FICHE DE PRÉSENTATION DE
KRISTOFFER FRANCIS ROSIER

IDENTITÉ DU PERSONNAGE PRÉNOM(s) & NOM : Kristoffer Francis Rosier DATE DE NAISSANCE & ÂGE : 8.08.1955, soit quarante-deux ans ORIGINE * : Sang pur MÉTIER(S) : Professeur en psychologie sociale à l'université et propriétaire d’une clinique spécialisée en psychiatrie AUTRE(S) : Ex-Serdaigle (1966-1973), Mangemort. Fumeur depuis un bon bout de temps. Père de deux enfants. Amoureux du vin rouge. BAGUETTE : En bois de houx, 33 centimètres. Contient une plume de phénix et relativement souple.   PATRONUS : Coyote roux, un animal assez solitaire mais très intelligent quand il s'agit de survit.

HORS-JEU COMMENT AVEZ-VOUS CONNU CE FORUM ? Top-site, comme toujours ÂGE IRL : Un oeuf ans. PERSONNALITÉ ÉVENTUELLE SUR L'AVATAR : James sexy McAvoy   EST-QUE VOTRE PERSONNAGE POSSÈDE(RA) UN POUVOIR SPÉCIAL ? Oui, il est occlumens. Cela le permet, entre autre, que personne puisse intercepter ses futurs projets et expériences qu'il souhaite garder secret, même pour le Seigneur des Ténèbres. DÉSIREZ-VOUS ÊTRE PARRAINÉ(E) ?: S'il-vous-plait, je m'y perds déjà.   AVEZ-VOUS LU LE RÈGLEMENT ? :

TEXTE PERSONNEL (1500 mots min.)

La première chose qu'on pense de moi lorsqu'on me voit pour la première fois, c'est "qu'il est bizarre !" Oui, même à un Rosier, un demoiseau de l'une des plus riches familles des sang-pur. En effet, depuis que je suis jeune, je ne me suis pas très bien entendu avec les enfants de mon âge. Au début, on acceptait de m'approcher - pour mon nom, mon sang et surtout mes beaux yeux bleus (c'était un secret pour personne après tout) - mais lorsqu'ils se rendirent compte que j'avais une autre façon de m'amuser, ils m'ont fuit. Tous.

J'avais grandi dans un milieu plus qu'aisé, où l'on ne me refusait rien mais qu'on me gâtait pas par amour. Tout le mérite revenait à mon plus grand frère, Evan, qui était le premier en ligne pour l'héritier. Je n'ai jamais été jaloux, ni envier la place dans le coeur de mes parents qu'il prenait par rapport à moi. La solitude n'était pas un problème pour moi; au contraire, je l'accueillais à bras ouverts. D'une façon ou d'une autre, elle était ma seule amie; je n'avais pas besoin de discuter de mariages, de bal de fin d'années, de Sang-de-Bourbe - bien que je les aimait pas particulièrement - et des autres familles du Sang-Pur. Ce que j'aimais, c'était aller jouer ailleurs.

J'allais dans le jardin, dans les hectares de forêt où les feuilles tombaient dans un dégradé de couleurs d'automne pendant cette saison, sous les érables et les grands chênes au bord de l'étang de la demeure. De là, j'observais les insectes qui y vivait puis inscrivait ou dessinait ce que je voyais sur un petit calepin que je ramenais très souvent avec moi. Depuis l'âge de cinq ans, j'étais passionné par les sciences, la nature, la biologie des êtres vivants en général. Et je faisais des expériences, plusieurs expériences, en m'amusant beaucoup. Et d'un coup, j'eû une idée; j'avais interpeller quelques enfants, des invités qui étaient venus un jour et qui semblait s'ennuyer, et leur demanda s'il voulait quelque chose de passionant. Une action qui surpris légèrement mes parents et leurs connaissances qui me voyait toujours jouer seul, dans mon monde. Ils m'ont alors suivis, je leur ai présenté mes sujets de recherche qu'ils trouvèrent fascinants. Je m'amusais à prendre ses bêtes par la paume des mains et, lorsque j'eû finis d'analyser ses particules, je les écrasais sans scrupules. Oh oui, je me rappelerais toujours de la sensation que cela a produit, j'ai eu au contact de ce sang. Du frémissement qui a parcouru et le doux son de leurs cris face à ce merveilleux spectacle de toute beauté, les faisant fuir. Ma toute première expérience & là où tout à commencer.

