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[Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE]

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[Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] Lumos-4fcd1e6
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MessageSujet: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMar 18 Sep 2007 - 17:54

Les devoirs ! Les professeurs ! JE DETESTE ! pensait Azéline. Elle venait de passer 2 heures et demi en cours avec McGo’ qui l’avait un peu agacée avec ses réflexions à droite à gauche. Assise a côté de la fenêtre au fond de la classe, Azéline flânait complètement. Les pensées vide, elle se sentait vide. Venant a soupirer, elle reposa son regarda sur son parchemin vierge. Elle n’avait pas du tout suivit le cours et se demandait ou ils en étaient rendus. McGo’ interrogeait certain(e)s élèves intéressés par le cours. Le jeune Evans fixait McGo’ comme si elle lui avait fait quelque chose. Peut être pour qu’elle puisse croire que la Serpentarde suivait son cours de A à Z ce qui était totalement le contraire. Un petit sourire sadique aux coins des lèvres, une élèves de Serdaigle venait de dire une grosse bêtise qui en avait fait rire plus d’un(e). Azéline c’était juste forcée à avoir un petit sourire mauvais aux lèvres. Replongeant son regard au dehors de la classe, les fenêtres étaient fermer.



Au bout de une bonne demi heure la sonnerie retendit annonçant la fin des cours. Enfin. Le dernier cours de la journée. Azéline ne prit pas le temps de bien ranger ses affaires dans son sac. Elle fourgua dans le fond son parchemin ou aucunes traces écrite avait été prise. Comment allait-elle faire pour apprendre ses devoirs ? Oh et bien elle demanderait à une de ses camarade qui serait forcée de lui prêter son cahier sous menaces. C’était comme cela que sa marchait entre Serpentard et surtout avec Azéline. Sois tu marche sois tu souffre et la plus par du temps les élèves marchaient sachant qu’elle était loin d’être fine. Azéline sortie de la classe en faisant un signe de tête à sa professeur comme signe de politesse et se dirigea vers l’entrée du couloir. Un gros vent vint s’engouffrer dans le large couloir ou ce trouvait maintenant tous les élèves sortant de cours. Ayant à peine passé le seuil de la grande porte Azéline resta plantée sans rien dire juste hausser un sourcils. Quel bordel se couloir !



Azéline s’engouffra dans les élèves se bousculant à droite à gauche. Azéline préféra largement longer le longs des grands murs traçant a une vitesse folle pour éviter de ce prendre le choux avec les premières années ou encore autres année de tous âge. Elle marchait d’un pas assez rapide à moitié stressée de tout ce boucan. Ayant enfin traversé tout le couloir au bout de 10 minutes en difficultés. Soupirant, elle tourna en angle droit le virage et continua sa route vers les cachots. Ah qu’elle aimait cet endroit. Descendant doucement les marches dans la pénombre, elle avait ses yeux clairs qui voyaient dans le noirs. C’était assez d’utilité les yeux de « chats » dans les endroits sombres. Azéline descendant en regardant devant elle se méfiait toujours des petits gamins qui s’amuseraient a lui faire peur. Azéline soupira et arriva enfin à l’entrée de sa salle commune. Un certain soulagement se fit sentir en la jeune femme. Poussant la grosse porte noire, elle pénétra dans la pièce.



En rentrant dans sa salle commune, Azéline fut choquée. Mais pourquoi donc ? Une horde [ et ce mot n’est pas exagéré ] de gamins ou plutôt nouvelles et nouveaux première années couraient. Azéline arqua un sourcil très surprise de cela. Non mais c’est pas possible d’avoir des crapules comme sa dans sa maison, pensait-elle fortement. La jeune Serpentarde traversa la salle commune pour se diriger vers les dortoir ou elle irait décompresser un peu. Montant les marches deux par deux, elle regardait par terre quand elle percuta de plein fouet une personne. Azéline redescendit de deux marches en se rattrapant sur les pierres le long du mur. Azéline releva doucement la tête et regarda son tee-short. ARG ! Un liquide marron très clair coulait sur son tee-short blanc. Elle serra ses poings et préféra tracer son chemin en poussant la jeune fille certainement en 4ème année qui ne cessait de s’excuser devant elle. Azéline arriva enfin devant son dortoir. La porte était fermée.



Posant sa main sur la poignée de la porte, elle rentra en claquant la porte derrière elle. Le chocolat qui lui était tombé ou plutôt lui avait été renversé. Azéline visait son lit et lança son sac dessus. Le chaton de une de ses camarade poussa un miaulement de mécontentement et Azéline poussa un juron de renvoie. Non mais c’était pas un chat qui allait faire la loi. Elle enleva son tee-short et enfila un chemisier qu’elle ferma. Venant s’asseoir sur le rebord de la fenêtre, elle regardait dehors, les élèves plus ou moins éxités par les cours qui se défoulaient. Certains élèves jouait à ma balle , d’autre étudiaient, certaines papotaient ou gloussaient devant les garçons enfin toutes sortes d’activités que la Serpentarde n’irait certes pas faire en compagnie de ses derniers. Elle réfléchissait quand elle entendit quelque chose casser. Azéline tourna la tête pour regarder ce que sa pourrait bien être. Un vase par terre , des fleurs étalées.



Azéline leva la tête au plafond et regarda le petit chat se balancer de long en large sur le lustre. S’en était trop. Vraiment TROP. Azéline se leva et donna un petit coup de sa main gauche dans l’arrière train du chat qui parti comme une fusée de la chambre. Elle regarda les fleurs étaient étalées par terre mais cette dernière ne se pencha pas pour les récupéré. Azéline prit son sac qu’elle vida et embarqua avec elle une grande serviette, puis une plus petite et quelques produits utile pour une bonne toilette. Regardant la grande horloge, elle remarqua que certainement la plus par des élèves étaient maintenant partis dans la grande salle pour manger. Azéline quand a elle n’avait pas du tout envie de manger. Elle avait le ventre plein du midi et son ventre ne criait pas famine. Traversant le grand couloir, elle évitait les endroits les plus risqués malgré que rares était les risques d’être vu a cet heure ci du dîné. Elle arriva devant de multiples porte et choisira de prendre la porte 3. Qu’était-ce ?



Les salles de bains. Azéline poussa la porte doucement et pénétra dans la pièce. Une grande salle de bain sobre mais très sympathique. Les tons étaient plutôt tournés dans les tons noirs et blancs voir un peu de bordeaux sur les quelques revers de rideaux. Elle referma bien la porte derrière elle et fit couler l’eau chaude dans la baignoire. Les cheveux accrocher par un crayon, Azéline et la cape sur le dos, elle se regarda dans la grande glace qui s’offrait à elle. Son reflet était collé au mur et Azéline s’observa quelques minutes. Elle décida a poser son sac et à commencer à se déshabiller. Déboutonnant sa cape, elle la plia correctement et la jeta sur son sac. La vapeur d’eau donnait une chaleur à la pièce se qui était fort agréable quand on était a moitié dévêtit. Un petit soupire s’échappa de sa bouche. Enlevant son pantalon ainsi que son chemisier, elle défit le crayon doucement de ses cheveux qui tombèrent sur son dos. Un léger sourire s’afficha sur ses lèvres.



Azéline eut un frisson qui lui parcoura le dos. En sous vêtements, elle sortie de son sac ses produits ou du moins juste les produits avec lesquels elle se servirait par la suite. Sortant la grande serviette verte, il y avait marqué sur le bas son prénom « Azéline » en argent. Venant la poser sur un petit fauteuil à l’entrée du bain, elle s’empressa d’éteindre l’eau qui allait quasiment déborder de la grande masse en céramique positionnée au milieux de la pièce assez vaste. Revenant ce regarder devant la glace, elle enleva avec l’eau le maquillage qu’elle avait et resta de nouveau quelques instants à se regarder. Les yeux fixer dans son propre, regard elle pensait a X-choses peut être pas intéressantes comme peut être. Venant entendre un bruit, elle se rabaissa et se remouilla le visage. Quand elle se releva elle aperçut dans le miroir une ombre masculine. Elle en était quasiment certaine. Un petit sourire malin aux lèvres, elle rebaissa le regard pour fermer les robinets et dis à la personne présente d’une voix simplement neutre et franche :


« Qu’est-ce que tu fais ici ?»


