Donner des nouvelles [PV : Bill ]

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Le mauvais temps revenait aujourd’hui se qui était tout au plaisir de la jeune fille qui sortait à peine de son lit. Cette dernière, tout en s’étirant, observa le ciel chargé de sombres nuages et sortit un petit sourire qui se faisait d’ailleurs de plus en plus rare. Evidemment ! Lara approchait de sa cinquième année, ce qui signifiait le début des gros soucis ! Mais aujourd’hui était l’un de ses jours qui était primordial pour l’enfant car c’était à ce moment qu’elle pouvait envoyer sans se faire remarquer, une lettre à ses proches. S’habillant le plus vite possible et faisant rapidement sa toilette, elle se rendit dans la Grande Salle pour le petit déjeuner. Il n’y avait pas grand monde était le peu d’élèves étaient déjà emmitouflés dans de gros pull. Lara ne s’était munit que de sa robe de sorcier et de son écharpe au couleur de sa maison.
Elle n’attrapa d’un verre de jus de citrouille et l’avala rapidement. Puis, lorsqu’elle se sentit complètement réveillés, elle dévala les escaliers et se rendit sur le seuil de la Grande Porte centrale. L’air frais du petit matin et du mauvais temps la fît grelotter de froid et elle resserra son écharpe autour de son cou. Il n’y avait personne dehors. Quelques oiseaux traversaient rapidement le parc en secouant leurs petites plumes. C’était l’un de ses moments préférés. Personne dehors, un temps que personne n’apprécie et une température presque adorable.

Lara, en effet, aimait ce temps maussade et pas très accueillant. Elle y trouvait toujours une sérénité difficile à trouver de nos jours. Elle traversa rapidement le parc et se remémora de ce qu’elle avait écrit dans sa lettre. Comme d’habitude, des phrases simples avec des mots bien choisis. Juste quelque petites lignes pour raconter sa vie à l’intérieur de l’école de sorcellerie Poudlard. Sa famille avait encore du mal à y croire. Leur petite fille passionnée de cheval comme toutes les générations et qui promettait un magnifique avenir au milieu de sa passion. Mais malheureusement, le Destin avait prévue autre chose pour la petite fille. Aussi, après avoir découvert ses pouvoirs, elle dût aller étudier pour pouvoir améliorer ses incroyables capacités. Lara n’était pas fière de son don mais il le fallait.

Ma chère grand-mère,
Tu dois bien t’ennuyer maintenant mais je sais que les animaux sont encore là et te donneront tout l’amour qu’il te manque. Ici, dans ce monde qui continue toujours à m’étonner, je mène une vie qui me lasse de temps en temps et je me demande chaque jour si tu vas toujours bien. Lors de mon départ, je n’ai bien compris mon grand-père et son apparition. Il était sur Eclipse de Lune et il me semblait que cet étalon était mort …
J’ai hâte que les vacances arrivent pour t’en dire plus. Cela doit toujours t’étonner de voir un hibou avec une lettre mais c’est le seul moyen de communication ici.
Je ne peux tout te raconter car je ne fais pas confiance à ce monde étrange.
Je t’embrasse fort et te rappelle que je n’appartiens qu’à notre petit monde à nous.
Lara Ventdunord.

Décidemment, à chaque fois qu’elle se souvenait de ses mots, les larmes lui montaient aux yeux. C’est donc en essayant de se cacher qu’elle monta quatre à quatre les marches qui montaient vers la volière. Malheureusement, elle parlait trop vite. En entrant dans la volière, elle ressentit une vive douleur au ventre et s’arrêta net. Presque plié en deux, la jeune fille s’effondra presque sur les escaliers.
Une douleur terrible. Jamais une telle horreur ne lui était arrivée. Comme si quelque chose d’affreux venait de se produire. La douleur pourtant, elle en avait l’habitude. Ce n’est pas elle qui vous fait mal, mais c’est qu’elle arrive toujours dans les moments imprévus.

