[1er Octobre] Petite Balade Interdite ! [TERMINE]

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La salle commune des Poufsouffles était bondée de monde. Il n’y avait pas la moindre place ou s’asseoir, la cheminé qui était allumé rendait la pièce encore plus chaude qu’elle ne l’était. Le feu était de taille impressionnante, à chaque fois qu’un élève imprudent marcher trop près des flammes, il avait de forte chance de se retrouver avec sa cape, ou bien sa robe en feu. Pourtant il ne faisait pas si froid que ça. Il faisait anormalement froid pour un mois de Septembre, mais peut être pas au point d’allumer un feu pareil. Tout le monde conclu que c’était un petit rigolo qui avait allumé ce feu, car lorsque les préfets avaient essayé d’éteindre le feu, ils n’y parvinrent pas. Ce feu devait être ensorcelé. C’est ce qu’avaient conclu la majorité des Poufsouffles. La majorité des élèves présentent dans cette salle étaient occupé à parler, certains travaillaient, d’autre profiter des fauteuils pour se reposer. Quelque un était monté dans leur dortoir. C’est ce qu’avais fait Regis. Il y avait beaucoup trop de monde pour lui, et il n’appréciait pas forcément la foule.

Un peu plus tôt, il y avait eu un problème dans l’enceinte de Poudlard…d’après certaine rumeur un dangereux criminelles ce serait infiltrer dans l’enceinte du château, mais personne n’y croyais vraiment, depuis l’affaire Black, les moyens de sécurité avaient été renforcé à Poudlard. Mais d’après certains Professeurs un gaz polluant c’était répondu dans le château. Et qu’ils devaient s’en débarrasser avant de laisser les élèves sortir. Quelle gros mensonge, Regis n’y croyais pas un mot, mais il n’y avait plus grand-chose à faire. Il était 17 heures et il était coincé dans son dortoir. Il en avait vraiment marre de rester allongé sur son lit à ne rien à faire. Il prit la décision de sortir de son lit et de faire un tour…malgré l’interdiction, il fallait qu’il sorte.

Il descendit du dortoir en quelques enjambé et réussit à sortir le plus discrètement que possible. Seul une première année l’avait remarqué, mais il réussit à la faire taire contre une boitte de chocogrenouille. C’était une vrai petit peste celle là. C’était sa dernière boite, et c’était ces friandises préféré. Avant de partit, il fit un regard noir à la petite peste. Il se vengerait surement. Une fois sortit, il se trouvait dans le couloir du premier étage. Il regarda à gauche, puis à droite. Personne en vue, il pourrait se balader un peu. Il faisait froid dans les couloirs, mais ça ne le dérangeait pas. Il avait pris soin d’emporter avec lui sa cape. Il commença à arpentait les couloirs sans vraiment de destination précise. Il s’arrêta devant la bibliothèque.

Qu’allait-il faire, entrer, pourquoi pas, mais il n’était pas vraiment attaché à la bibliothèque, la majore partit du temps il s’y ennuyer à mourir. Et en plus avec cet fichu bibliothécaire qui cassait les oreilles à tout le monde. C’était comme suicidaire de rentrer dans cette pièce. Mais Regis ne réfléchit pas aux conséquences. Il ouvrit la porte tout doucement et là il eut une vison d’horreur.

*Mince, faut que je me casse*

Mais trop tard, il était repéré. En ouvrant la porte, il avait vu Rusard habillé d’un horrible costume qui tendait un horrible bouquet de fleurs à Madame Pince. Lorsque Regis fit cette scène, il ne put empêcher une exclamation. Et il y avait de quoi. Par contre Rusard devint tout rouge de colère, pareille pour Madame Pince. Il était fichu, il ne lui restait plus qu’à fuir, aux plus vite qu’il le pouvait. De un il n’avait rien à faire ici alors que tout les élèves étaient sensé être dans leurs salle commune, et de deux, leur rendez vous étaient sensé être privé. Rusard n’allait pas le laissé filler si facilement. Regis aurait pu espérer avoir cette chance, mais c’était comme croire au Père Noel.

-Dé….désolé…je ne voulais pas vous sur…vraimen…

Avant que Rusard soit arrivé à sa hauteur, Regis commença à détalée comme un lapin qui se faisait coursé par des chiens affamé. Mais le problème était que Regis n’était pas un très bon sportif, il ne courait vraiment pas vite, heureusement pour lui, Rusard courait vraiment comme un manchot. Regis prit donc du plaisir à faire courir Rusard comme un malade. Ils continuèrent de courir comme ça pendant plusieurs minutes. Regis commençait vraiment à fatiguer, c’était peut être le moment de le distancer. Rusard perdait de plus en plus de distance, c’était l’occasion ou jamais pour en finir avec cette course poursuite.

Regis accéléra le pas, et en quelques enjambé, Rusard était distancé. Regis se posa contre le mur tout essoufflé. Il avait le cœur qui battait la à cent à l’heure. C’était la première et surement la dernière fois qu’il se mette à courir comme ça. C’était bien trop épuisant pour son petit cœur (^^). Il tourna la tête de gauche à droite, et là il remarqua que les élèves étaient sortit de leurs salle commune. Il était sauvé. Puis soudain Peeves fit son apparition. Il se mit en face de Regis.

-Tu sais que Rusard cherche un petit gamin de ton genre…

-Ferme là Peeves.

-ALERTE !!! ELEVE NON IDENTIFIER QUI SE PROMENAIT DANS LES COULOIRS !! RUSARD, IL EST LA !!

-Pff…

Et Regis reprit sa course qui fut stoppé très vite. A peine avait-il fait quelques pas, qu’il était rentré dans une élève de Serdaigle, qui semblait être plus petite que lui…surement en deuxième ou troisième années. Regis était tombé violement sur le sol. Mais le pire était que Rusard l’avait rattrapé. Il le souleva par le col.

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|Désolé, c' est petit, je vais en cours xD...| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Tout les serdaigles étaient dans la salle commune, il n' y avait presque plus de place, il fallait que quelques élèves aillent dans leur dortoirs. Evidemment, les plus grands demandèrent au plus petits de monter dans leur dortoirs. Donc, les premières et deuxième année allèrent dans leur chambre, sans rien dire. Hélène allait se retrouver seule dans la chambre, sans Zoé ni Mischou... Cela n' allait pas faire de mal d' être alone quelques temps ! La deuxième année avait faim, très faim même, elle voulait aller dans les cuisines, mais avait pas le courage de descendre et de voir toutes les têtes la fixer comme si ils avaient vu un loup garou. Hélène commençait sérieusement à gargouiller, alors elle se pencha sous son lit et regarda si il n' y avait pas quelques friandises.

