha doucement son chemisier et la jeune Serpentarde observait ses mains faire les mouvements. Souriant un peu elle s’appuya contre lui et se tourna un peu sur ses genoux. Azéline posa ses jambes sur le côté gauche abs le canapé. Restant toujours assise sur lui elle posa sa tête contre son torse et laissait glisser machinalement son index sur le torse du jeune homme. Le regard plus ou moins pensif, elle avait prit des petites couleurs sur les joues. La chaleur de la cheminée faisait effet assez rapidement sur les organismes des deux jeunes. Azéline avait maintenant chaud et Cennyd aussi certainement étant donner qu’elle sentait le jeune homme qui ‘était assez bien réchauffé. Légèrement amusée d’etre la rumeur de la semaine elle répondit.

« Tit cœur… Tu sais d’être la rumeur de la semaine ne me dérange pas… pas en ta compagnie »

Azéline avait dit cela naturellement. Elle le fixa de son regard vert clair. Sa allait lui manquer.. Ses yeux gris clair dans les siens. Azéline savait très bien que quoi qu’il arrive, elle l’aurait un jours peut être pas maintenant mais dans quelques années. La jeune femme rabaissa le regard et continua les quelques mouvements qu’elle faisait sur le torse de Cennyd. Elle était tellement bien.. dans ses bras .

Invité

Cennyd sourit. Azéline ne pouvait pas le voir puisqu'elle avait la tête sur son torse mais les sourires de Cennyd étaient plus que des simples grimaces, il s'entendaient dans sa voix, faisaient pétiller ses yeux. Lorsque le jeune homme souriait c'étaient tout son corps qui se réjouissait avec lui. C'était d'ailleurs sans doute pour cela que ses sourires en faisaient fondre plus d'une !

La lumière verdâtre de la salle commune commençait à prendre les teintes jaunes et kakis du début du jour. Les reflets du soleil levant donnaient toujours des ombres et des reflets étranges aux murs du cachot mais Ced, en bon serpentard sans doute aimait ça. Cela faisait certes un peu peur au début et plus d'un première année frissonnait en voyant les ombres mouvantes faire apparaître des spectres sur les tentures vertes et argents, surtout lorsque le feu s'amusait à en ajouter d'autres de son cru mais l'écossais trouvait dans cette danse macabre une parodie de la vie au château qui lui plaisait beaucoup. Surtout lorsqu'il était tranquillement assit avec une jeune femme dans les bras.

Il faisait chaud ce matin. La douche froide et ce qui en avait résulté était comme un mauvais rêve. L'adoelscent ferma les yeux et se laissa porter par le moment présent. Il se sentait si bien qu'il aurait pu s'endormir, juste bercé par les caresses et la voix d'Azé. 'Tit Coeur. Finalement il aimait bien ce surnom à la fois affectueux et ironique. On disait de lui qu'il n'avait pas de coeur, azéline lui en trouvait un petit. Majandra allait surement rebondir dessus pour le piétiner mais il s'en fichait un peu. Qu'elle commence les hostilité, il savait qu'il pourrait toujours rendre coups sur coups.

Des pas dans les escaliers lui firent ouvrir les yeux. Un garçon de son dortoir apparaissait dans l'encadrement de la porte. Le sourire de Cennyd se fit dur, cruel, presque moqueur devant l'expression de stupéfaxion de son camarade.

"Mais.... "

"Oui ?" sa voix était amusée mais aussi froide que l'eau du lac au beau milieu de l'hiver.

"Euh...rien rien."

Le tableau devait être parlant puisque l'importun fit retraite sur un rire bref et amusé de son aîné.