Elle pleurait presque, froissant maintenant sa lettre, elle priait pour qu’un salut, peu importe lequel, puisse venir l’aider. Il était rare qu’elle demande une aide. Lara Ventdunord continuait à se pliait de douleur, assise sur la dernière marche de l’escalier. Plissant les yeux, elle devina un oiseau posé sur la marche, la regardait avec des yeux de compassion. Lara aurait voulu regarder l’animal avec un peu plus d’Amour mais il lui était impossible d’ouvrir plus grand les yeux. L’oiseau semblait vouloir rester à ses côtés mais soudain, avec quelques battements d’ailes, l’oiseau partit aussi vite qu’il n’était venu.
Avec toujours cette terrible douleur, Lara se demandait quelle était la raison du départ brusque et affolé de l’oiseau. La douleur continuait à la tordre de douleur.

[je n'ai pas eu énormément d'inspiration désolé, je promet de me rattraper !]

Invité

Cela faisait déjà une bonne dizaine de minutes que le jeune homme regardait ce parchemin vierge de toute trace, sa plume à la main, assis en tailleur sur son lit à baldaquin. Quelques élèves dormaient encore à ses côtés, il ne pouvait donc pas reprocher à ses camarades d'habitude si bruyants son manque d'inspiration. Bill n'avait jamais été très doué pour écrire les lettres, encore moins lorsqu'il s'agissait de donner de ses propres nouvelles. Il soupira longuement puis reposa sa plume sur ses couvertures. Comment pouvait-il parler à sa mère de ce qui se passait à Poudlard sans risquer de la voir débarquer dans les heures qui suivraient la réception de sa lettre ? Des choses à dire ? Oui, il en avait, beaucoup même. Seule lui manquait la façon de les dire, la tournure de phrase exacte, les mots appropriés. Il ne pouvait pas se contenter de dire à sa mère qu'une vieille harpie hargneuse envoyée par le Ministère leur menait la vie dure car sa mère risquerait probablement de débarquer à Poudlard pour corriger cette mégère qui aurait osé s'en prendre à l'un de ses chers petits fistons chéris.

Bill n'avait pourtant pas à se plaindre. Depuis qu'elle était arrivée à Poudlard et ce malgré sa prise de pouvoir de plus en plus grandissante, Ombrage ne s'était jamais attaquée au jeune Serdaigle. Peut-être par peur qui sait, car il était certain que le jeune homme ne se serait pas laissé faire, il n'était pas un de ces vulgaires moutons qui baissaient la tête devant la pseudo grande inquisitrice en papier mâché ! Enfin bref, il ne valait mieux pas lancer un tel sujet de conversation avec lui sous peine de le voir débattre pendant des heures sur le peu de bonnes choses que sa grosse présence apportait à l'école. Reprenant sa plume en main, Bill entama enfin sa lettre. Il ne dit rien de bien intéressant : juste que les cours étaient toujours aussi faciles, mais aussi qu'il ne faisait pas très bon en Grande-Bretagne. Il ajouta ensuite qu'il avait hâte d'être aux prochaines vacances pour rentrer en Allemagne et acheva par une signature. Une page. Le jeune homme s'en félicita, plia le parchemin et l'introduisit dans une enveloppe qu'il referma soigneusement.

Une fois habillé et préparé, le jeune Serdaigle glissa sa lettre dans la poche de sa robe de sorcier, enfila son écharpe et descendit en direction de la Grande Salle. Il n'avait pas vraiment faim, c'est pourquoi il se contenta de parler avec quelques élèves de sa maison sans toucher au somptueux festin qui leur était proposé pour le petit-déjeuner avant de se lever et de se diriger vers le parc. Une fois la grande porte franchie, le froid de l'extérieur lui mordit la peau, si bien qu'il dû resserrer son écharpe autour de son cou frêle. Marchant rapidement et résolument en direction de la volière, Bill ne mit pas longtemps avant d'arriver en-bas de ses marches de pierre. Tandis qu'il commençait à les franchir deux par deux, il entendit des bruits en provenance du haut des marches. Accélérant la cadence de ses pas, il ne tarda pas à apercevoir une silhouette recroquevillée sur elle-même, assise sur la dernière marche. Il la rejoignit rapidement, faisant s'enfuir le petit animal volant qui s'était posé sur sa manche.