Mettant sa main sous son lit, elle sentit un truc bizarre, un truc bidule tout poilu ! Hélène attrappa la ' chose ' et elle put entendre un espèce de Miaouw, mais un Miouw agressif. Elle sortit la boulette de poil de sous son lit et pu voir son chat, qui esseyait de la griffer, la mordre... Méchant va ! Hélène posa son chat sur son lit puis se remit à la recherche d' une nourriture quelquonque. Il n' y avait rien, juste de la poussière, dommage... sa se mange pas. Attendant patiemment que tout les grands partent de la salle commune, elle resta là, allongée sur son lit, elle avait enlevé son chat pour ne pas l' écraser, se serait bête de perdre un chat chien poisson n' est ce pas ?! Seule dans son dortoirs, personnes ne pouvait l' entendre chantonner, en plus elle avait la voix cassé... La deuxième année se leva et regarda par le fenêtre ou il y avait de la buée dessus puis s' amusa à écrire avec ses doigts sur la fenêtre.

Hélène en avait marre de rester dans son dortoirs à ne rien faire. D' abord, pourquoi elle avait écouter les grandes perches qui disaient aux petits d' aller dans leurs dortoirs ? Parce que sinon, elle allait avoir tout les grands sur le dos. Pourquoi n' était elle pas sortit simplement de la salle commune des Serdaigle ? Car les grands l' en aurait empêcher. Ils sont si méchants xD !! Et de toute façon, elle ne voulait pas avoir à faire à Rusard. Avec courage -tu parles...- Hélène ouvrit la porte de son dortoirs et descendit petit à petit les marches des escaliers, tout doucement. La demoiselle, arrivée au dix dernières marches vit qu' il y avait encore du monde dans la salle. Un grand petit monde même. Personne ne l' avait repéré, alors elle remonta dans son dortoirs et alla prendre un livre de métamorphose. Quand elle redescendit, elle pu voir que la salle se vidait petit à petit, bizarre. Alors, la deuxième année décida d' aller dans la salle et vit qu' il ne restait plus que dix personnes. Ils devaient être sorti, alors Hélène posa son livre sur la table et s' avança vers la sortie. Faim... Affamer... Manger... Grande Saaaalle xD !

Elle se mit à courire, après tout, il n' y avait pas de panneau ou il y était graver :
' Pas courir, pas cracher, sinon glisser ', comme à la piscine, vous savez les moldus ils s' y baignent dedans ... ! Enfin bref, elle courait et Boum. Boum Boum Boum quoi ? Boum ! Parce qu' elle avait percutée quelqu'un, puiq qu' elle était tombée cinquante mètres plus loin ! Trop légère surement. Hélène qui était à moitier assomé se releva à l' aide des escaliers qui étaient à côté d' elle... si elle était tombée un peu plus à gauche elle serait tomber par dessus bord ! Peut être que finalement il faudrait mettre des panneaux avec ' Pas courir, pas cracher, sinon glisser ' . Restant debout, pour se remettre de ses émotions -^^-, Hélène regarda Rusard prendre un Poufsouffle par le col... S.O.S enfant maltraiter ! Dommage, sa n' existait pas dans le monde de la sorcellerie. La Serdaigle regarda MissTeigne... Yatta, et si elle jetait MissTeigne dans le vide comme sa il lacherait le Pouffy... Hmm, faudrait peut être esseyer ! Ah, nan, une autre idée ! Prendre un livre et assomer Rusard, comme sa il se souviendrait de rien et il le lacherait ! Nan, mauvaise idée. Hélène prit MissTeigne qui miaulait et esseyait de la griffer, elle alla le poser sur un truc assez haut, assez haut et assez fin. Hélène alla voir Rusard puis lui tira la cape pour qu' elle la voie.

" Votre chat il va mourir sur ce petit truc en hauteur. "

La demoiselle montra du doigt le chat, Rusard tira une de ces têtes ! Il lâcha le Poufsouffle -Merci qui hein ? xD- qui retomba par terre et alla vers son chat, ce dernier miaulait fort quand même. Hélène avança de quelques pas et se retourna vers le garçon :

" Tu ferais mieux de courir si tu ne veut pas qu' il te rattrappe pour de bon ! "

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Une sonnerie sonna, le cour normal de la vie avait repris. Ce petit incident n’avait duré qu’une petite heure. Il était 17 heures, et certains élèves avaient encore un cours, avant d’avoir leurs temps libre. Dans les couloirs certains courraient, surpris par sonnerie. La majore partit des élèves auraient cru que les cours allé être interrompu. Mais il n’en était pas question. Les profs étaient très à cheval sur le programme, et prendre encore plus de retard qu’il y en avait n’était pas à envisager. Donc une petite partit des élèves c’étaient mis à courir dans les couloirs, en grande partit les premières années, qui ne semblait pas connaître Rusard et sa sévérité. Cet étrange homme ne supportait pas voir les élèves courir dans tout les sens. Mais il avait peu de chance de se faire attraper, en ce jour bénit (^^) Rusard était occupé à courser un pauvre élève. Heureusement pour son pauvre petit cœur. Rusard avait réussit à rattraper le fuyard et il le tenait par le col sous les rires de ces camarades sorciers.

Regis lui ne rigolait pas. Comme d’habitude, il allait recevoir une heure de colle, et dire que ce n’était pas de sa faute. Quesqu’il avait à faire dans la bibliothèque. Ce n’est pas le lieu pour un rendez vous galant. Quelle plaie pensa Regis alors que Rusard devenait tout rouge. Mais ce fut à ce moment là qu’il se rappela pourquoi il c’était fait chopper alors qu’il était bien partit pour réussir à fuir. Il tourna la tête et la jeune fille était toujours là, encore sonnée. Enfin elle était à cinquante mètres plus loin. Le choc avait était violent, et comme la Serdaigle semblait légère elle avait du décoller plusieurs mètres plus loin. Regis lui fit un regard noir, d’ailleurs c’était de sa faute si il avait décollé comme ça et qu’il c’était fait avoir bêtement. En plus il faisait partit des élèves qui avait encore cours. Il était fichu…mais une dernière chance s’offrit à lui.

Il aperçut la Serdaigle prendre la ptite Teigne, enfin Miss Teigne par la peau du coup et le mettre sur une mince poutrelle, qui était plutôt haute. Regis sourit…elle en avait du courage cette petite. C’était ça sa chance. Il la regarda se rapprocher et alerter Rusard que sa ptite teigne était coincé et avait atrocement peur. Et c’était vrai, c’était la première fois qu’il voyait miss Teigne ainsi, elle se tenait debout sur de patte, complètement apeuré. Cette vision réjouit Regis. Il avait toujours détesté ce foutu chat. A chaque fois qu’il passe à côté d’elle, il se retient de ne pas lui en foutre une décollé dans son ptit derrière pour qu’elle puisse décoller plusieurs mètres plus loin. Au pour sur qu’il l’aurait fait, mais il savait aussi les risques qu’il encourait en faisant ça. Mais il y aurait bien un jour ou il obtiendrait ça revanche sur Miss Teigne, et sur Rusard au passage.