Demanda-t-elle en venant remonter son regard dans le miroir. Le crayon posé sur le rebord du lavabo, elle le reprit et le remit dans ses cheveux. Quelques secondes pendant qu’elle raccrochait ses cheveux blonds crème, Azéline réalisa qu’elle s’exposait au jeune homme une tenue assez légère qui était simplement ses sous vêtement marrons avec un nœud rose [ XD j’aime ses trucs la xD ]. Elle ne se sentit pas gênée et continua de coincer les quelques mèches avec le crayons attendant une simple réponse venant de ce dernier. Cependant elle ne semblait pas le connaître …



[ Voilou Prosperounet = P ]


Dernière édition par le Mer 19 Sep 2007 - 21:55, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMer 19 Sep 2007 - 7:10

Ah quelle merveilleuse journée ! Les cours étaient recommencés depuis déjà quelques temps et il n'y avait rien de mieux qu'une journée d'études pour remonter le moral de Prosper. Il terminait sa journée en histoire de la magie et il était si absorbé par les bavardages incessants du professeur Binns que par deux fois, lorsque son voisin s'adressa à lui, il n'entendit que de vagues paroles qui n'attirèrent même pas son attention. Le fantôme flottait de gauche à droite, récitant d'une voix monocorde une tonne de dates que le jeune Serdaigle notait sans exception. La plupart des dates concernaient la mort et la naissance de certaines personnes, le début d'évènements marquants, etc. Il retrempa le bout de sa plume dans l'encre avant de se remettre à écrire vivement, sans même prendre une petite pause. Après tout, le professeur n'en prenait pas lui ! Il continuait de parler et de parler, et l'adolescent ne voulait surtout rien oublier ! Tout était important. Il nota soudainement une date, posa sa plume et leva la main.

« Professeur ? Est-ce en 1912 qu'est né Derwent Shimpling ? »

Il s'en voulait de ne pas l'avoir retenu et hésitait maintenant entre 1912 et 1913. Un hochement de tête de la part de l'enseignant suffit à le rassurer et il se remit à écrire. Il n'avait pas beaucoup travaillé sur l'histoire de la magie durant l'été. Heureusement, c'était une matière qu'il réussissait bien puisqu'elle ne consistait qu'à apprendre par-coeur des dates et des noms. Rien de plus facile que de savoir en quelle année était née Jocunda Sykes, la première personne à traverser l'Atlantique sur un balai ou alors quand avait eu lieu l'incident d'Ilfracombe. Il s'agissait de choses basiques, des évènements simples à se rappeler. Pour lui en tout cas. Après avoir noté la mort d'Oswald Beamish, le Serdaigle s'autorisa quelques instants de pause. De toute manière, le professeur Binns semblait s'éterniser sur le récit d'un quelconque évènement dont il n'avait même pas nommé la date...Pas très pratique pour les élèves qui voulaient noté. C'était révoltant, peut-être que des questions porteraient sur le sujet et il ne pourrait pas vérifier ses notes juste parce que le fantôme oubliait de dire la date !

Avant même que le jeune homme ne puisse demander quoi que ce soit, la cloche sonna la fin du cours. Prosper, la mine déconfite, resta quelques minutes à fixer son parchemin, sans bouger. Et ses notes ? Ses précieuses notes incomplètes ! Qu'allait-il faire si quelqu'un lui demandait de l'aide ! Il ne se rappelait même pas de quoi le professeur avait parlé. Maintenant il allait passer pour l'idiot de service ! Il rangea ses affaires dans son sac, de manière lasse, se leva finalement et sortit le dernier. Dans le couloir, tout le monde s'agitait : pourquoi est-ce que la fin des cours réjouissait tant les élèves ? D'un pas traînant, l'adolescent prit la direction de la tour des Serdaigles, jetant des regards réprobateurs aux plus jeunes qui ne faisaient pas attention où ils mettaient leurs pieds. C'est au bout d'une dizaine de minutes qu'il put enfin atteindre sa salle commune, où il ne resta pas. Non, il n'avait pas envie de rester ici, sans rien faire. Il était encore furieux de ne pas avoir pu noter les dernières paroles de l'enseignant.

Il ramassa quelques livres qu'il mit dans son sac puis quitta la tour pour aller se balader, sans but précis. Il avait avec lui suffisament de livres pour l'occuper jusqu'à l'heure où il devrait retourner dans sa salle commune, c'était déjà ça. Maintenant, il n'avait plus qu'à se trouver un endroit calme pour faire la lecture et pourquoi pas, une pièce qu'il n'avait encore jamais visité. Prosper parcourut longuement les couloirs et s'arrêta un moment dans la Grande Salle pour dîner. Il alla s'installer à la table de Serdaigle, près d'un groupe de filles qui parlaient du bal. C'était un sujet d'actualité pour le moment et heureusement, elles étaient si absorbées par leur conversation qu'elles ne portèrent même pas attention au jeune homme qui mangeait en silence, lisant un chapitre quelconque de son manuel de potions. Il se dépêcha de terminer parce que la discussion sur les modèles de robes était infiniment ennuyeuse et qu'il était loin de vouloir en apprendre plus sur leurs robes.

Le Serdaigle quitta donc ses camarades sans un seul mot, se dirigeant vers l'étage supérieure. Comme la plupart des élèves étaient dans la Grande Salle, rares étaient ceux qui parcouraient les couloirs et ceux-ci étaient donc plus ou moins déserts, laissant enfin un peu de calme à l'adolescent qui avait une légère migraine. Les nouveaux élèves étaient turbulents ; les premières semaines de cours étaient toujours dures parce que les premières années apprenaient à connaître Poudlard et ceux qui étaient nés de moldus à connaître l'univers de la magie. Il y avait aussi les élèves plus anciens mais qui étaient aussi gamins que les plus jeunes ; les élèves les plus pathétiques selon lui. Chaque fois qu'il les voyait s'énerver, Prosper avait envie de leur dire de mûrir un peu. La maturité n'était pas donnée à tout le monde...Enfin, surtout pas à eux. Il semblait y avoir des élèves plus matures dans chaque maison, heureusement, mais les premières années et deuxièmes années étaient généralement encore au stade de l'enfance.

Alors qu'il réfléchissait à la gaminerie dont faisait preuve les plus jeunes, on le bouscula. Un troisième année accompagnée d'une amie -ou plus vraisemblablement sa petite amie mais ne demandez pas à Prosper de faire un tel lien- venait de le percuter et repartit en riant, sans même une excuse, main dans la main avec sa compagne. Le Serdaigle se tourna pour les regarde s'éloigner.


« Et vous ne vous excusez même pas ?! Quels idiots... »

Il soupira et reprit son chemin en fulminant contre ce couple d'écervelés qui ne regardait pas où leurs pieds les menaient. L'amour rendait aveugle, disait-on. Mais ne demandez pas à cet adolescent d'envisager une telle chose surtout. L'amour et puis quoi encore ! Ils n'étaient pas à l'école pour trouver l'amour, nom d'un Malagrif tacheté ! Les cours étaient bien plus importants. Ils se devaient d'étudier et de réussir sinon pourquoi venir ici ? Non mais s'ils voulaient transformer Poudlard en agence de rencontre, ils faudraient qu'ils se débarrassent de lui avant ! Pas question de laisser ces jeunes en manque d'amour ignorer les études ! De plus, il ne voyait pas trop ce que tous les garçons trouvaient aux filles. Certes, elles étaient belles, mais il ne fallait pas laisser les cours de côté pour elles tout de même.