« Hey, ça ne va pas ? » s'inquiéta-t-il tandis qu'il prenait place à côté d'elle sur la marche.

Il posa les yeux sur la demoiselle : elle n'avait vraiment pas l'air bien, ce qui rendait sa question précédente vraiment idiote. Peut-être serait-il mieux qu'il l'emmène à l'infirmerie ? Ou bien avait-elle tout simplement son " cadeau mensuel " ?

[ Désolé, c'est juste pathétique, aussi bien dans le style d'écriture que dans la taille du post. J'essaierai de me rattraper à la prochaine réponse, promis ;) ]

Invité

« Hey, ça ne va pas ? »

Comme l’oiseau, la voix du nouveau perça le silence qui régnait. Lara entendit ces mots qui venait de nul par et sursauta. C’était comme un son qui se répercutait dans le noir et se battait contre sa douleur. Un murmure contre un mur, la lumière face à l’ombre, Le blanc rivalisant le noir. Les mots pour répondre à cette question se perdaient dans sa gorge nouée par les larmes. Elle voulait aussi ouvrir les yeux, mais il lui était impossible de faire un seul geste. Pourtant, Lara essaya de se redressait pour regarder cette nouvelle personne qui venait d’arriver. Serrant maintenant les dents, elle dénoua son écharpe et la fraicheur l’engourdit aussitôt. Plissant les yeux, elle devina assis à côté d’elle un jeune homme qui la fixait d’un air interrogateur. Baissant les yeux, elle remarqua l’insigne Bleu et Argent. Un Serdaigle.
Le temps continuait à se gonfler de nuage. Lara espérait qu’il ne pleuvrait pas, habituellement pourtant, elle aime bien la pluie mais là, sa douleur l’empêchait de réfléchir et profiter de ce moment. La douleur gagnait à présent la tête. Le monde tournait autour de la jeune fille. Les arbres, fiers Êtres droits et robustes, semblaient se transformer en serpent qui ondulait au rythme du chant du tonnerre qui commençait à venir et se dressaient vers le ciel. Les marches de pierre se changeaient en coton et même les nuages eux même paraissaient danser dans le vent.
Lara avait mal mais elle savait pourquoi. Non, pas de problème habituel, mais une perte. Une perte intense qui venait de loin, de chez elle. Quelque chose n’allait pas et elle devait en connaître la raison.
Elle attendît que la douleur passe mais celle-ci prenait tout son temps. Une fois la douleur partit, Lara repartirait dans son dortoir. Elle ne voulait plus envoyer sa lettre car elle avait peur de se qui l’attendait là bas. Pourtant, Lara connaissait la mort, elle avait déjà fait face à cette dernière juste avant sa rentrée en Première année à Poudlard. Mais jamais elle ne l’avait ressenti ainsi… la mort rôdait quelque part …
Elle en avait presque oublié le jeune garçon qui continuait à la regarder. Mais que pouvait-elle dire ?

« Hey, ça ne va pas ? »

La voix du jeune homme revînt à ses oreilles. Il lui avait posé une question, à elle d-y répondre.