Heureusement pour lui, Rusard relâcha Regis, qui tomba sur ces genoux. En tombant il avait entendu ces genoux craqué sous la violence de se chute. Mais au moins il était libre. Maintenant il ne lui restait plus qu’à filer le plus vite que possible à son cours de métamorphose. Mais il oubliait quelque chose…

*Oui la Serdaigle.*

Il ne l’avait même pas remercié, même si c’était un peu de sa faute. Il se retourna et elle lui adressa la parole. Elle lui disait qu’il ferait mieux de courir pour ne pas se faire choppé. Regis fit une mine sombre. Comme ci il ne le savait pas, mais inconvenant, il n’était pas en très bonne forme, et il savait que Rusard, lorsqu’il est poussé à bout court aussi vite que le champion du monde du deux cents mètres. Et Rusard comprendrais assez vite qui avait fait du mal à son pauvre matou. Il semblait comprendre ce que lui disais la ptite teigne. De la télépathie ou quelques choses dans ce genre là. Regis remit les choses au clair.

*Bon, la situation est comme qui dirait critique…j’ai interré à détalé le plus vite possible avec que l’autre plaie ne débarque, mais cette fille aussi risque de ce faire avoir, et ça ne serait pas sympas de la laissé comme ça…rahh j’en sais rien.*

Regis avait pour habitude de s’occuper que de lui-même et de n’aider personne, mais aujourd’hui il allait faire exception. Il saisit la jeune fille par le poigné et il lui dit avant de commencer à courir…

-Vient, sinon toi aussi tu vas te faire choppé…

Puis il l’entraîna derrière lui pendant ça petite course. Cette course dura quelques minutes. Il avait courut sans vraiment de destination précise. Il fallait qu’il mette le plus de distance en tre eux et Rusard. D’ailleurs il semblait avoir retrouvé sa jeunesse d’entant. On l’entendait courir au côté de miss Teigne. Et cette fois ci il ne ce laissa pas distancé. Décidément il n’avait plus beaucoup de chance ces derniers temps. Mais le pire arriva, en continuant à courir sans destination, ils se retrouvèrent devant la bibliothèque, et la porte s’ouvrit laissa place à madame Pince. Ça y’est il était vraiment fichu cette fois ci. Elle était rouge de colère et tenait un énorme livre dans ces mains. Regis lui était devenue tout pâle. Ils étaient coincés.

-Petit garnement, tu vas me le payer.

Madame Pince écrasa son gros livre sur la tête de Regis. Mais le pire arriva. Alors que Regis s’apprêta à repartir en courant…il sentit une main glacé ce posait sur son cou. Et voila la plaie numéros une était arrivé. Il les tenait fermement les deux fuyards par le cou. Regis regarda la Serdaigle et esquissa un sourire.

-On est mal barré…

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Courir… C’ est tout ce qu’ Hélène savait faire aujourd’ hui. La serdaigle était sortie de sa salle commune à dix sept heures, elle avait encore cours ; elle ne voulait pas arriver en retard. Mais malheureusement elle avait heurté quelqu’un et était atterie cinquante mètre plus loin… Pas de chance vraiment. Rusard avait attrapé le garçon qu’ Hélène avait percutée, il avait surement fait des bêtises n’ est ce pas ? Hélène se releva puis regarda la scène. Elle vit le garçon la fusiller du regarde. Il avait qu’ à pas courir hein ! C’ est vrai qu’ Hélène aussi courait, mais elle avait une bonne raison, elle voulait aller en cours ! C’ est une bonne raison non ? Bon, c’ est vrai que c’ était quand même un peu, une tout petit peu, la faute de la deuxième année, alors elle chercha un truc à faire, enfin un plan pour libéré le jeune homme. Qui dit Rusard dit MissTeigne ! Il ne restait plus qu’ à trouver la boule de poil et c’ était bon. La demoiselle vit le chaton –MissTeigne ? Un chaton ? oO- et se dirigea vers lui, elle l’ attrapa et la regarda quelques minutes, elle avait une idée en tête, deux idées même ! Son cerveau était en ébulition, c’ était pas bon de trop réfléchir, mais il le fallait . Donc, elle prit la petit Teigne et la mit sur une petit poutre. Elle aurait peut être mieux fait de jeter le chat dans le vide mais elle n’ avait pas envie de se taper toute une vie d’heure de retenues, déjà qu’ en faisant sa elle risque sa vie xD.

Hélène alla donc voir Rusard et lui dit que son chat était sur une mince poutrelle, il valait mieux pour lui qu’ il lâche le garçon, sinon Hélène allait vraiment jeter le chat. Rusard le lâche pour aider la petit boulette de poil, tant mieux, le garçon tomba sur les genoux et en mit du temps pour se relever -_-. Hélène lui dit qu’ il fallait courir si il ne voulait pas se faire encore attraper par Rusard. Bon, c’ est vrai qu’ Hélène devait elle aussi commencer à courir car Rusard comprenait très bien se que disait, miaulait, son chat. Avant même d’ avoir pu commencer à faire un pas pour courir, elle sentit une main lui tenir le poigné. C’ était la personne que Rusard voulait attraper.

-Vient, sinon toi aussi tu vas te faire choppé…

C’ était vrai se qu’ il disait, se faire chopper et être coller –Y’ a que sa qui me fait peur ou quoi xD- . Le Poufsouffle commença à détaler comme un lapin –faillit dire Latin ..- et Hélène fit de même. Eh mais les lapins sa court vite en plus, sa court sur ses quatres pattes. J’ imagine bien Hélène courir sur ses quatres pattes ! Enfin bref, on pouvait entendre Rusard courir derrière eux, en plus de sa, les deux jeunes n’ avait pas de destination précise, alors ils arrivèrent devant la porte de la bibliothèque. La demoiselle vit Mme.Pince avec un gros livre à la main, le jeune homme recevit le bouquin sur la tête. Sa doit faire mal non ? Hélène avait envie de rire, mais c’ était pas trop le moment à vrai dire. Ils allaient repartir en courant mais sentirent une main se poser sur leur cou, une main froide. C’ était Rusard qui les tenait, et cette fois ci, on allait pas rire. Hélène regarda le garçon et celui ci lui dit :

- On est mal barré…

C’ était vrai, très mal barré. En plus Mme.Pince c’ est une vraie hystérique, elle est trop méchante xD. Mais Rusard il est pire, il est mal fringué, il fait peur avec son chat qui le suit partout. Hélène se remit à réfléchir, chercher quelques choses pour que Rusard ne leur court plus après. Un truc qui pourrait les sauver… Donner une coup de pied sur le genou de Rusard ? Nan, il allait se rappeler de la tête des deux garnements toute sa vie et allait les traqués quand qu’ il n’ auraient pas leur tête accroché sur un mur. Il n’ y avait que cette idée de donner une petite tape grande tape sur le genou de Rusard qui lui venait à l’ esprit. Ah non, il y avait aussi l’ idée de donner un coup de pied à MissTeigne. C’ est laquelle la mieux ?