Le couloir dans lequel il se trouvait était vide. Seuls les tableaux chuchotaient entre eux ; certains regardèrent Prosper passer comme s'il était un intrus. Le jeune homme reconnaissait cet endroit pour y être déjà venu, mais il ne se rappelait pas ce qu'il y avait là. Il poussa donc une porte au hasard et tomba sur les salles de bains. Tout semblait être normal : le bain rempli d'eau, l'ambiance réconfortante de la pièce, les couleurs qui n'avaient pas changé, une fille en sous-vête- MERLIN ! Une fille en sous-vêtements !! Là, devant lui, une fille qui ne portait plus grand chose se préparait à prendre un bain et, manque de chance, elle venait de l'apercevoir. Le jeune homme hésita entre s'enfuir en courant ou s'expliquer calmement. Il aurait bien choisi le premier, mais l'embarras l'avait paralysé et il ne s'imaginait même pas tenter de parler. De toute sa scolarité, c'était bien la première fois qu'il tombait sur une fille à moitié nue dans les salles de bain.
« Qu’est-ce que tu fais ici ? », demanda la demoiselle, tout en continuant de vaquer à ses occupations.

Prosper détacha difficilement les yeux de l'adolescente et leva le regard vers le plafond.


« Euh...Je...Excuse-moi...Je ne voulais pas...Enfin...Je ne pensais pas tomber sur...Ce n'était pas... » Il inspira calmement. « Je suis désolé, ce n'était pas voulu. »

Il prit plusieurs grandes respirations, les yeux fixant toujours le plafond. Si au moins il était tombé sur une première, voir deuxième année ! Celles-là étaient hystériques, mais ç'aurait été moins gênant. Après un long hurlement digne d'une banshee qui agonise, plusieurs dizaines de « Va t'en ! Va t'en ! Va t'en ! Va t'en ! Va t'en ! » et dix minutes de recherches pour trouver de quoi se couvrir, il aurait pu s'excuser de son intrusion et partir sans plus de cérémonie. Mais l'adolescent se trouvait devant une jeune fille qui devait avoir son âge, dont le corps n'était évidemment pas celui d'une première année et qui avait une attitude loin d'être hystérique. Entre eux deux, il était certainement le plus gêné par la situation. Prosper reposa un instant les yeux sur elle. Elle était blonde et tout à fait charmante, comme beaucoup de filles à Poudlard. Dans le reflet du miroir, il peut apercevoir son visage et ses traits lui parurent familiers, il l'avait déjà croisé. Cependant, il passait tellement inaperçu qu'elle devait ne l'avoir jamais remarqué.

Il nota avec une certaine incompréhension qu'elle souriait, d'une manière qu'il aurait qualifié de purement Serpentarde s'il avait pu savoir à quelle maison était la demoiselle. Pendant un moment règna le doute dans son esprit et il recula d'un pas pour voir s'il n'y avait pas un écriteau ou un pictogramme sur la porte qui lui indiquerait que cette fille était un fantôme ou une créature particulièrement séduisante capable d'hypnotiser ses proies avant de les dévorer. Bien entendu, ses recherches furent vaines et il ne put que se résoudre au fait qu'elle était soit une étudiante et qu'il se trouvait dans la situation la plus embarrassante de sa vie ; soit elle était un produit de son imagination débordante. Non seulement il avait cessé de regarder le plafond mais il détaillait franchement sa compagne. De nouveau horriblement gêné, il releva les yeux.


*Fichues pensées primitives !*

Prosper se frappa le front d'une main, aux prises avec sa propre conscience qui lui reprochait de trouver les autres garçons pathétiques alors que son cerveau marchait exactement de la même manière. Le Serdaigle se racla la gorge.

« Hum, hum. Sur...Sur ce, je...je vais te lai-laisser profiter de ton...bain. », annonça-t-il en regardant au-dessus de lui, la voix tremblante.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMer 19 Sep 2007 - 21:53

Les mains trifouillant dans ses cheveux le crayon, Azéline avait deux grandes mèches qui tombaient devant son visage. Malgré cela elle pouvait percevoir le jeune homme qui se reflétait dans le miroir en décalé. Elle plaça doucement les deux mèches derrière ses oreilles et baissa le regard sur la vasque de lavabo ancien. De l’eau coulait dans cette dernière et Azéline trempa ses mains dedans. La tête baissée et un regard plongé dans l’eau coulant, elle se mouilla les mains et les passa d’un geste doux sur son visage. Elle aurait put en profiter de prendre son bain pour se mouiller le visage mais non elle c’était complètement compliqué la vie et avait voulut en plus de se mouiller dans son bain se nettoyer en quelques sorte le visage. Vraiment bizarre comme fille. Peut être bizarre pour certain(e)s mais pour beaucoup d’autres personnes, Azéline était une jeune femme de Serpentard connu pour son arrogance, sa poigne et son fort caractère. Voilà en quelques mots ce qui faisait parler d’elle.

Pendant quelques minutes elle réfléchira à de multiples hypothèses qui pourraient se passer entre le Serdaigle et la Serpentarde. Ou non , au début elle détailla plutôt leur points communs et différences. Par exemple il était habiller elle non ou du moins peut, il était a Serdaigle comme l’indiquait le blason argent et bleu qui se reflétait dans le miroir et elle a Serpentard c’est a dire un blason argent et vert, C’était un gars qui semblait timide, c’était une fille arrogante. Comme on pouvait le constater il y avait décidément quelques différences normal mais d’autres qui auraient put être évitées. Un petit regard en coin d’œil elle s’essuya son visage en tapotant légèrement contre sa serviette. Un léger soupire se fit entendre. La jeune femme se retourna et appuya sur le bouton pour faire écouler l’eau du lavabo. Un petit sourire en coin de lèvres elle observa le jeune et en conclura qu’ils devaient être de la même année.

C’était bizarre de se retrouver en face d’une personne inconnue dans une salle de bain a moitié vêtit et en plus de cela un garçon. Azéline croisa ses bras devant elle en restant appuyée contre la masse froide lui donnant des frissons. Un regard imposant posé sur le jeune Serdaigle, Azéline gardait en coin de lèvres un petit sourire à la fois mélangé avec du sadisisme et d’un petit jeux que semblait jouer cette dernière. Azéline se décolla du meuble et fit quelques pas en avant. Elle se mordit la lèvre inférieur et s’aseilla sur le rebord de la baignoire. L’eau était chaude et elle lâcha un petit sac de perles moussantes dans celle ci. De multiple bulles se dirigèrent directement vers une petite fenêtre qui était entre ouverte. Voilà la source des petits courant d’airs agaçant qui venait lui donner des frissons. Azéline se re-avança de quelques pas quand ce dernier commença a s’excuser. Elle leva les yeux au ciel. Pourquoi tout le monde s’excusait pour si peu. Azéline ne comprenait strictement pas..


« Oh mais tu sais ce n’est pas grave du tout …au contraire. »


Dit-elle avec un petit regard toujours mélangé, confus. Elle savait que sa pourrait mal se terminer mais en observant bien le jeune homme, elle en avait conclu que c’était un jeune homme bourré de culture, intelligent, timide et qui était super gêné. Comment savait-elle tout cela ? Tout simplement a cause des tas de livres qu’il avait avec lui. Qui se serait baladé avec tout cela avec lui ? A sa connaissance pas grand monde. Pour ce qui était de sa timidité et sa gêne il n’avait juste qu’a le regarder sur son expression et son visage qui reflétait totalement ses pensées. Azéline voyant cela, s’avança un peu plus vers lui d’un pas lent en le fixant dans les yeux. Les bras venant se laisser tomber le long de son corps, elle se mit à regarder droit dans les yeux , d’un regard neutre le jeune Serdaigle. Ce dernier détourna vite le regard pour le porter au plafond. Une petite marre d’eau c’était mystérieusement installée par terre, Azéline ne l’ayant pas vu risqua de peu de se gameler.