Invité

Azéline restait contre Cennyd. Elle entendait battre son cœur doucement tout comme le sien dans sa poitrine. Le regard dans le feux, ses pupilles se dilataient jusqu’a ne quasiment plus voire le petit cercle noir. La jeune femme continuait cependant de caresser le torse de Cennyd avec son doigt. C’était un mouvement qu’elle faisait machinalement mais qu’elle ne se lassait jamais de faire aparament. La jeune femme se redressa un peu pour regarder Cennyd. Elle avait les yeux d’une totalité verts à cause de la dilation de ses pupilles vraiment fortement restée. Sa faisait même peur à voir tiens. Le fixant longuement , elle avait un petit sourire et le dévorait une fois de plus. Etant dans sa bulle, elle n’entendait rien sauf quand des pas se firent entendrent à l’entrée de la porte de la salle commune. Azéline mit pas mal de temps à réaliser que Cennyd adressait la paroles à quelqu’un . Regardant la porte il n’y avait plus personne. Elle regarda Cennyd .

« J’ai rêvé ou il y avait quelqu’un ? »

Demanda-t-elle d’une voix mystérieuse et douce. Franchement bizarre pour la jeune Evans. Ayant toujours eut une voix plus ou moins froide et méchante, elle virait souvent au doux et calme vers Cennyd. Portant beaucoup d’attention au jeune homme, elle était proche de lui. Très proche. Regardant le plafond, elle pencha sa tête en arrière et regarda inintéressée le plafond. Sachant très bien que si elle restait à regarder Cennyd ,elle risquait de dérailler de nouveau elle avait préféré regarder autre chose et non le feux car ses yeux revenaient doucement noire et verts. Son cou libre, avait son médaillon. Un médaillon qu’elle avait remit une fois être sortie de la douche car elle ne le montrait jamais. Une petite boule noire troublée de nuages blancs et noirs s’entrelaçant. Deux petits crans étaient creusés sur le côté et la jeune femme ne se rendit pas compte qu’elle se laissait désirer. N’ayant jamais parlé de ce médaillon à qui que se soit, Azéline ne réagissait pas plus que cela. Rapportant sa tête contre le creux du cou de Cennyd elle ne se rendait pas compte qu’elle était visible.

[ très cours désolé mais fallait quelque chose qui relance un peu .]

Invité

"Tu as rêvé" mentit Cennyd, amusé sans hésiter une seule seconde. On ne pouvait pas décemment appeler ce type "quelqu'un". Il était fade, sans caractère et trop occupé à faire le bon petit serpent qui lance de la morve de troll sur les gryffondors (en un seul mot) pour avoir une vraie personnalité.

Cela faisait longtemps que Cennyd avait remarqué que la plupart des élèves de son âge (et je ne parle pas des plus jeunes) n'avaient aucun but dans le futur, aucune idée de ce qu'ils voulaient devenir. D'ailleurs ce genre de comportement puéril l'agaçait plus qu'autre chose. Heureusement que certains d'entre eux relevaient le niveau. Azéline, Mark et Irina pour ne pas les nommer. Que des sangs purs bizarrement. Et il y en avait pour dire que ces histoires de sang n'étaient que des fables. Les niais !

Perdu dans ses pensées, Cennyd fut rammené sur terre par un mouvement de tête d'Azéline. Curieux cette manie de regarder le plafond. Elle ne le faisait pas avant. Cela dit ce mouvement lui donnait une belle vue sur le décolleté de la jeune femme alors il n'allait pas s'en priver.

C'est alors qu'il vit le médaillon. Une sorte de boule grise enfin plutot noire décorée de nuages blanc. Pensif, il caressa le bijou entre ses doigts.

"C'est la premiere fois que je le vois lui. C'est nouveau ? Qui te l'as offert ?"

Les rumeurs qui disaient qu'elle avait un nouveau petit ami chez les serdaigles étaient donc vraies ? Car seul quelqu'un de tres épris pouvait faire de pareils cadeaux à leur âge...

