[Oct.] In the Dark [PV Motoki & Lucy]

Invité

C' était un Dimanche, la jeune Walker s' était réveillée vers huit heure trente du matin et s' était en allée vers la Grande Salle pour prendre son petit déjeuner. Elle avait un livre en main, un livre assez mince. Marchant dans les couloirs, Hélène répondit aux " Salut " de ses quelques camarades puis arriva devant la Grande Salle. Entrant, la deuxième année vit que la table des Srerdaigle n' était que peu rempli, ils devaient être tous en train de dormir, les gros flemmards. Se dirigeant vers la table, Hélène vit son chat arriver comme un boulet de canon, il se précipita vers Hélène et lui sauta dessus. Hélène faillit tomber, mais elle resta sur Terre. La demoiselle prit une toast, un délicieux toast et croqua dedans, ensuite elle ouvrit son bouquin et feuilleta. Après une vingtaine de minutes, Hélène retourna dans sa Salle Commune...

A dix sept heures quarantes sept vingt huit secondes, Hélène ressortit de son dortoirs et se dirigea vers le Parc, un endroit magnifique selon elle. Marchant tranquillement, Hélène glissa sur de la boue et tomba devant une bonne vingtaine de personnes. Elle se releva, la boue sur les vêtements et sur le visage puis les regardèrent avec un regard noir. Elle détestait qu' on se moque d' elle, elle n' aimait pas quand on riait d' elle. Lénlèn, qui était donc debout, tourna les talons et reprit sa marche. Elle entendait encore les ricanements des élèves...

- Faudrait peut être que j' aille me changer.. Mais si je les revois et qu' ils rigolent je les trucide x) ...

Finalement, elle ne rebroussa pas chemin, elle continua sa marche, qui menait vers la Forêt Interdite... Elle est Interdite, mais Hélène aime bien aller dans cette forêt, elle est calme, enfin ça dépend...
Hélène arriva devant l' entrée de la forêt, elle regarda devant, derrière, à gauche, puis enfin, à droite. La Serdaigle pénétra dans la forêt, la boue collait sur son pantalon, ça faisait un effet assez bizarre ! Il faisait noir, on entendait des bruits de pas dans la forêt, il devait être presque dix neuf heures ou un truc du genre... Il faisait déjà nuit, mais ça c' est pas très grave, elle a pas peur du noir. Lenlen trouva un arbre qui avait l' air confortable, alors elle alla vers celui ci et s' adossa à l'arbre et fit glisser son dos pour qu' elle s' asseye.

- Viens au pays des schtroumpfs les petits êtres bleus ...

Oui ben hein, elle avait cette chanson en tête, c' était pas de sa faute... Ne croyez surtout pas qu' elle regarde ce vieux dessin animé moldu qui diverti un gamin de deux ans ! Mamzelle Walker entendit des branches se casser, elle fit des yeux ronds comme des billes. Non ! Comme des calots ! Elle se releva et regarde un peu partout. Non, elle n' avait pas peur hein ! Enfin, peut être que si ! Mais elle resta optimiste en disant que ce n' était que le vent... qui faisait craquer les branches ? Un peu bizarre mais bon !

Invité

6 h 39... A sa mauvaise habitude, Lucy ouvrit les yeux. Elle se trouvait dans son dortoir accompagné d'un léger ronflement, venant de l'une de ses camarades de chambres, même si elles ne les appelaient pas vraiment comme ceci. De ses yeux couleurs noisette, la jeune fille scruta l'obscurité. Tout était calme. Les élèves dormaient toujours, aucun bruit à l'horizon... Juste deux grands yeux verts qui la fixaient style de dire : " Tu es en retard de dix minutes ! " Les yeux disparurent, le chat venait de pencher la tête en avant pour se frotter contre les jambes de sa maîtresse, toujours sous les couvertures. Accompagnée d'un ronronnement, Lucy sortit de son lit. Elle resta en position assise un instant, le temps de se réveiller complètement. La jeune fille réfléchit un instant, essayant de se rappeler le programme de la journée. Tout lui revient en tête lorsqu'elle se leva. Nous étions dimanche et ce soir, elle avait envie de retourné auprès de son endroit fétiche que, apparemment, personne n'avait découvert.
Après s'être habillé, coiffé et passer un dernier petit coup de crayon noir et d'anti-cernes - car Lucy se levait tôt et se coucher tard - la jeune fille se décida à sortir de sa salle commune. Lorsqu'elle traversa la pièce aux reflets verts, elle ne s'étonna pas qu'il n'y ait personne. Les habitudes... Arf, la routine le matin, quoi.
Lorsque Lucy entra dans le couloir des cachots, tout était très sombre. Connaissant le chemin par coeur, Lucy avança à l'aveuglette bien qu'après quelques petites minutes, elle s'habitua parfaitement à l'obscurité. En arrivant dans le hall, où déjà on y voyait beaucoup mieux qu'il y a quelques minutes, Lucy se demanda si elle était de mauvaise humeur ou pas. D'habitude lorsqu'elle se levait, elle savait exactement si elle être d'une humeur de chien, ou si au contraire, elle allait profiter du beau soleil qui brille dehors. Elle se sentit un peu entre les deux... La mélancolie était plutôt son humeur d'aujourd'hui. Elle sentait son esprit un peu vague, étant entre la joie d'un temps aussi peu aimé, et le fait de ne vouloir rien faire, de se sentir molle. La cinquième année s’avança vers la grande salle. Il devait être vers être sept heure moins cinq, quelque chose par là, lorsque Lucy s’assit à la table des serpentards. La salle n’était pas très remplis mais pour un matin de dimanche, Lucy n’en fut pas étonnée. La jeune prit un toast, un verre de jus d’orange puis repartit aussitôt. Lucy n’avait pas l’habitude de déjeuner le matin et en plus elle détestait ça. La jeune fille ne prit pas le temps de repasser dans sa salle commune. Elle tourna tout de suite à droite, pour sortir dans le parc. Le ciel était couvert de nuages sombres et sans confiance pour se promener. Mais pour Lucy c’était une très bonne nouvelle, qui lui fit dessiner un petit sourire sur son visage au moment où les premières gouttes d’eau tombaient. La jeune fille sortit dans le parc et marcha sous la pluie pendant une bonne partie de la matinée. Elle réfléchissait, elle se posait des questions comme toujours…