Venant soupirer a cela, elle avait fait attention d’être très discrète pour éviter, les réflexions a la noix du jeune homme malgré que a première vu il ne semblait pas trop du genre à ce moquer des personnes en difficultés mais qui sais …Elle ne le connaissait pas, il ne la connaissait pas , ils ne se connaissaient pas ! Le jeune femme s’arrêta quelques instants et s’étira de tout son long. Pendant un court moment, elle décida de se rasseoir sur le rebord de la baignoire pour laisser la liberté au jeune de s’exprimé que se soit en mal ou en bien. Pendant de longues minutes, elle attendit continuant de le regarder avec se regard et son petit sourire accompagnateur révélant une part de malice et de provocation. Azéline avait toujours eut ce petit air de nature, elle avait la provocation dans le sang mais savait se stopper quand il le fallait. Venant à s’apprêter de se lever, elle regarda Prosper qui regardait le plafond en lui dictant une phrase très morcelée. La jeune femme sourira a ces paroles.

La jeune Serpentarde, se mit debout prenant conscience que si elle le laissait partir, elle allait fortement s’ennuyer dans la grande salle de bain. Elle se leva et passa juste devant lui venant fermer la porte doucement, elle avait chaud ou du moins, ne frisonnait plus comme elle le faisait au début. Sa peau avait prit la températurede la pièce qui se disait être à bonne température pour prendre un bain. La jeune femme ne quittant pas des yeux Prosper ferma la porte et tourna la clef. ON entendit un « clak » résonner dans la serrure et Azéline prit la clef qu’elle coinça au niveau de l’intérieur de son soutient gorge. Elle posa ses deux mains sur les murs qui entouraient la porte et s’appuya contre cette dernière regardant Prosper. IL était donc coincé sauf si il lui venait a l’idée de venir récupéré la clef dans le sous vêtement supérieur de la jeune femme. Le regard malin poser sur lui, elle «était posée contre la porte assez comment dire … dans une positon assez gênante et provocante. Après tout autant tout faire de A à Z et ne pas brûler d’étapes.

Azéline lui sourira et se redressa légèrement et s’avança doucement vers Prosper. Venant marcher, les pieds bien encrés dans le sol, elle avait une mèche qui tomba sur le côté gauche de son visage. Elle ne fit rien pour la repousser et la laissa ici sans broncher. Azéline avançait quand elle donna un petit coup de tête. LE crayon glissa et tomba par terre. Un petit bruit résonnant se fit entendre mais Azéline ne détourna pas le regard du pauvre garçon planté au milieux sous les ‘commandes « de la jeune Serpentarde. Les cheveux maintenant défais, elle continua de marcher et arriva juste a quelques centimètres de lui. Pendant quelques secondes, elle se contenta de le fixer et lui adresser un petit sourire. Décidément, elle aimait faire chiez son monde. Ce petit jeux avançait et Azéline continuait d’avancer encore un peu. Venant du bout de son index droit toucher le torse du jeune homme ,elle fit quelques ronds sur son torse et se rapprocha de lui. Son visage s’approchant de son oreille.

« Alors ? Tu t’es bien rincé l’œil ? »


Dit-elle avant de se reculer un petit peu et arquer un sourcil rempli de malice avec se petit sourire a moitié sadique et malin au bout des lèvres. Elle se trouvait au niveau de son visage qu’elle resta a fixer pendant quelques secondes mais revint à sa place normal. Qu’elle provocatrice de première classe, qu’elle chieuse, qu’elle … Plus de qu’elle ne tenait simplement Azéline. Elle était du genre de fille très franche et a dire tout ce qu’elle pensait. Quand elle voulait quelque chose elle l’obtenait quoi qu’il arrive même si elle devait aborder les méthodes barbares. Azéline gardant son index pointer sur le haut du torse de Prosper l’enleva et croisa ses bras devant elle. Venant se mettre a marcher vers la baignoire, elle s’aseilla sur le bord de nouveau ou elle était quelques temps auparavant et laissa glisser sa main sur la surface de l’eau avec un petit regard imposant posé sur lui. Azéline était fière d’elle car elle sentait qu’il serait très mal a l’aise par la suite. Azéline le fixa d’e ses jolis yeux verts clairs sans rien ajouter juste un petit sourire en bouche.


[ j’ai pris du plaisir à le faire XD En espérant que la réponse te convienne et te plaise surtout XD ]
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyJeu 20 Sep 2007 - 5:12

Il fallait qu'il quitte cette pièce. Il devait partir avant que la situation ne devienne plus...embarrassante. Il avait une tonne de livres à lire pour s'occuper et il se faisait un devoir d'être de retour à la tour de Serdaigle avant le couvre-feu. Son regard avait quitté le plafond, une nouvelle fois, et il avait beau se réprimander : sa conscience n'était pas en mesure de contrôler son cerveau. Ou du moins ses nerfs oculaires. Et quand l'être et le corps sont en conflit, malheureusement c'est le corps qui gagne. Ses yeux détaillaient donc la belle Serpentarde qui ne semblait pas du tout gênée malgré sa tenue. Les mèches de cheveux blonds qu'elle tentait de retenir à l'aide d'un crayon tombaient parfois devant son visage. Prosper pensa un instant à l'aider à les replacer mais se réprimanda doublement. Ils ne se connaissaient pas, il n'allait pas l'aider à se coiffer tout de même ! De toute façon, il refusait de s'approcher d'elle, c'était trop...risqué.

Elle continuait de faire ce qu'elle avait à faire, indifférente à sa présence, jusqu'à ce qu'elle se tourne vers lui, son regard et son sourire troublant le Serdaigle au plus haut point. Pas qu'il était idiot, mais il n'avait jamais vu de fille dans une tenue pareille et ne comprenait absolument pas pourquoi elle avait une telle attitude. Est-ce que toutes les filles de sa maison étaient comme elle ? Si c'était le cas, il enviait les garçons de Serpentard. Oui, elle ne pouvait être que de Serpentard. Il lui semblait l'avoir déjà aperçu avec d'autres filles de cette maison. La verte et argent s'était assise sur le rebord de la baignoire, comme si elle se fichait éperdûment de savoir que Prosper était là. Suite aux excuses d'ailleurs, elle lui assura que ce n'était pas grave du tout. Au contraire...Au contraire ? Qu'est-ce qu'elle entendait pas 'au contraire' ? Qu'elle était heureuse qu'il soit là ? Non, ce n'était pas possible. C'était même tout à fait invraisemblable comme hypothèse. Mais le sens de ces deux simples mots restait un mystère pour le pauvre Serdaigle.

Il baissa les yeux vers l'adolescente et déglutit lorsqu'il la vit s'approcher, le regard plongé dans le sien. Sans attendre, Prosper reporta son attention sur le plafond. Rester calme. Il devait rester calme sinon la situation risquait de dégénérer. Certes n'importe quel autre garçon aurait profité mais le jeune homme n'était pas de ceux-là. La Serpentarde retourna s'asseoir, donnant au bleu et bronze l'occasion de se calmer un peu avant de lui annoncer qu'il allait partir. Or, il semblait que sa compagne n'en avait pas décidé ainsi. Elle passa devant lui et referma doucement la porte. Prosper, étonné, la suivit des yeux et fit de son mieux pour se coller contre le mur, afin d'éviter qu'elle ne l'effleure. Le bruit que fit la serrure lorsqu'elle se verrouilla fit monter l'angoisse du jeune homme qui nota avec embarras la trajectoire de la clef. Son regard resta fixé un instant sur l'endroit où la clef avait disparu puis -lorsqu'il se rendit compte de l'indécence de son regard- il releva les yeux vers le visage de la jeune fille.

Il se força à soutenir son regard sans broncher, se répétant de rester calme. Il ne devait pas paniqué. S'il paniquait, cela tournerait au vinaigre. Et il valait mieux transformer l'eau en vin plutôt qu'en vinaigre. Enfin. La demoiselle s'approcha alors de lui et cette fois, il aurait dû traverser le mur pour l'éviter. Elle donna un petit coup de tête dont Prosper ne comprit tout d'abord pas l'utilité, mais le bruit du crayon qui tomba résonna dans son esprit. Il regarda les cheveux blonds de la Serpentarde se libèrer et tomber sur ses épaules nues ; Merlin...Il n'osait même pas inviter une fille au bal et voilà qu'il se retrouvait à une distance loin d'être raisonnable d'une fille en sous-vêtements. Beaucoup de garçons auraient voulu être à sa place, assurément, et il leur aurait cèdé sans hésitation. Azéline se tenait maintenant si près de lui qu'il se serait évanoui -heureusement, l'adolescent avait tout de même un minimum de 'self-control'. S'il avait été moins timide, il aurait sûrement souri à cette charmante verte et argent, mais il était actuellement dans l'incapacité de réagir ainsi.