Invité

Azéline sourira légèrement. Observant encore quelques secondes, elle releva la tête et regarda Cennyd dans les yeux. Un regard doux et à la fois dur, elle semblait sérieuse mais au fond d’elle, elle était tellement triste. Un regard doux par ci un regard dur par là, la jeune femme repencha sa tête ne arrière rapidement quand Cennyd lui répondit qu’elle rêvait. Elle laissa échapper un petit rire presque inaudible. Le plafond inintéressant captait son regard malgré qu’elle aurait put avoir son magnifique regard vert plongé dans le regard magnifique de Cennyd. Dans un gris qui la faisait craquer. Sentant soudainement quelque chose lui titiller le dessus de la poitrine, elle ne sentit plus sa boule. La petite boule pendentif. Paniquée, elle se redressa doucement et regarda son cou quand elle vit la main de Cennyd s’amuser avec. Azéline observa ayant de petits vertiges voyant la boule aller de droite à gauche. Venant posé sa main sur celle de Cennyd qui jouait avec le pendentif elle répondit.

« Déjà ce n’est pas un cadeau de un de mes anciens petits amis ou autres… Non ce n’est pas nouveau et … qui me la donné ?! je … euh.. je… »

Azéline bégaya pendant toute sa phrase. Pendant de longues minutes elle ne bougea pas sa main et regarda Cennyd le regard troublée dans le sien. Paniquée au fond d’elle, elle n’osait plus rien dire plus rien faire. Si elle dévoilait maintenant le secret qu’elle gardait elle serait retrouvée et quick la belle vipère. Azéline commença a trembler légèrement. Le regard toujours plongé dans le sien, elle n’allait pas lui dire que cette petite boule troublée contenait les pouvoirs de sa mère décédée. Seulement il y avait un gros problème. Azéline détestait sa mère. Contrairement à ce que amine elle pouvait croire la jeune femme aimait beaucoup sa maman sauf que depuis qu’elle l’eut vu mourir sous ses yeux elle crut qu’elle l’avait abandonnée. Azéline depuis se jours se sentait comme abandonnée. Pensant a tout cela elle fixait toujours Cennyd dans les yeux sa main posée sur celle du jeune homme. Elle lui dit alors d’une voix non tremblante et calme.

« …c’est ma mère. »

Dit-elle doucement. Elle n’allait pas lui dire pourquoi et tout dévoiler maintenant. Si il lui demandait plus d’informations, elle verrait bien malgré qu’elle n’était pas forcément pour. Un regard paniqué redevenu calme, elle le fixait du regard.

Invité

Sa mère ? Alors c'était sacré. Cennyd ne savait rien sur la mère d'Azline mis à part qu'elle n'en parlait pas. Mais ce n'était pas important parce que pour l'adolescent, une mère était la plus belle chose au monde. Son regard se fit rêveur une seconde avant de se durcir à nouveau. Même lorsqu'il pensait à Placidia, il ne perdait pas ses défenses. Personne ne saurait jamais que la petite femme rousse était tout pour lui.

Il ferma les yeux et son regard, de dur, redevint moqueur. Mais il ne put chahuter Azéline sur cet héritage. Non seulement ca le touchait lui mais elle avait également l'air perturbée par ce pendentif. Cennyd se demanda une seconde quels étaient les sentiments qui la faisaient bégayer ainsi mais il ne put en reconnaitre un seul.

Ne sachant trop que faire, il décida de revenir sur des bases solides et saines en l'embrassant longuement avant de lacher le pendentif et d'emprisonner dans la sienne la main qui la recouvrait. La serrant fort contre lui, il demeura un moment sans dire un mot, partagé entre l'envie de changer de sujet et une curiositéé aussi irrépréssible que familiale. Finalement, plus pour ne pas céder à ses pulsions que par réelle gentillesse, il choisit la première option. Le sujet "cours" n'ayant pas remporté un franc succès la première fois, il choisit de tenter la seconde approche dite "du bal".

"Tu t'es trouvé un cavalier ?"