19 h 45… Il est l’heure. Lucy sortit de sa salle commune et arriva rapidement dans le parc. Tous les élèves se dirigeaient vers la Grande Salle pour souper, mais la serpentard n’avait pas vraiment faim. Et puis elle avait une terrible envie d’aller dans la forêt interdite l’endroit qu’elle préférait de loin dans Poudlard et ses extérieurs. Lucy s’avança d’un pas décidé, sa cape noire flottant légèrement derrière elle, le capuchon sur sa tête, empêchant toutes personnes de voir le sommet de son crâne jusqu’à ses yeux. Quelqu’une de ses mèches tombaient sur ses épaules, mais beaucoup de filles avaient des cheveux semblables. On ne pouvait pas la reconnaître, à part si la personne à l’habitude et connaît Lucy. La jeune fille avait la moitié du chemin à parcourir encore, avant d’arriver à la lisière de la forêt lorsqu’elle entendit de grands éclats de rires. Elle ne se retourna pas, mais elles savaient que c’était un bon grand groupe de personne. La jeune fille se demanda quelle blague l’une des personnes avaient jeté pour faire un vacarme pareil pour interrompre la nuit qui s’installait. Lucy arriva à destination et laissa sortir de sa bouche un petit soupire de soulagement. Encouragé, par l’endroit sombre des grandes silhouettes et par les quelques petits bruits que l’on pouvait entendre – sûrement d’animaux – la cinquième année accéléra la pas. Elle s’enfonça parmi les arbres qui se touchaient presque, suivant le sentier pendant un certain temps. Puis sans aucun geste de prévention, Lucy tourna à droite, entrant dans un passage recouvert de ronce et de hauts buissons. Elle parcoura pendants quelques secondes ses obstacles puis arriva avec une habituelle facilité à son fameux endroit fétiche. L’endroit était couvert de mousse au sol. Trois grands arbres formaient un triangle parfaitement dessiné, où s’accrochaient plusieurs liane à trois mètre de hauteur. Les plantes avaient recouvert les trois arbres avant de se rejoindre, formant un petit plafond, laissant passé la lumière blanche de la lune. Mais ce n’était pas tout, certaines d’entre elles tombaient tellement elles étaient grandes, formant de jolis petits rideaux, masquant à moitié l’intérieur du triangle. Lucy enleva son capuchon puis sortit de la cape noire, une main blanche apparut, poussant les lianes pour se réfugier à l’intérieur. Lucy rentra et observa l’endroit qui n’avait pas changé depuis sa dernière visite. C’est-à-dire en quatrième avant les vacances d’été. Lucy s’assit sur un quatrième arbre couché à terre, se touchant avec deux des trois arbres debout. Confortablement assise, la jeune fille ferma les yeux, puis avec un sourire, fut heureuse qu’il n’y ait personne à cette heu… Un bruit. Une voix. Une chanson inconnue. Des bruits de branches cassés. Lucy se redressa, écoutant attentivement. La chanson venait d’un voix de fille, sûrement, mais les pas ne venait pas de la même personne, car la chanson c’était soudainement arrêter lorsque les bruits l’avaient interrompus. Lucy sortit de sa cabane – si on voulait appeler sa comme sa – puis se dirigea silencieuse comme un chat vers son passage mais elle s’arrêta avant même d’avoir essayer de rejoindre le sentier.

* Il y a deux personnes dans la forêt. Et si je prends ce chemin, ils découvriront mon endroit… Ce que je ne souhaite pas. *

Lucy regarda autour d’elle, à la recherche de son second passage aussi appelé « le passage d’urgence.» Elle le remarqua grâce aux buissons aux formes ovales. Elle se dirigea vers lui, mais passa à sa droite. Elle tourna à plusieurs reprises puis sortit dix mètres plus loin que le premier, ne pouvant voir la fille chantant la chanson à cause d’un virage. Lucy remit son capuchon sur sa tête puis avança d’un pas décidé, sa main sur sa baguette au cas où. Ses chaussures ne faisait pas trop de bruit, ce qui avantageait Lucy. Elle voulait voir la personne, avant qu’il ou qu’elle ne la voyait. La cinquième année arriva au milieu du virage et aperçut une élève qui devait être en troisième ou deuxième année, debout, qui c’était apparemment relevé, voyant les marques mouillés derrière son tee-shirt ; elle c’était sûrement adossé à un arbre. Lucy la regarda regarder dans la direction opposée et se fit qu’après l’avoir bien regardé qu’elle demanda – plus à l’inconnu qui avait cassé les branches qu’à l’élève présente - :

« Qui est là ? » demanda-t-elle doucement, mais assez pensa-t-elle pour que l’inconnu réponde. Elle ignora la réaction d’Hélène qui avait sûrement été surprise d’entre une voix et de voir quelqu’un derrière elle, alors qu’elle n’avait vue ni entendu rien auparavant.

« Je m’attendais à être seule, ce soir… » dit-elle toujours aussi doucement.