La jeune fille posa le bout de son index sur son torse et se rapprocha encore. S'il avait été comme la majorité des garçons de cette école, il aurait craqué et l'aurait embrassé. D'ailleurs, il brûlait d'envie de le faire, mais la timidité le clouait sur place. Le visage d'Azéline s'approcha dangereusement et durant une fraction de seconde, il crut que c'est elle qui ferait le premier pas. Heureusement -ou malheureusement selon le point de vue- ce ne fut pas le cas.


« Alors ? Tu t'es bien rincé l'oeil ? », demanda-t-elle avant de se reculer un peu.

Le Serdaigle ne rougissait jamais, mais cette fois, il sentit le rouge lui monter aux joues. Ce qu'elle était...cruelle...Mesquine et malicieuse ; est-ce que toutes les filles se devaient d'être aussi...sadiques ? Elle croisa les bras un moment, puis retourna lentement vers la baignoire et s'installa de nouveau sur le rebord avant de toucher la surface de l'eau, ses yeux fixés sur lui. Qu'attendait-elle ? Une réaction ? Mentalement, Prosper calcula ses options. Soit il la déshabillait sur place, lui piquait la clé et fuyait comme un lâche, soit il cédait à la tentation, soit il jouait le jeu de l'indifférence. Il prit une grande inspiration : ce n'était pas une fille qui allait avoir raison de lui ! Il avait passé son enfance entouré de femmes. Bon, bien entendu, elles faisaient toutes parties de sa famille, mais c'était un début. Sa tante avait un caractère comparable à celui de la Serpentarde, excepté que Roselle ne le provoquait pas de cette manière, elle. Tout ce qu'il avait à faire, c'était de prétendre que la situation ne le dérangeait pas. Ou plutôt 'ne le dérangeait plus'.

Il leva un instant les yeux vers le plafond, prit une nouvelle inspiration, puis reporta son regard vers Azéline, tentant d'avoir l'air le plus neutre possible. Elle voulait une réaction, parfait. Il n'allait pas la lui donner. Il resterait maître de lui-même jusqu'à ce qu'elle accepte de lui rendre la clef. Oh non, pas question qu'il la récupère par ses propres moyens ! Il était trop respectueux envers les femmes pour chercher dans son soutient-gorge comme s'il fouillait un sac. Prosper déposa son sac rempli de livres au sol ; c'était déjà une première étape, se débarrasser de la seule chose qui lui apportait un peu de courage. Se rendant compte à quel point l'atmosphère s'était réchauffé, il dénoua nonchalament sa cravate aux couleurs de sa maison et détacha les deux premiers boutons de sa chemise avant de s'avancer de quelques pas. Il s'arrêta devant le miroir pour replaçer ses cheveux, puis rejoignit Azéline. Il inspira calmement pour s'assurer de ne pas bégayer, puis dit sur un ton indifférent :


« C'est que c'est pas courant de trouver une fille en sous-vêtements dans les salles de bain, enfin, surtout une fille en sous-vêtements qui ne fait pas une crise d'hystérie, tu vois...Parce qu'en général, les filles sont hystériques lorsqu'on les surprend dans une aussi...petite tenue. »

Prosper fit un bref signe du menton en direction d'Azéline, comme s'il voulait lui faire remarquer qu'elle ne portait pas grand chose.

« Mais c'est reposant pour une fois de tomber sur quelqu'un qui ne pousse pas un cri digne d'une créature à l'agonie... »

Bon, la vérité était qu'il n'était jamais tombé sur une fille en sous-vêtements mis à part elle, mais elle ne le savait pas. Donc ce qu'il disait tenait la route. Maintenant, il fallait qu'il trouve le moyen d'engager la conversation sur un sujet neutre, qui lui changerait les idées et démontrerait qu'il savait être sûr de lui. Par contre, la confiance et l'assurance était loin de faire partie de son être et il allait devoir faire semblant ou trouver un moyen d'être confiant. Il allait devoir trouver un sujet de conversation qui ne le mettrait pas dans l'embarras. Et pas question de parler de cours, il était encore furieux de...De quoi déjà ? Il avait oublié la raison de son mécontentement. Ça ne devait pas être bien important dans ce cas. Tiens, pourquoi ne pas faire les présentations ?

« Pendant que j'y pense, je suis Prosper Wagner, sixième année à Serdaigle...et toi ? »

Il avait hésité entre 'vous' et 'toi'. Mais cela lui paraissait ridicule d'utiliser 'vous' alors que cette fille était à moitié nue et qu'elle agissait comme...Enfin. Il devait rester poli. Bien qu'elle était jolie et qu'elle possédait beaucoup de charme, elle n'agissait pas de façon très convenable, voilà tout. Ce n'était pas très digne d'une adolescente comme elle et- mais qu'est-ce qu'il racontait au juste ? Le Serdaigle jeta un rapide coup d'oeil au soutient-gorge d'Azéline, comme s'il cherchait comment il allait récupérer la clé. Oh mais bien sûr ! Quel idiot ! Il était sorcier ou non ? Un simple 'Accio clé' lui suffirait à ramener l'objet en question ! Et encore plus simple, un 'Alohomora' sur la serrure de la porte et il serait sorti d'affaires ! Mais maintenant que le jeu était commencé, pourquoi l'interrompre ? Aussi Prosper ne se leva même pas pour aller chercher sa baguette et toucha la surface de l'eau du bout des doigts, feignant d'être pensif.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyJeu 20 Sep 2007 - 8:59

Azéline avait les fesses posées sur le rebord de la baignoire. Pleine d’eau chaude et enviante, elle hésita quelques moments à se glisser dans son bain. Après quelques minutes de réflexions, elle conclura qu’elle ne serais de loin polie si elle profitait elle de son bain et pas lui. Après tout pourquoi il devait rester tout sec ? Azéline eut une idée ou plutôt « envie » qui lui passa à l’esprit. Continuant d’effleurer la surface de l’eau avec sa main, elle gardait un petit regard posé sur Prosper qui était toujours collé au mur. Un petit sourire s’afficha sur ses lèvres et Azéline se mordit légèrement la joue. Elle pinça tellement fort qu’elle sursauta intérieurement et cessa cette action. Le voyant déboutonner le haut de sa chemise et desserrer sa cravate, elle lui adressa de nouveau un petit sourire malin. Qu’avait-elle derrière la tête bon sang ? Elle ne le dirait pas mais le mettrait en action. Azéline lâcha un petit soupire et se pencha un peu plus au dessus de l’eau dégageant une source de chaleur agréable.

Ce dernier vint s’avancer de quelques pas et Azéline ne le quitta pas des yeux. Qui aurait cru un jours voir la jeune femme dans cette situation, si avec un jeune homme qu’elle ne connaissait pas. Ben personnes. Fallait avouer que c’était la première fois que Azéline ce retrouvait en sous vêtements devant un homme depuis qu’elle était a Poudlard. Certainement bizarre pour elle mais , malgré les apparences, elle était loin d’être la petite fille facile qui allumait tous les garçons de l’école. Au contraire, elle restait discrète depuis qu’elle avait eut son histoire qui avait durée mais ne comprenant pas du jours au lendemain qu’il l’est laissée comme ceci en plan. Azéline avait été doublement blesser mais il fallait qu’elle tourne la page cependant elle ne pourrait jamais l’oublier. Bref passons… Venant regarder Prosper s’asseoir a côté d’elle sur la baignoire, elle lui adressa un petit sourire et continua de faire caresser la surface de l’eau qui était aussi caresser par la main du jeune homme qui s’amusait de même.