« J’ai peur »

Que dire de plus ? Rien de particulier en tout cas. La douleur s’en allait tranquillement maintenant et Lara pût enfin essayer de se relever … mais sa tête continuait à tourner et elle n’évita la chute que grâce au mur de l’entrée de la volière. Elle réussit tout de même à se mettre debout et observa le jeune homme. Il semblait un peu plus grand qu’elle mais surtout, Lara devina son rôle dans leur maison commune. Il s’agissait du préfet.
Elle ne s’était encore jamais adressait à un préfet … comment fallait-il s’y prendre ? Devait-on parler dans un certain registre ?
Elle voulût dire autre chose mais bafouilla. Elle lâcha son enveloppe qui voleta quelques marches plus bas.
La jeune fille se mît alors à se battre contre elle-même pour essayer de se rétablir. La douleur trainait pour partir …

~~[ Promis je vais me rattraper ]~~

Invité

Bill vint s'assoir sur la même marche que la jeune fille, prenant place à ses côtés. Il la considéra quelques instants, s'attardant sur les traits de son visage qui ne dissimulaient guère la peur que la demoiselle éprouvait en cet instant. Il avait déjà vu plusieurs élèves se sentir mal, mais jamais aucun n'avait encore affiché cet air étrange après s'être remis de leurs émotions. Les yeux de la demoiselle étaient emplis de larmes qui ne demandaient qu'à sortir pour venir rouler sur ses joues albâtre. Bill aurait voulu lui dire quelque chose, un mot rassurant, mais aucun son ne sortit de sa bouche. En la regardant de façon plus soutenue, le Serdaigle eut l'impression que sa jeune camarade vacillait. Allait-elle être en proie à un malaise ? Ne devait-il pas plutôt la conduire à l'infirmerie au lieu de la regarder sans agir ? À vrai dire il ne savait pas quoi faire. Il ne savait pas si elle allait bien ou mal, si elle avait mal ou pas, bien que tout ceci ne semblait être qu'une évidence au vu de l'air palot qu'affichait la jeune fille.

Finalement, contre toute attente, la demoiselle lui répondit. Sa voix n'était pas vraiment remise de ce qui venait de se passer et Bill trouva même qu'elle était encore un peu tremblante. Mais qu'importe, le plus important était que la jeune Serdaigle n'avait pas mal. Oui, elle faisait partie de sa maison, le jeune homme l'avait immédiatement remarqué à la vue de ce blason bleu et argent qu'elle arborait. C'était probablement l'une des principales raisons qui l'avaient poussé à lui venir en aide. Il ne pouvait pas laisser une de ses camarades si cette dernière était dans le besoin. Son éducation ainsi que son rôle de préfet faisaient qu'il était désormais assis à côté d'elle, prêt à écouter tout ce qu'elle pourrait ou voudrait bien lui dire.

« J’ai peur. » répondit-elle.

Cela semblait être une évidence. Même un simple d'esprit dans le genre de Londubat aurait été capable de dire, sans se tromper, que la jeune demoiselle venait de subir un choc et que ce dernier était la cause de cette terreur qui animait les traits de son visage. Bill se demanda alors ce qui avait pu effrayer sa camarade au point de la mener à terre.

« De quoi as-tu peur ? Tu sais que tu ne risques rien dans ce château ? » s'enquit-il poliment.

Il leva la tête vers le ciel, comme pour appuyer ses dires, et remarqua que ce dernier se chargeait lourdement. Il lui semblait presque évident qu'une forte pluie n'allait plus tarder à s'abattre sur eux. Bill détestait le climat britannique ; il ne faisait que pleuvoir, en hiver comme en été, en automne comme au printemps. Le soleil ne faisait son apparition que lorsque l'année scolaire touchait à sa fin, c'est à dire lors des examens de fin d'année. Les élèves n'avaient donc pas le loisir de pouvoir profiter autant qu'ils le désiraient du parc de Poudlard sous le soleil. Le jeune Serdaigle soupira en imaginant la tête qu'il aurait en retournant au château après avoir traversé le parc sous la pluie. Se tirant lui-même de ses pensées dignes des jeunes filles les plus superficielles de ce château, Bill posa à nouveau les yeux sur sa camarade.