- Ahah *rire démoniaque de Rusard* Je vous ai rattrapper sale petit garnements ! Je cours plus vite que vous !

Hélène fit une tête d’ enterrement, être content juste parce qu’ il a retrouver les mômes… En plus il avait eu l’ aide de Mme.Pince, tricheur va ! Que faire ? C’ est alors que Mme.Pince prit la parole :

- Je reviens, je dois ranger les livres.

Youpi, plus de Mme.Pince dans les parages, Rusard est vulnérable ! Sans faire exprès, j’ ai bien dis sans faire exprès hein ! Hélène marcha sur la queue de la petite Teigne –Trop méchant- , et celle miaula un grand coup. Rusard, lâcha les deux garnements pour prendre sa petit boule de poil.

- Mon pauvre petit chat… Ils vont pa..

Il n’ eut pas le temps de terminer sa phrase, Hélène donna un petit coup de coude au Poufsouffle qui voulait dire : ‘ Cours ! ’. Heureusement, celui ci comprit se que sa voulait dire, et ils détalèrent encore. Rusard, qui avait encore son chat en main courut aussi, en laissant Mme.Pince dans la bibliothèque. Hélène montra une porte ouverte ou il n’ y avait sûrement personne dedans. La serdaigle se dirigea à toute allure vers la salle avant que Rusard n’ ait pu voir où est ce qu’ ils étaient partis se réfugier. Arrivé dans la salle, Hélène referma la porte à clef. Il faisait noir, y’ avait pas de lumière.

*Rooh.. J’ aurais pas pu choisir une salle avec de la lumière ?*

La jeune fille esseya de trouver une chaise pour s’ asseoir, mais n’ en trouva aucune.

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Ce Rusard, c’est fou ce qu’il est collant, il était partout suivit de sa petite miss teigne, il surveillait tout les couloirs, sans en laissé un à l’abandon, à croire qu’il avait des yeux partout. Et il n’y avait rien de plus stressant. Sa faire surveiller continuellement pas un vieux qui n’avait plus toute sa tête et une chatte qui ressemblé à un vampire avec ces yeux rouges, près à vous collez un suçon dans le coup (xD’). De nombreux élèves auraient espéré lui foutre un coup dans le derrière, ou encore lui écrasait sa longue queue toujours en l’air pour narguer n’importe qui ou n’importe quoi. Et ça, la jeune Serdaigle en avait eu la chance.

Lorsque la bibliothécaire rentra de nouveau dans sa bibliothèque, qu’elle y reste !! Mais maintenant il restait Rusard, et sa chatte toute apeuré. Bah il suffisait de renouveler l’action. Regis leva le pied pour écraser violement la queue de la chatte mais Hélène avait été beaucoup plus rapide, elle écrasa sans regret la queue. La chatte miaula, enfin ce qui samblait être un miaulement. Ça ressemblait à un cri strident qui aurait pu réveiller un mort d’outre tombe. Quelle barbe ce chat, il avait fait mal aux oreilles de Regis, elle avait du lui pétait un tympan. Car il sentit un liquide chaud coulait de son oreille gauche. Mais il ne s’y occupa pas. Il fallait filer, et cela plus vite que la lumière.

Mais maintenant il fallait que Rusard marche. Et franchement, on pouvait dire qu’il courrait. Vraiment stupide.

*Mais…il est vraiment trop c** celui la...et c’est repartit pour une nouvelle balade*

Effectivement, Rusard c’était une nouvelle fois laissé berné par la deuxième année. Mais il les lâcha pour se précipiter vers sa petite Miss Teigne. C’était une bonne chose, mais maintenant ils étaient vraiment dans de sales beaudraps. Si jamais il sa faisait chopper, ils étaient sur de récolter une bonne dizaine d’heures de colles. Regis, lui était habitué à ce tapé des heures de colles, mais peut être pas la Serdaigle, Et il était sur de faire perdre pas mal de points à Poufsouffle. Bref, la poursuite continuait. Il fut surpris par la vitesse qu’avait prit la Serdaigle pour recommencer la poursuite. Mais il la suivit d’un pas égal. Mais lui, ça faisait bientôt une demi heure qu’il courait, il en avait un peu marre. Même beaucoup.

Heureusement la jeune Serdaigle eu la bonne idée de se réfugié dans une salle vide. Vraiment vide cette salle. Il faisait tout noir. Il rentra dans la salle. Il ne savait pas ou était passé la deuxième année mais il s’en fichait un peu, l’important était d’avoir semé Rusard. Regis entendit les pas de Rusard s’intensifiait puis diminué. Il était passé devant la salle sans penser vérifier si les fugitifs s’y cachaient. Tans mieux. Regis se dirigea vers se qui semblait être une chaise. Voulu s’asseoir dessus mais avec ce noir, c’était très dur, au lieu de tomber sur la chaise, il passa à côté et tomba violement contre le sol. Il avait horriblement mal.

-Dis, tu pourrais allumer la lumière, ça serait sympas.

Il se rappela qu’il ne savait même pas comment elle s’appelait.

-Au fait, je m’appelle Regis O’Bryan, 4ème années chez les Pouffy.

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Hélène avait -sans faire exprès, je précise ^^- écraser la queue de la boule de poil qui suivait tout le temps Rusard. Donc, elle écrasa la petite queue et commença à sourire avec le Poufsouffle qu' elle avait bousculé, sans faire exprès aussi xD. Courant dans les couloirs, Hélène se dirigea -toujours en courant hein- vers une salle, ex espèrant qu' elle soit vide, ce qui était le cas. La Serdaigle poussa un peu la porte et entra avec la garçon.
Pour l' instant, tout ce qu' elle voulait, c' était s' assoir, allumer la lumière et prier pour que Rusard ne les retrouve plus, mais même si aujourd' hui il ne les trouve pas, demain est un autre jour, il se rappelera de leurs têtes de mômes. Elle vait fermé la porte, bien entendu, maintenant une chaise... Oui, une chaise, elle avait mal aux jambes, elle n' aimait pas courir, sa servait à rien, a par pour les cas spéciaux comme aujourd' hui. Ne trouvant pas de chaises, elle décida de rester debout. Il n' y avait pas de lampe ni de chaise dans cette salle ou quoi ?! Tant pis, elle devra rester debout avec ce petit –nan, affreux, douloureux- mal de jambes. Fainéante comme elle est, la deuxième année s’ assit par terre. La jeune fille entendit les bruits de pas de Rusard passer devant la porte et repartir de l’ autre côté, heureusement qu’ il n’ était pas entré sinon il les aurait étripé… Boum… C’ est tout ce que pu entendre Hélène, sa devait être l’ autre zigoto qui était tombé par terre… Ralala, vraiment pas doué les jeunes d’ aujourd’ hui !