La jeune Serpentarde l’observa pensif. Il mériterait bien de passer a l’eau mais non pas tout de suite. Elle lui réservait cela pour plus tard. Gardant ce petit sourire aux lèvres , elle passa une main dans ses cheveux pour venir les mètres sur son côté gauche. Voyant son reflet dans l’eau elle hésita quelques instants, a donner un petit coup de main pour que cela disparaisse mais c’était comment dire … Bizarre de se voir dans l’eau. Enfin bon n’allez surtout pas comprendre la jeune Evans. Venant à se relever doucement du rebord elle se dirigea vers son sac et déposa discrètement la clef dans une des poches de celui ci. Prenant sa serviette, qu’elle avait posé sur le tabouret, elle la posa au pied de la masse remplie d’eau et regarda Prosper qui était toujours dans ses pensées à regarder l’eau. Ce dernier commença a se présenter. Azéline ne dit rien à cela et l’écouta s’énumérer. « Pendant que j'y pense, je suis Prosper Wagner, sixième année à Serdaigle...et toi ? ». Elle sourira.

« Evans… Azéline Evans… 6ème année … Serpentard »

Dit-elle doucement faisant exprès de faire durer le suspense de son identité. Elle se raseilla doucement sur le côté et passa une main dans l’eau. Elle était encore chaude et Azéline avait envie de se glisser dedans. Bien sur elle ne laisserait pas le Serdaigle tout seul, tout sec hors de l’eau voyons ! L’eau n’était pas forcément profonde ce qui serait pas plus mal non pour couler Prosper mais plutôt pour le tremper de haut en bas. Bien sur elle n’allait pas le couler. Azéline regarda Prosper et se leva doucement elle se positionna juste devant lui gardant un regard plongé dans le sien et d’un geste simplement rapide et doux, elle poussa le Serdaigle dans la baignoire d’eau chaude. Ah enfin elle pourrait profiter de son bain. J’ai bien dit de son bain pas de Prosper. Elle le regarda tout habiller d’eau . Il devait certainement ce demander ce qui se passait et Azéline se pencha au dessus de la baignoire pendant quelques instants et lui demanda..

« Tu vas bien partager la baignoire Prosper »

Dit-elle avec un grand sourire sadique mais cela n’empêchait que la malice était toujours dans ses fait et gestes. Venant entrer une jambes dans l’eau puis l’autre, Azéline resta debout cherchant dans sa petite tête ou es ce qu’elle pourrait bien ce caser. Pendant de longues minutes, elle hésita à se caler sur Prosper ou bien, rester debout mais encore peut être s’asseoir sur le côté. La jeune Serpentarde resta pendant de longues minutes à observer le Serdaigle qui était maintenant mouillé de haut en bas. Que c’était dommage que cette baignoire sois si petite. Elle se glissa doucement dans l’eau et s’avança vers Prosper sans l’écraser ou du moins dans que ses genoux ou ses mains ne lui face mal. Pendant quelques secondes elle se retrouva au dessus de lui avec un sourire plus que malicieux. Elle agrippa la cravate de ce dernier et le tira doucement vers elle. Venant avancer son visage vers le sien, elle dévira une nouvelle fois vers son oreille pour lui glisser quelques mots .

« C’était trop tentant … Surtout ne m’excuse pas »

Il croirait peut être qu’elle s’excuserait de ses faits et gestes mais il pouvait bien rêver. Azéline lâcha sa cravate doucement et remonta son visage les deux prunelles vertes claires plongées dans le regard de ce dernier. Bon sang que c’était horrible de faire face a une Serpentarde du genre, pensait-elle. Elle savait elle même que ce qu’elle faisait était vraiment cruelle pour les autres mais elle aimait sa. Oui elle aimait être une vrai petite peste, malgré que la elle ne l’était pas. Juste son côté provocatrice et joueuse ressortait. Sa aurait été un autres, sa n’aurait rien changé pour autant elle aurait jouer. Cependant, depuis qu’elle était assez proche dans cette masse, d’eau, elle n’osait plus trop reculer. A quoi bon de toute manière ? Si elle devait bouger, elle serait dans l’obligation de sortire de l’eau car elle n’aurait guère put se mettre bien assise dans l’eau. Elle était maintenant elle aussi mouillée et hésitait fortement à se bouger.

Azéline ayant toujours son regard plongé dans celui de Prosper avança doucement et dangereusement son visage à nouveau du sien. Qu’allait-elle faire ? Oh rien du tout , juste l’agacer un petit peu si cela marchait. Elle se pinça les lèvres et passa sa langue machinalement dessus mais finira par se redresser entièrement. Azéline se redressa sur ses genoux en bout de baignoire et observa Prosper. Le soleil se couchait a l’horizon, le vent devenait de plus en plus frais au fur et à mesure du temps et Azéline allait certainement grelotter dans pas longtemps. Prosper lui était au chaud ma foi, dans l’eau tout habillé, malgré que les vêtements n’étaient peut être pas source de chaleur. Elle resta à genoux au bout de la baignoire repassant ses mèches blondes sur son côté gauche. Un frisson lui parcoura le dos. Ah non pas si tôt, elle soupira légèrement et trembla une nouvelle fois mais sans pour autant lâcher Prosper du regard… Au contraire …

[ Légèrement plus court désolé = / mais j'avais plus d'idées XD ]
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyVen 21 Sep 2007 - 8:47

C'était la guerre qu'elle voulait, elle l'aurait. C'était maintenant 'Qui craquerait le premier ?'. Prosper n'avait peut-être jamais joué à de tels jeux, mais il avait beaucoup de patience et tant qu'il ne paniquait pas, il pouvait garder le contrôle de lui-même. Et jusqu'à maintenant, il arrivait à feindre l'indifférence. D'accord, son coeur battait à cent milles à l'heure, il n'arrivait plus à aligner deux pensées cohérentes et avait l'impression que l'air de cette pièce était irrespirable tant il faisait chaud, mais en apparence il savait se montrer calme. Ou presque. Il remarqua que sa main touchant la surface de l'eau tremblait et il espéra que la Serpentarde ne l'avait pas remarqué ; le mieux était de ne plus la regarder. S'il gardait les yeux posés sur quelque chose d'autre, comme l'eau du bain par exemple, il arriverait à se calmer et tout irait bien. Après quelques instants, le jeune homme réussit à monter un plan d'action. Petit un : il devait trouver un moyen de 'sympathiser' avec la charmante créature. Petit deux : récupérer la clé par des moyens non-magiques et pacifiques. Petit trois : sortir de cette pièce sans s'être fait une ennemie.

Alors qu'il réfléchissait à son plan, sa compagne se leva et alla chercher sa serviette qu'elle déposa tout près. Avait-elle vraiment l'intention de prendre son bain en sa présence ? Non, elle n'oserait pas tout de même. Si elle avait été sa soeur, peut-être que la situation aurait été tolérable. Même sa cousine peut-être. Mais elle ne faisait pas partie de sa famille et ils ne se connaissaient pas. Il ne savait strictement rien d'elle et il en était de même pour elle. Deux inconnus dans une salle de bain, quel beau tableau. Bref. Pour en revenir à la situation principale -qui était loin d'être un romantique portrait- il valait mieux faire les présentations. Ce que Prosper fit aussitôt, avec le plus grand détachement possible. Il devait continuer de faire comme si de rien n'était tant qu'il lui était possible de le faire.


« Evans...Azéline Evans...Sixième année...Serpentard. », se présenta à son tour sa compagne en revenant s'asseoir à ses côtés.

Malgré son visage angélique, le Serdaigle doutait que ses intentions soient vraiment innocentes. Les Serpentard étaient connus pour leur ruse et celle-là semblait particulièrement maligne. Il garda néanmoins le regard rivé sur l'eau qui reflétait son expression stoïque, du moins jusqu'à ce que la belle vienne se poster devant lui. Il ne put alors s'empêcher de la regarder et, comme hypnotisé, resta accroché à ses prunelles vertes. Mauvais signe. Très mauvais signe même. Cette fille avait quelque chose derrière la tête et quoi que ce soit, il n'allait pas y échapper. L'adolescent la laissa poser ses mains sur lui, s'attendant au pire ou au mieux plutôt, et...PLOUF ! Non, ça jamais il n'aurait pu l'imaginer. N'importe quoi, sauf ça. Maintenant, il n'avait pas le choix d'attendre le couvre-feu pour se glisser dans la salle commune de Serdaigle, sinon il risquait qu'on lui pose des questions. À moins qu'il ne trouve le sortilège approprié pour sècher ses vêtements ? Il sortit la tête de l'eau, sans trop comprendre comment il avait pu être aussi stupide et se laisser avoir par la jeune fille.