Il lui faudrait surement quelques secondes pour comprendre de quoi il parlait tant cela tombait comme un cheveux sur la soupe. Mais il fallait absolument qu'ils aient une discussion civilisée lorsque les autres arriveraient. Ils ne pouvaient se permettre qu'on surprenne leurs paroles sur leur famille. Ou en tout cas Cennyd ne voulait pas que cela se fasse. Il se réservait les questions sur la mère d'Azé et le pendentif pour plus tard. Quand ils auraient du temps. Lorsqu'il serait assez sur de lui pour écouter les réponses sans rien dévoiler de lui-même. La famille (et principalement sa mère) restaient son point le plus sensible.

Invité

Azéline ne savait plus trop quoi dire. Déjà se mot mère était sortit irectement de sa bouche ?. Oui de sa bouche, elle qui la détestait maintenant. Il y avait un hic cependant. Elle l’a détestait, elle l’aimait petite quand elle faisait dans jeux avec elle, quand elle l’accompagnait à l’école, jusqu’au moment ou elle l’abandonna. En quelques sortes elle l’abandonna entre les griffes de son père qui la battait mais d’un autre sens elle n’y pouvait rien. Non arrêtons elle avait forcément été forcée de faire quelques chose si on l’avait tué. Azéline baissa la tête de nouveau pour regarder leurs deux mains posées l’unes sur l’eau. Elle ferma les yeux doucement sans rien dire et essaya de recentir son petit cœur si dur, si fragile au fond. Dans sa tête revinrent subitement des images, les images de la scène que la jeune femme avait vu gamine. Sa mère se faire tuer. Que c’était horrible. En une seconde elle ouvrit les yeux et remonta la tête doucement. Elle regarda le feux pendant quelques minutes. Réfléchissant.

Venant à retourner son regard sur Cennyd, elle le regarda lui, les yeux fermé. Toujours une expression plus ou moins triste , haineuse et en même temps de sadisme, elle laissait sa main sur celle du jeune homme qui ne semblait pas détacher sa main de la petite boule troublée. En faites pour tout avouer, sa mère ne lui avait pas donner en main propre elle lui avait été remise par la domestique qu’elle avait embauchée après le premier. Bouleversée encore par cela, elle referma les yeux et resta quelques secondes de plus a réfléchire. Réouvrant les yeux elle regarda Cennyd dans les yeux et se laissa embrasser lui rendant son baisé. Qu’est-ce qu’elle avait put en rêver d’aussi baisé même avec Alex mais rare étaient-ils. Azéline décrispa légèrement sa main poser lourdement sur celle de Cennyd. Ce dernier lâcha son médaillon et Azéline laissa tout de même sa main avec celle de Cennyd. Serrée contre Cennyd ce dernier lui demanda si elle avait un cavalier elle lui répondit.

« Ouais mais en même temps je n’avais pas envie d’y aller seule donc j’ai acceptée et puis tu m’accorderas bien une danse n’est-ce pas ? »

Azéline était toujours serrée contre lui et posa sa tête contre lui. Le feux crépitait toujours dans l’âtre de la cheminée. Elle ne lui avait pas renvoyée la question pour la simple et bonne raison qu’elle n’avais strictement aucune envie de savoir qui l’accompagnait. Si il lui disait elle ferait la sourde et ne dirait rien mais c’était largement préférable qu’elle ne le sache pas. Azéline comptait bien avoir une danse avec le jeune homme. Contrairement aux autres, elle se fichait bien d’être regardée surtout en compagnie de Cennyd. Le regard plongé dans le feux, elle releva un peu la tête avec un tout léger sourire en coin de bouche elle le regardait dans tout les recoin attendant juste un « Oui ». Bien sur si il refusait ,la jeune femme ferait une petite grimace toute mignonne qui le ferait craquer et il accepterait. Dans tout les cas on ne pouvait rien refuser à l’aînée des Evans. Ce regard imposant et tellement mystérieux à la fois on aimait jouer avec elle mais rare était les gagnants des parties de jeux. Ne jamais confronter une Evans ! La preuve. Elle le regardait de ses deux billes vertes claires dans les yeux et attendait toujours serrée contre lui elle était tellement bien qu’elle ne voulait absolument pas le quitter.