« Tu ne t'es pas fait mal au moins ? » s'inquiéta-t-il.

[Désolée, je sais que c'est nul, mais ça fait un bail que j'ai pas fait de RP alors j'ai eu un peu de mal à retrouver madame inspiration. Je tacherai de faire mieux pour la prochaine fois, c'est promis ! ]

Invité

La douleur s’estompait peu à peu. Lara arrivait enfin à voir un peu plus clair et se redresser pour inspirer un bon coup. Un mal de ventre qui arrive soudainement est une source d’inquiétude qu’il ne faut pas prendre à la légère et Lara se demanda si elle ne devait pas aller à l’infirmerie. Elle n’aimait pas aller à l’infirmerie, cela faisait d’elle une jeune fille trop faible qui ne peut supporter un petit mal de ventre de rien du tout. Mais avant toute décision, elle leva ses yeux d’un noir couleur charbon vers celui qui se tenait toujours à ses côtés et qui semblait la fixer intensément. Il ne semblait pas avoir eût l’idée d’aider la jeune fille de Serdaigle à se redresser pour rentrer à l’intérieur du château et par la même occasion passer chez Madame Pomfresh pour vérifier que son mal de ventre était bien passager.
Non, le jeune Préfet la regardait sans bouger, sans ciller. Mais maintenant, Lara devait se remettre sur pieds pour envoyé sa lettre à sa grand-mère … sa lettre ? Cette dernière était deux marches plus bas. La jeune fille se redressa un peu plus et essaya de se relever. Sa douleur semblait avoir complètement disparu et elle pût se lever. Elle récupéra sa lettre, l’épousseta, puis vérifia que l’adresse ne s’était pas effacer. Non, les traits fins qui étaient tracés sur le papier couleur bleu azur étaient toujours présents. Soulagée, Lara regarda le jeune homme et afficha un sourire qui se vouait rassurant.

« De quoi as-tu peur ? Tu sais que tu ne risques rien dans ce château ? »

Mais de quoi parlait-il ? Ah oui, elle avait dit qu’elle avait peur. Non, il était évident que dans un château aussi grand et aussi bien bâti, aucune créature abjecte ne pouvait y pénétrer, en tout cas rien que l’on puisse imaginer …
Un souvenir traversa son esprit à ce moment, l’image d’un homme, vêtue de cape déchirée à son extrémité, qui traversait le pré et affolait les chevaux. Cet homme ne s’était pas arrêté en chemin et n’avait laissé aucune trace dans l’herbe drue. Son oncle avait refusé qu’elle sorte voir ce qui se passait et l’avait enfermé dans sa chambre pour l’empêcher de sortir. Mais par la fenêtre elle avait tout vus … du moins, presque tout. Jamais sa famille ne lui raconta ce qui s’était passé, et jamais Lara ne pût aller au cimetière. Ses parents le lui interdisaient fermement, la jeune fille se doutait bien qu’il y avait là bas quelque chose qu’elle devait ignorer.
Elle secoua un peu la tête, pour éviter de se plonger dans ses souvenirs pour se transformer en véritable mur incapable d’écouter ou de suivre une conversation. Elle replongea son regard dans les yeux du jeune garçon de Serdaigle et murmura :

« Non, c’est vrai. Je m’inquiète toujours pour rien. »

Le temps commençait à s’éclaircir. Les nuages se dissipaient lentement avec le vent qui venait de l’Ouest. Lara devait rapidement envoyer sa lettre pour rejoindre ensuite sa maison de Serdaigle … avec lui peut être puisque lui aussi était de sa maison.

« Je dois me dépêcher … »

Elle voulait l’inviter soit à l’accompagner, soit pour lui dire qu’elle allait mieux et qu’elle pouvait enfin tranquillement envoyer sa lettre et reprendre le chemin vers le château.

[moi aussi ça fais un bail ^^ ce post est tout aussi nul ]

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