« Tu vas bien partager la baignoire Prosper. »

Il leva les yeux vers Azéline qui enjambait le rebord du bain, paralysé par l'étonnement et la gêne. Elle semblait chercher où elle pouvait s'installer ; la baignoire n'était pas très grande, effectivement. Mais elle n'aurait pas à chercher longtemps parce que le bleu et bronze ne comptait pas rester dans cette baignoire. Pourtant, malgré toute la volonté qu'il y mettait, il continuait de fixer la Serpentarde qui finit par s'avancer vers lui, un sourire inquiétant aux lèvres. Dans les instants qui suivirent, le jeune homme dut faire appel à tout le contrôle qu'il gardait encore sur son être. Oh non ! Même si cette fille lui faisait l'effet d'une vélane et était absolument imprévisible, il continuerait d'agir comme si de rien n'était. De nouveau, elle se tenait tout près, trop près pour qu'il puisse réfléchir de façon cohérente. Et au lieu de s'excuser, elle lui disait que cela avait été trop tentant. C'était trop tentant ? Décidément, il ne comprenait pas la psychologie de cette Azéline Evans.

Peu importe. Il fallait qu'il se comporte comme elle. N'avait-il pas décidé de jouer à qui craquerait le premier ? La verte et argent se recula finalement, à genoux au bout de bain. Qu'il ait réussi à résister à ses charmes jusque là était tout un exploit, quoique, pour Prosper, cela n'avait rien d'impressionnant. C'était une fille parmi tant d'autres et il n'agissait jamais de façon stupide. Céder aurait été une réaction stupide. De plus, il semblait avoir un avantage sur elle : elle avait froid. Bien sûr, elle pouvait à son tour feindre l'indifférence, mais elle n'était pas aussi couverte que lui et ne pourrait pas cacher bien longtemps les frissons qui parcouraient son corps. Il était temps de se venger.


« Tu as l'air d'avoir froid...C'est malin...J'aurais pu te passer ma chemise pour te couvrir un peu, hélas elle est complètement trempée. », fit-il en soupirant avant de s'accouder au rebord du bain.

Ah ah ! Frissonne, toi qui m'a poussé dans cette baignoire ! Tu vas regretter d'être tombé sur Prosper Wagner ! Pendant un moment, cette pensée réjouit le garçon. De la voir là, grelottant dans son coin, les yeux fixés sur lui, ce n'était finalement pas si mal. Et allez savoir pourquoi, il se sentait plus confiant et avait arrêté de se sentir oppressé par le regard qu'elle portait sur lui. Il osa même plongé son regard dans le sien, presque sans gêne. Décidément, les Serpentarde avaient un charme qui les distinguaient des autres. Ce n'était pas leur maison en elle-même qui les rendaient si attirantes, mais plutôt les qualités de leur maison. Elles avaient une attitude confiante, elles semblaient toujours sûres d'elle et ne renonçaient pas face aux obstacles. Elles avaient une façon d'être qui ne laissaient pas Prosper indifférent. Par contre, elles étaient aussi -pour la plupart- de véritables pestes et il lui était impossible de les approcher.

S'il réussissait à discuter avec Azéline et à lui faire perdre le contrôle de la situation, il s'en rappelerait toute sa vie. Cependant, il fallait qu'il trouve LE détail qui déstabiliserait sa très chère interlocutrice. Jouer le jeu de l'indifférence l'aidait à garder son calme, mais la Serpentarde ne semblait pas en être contrariée, ni même affectée. Il fallait qu'il trouve autre chose et rapidement avant que la situation n'empire. Il leva un instant les yeux vers le plafond, puis reporta son attention sur sa compagne et lui adressa un bref sourire en coin. Il s'imaginait déjà en train de raconter à ses rares amis cette aventure invraisemblable et la façon dont il s'en était sorti. Car oui, il avait bien l'intention de sortir de cet endroit en parfaite condition et pas en esclave de ses sens. Le Serdaigle jeta un coup d'oeil à la verte et argent, puis releva les yeux vers le plafond. En toute honnêteté, il ne détestait pas agir de le sorte. Au contraire...
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyVen 21 Sep 2007 - 22:36

Azéline était les bras un peu liés devant elle et grelottait un petit peu. La fenêtre n’était pas fermée et Azéline se rendit compte que finalement sa n’aurait pas été une mauvaise idée de la fermer quelques minutes auparavant. Venant continuer de regarder Wagner dans les yeux, elle gardait se petit regard et son sourire fort désagréable certainement. Elle soupira et s’aseilla dans l’eau qui lui montait maintenant jusqu'à sous la poitrine. L’eau touchait juste le dessous de son soutient-gorge et venant claper contre les rebord. Prosper prenait décidément toute la place dans cette baignoire. Mais en y repensant bien que c’était une mauvaise idée d’avoir mit Prosper a l’eau, car de un il prenait toute la place, de deux il semblait se moquer d’elle et de trois qu’est-ce qu’il avait mit de l’eau par dessus les rebords. Azéline se pencha légèrement sur le côté pour regarder l’eau par terre et soupira venant regarder Prosper qui semblait fortement bien installé et surtout qui ne semblait pas avoir froid.

La jeune Serpentarde, regardait Prosper qui la regardait aussi. Elle décroisa ses bras qui étaient devant elle depuis un bon petit bout de temps et commença a jouer un peu avec l’eau. Elle se mit a sourire un peu plus prononcé et regarda Prosper la tête légèrement tourner sur le côté et penchée en avant. Un regard coquin et un sourire l’accompagnant elle retenait parfaitement un petit rire qui mourrait d’envie de sortir. Elle avait de longues mèches blondes qui lui tombaient sur le devant du visage mais ses yeux de chat. Ses yeux verts très clairs transperçaient la blondeur crème de sa chevelure blonde. Azéline changeait plusieurs fois de côtés en quelques secondes mais au bout de quelques minutes, s’arrêta et prit de sa main droite tout ses cheveux et les remonta pour que sa nuque « respire » un peu. Si elle avait les mains froides, sa aurait été un parfait chauffage humain. Prosper vint lui dire une phrase qui laissa indifférente Azéline qui ne changea pas son attitude.

« Hélas oui elle est trempée mais ce n’est pas bien grave … La chaleur humaine est beaucoup mieux qu’un bout de tissus …Cependant je l’aurais pris sans ronchonner. »

Dit-elle en s’agitant un peu dans l’eau. En y repensant bien Vous vous-demandez certainement pourquoi tout cela ? Ce petit sourire coquin, se regard, cette attitude dans la baignoire … Azéline venait tout bonnement de se rendre compte de la situation dans laquelle elle c’était fichue. Elle était en sous vêtements dans une baignoire accompagné d’un jeune homme habillé … HABILLE ? Non mais sa ce n’était pas possible ! Azéline regarda Prosper appuyé contre le rebord de la baignoire et le regarda de haut en bas. Il n’avait donc pas eut l’idée de se mettre en sous vêtements aussi ? Non aparament. Elle Avait bien l’envie de lui défaire sa chemise et sa cravate, mais comment le prendrait-il ? Après tout elle lui demandait pas son avis . Elle fonçait. Azéline regarda Prosper et se redressa par surprise pour venir se glisser sur Prosper. Elle avait une jambe de chaque côtés de lui et hésitait a s’asseoir à « califourchon ». Pendant un court instant, elle se contenta simplement de rester à « 4 pattes » au dessus de lui dans l’eau. Le visage avancer dangereusement vers son oreille.