Mes parents n'ont jamais trouvé que j'étais bizarre; je faisais des expériences, je m'amusais, j'étais jeunes. Ils ne trouvaient aucune raison pour avoir peur de moi. Par conséquent, ils ne me portent aucun intérêt. Parfois me demandais-je si voyait-il en moi quelque chose d'autre qu'une réplique plus jeune qu'Evan ou se souvenait-il au moins du nom qu'ils m'ont attribués. Je ne les voyais que très rarement; ils travaillaient et ils dormaient, tel était leur quotidien. Mon frère était le seul que je voyais plus ou moins; ils passaient ses journées à prendre des cours supplémentaires, à perfectionner ses talents et à détester de plus en plus les Sang-de-bourbes. C'était devenu une obssession pour lui, depuis son jeune âge, ce qui l'avait conduit par la suite à rejoindre les clans des Mangemorts.
À onze ans, lorsqu'on rentrèrent à Poudlard pour notre première année, nous nous séparons. Evan est évdemment rentré à Serpentard comme toute notre famille et tous les fidèles du Seigneur des Ténèbres y étaient. Tandis que moi, je possédais l'intelligence et la curiosité nécéssaire à ma répartition à la maison d'argent et de bleue, Rowena Serdaigle. Mon père fut plus que déçu que je n'étais pas réparti dans la maison auquelle toute la lignée a été réparti; il en attendait tout de même toujours que je suis les traces de mon frangin. Il est vrai que pendant ma scolarité à Poudlard, j'ai toujours pensé que je n'étais peut-être pas fait pour cette maison; je ne détestais particulièrement pas les Sang-de-Bourbe comme tous les Serpentard et les Gryffondors n'était pas trop mal puisqu'ils faisaient parti de ma recherche. Le Choixpeau avait vu en moins que je me distinguais de ma lignée mais pourtant je n'étais pas comme les autres Serdaigles et je possédais la ruse et l'ambition d'un Serpentard. Je ne comprenais pas le Choixpeau qui, pourtant, devait voir mon potentiel et ma viciosité omniprésente. Plusieurs fois ai-je pensé que c'était une légère erreur, que j'allais à la prochaine année changer de camp. Mais sept années sont passés et j'étais toujours dans la même maison.

Je ne plaignis pas de Poudlard pour autant: contrairement au manoir que nous avions habité, ici, il y avait des gens. Ou plutôt des sujets d'expérience; très nombreux et d'une grande variété. Les sciences ne cessèrent de me passioner au contraire, à mesure que je murissais, c'était devenu LA matière que je préférais. Et surtout étudier les humains. Les relations humaines habituels- comme la famille, les amis, les amoureux- mais également des choses plus extravageantes comme celle avec les animaux de compagnie, avec la baguette de l'élève ou encore certain sorts auquel leurs puissances émanaient des sentiments de la personne, notamment le Patronus. Évidemment, je l'avais réussi du premier coup, comme tous les charmes. J'avais eu raison de penser au meilleur de mes plus beaux souvenirs: ma première expérience et la joie qui m'a rempli lorsque que les résultats ont confirmé mon hypothèse. Et finalement, me fondre parmis les Serdaigles eut un avantage: une discrétion quant à la réalisation de mes projets. Je me fondais dans la foule d'intellects - bien que je leur étais bien supérieur - ce qui me rendait les choses plus avantageux.

Je réussis les ASPIC haut la main comme les BUSE et tout le reste de mes examens scolaires. Mon aptitude à analyser et à donner une réponse correcte rapidement avait valu plusieurs points à ma maison et j'avais gagné en popularité, surtout auprès de mes "sujets d'expériences". Les Serdaigles voyaient en moins comme une conccurence, un but à dépasser mais la barre était bien trop haute et j'ai rapidement été nommé comme Préfet et Préfet-en-chef des Serdaigles. Mon frère, lui, a été celui des Serpentards; mais c'était sa capacité de leader qui l'a guidé dans cette voix; et se fut assez pour rendre mes parents heureux. En quittant l'école, je me suis rendu compte que je n'avais pas vraiment fait d'amis; les Serdaigles m'ont beaucoup entourés et ont trainés à mes côtés, mais je ne les considérais pas comme mes égals. lls n'étaient pas assez pour être des rivales, seulement de simples êtres qui attirent ma curiosité du fait qu'ils sont plutôt "normaux". Également, nous étions des êtres solitaires, ne nous regroupaient pas très souvent en groupe comme les autres maisons le font (notamment les Gryffondor, ce qui leur a fait très intéréssant dans la progression de ma recherche). Alors pendant les étés, je trainais avec mon frère et ses potes ou je passais les journées seuls, occupés à écrire ce que j'ai analysé pendant mon année qui m'avait échappé.