-Dis, tu pourrais allumer la lumière, ça serait sympas.

Lumière ?! Lumièreuh ?! Nan mais quelle Lumière ?! Y’ en a pas imbécile xD’…
Des lumières, si seulement y’ en avait se serait tellement plus facile de trouver une chaise. Sa se trouve y’en avait même pas de chaises.

-Au fait, je m’appelle Regis O’Bryan, 4ème années chez les Pouffy.

Au moins, elle savait comment il s’ appellait, c’ était déjà sa. Ah oui c’ est vrai, il avait demander d’ allumer la lumière. . . même si y’ en a pas. Bref, Hélène, toujours assise par terre, essayait de trouver la silhouette de se fameux ‘ Regis O’ Bryan ’. Après avoir trouver – à peu près – où il était, la petite Serdaigle de deuxième année prit la parole.

- Hm – raclement de gorge - , il n’ y a pas de lumière dans cette salle. Désolé si je n’ ai pas choisi une salle de luxe, avec lumière, chaise, table, nourritures… Et avec des toilettes pendant qu’ on y est.

Ouais bon, j’ avou, elle a pas choisi une belle salle quand même. Elle aurait pu prendre la salle d’ à côté, mais comme elle voulait se cacher le plus vite -_-‘.
Bref, elle devait, par signe de politesse –‘ Nul la politesse- se présenter.

- Moi c’ est Hélène Walker, deuxième année chez les Serdaigle, Serdy comme tu veux.

Vive les Serdagiles =] ! Après cette phrase, il y eu comme un silence, quelque chose allait sans doute briser ce gros blanc. Hélène était toujours par terre, elle voulait sortir, mais peut être que Rusard n’ était pas très loin… Avec tout ce silence on pouvait même entendre une mouche voler, mais là, ce n’ était pas une mouche qu’ on entendait, c’ était la porte de la salle ou étaient les deux élèves étaient cachés. Franchement, faudrait mettre un coup d’ huile sur les portes hein. Mais pour l’ instant, la Serrdaigle regarda la porte s’ ouvrir lentement. Qui cela pouvait bien être ? Rusard ? Non, faut pas que ce soit lui. MissTeigne ? Non plus, elle allait alerter son maître. Un élève ? Non plus, il allait peut être aussi alerter Rusard. La demoiselle rempa vers la porte et vit, Yamada alias Neko. Yamada, un chat comme les autres, non, pas comme les autres, c’ était de la chat de Walker. Hélène tendit ses bras vers la boule de poil, mais celle ci sauta sur le Pouffy. Pas de chance…

- Yamada ! Reviiiens…

Elle avait chuchotée pour pas que Rusard l’ entende… Hélène entendit un autre Boum, sans doute Regis qui était encore tombé, le pauvre, c’ est pas son jour de chance. Hélène se leva, referma la porte et esseya de retrouver Regis et Yamada.
En marchant, elle tapa contre quelque chose avec son pied et tombe vers l’ avant. Heureusement qu’ il y avait un amortisseur, c’ était Regis, le Poufsouffle. La serdaigle sentit une langue se frotter sur sa joue, une langue baveuse T_T, c’ était Yamada. Le demoiselle avait trop la flemme de se relever, elle avait mal aux jambes, alors elle resta sur le Poufsouffle xD.

[Pourri, c' est bon je sais >_<... Mes phrases elles veulent rien dire xD]

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Regis, comme à son habitude semblait avoir la poisse, comme toutes les autres journées de sa courte vie, il en avait prit l’habitude, c’était comme qui dirait un poissard. Etre si malchanceux ne semblait pas être possible, mais Regis en était le phénomène vivant, si il y avait un dieu pour, on le considérerait comme le dieu de la malchance. Tout ça pour dire quoi, que malgré les circonstances, tout ce finissait de la même façon pour le jeune homme, et là, il en était quasiment sur, ce n’était que le début, le début des malheurs de Regis. –Pourquoi pas en faire une série, à mince y’a déjà les malheurs de Sophie xD’- Pour l’instant ce n’était pas si catastrophique que cela, il n’avait eu qu’une grosse poursuite à travers le château, plus deux chutes, encore une course poursuite, cette fois ci accompagné, puis confrontation à une horrible sorcière et son compatriote et une nouvelle course poursuite. C’était le jour des courses poursuites. A présent il se retrouvait vautré par terre, car il avait manqué de peu la chaise et une horrible douleur dans le postérieur. Fallait dire que le sol n’était pas très confortable. Ce n’était pas le siège sur le quelle Regis aurait voulu ce trouvait après de telle efforts. Rahh il maudissait ce Rusard et cette Miss Teigne. Et M’dam Pince au passage. Tout cela à cause d’eux, et aussi à cause de la Serdaigle. Regis fit un regard noir à la jeune élève, même si il ne savait pas ou elle était et même si il faisait noir, c’était l’intention qui compte.

Bref, après c’être présentait par simple politesse, il sentit la main de la jeune Serdaigle lui toucher à tâtons sa jambe, apparemment elle aussi n’y voyait rien. Elle s’arrêta lorsqu’elle le reconnut puis elle lui répondit à la première question qu’il avait posée et qu’il avait déjà oubliée, enfin il l’avait deviné en entendant sa réponse. Regis lui avait demandé si elle pouvait allumer la lumière, mais sa réponse était négative, il n’y avait pas de lumière dans cette pièce. C’était vraiment bizarre, comment une pièce pouvait-elle restait baigné dans le noir, il suffisait d’aller ouvrir les rideaux, mais Regis, connu par sa flemme légendaire, ce dit que c’était bien le noir finalement. Tout cela pour ce laissé convaincre, mais apparemment la Serdaigle était pareille, elle ne voulait pas se lever pour ouvrir les rideaux, ou bien même allumer sa baguette. Peut être qu’elle ne le connaissait pas, c’était un sort que l’ont apprenais en 2ème années. Regis, lui, le connaissait, mais le mieux serait qu’il ne le fasse pas, surtout pour éviter les catastrophes en tout genre. On ne savait pas ce que sa baguette pouvait produire, cela changé d’un jour à l’autre. C’était plus raisonnable de rester comme deux parfaits imbéciles dans le noir.