Invité

Pourquoi elle se défendait ? C'était très bien qu'elle ai un cavalier ! Quant à danser avec elle, c'était déjà prévu. La seule chose qu'il voulait savoir c'était qui elle allait amener. Parce qu'il avait beau réfléchir, il ne voyait pas. Si il lui arrivait de jouer avec Jojo, elle ne l'aurait jamais invité devant tout le monde. Tyson n'était plus ou en tout cas il n'était plus dans son coeur, Hell-c'est-les-autres il y avait peu de chances, Mark sortait avec Precosia (une chouette fille celle là. Ced était sortit avec elle quelques mois l'année dernière. Elle était brune aux yeux bruns doux et réhuassés par de longs cils noirs. Elle était de sang pur mais ses parents avaient fait faillite et elle manquait d'argent... c'était pas de bol)

"Justement, je voulais te demander de me réserver la seconde danse. La première est pour ton cavalier bien sur. Au fait c'est qui ? Mais je veux la seconde. Je ne resterais pas longtemps mais je tenais danser au moins une fois avec toi."

Je veux. Cennyd avait une drôle façon de demander, il fallait bien l'avouer. Mais il faut dire à sa décharge qu'il ne pensait pas essuyer de refus. Après tout elle avait à moitié demandé cette danse, il pouvait donc se permettre d'exiger. L'adolescent avait de toute façon tellement l'habitude d'obtenir tout ce qu'il voulait (excepté ce qui était réellement important pour lui - mais ça c'est une autre histoire) qu'il ne savait pas demander.

Invité

Azéline restait bien confortablement allongée contre Cennyd qui ne bougeait pas d’un pouce. Elle venait de lui demander de lui accorder une danse lors du bal. Bien sur elle n’allait pas changer d’avis à la dernière minute et puis de toute façon en y pensant bien, elle aurait préféré être accompagnée de Cennyd que quelqu’un d’autre malgré que d’aller avec une jeune homme avec qui elle avait fortement jouer pouvait être intéressant pour tester les personnalités de chacun. Azéline se rendrait comme prévue au bal avec Wagner un fort charmant jeune homme de 6ème année et accorderait sa danse avec lui puis celle de Cennyd qu’elle ne louperait pour rien au monde. Après peut être Andréï mais peut être pas. Rien n’était certain. Azéline c’était fortement demandée si elle irait avec Tyson au bal mais depuis qu’il avait disparut soudainement, la jeune femme avait perdue espoir d’y aller avec un homme et encore moins un Serdaigle. Azéline suite aux réflexions de Cennyd répliqua.

« Elle t’étais réservées d’avance tu sais… Et puis mon cavalier ? Wagner , Prosper Wagner un Serdaigle de 6ème année. Pourquoi ? »

Répondit-elle d’une voix tout à fait normale. Encore une fois elle n’avait pas renvoyé la question étant donner qu’elle ne voulait pas du tout savoir avec qui il y allait. La jeune femme restait bien caler dans ses bras et réfléchissait à d’autres questions plus ou moins intéressantes qu’elle pourraient bien poser. Malheureusement rien de bien intéressant lui parvint sur le coup. Azéline ferma doucement les yeux réfléchissan,t à ce bal qui serait bien certainement mais peut être tout aussi bizarre. La jeune femme se retrouverais en compagnie d’une Serdaigle qu’elle connaissait sans plus de voir Cennyd avec une autre fille, de voir Lucy et tout autres personnes allait la stresser fortement car malgré tout, Azéline était une jeune femme speed mais qui aimait être seule. Le regard parlant, elle tourna la tête vers Cennyd et imposa son regard sur son visage attendant une simple réponse. N’importe laquelle mais une réponse.

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