Puis elle se présenta à son tour, Hélène Wal…quelques choses qu’elle s’appelait, ça il s’en fichait pas mal, il ne se voyait pas l’appeler Walker, il réservait ça au Serpentard, pas par politesse, mais par ironie, juste pour les faire paraître plus grand qu’ils ne le sont pas. Il comptait simplement l’appelait Hélène. Elle était en deuxième années, donc deux ans de moins que lui, on n’aurait pas trop cru, ou bien c’était que Regis n’avait pas l’œil pour repéré ce genre de chose. Vraiment pas doué, mais ce qui expliquait le manque de réaction lorsque Regis lui proposa d’allumer la lumière, elle ne devait pas encore le connaître, cela faisait moins d’un mois que les cours avaient débuté. Et c’était une Serdaigle, ça il l’avait remarqué, ou bien deviné, peut être du à l’écusson sur sa robe. Regis avait lui aussi sa robe, car quoi qu’il en pense, il devait la mettre car il avait encore cours, et d’ailleurs celui-ci devait avoir commencé, mais Regis fit tout pour oublier ce tout petit détail comme si ce n’était pas bien important.

Donc, il resta assis par terre, toujours avec son mal au postérieur sans cassé le silence qui régnait entre les deux élèves. Le silence était roi !! Et valait mieux pas dérangé sa majesté. Regis ne dit aucun mot, en attendant qu’Hélène casse ce silence stressant. Cependant, ce ne fut pas la Serdaigle qui rompit le silence, c’était la porte, même si on ne pouvait pas dire que la porte pouvait briser ce silence vu qu’elle ne pouvait pas parler. A ce moment là tout défila très vite dans la tête de Regis, il n’avait pas tout comprit. Regis aperçut un horrible –désolé Hélène xD- matou près de la porte, heureusement ce n’était pas Miss Teigne. Regis avait une sainte horreur des chats, et ce qui va suivre ne risque pas d’arranger les choses. Hélène semblait ramper vers le chat, mais celui-ci fut plus rapide, Regis avait sentit le danger, il commença à ce lever mais le chat fut d’une rapidité effrayante, en un éclair, le chat se trouvait sur le visage de Regis qui se trouvait à présent debout. Ces griffes rentraient dans la peau du jeune homme. C’était la pire des choses qui pouvait arriver. Regis perdit tout ces moyens. En se levant il avait retiré sa baguette mais il la lâcha au moment du contact avec le chat. Sa baguette glissa vers le mur. La magie lui était d’aucune utilité à présent, même si ça n’aurait pas changé grand-chose. Regis ne prit pas le soin d’examiner la situation, il tomba à la renverse, paralysé par les griffes du sale matou. Regis tomba raide contre le sol, le chat sur son visage. Regis préféra ne pas bouger, en priant, malgré le faites qu’il ne croit pas en dieu, pour que le chat se dégage de son –beau- visage, mais rien à faire. Mais là n’était pas le pire, d’un coup il sentit un énorme –désolé xD’- poids s’abattre sur son corps frêle. Il sentit une de ces côtes ce brisait sous le choc provoqué par ce qui semblait être Hélène. Elle avait du trébucher sur quelque chose, pas malin. Le seul point positif était qu’on n’y voyait enfin quelques choses grâce à la porte entrouverte.

Puis par l’un des plus grands hasards, le chat décida de ce bougé de là. Il se lova près de lui et se mit à lécher le visage d’Hélène, qui semblait à l’aise sur Regis, il ne fallait pas qu’elle en profite de trop, mais apparemment Regis était plus confortable que le sol. Regis souffla, il était libéré de l’emprise du chat. Mais pas pour longtemps, le chat reprit sa place, donnant à Regis la vu complète sur son petit derrière, la position prise par le chat était bizarre, mais Regis comprit l’idée qu’avait derrière la tête du chat, il comptait faire ces besoins sur Regis, alors là, il en était pas question. Il fallait qu’il réagisse le plus vite possible, mais il ne voyait pas trop comment, sans baguette et avec Hélène sur lui, il était comme qui dirait coincé, mais Regis ne baissa pas les bras trop vite. Avec les bouts des doigts, Regis réussit à chiper la baguette d’Hélène et la plaça juste en dessous du derrière du chat. Regis murmura une formule et le chat décolla vers le plafond dans une énorme explosion les recouvrant de poussière. Le chat émit un miaulement strident horrible avant de ce cogné contre le plafond. Le chat s’accrocha au lustre qui pendait au plafond, et qui ne semblait pas marcher. Regis en avait pas finit avec le chat, il visa comme il le put le lustre mais quelques choses d’autre se passa. Comme Regis avait put le constater, le lustre était vraiment vieux et semblait vivre ces derniers jours à Poudlard, mais le chat semblait l’achever, c’était le poids de trop. Le lustre céda, il c’était détaché en emportant avec lui une partit du plafond. Et malheureusement il tombait pile sur Hélène et Regis dans leurs positions gênantes. Il fallait agir vite, très vite. Regis, après un effort surhumain, enfin pour le Poufsouffle, réussit à tourner sur le côté, avec Hélène sur lui…enfin maintenant, il était à un mètre plus loin, mais cette fois ci les rôles avaient été inversés, c’était Regis qui était sur Hélène, mais l’important était qu’il avait évité le choc. Le lustre venait de s’écrasait pile à l’endroit ou ils étaient, un peu plus et ils étaient morts. Mais cela Regis n’y penser plus trop, il était bien trop content de c’être libéré d’Hélène et il pouvait enfin ce reposait tranquillement. Effectivement Regis n’avait plus aucune force, il était crevé et c’était endormi sur Hélène sans un mot…

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Vive le Cross ! Courir sa fait du bien, et c'e st vrai en plus ! Courir encore et encore, comme ça la nuit on dort bien, comme une gros bébé dans un berceau xD ! Bref ..normalement on s' en fou de se que je viens de dire, donc passer votre chemin et rendez vous à la phrase qui sera après le point sui va suivre, merci. La deuxième année venait de se présenter au Poufsouffle, qui lui c' était présenter juste avant qu' elle se présente - vive les répétitions ! -. Bon aussi, ce qui était énervant c' est qu' il n' y avait pas de lumière dans cette petite vieille salle sans chaises. Si il n' y avait pas de chaises, se n' était pas bien grave, mais pour ceux qui ont des grosses douleurs au mollets... >.<

Le silence régnait, il avait vancu les deux jeunes gens à plat de coutureuh ! Un silence super pesant quand même. Le silence, sa te fais stresser !? En tout cas, Hélène n' aimait pas les silences qui durait pendant quelques temps. Quand il y avait un blanc, la Serdaigle avait envie de rire comme une idiote, le pire c' est qu' elle rigolait toute seule et pour rien. Le silence fut romput par un bruit de porte qui grince, vous savez, les bruits comme quand on frotte une fourchette sur une assiette, beurk j' aime pas ce bruit !!! Walker vit deux pattes se poser dans la pièce, deux pattes... de chat. C' était le matou de la jeune demoiselle... C' est beau les chats hein ? C' est poil, ça se lave tout seul car ça n' aime pas du tout l' eau =) ! Enfin bref, quand Hélène vit que c était sa grosse boule de poil, elle rampa comme un petit serpent vers l' entrée de la salle. Arrivée, elle n' eut aps le temps de le prendre dans ses petits bras, oui parce que le chat sauta vers la silhouette qui semblait être le Poufsouffle. Pas de chance pour lui, surtout si il n' aimait pas le chat, ce qui était sans doute le cas. La Serdy` se releva et marcha vers Regis, mais elle trébucha -Vraiment un boulet petite xD ! .. Moi ?! Un Bouleeeeey ? Nan mais tu rêves !-. Elle trébucha sur Regis -Effectivment, t' es bien un boulet... Grrr-, pauvre Regis, elle est si lourde que ça Hélène -Régime régime.. Géant vert !- ?! Elle a l' air plutôt légère pourtant, enfin bref, Lélène tomba en plein sur Regis qui, malheureusement, se fit écraser. Confortable le Poufsouffle, plus confortable que le sol en tout cas ! Hélène sentit le chat lui lécher la joue et repartir vers Regis. Ne voyant pas se qui se passait, elle pu sentir quelqu' un lui prendre sa baguette =, qui était dans sa poche. Oh voleuuur ! Ah nan, c' était Regis qui lui avait prit sa baguette, vilain vaaaa ! Elle ne savait pas ce qu' il voulait faire avec, mais bon... Hélène put entendre un miaulement qui brise les timpans, son chat avait attrit sur le plafond, plus précisement, il était accroché au lustre, qui lui était accroché au plafond. Pauvre chat, il allait mourir tout seul la haut... Hélène voyait bien que le lustre allait s' écraser sur les deux jeunes gens.

* Ooooh.. Scheiße ! Veux pas mourir T_T *

Flemmarde, on sait, c' est une flemmarde. A croire qu' elle préférait mourir au lieu de se bouger les fesses, de se lever et de se réfugier dans un des placards pour pas se faire écraser. Mais bon, la flemme xD, le Poufsouffle allait bien faire quelque chose quand même non ? Ah ben si, après un soit disant effort surhumain, le Pouffy réussit à transporter Hélène et à se tranporter lui même, il réussit à tourner sur le côté avec Hélène sur lui. Oui, sa devait être un gros effort quand même ! Cette fois ci, Hélène était en dessous de Regis, il était pas si lourd -rolalalala ! J' suis gentille hein !-. Il faisait dodo, gros dodo, il était encore sur Hélène -est elle si confortable ?- . Mais bon, il avait quand même deux ans de plus que la Serdaigle, donc pas le même poids xD ! Enfin bref, Hélène mit ses mains sur le sol et commença à ramper pour arriver jusqu' à un mur. Arrivée au mur, elle s' y adossa, toujours avec Regis à moitier sur elle. La Serdaigle le regarda, devait elle le réveiller ?

* Bon.. J' le réveille ou il a vraiment besoin de dormir ? *

La demoiselle posa sa main sur les cheveux de Regis, histoire de le décoiffer un peu. Après l' avoir décoiffer, elle commença à avoir plus mal aux jambes. Elle continua de le fixer en le décoiffant.

- Oooh... le secoue un ch' tit peu Réveille toi, c' pas l' heure de dormiiiir...

Elle n' allait pas crier pour le réveiller quand même. En tout cas, Hélène espérait que Rusard n' allait pas arriver dans cette salle, ils auraient toute une année de retenue, sa n' allait pas être cool. Plus qu' une seule chose à faire, Hélène le faisait souvent à son frère... C' est quand même dangeureux, on peut se recevoir des baffes après mais bon... Oui, donc, l' idée est... de faire un poutou baveux sur le front, je vous jure sa marche xD. Bref, Hélène se pencha comme elle pouvait et lui fit un bisou ,moins baveux que pour son frère, sur sont front en espérant que sa le réveillerai. Hélène continua encore et encore de le décoiffer -t' inquiète, quand ut vas te regarder dans un miroir, se sera pas si décoiffé que sa, pas taper T_T- ...Lélène commença à chanter, sa se trouve, sa allait le réveiller.

Invité

Le rêve que faisait Regis était particulièrent fabuleux. En deux mots, il était Mer-veilleux !! Regis dormait comme un gros bébé sur Hélène. C’était normal à prés tout, il avait couru des dizaines de kilomètres. Ou peut être pas autant, mais il avait pas mal courut, en compagnie d’Hélène. C’était normal qu’il s’endorme comme cela. Il avait utilisé ces dernières forces pour lui sauvait la vie. Elle lui était redevable, et elle le laisserait bien dormir un petit peu. En tout cas, ce qu’il était sur, c’était qu’il c’était bien amuser avec la Serdaigle. Ils c’étaient fait attrapé à mainte reprise, mais à chaque fois la course digne d’une course de formule 1 reprenait. Et finalement il s’en était sortit, au pris de grand sacrifice pour Regis. Il était extrêmement fatigué.

Regis ronfla légèrement. Le rêve de Regis était très jolis, de quoi avoir envie de ne plus jamais se réveiller. Le jeune Poufsouffle se trouvait dans la chocolaterie de Charlie et la Chocolaterie. Pouvait-on rêver mieux. Cet endroit était le bonheur pour toutes les personnes ayant un palet raffiné en question sucrerie, ce qu’était Regis. Regis se trouvait devant les milliards de sucrerie, ne sachant pas trop par ou commencer, il resta figer sur place observant les alentours, toujours en quête de la meilleurs friandise. Il devait faire vite, car les rêves ne dure généralement que quelques secondes, et quelques secondes pour manger tout ça, c’était comme qui dirait impossible. Regis s’apprêta à courir vers la piscine de chocolat, mais il sentit ces cheveux se décoiffait tout seul, comme si une main invisible était apparut et s’amuser à le décoiffé pour le réveiller. Regis fut saisit de panique, le rêve pouvait bien attendre. Puis il sentit quelques choses d’humide se collait sur son front, enfin collait, plutôt s’agglutiner. Comme un gros bisou bien baveux. C’était le coup de grâce. Regis tomba à la renverse.

*Pitié faites que ce rêve se finisse*

Regis se réveilla d’un coup, la chocolaterie avait disparut et avait laissé place à la pièce pas éclairait. Il était à moitié sur Hélène, qui elle était en train de chanter, comme si de rien était. Regis se redressa sur le champ. Il était bien content que le rêve se soit terminé. Ce rêve était vraiment insoutenable. Et apparemment tout n’était pas que rêverie. Car il sentait ces cheveux décoiffer. C’était la catastrophe. Regis se leva en vitesse et courra face à un miroir et se regarda. Ahh non, ce n’était pas si catastrophique que cela,et pour dire, cela lui allait plutôt bien. Après un gros effort, il décida de ne pas se recoiffer. C’était bien la première fois que cela lui arrivait de faire un tel choix. Ce n’était vraiment pas dans ces habitudes. Il se redirigea vers Hélène tout en s’essuyant le front, qui était encore baveux. Il avait comprit pourquoi le rêve avait tourné en cauchemars. C’était Hélène qui avait cherchait des manières de le réveiller. Fallait dire qu’elle avait plutôt bien réussit. Il c’était réveiller en quelques secondes. Mais il n’avait pas eu le temps de finir son magnifique rêve. Il arriva devant Hélène.

-Tu me dois une chocolaterie entière.

Elle ne devait surement pas comprendre de quoi le poufsouffle lui parlait. Normal, elle n’était pas dans son rêve.

-Laisse tomber, y’a rien à comprendre.

Hélène chantait plutôt bien. Regis aimait bien la musique. Il adorait même, et avait une oreille experte. Il savait repérer les daubes des divas, et Hélène était plus près de Divas que de daube. Regis lui était classé chez les daubes. Et il en était fière. De toute manière, il était un bon à rien. Il ne sait pas chanter, ni jouer d’un instrument. Il la méritait sa place chez les daubes. Mais Hélène, c’était autre chose, si ça se trouve, elle savait jouer de la guitare, ou bien même danser.

-Dis Hélène, tu sais danser ? Parce que ça serait cool…on pourrait aller au bal en….

La porte s’ouvrit tout doucement, Regis se retourna sur le champ, c’était Miss Teigne. Elle les fixait de ces yeux qui faisaient peur dans le noir. Il fallait vite se débarrasser d’elle avant qu’elle parte cafter. Regis commença à courir vers la chatte, fis un pas glisser et arriva juste derrière elle. Il leva son pied et lui décocta un énorme coup de pied dans son petit postérieur. La chatte décolla à plusieurs mètres dans le couloir. Regis était fière de son coup. Il tapa des mains pour faire genre il enlever la poussière présente sur ces mains.

-Bon débarra…elle réfléchira à deux fois avant de cafter maint..

Une main glacée se posa sur le coup de Regis. Il connaissait cette main, c’était celle de Rusard. Regis devint encore plus blanc qu’avant. S’en était fichu de lui. Rusard était tout rouge, au point de croire qu’il était constipé et qu’il avait horriblement mal. Regis allait avoir plein de problème. Finalement il n’aurait peut être pas du frapper la chatte. Regis jeta un petit coup d’œil à la salle. La porte était refermée, et Rusard semblait avoir oublié la présence d’Hélène. Tant mieux, s’il devait se faire prendre, c’était lui seul, pas elle, elle n’y était pour rien.

-Tu es fait comme un rat mon petit. Tu es bon pour un bon mois de colle.

-Mouais…de toute manière j’ai l’habitude avec vous.

Rusard lui donna un coup dans la jambe, pour lui dire d’avancer.

-Allons voir le professeur Chourave.

Et ils commencèrent à marcher dans les couloires, jusqu'à être arriver au bureau du professeur Chourave. S’en était finit. Mais Regis comptait bien retrouver Hélène et prendre leurs revanches.

[Finit] [La suite très bientôt !!]

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La deuxième année transportait un quatrième année sur elle. Elle venait de glisser sur le sol pour aller s' appuyer contre un mur. Elle avait prit une dizaine de minutes pour parvenir à appuyer son dos contre le mur. Une deuxième année transporter un quatrième année, normal qu' elle avait prit du temps, en plus c' était pas une fille mais un garçon. La demoiselle n' allait pas attendre que le jeune homme se réveille, elle allait tout simplement le réveiller. Pour commencer, elle le secoua un peu, lui donna quelques baffes, mais ça n' avait pas l' air de marcher, ça ne faisait pas améliorer les choses. Ensuite, elle lui passa sa main dans les cheveux histoire de le décoiffer un peu, mais apparement ça ne marchait pas non plus, les cheveux de Regis n' avait aucun noeuds, pas comme ceux d' Hélène à ce moment. Puis finalement, elle utilisa son arme ultime, le bisou baveu bien dégueulasse. Hélène s' approcha du front du Poufsouffle et posa ses lèvres. Elle esseya de le faire bien baveu pour que ça fonctionne mieux. La deuxième année se retira et attendit quelques secondes. Il ne se réveilla pas tout de suite, alors elle chanta... Pour le fun, pour détruire le gros blanc qui pesait. Après quelques minutes, elle sentit la personne sur elle bouger, puis se lever d' un seul coup. La jeune fille sursauta et regarda Regis. Il avait l' air tout déboussolé. Ce dernier accourut vers un miroir qui trainait... D' ailleurs, on se demandait ce qu' il faisait là. Il se regarda et ne se recoiffa pas. D' habitude, quand Hélène décoiffe quelqu'un, celui ci va tout de suite chercher un peigne et du gel pour remettre sa coupe d' aplomb. Elle le regarda revenir vers elle.

-Tu me dois une chocolaterie entière.

Une chocolatrie entière ? Hélène ne comprit pas pourquoi... Peut être que dans son rêve il y avait une chocolatrie ? Peut être...

-Laisse tomber, y’a rien à comprendre.

Effectivement, il n' y avait rien à comprendre.
Hélène s' était arrêté de chanter, elle n' aimait pas chanter devant les personnes qu' elle connaissait peu. Il y eut un silence de quelques minutes, jusqu' à ce que Regis reprennent.

-Dis Hélène, tu sais danser ? Parce que ça serait cool…on pourrait aller au bal en….

Malheureusement, quand il allait terminer sa phrase, Miss Teigne entra dans la pièce. Regis se retourna immédiatement, pendant qu' Hélène était en train de se pencher pour voir la scène. Le Pouffy donna un grand coup de pied dans le derrière de la chatte. Celle ci décola assez haut puis sortie de la pièce.

-Bon débarra…elle réfléchira à deux fois avant de cafter maint..

Au moment ou il avait dit "Bon débarra...", Rusard venait d' entrer. Hélène avait bien envie de lui dire un truc du genre "Regarde derrière toi.." Ou bien "Tais toi !!" Mais c' était trop tard, la main de Rusard se posa sur l' épaule du jeune homme puis Regis devint pâle. La demoiselle resta dans son coin, fixant les deux personnes à côté de la porte. Après avoir parler quelques secondes, les deux personnes s' en allèrent. Quand elle fut sure qu' ils étaient bien parti, Hélène se leva doucement et sortit discrètement de la salle. Non loin, elle pouvait voir Rusard, Miss Teigne et Regis aller vers le bureau du professeur Chourave. Hélène n' avait même pas eu le temps de répondre au Poufsouffle... Tant pis. Avant de repartir vers sa Salle Commune, Hélène marmonna une petite phrase :

- On se reverra avant le Bal... Regis.

Puis elle partit vers sa salle commune.

FIN =)

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