« Alors Prosper… C’est pas trop gênant les tissus … Collant … A la peau … D’un jeune homme … tel que … VOUS »

Dit-elle en commençant à descendre doucement sa main vers la cravate de se dernier. Elle s’aseilla sur ses jambes à « califourchon » était donné qu’elle ne pouvait pas plus haut avec plus de stabilité. Elle avait se regard plongé dans celui du Serdaigle. Un regard qui se disait être de plus en plus provocateur et malin. Azéline fit doucement descendre le nœud de cravate et enleva cette dernière du tour de cou de Prosper. Elle le regarda dans les bras et passa la cravate autour de son propre cou. Venant descendre ses douces mains chaudes elle déboutonna les boutons de la chemise de Prosper mais ne le quittait pas du regard. Sa y est , elle venait de terminer de défaire les 6 boutons restant. Un petit sourire malin, elle ne toucha pas le torse de Prosper. Pour la pur raison qu’elle jouait avec lui et que si jamais elle venait a toucher se dernier, elle irait pas que le toucher. Azéline lui dit d’un ton malin et provocant se mêlant avec les cheveux en batailles, quelques mots.

« Alors ? Pas plus à l’aise Monsieur Wagner ? »

Dit-elle d’un ton très … Très sensuelle dans la voix. Azéline était vraiment partie dans son « jeux » qui allait certainement devenir plus que un jeux. Une réalité. Elle regarda se dernier dans les yeux et ne bougea pas. Jetant un regard légèrement envieux, elle s’étira et regarda le miroir juste en face d’elle. On voyait juste le dessus de sa touffe de cheveux qui se reflétait dans le bas du miroir. Azéline eut un petit sourire et regarda Wagner dans les yeux. En le voyant de plus près c’était vrai qu’il était mignon comme garçon et en plus de sa avait beaucoup de charme. Ne pouvant s’empêcher de perdre son sourire et son regard malicieux qui ornaient son visage. Un simple geste de plus ou un simple contact pouvait risquer que Azéline se fasse envoyer valser par le jeune homme. Cependant Elle prenait le risque. Elle hésita quelques instants a toucher son torse et se contenta juste de le toucher du bout du doigt gauche. Un petit sourire plus prononcé sur le coin des lèvres, elle avait osée.

Après avoir pas mal jouer avec le regard de Prosper, Azéline décida d’entamer les choses sérieuses. SERIEUSES ? Non pas ce que vous penser mais simplement peut être apprendre a mieux connaître Prosper. Elle changeait pas sa position restant a « califourchon » sur Prosper qui dégageait de la chaleur et réchauffait Azéline. Malgré que ses bras étaient gelés, Azéline avait chaud et on pouvait observer sur le dessus de ses petites joues de jolies rougeurs qui provenaient de la chaleur que Prosper lui transmettait. Si sa se trouvait elle était entrain de l’écraser le pauvre. Elle secoua légèrement la tête. Ses cheveux retombèrent et Azéline commença a jouer avec ses mains ou plutôt le bout de ses deux index sur le torse de Prosper. Aie aie aie ! Que faisait-elle ?! La jeune Serpentarde regardant Prosper dans les yeux vint alors lui dire sans se rapprocher pour autant de son visage ce qui serait plus un danger pour le moment.

« Qu’est-ce que tu aime dans la vie dis moi … »

dit-elle d’une voix pensive. Regardant le torse du jeune Wagner elle avait réussit a déscotcher ses yeux de ceux de Prosper. Malgré sa provocation et sa malignité qui régnaient toujours en elle, elle se forçait de ne pas la montrer dans ce moment. La jeune femme essayait d’être sérieuse mais cela était très dur face à l’homme qu’elle avait en face d’elle. C’était quasiment impenssable de se concentrer avec un tel energumen devant sois. Elle cessa de jouer avec ses doigts et remonta son regard sur le visage du Serdaigle. Le fixant du regard, elle essaya plusieurs fois de le déscotcher mais rien a faire. Elle soupira un peu et de nouveau un sourire s’installa sur ses lèvres. Un sourire joueur et mélangé de provocation et malignité. Pour changer ! Une bretelle de son sous vêtement tomba de son épaule. Plus précisément de son épaule droite. Azéline ne tourna pas la tête pour regarder cette dernière qui était tombée. Au contraire… elle la laissa attendant une réponse ou peut être même que un simple geste venant de sa part. Cependant elle était quasi certaine que Prosper ne résisterait pas longtemps…
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMar 25 Sep 2007 - 9:33

Il devait faire tout pour lui faire regretter de l'avoir poussé à l'eau. Déjà, il ne fallait pas qu'il succombe à ses charmes. Mais Prosper étant un adolescent aux idées et aux buts parfois inimaginables, il se promit de la pousser à s'excuser. Oh ce serait une tâche compliquée et presqu'impossible, mais il y arriverait un jour ou l'autre. Peut-être pas aujourd'hui, ni demain, mais maintenant qu'il connaissait son nom, son année, sa maison, son visage et plus encore, il ne la lâcherait plus. En bon Serdaigle, il lui poserait des questions sur les cours, les devoirs, le fonctionnement de sa maison, ses professeurs préférés ; en bon Hollister -il se considérait plus Hollister que Wagner-, il lui demanderait qui sont ses amis, si elle a un copain, si sa famille est de sang-pur, si son père fait un travail important, si elle a des contacts haut-placés. En un sens, il ressemblait un peu à ses parents...Il ne fréquentait que ceux qu'il considérait comme 'supérieurs' au commun de la communauté sorcière. Bref, pour en revenir à ce bain non-désiré, autant dire que le jeune homme avait dépassé le stade de la timidité. Ç'aurait été stupide d'être encore gêné au point où ils en étaient maintenant...

Le sourire qu'elle affichait n'avait rien de rassurant. En vérité, c'était un sourire de diablesse. Azéline était-elle une créature séductrice dans l'âme ? Et s'il se conduisait comme elle, disons...de retourner la situation ? Elle ne serait plus aussi confiante, si ? Son allusion au fait qu'elle avait froid la laissa totalement indifférente. Mais qu'entendait-elle par 'chaleur humaine' ? Elle n'allait tout de même pas...venir plus près ? Non, elle ne pouvait pas s'approcher.


*Vade retro, créature particulièrement charmante au sourire malicieux et aux yeux hypnotisants ! Vade re- oh et puis finalement non. Non, reste là, tant que je t'ai à l'oeil, tout va bien.*

Il posa son regard sur elle, la fixant comme s'il espérait qu'elle se fige sur place et ne bouge plus jusqu'à ce qu'il sorte de cette pièce. Malheureusement, elle se redressa et s'approcha, faisant tout le contraire de ce que le Serdaigle espérait. Il ferma un instant les yeux, mais lorsqu'il les réouvrit, elle n'avait pas disparu : elle était encore plus près. En fait, elle se trouvait maintenant à quatre pattes au-dessus de lui, dangereusement proche, et il eut fallu un sortilège de téléportation ou carrément transplaner pour échapper à son regard envoûtant. Elle s'approcha alors pour lui parler à l'oreille, comme elle le faisait depuis qu'il était entré par erreur dans cette fichue salle de bain. Ah s'il n'était pas entré, peut-être serait-il confortablement installé à la bibliothèque, à lire quelque chose du genre 'La Quintessence : une quête' ou 'Seigneur ou saigneur ? Essai sur la brutalité des hippogriffes'. Mais il aurait aussi raté toute une aventure quand même. Contre toute attente, il ne fit pas un seul geste pour arrêter Azéline. Non, détrompez-vous, il ne cédait pas. Pas encore du moins.

« Alors ? Pas plus à l’aise Monsieur Wagner ? »

Il était vrai que l'eau et ses vêtements ne faisaient pas bon ménage. Mais il aurait préféré rester habillé de la tête aux pieds. C'était une autre sorte d'assurance, comme son sac qu'il avait laissé près de la porte. Pendant un moment, cette angoisse opressante et insupportable l'envahit et il crut vraiment que cette fois, il allait défaillir. Ça ne lui était arrivé qu'une seule fois depuis son arrivée à Poudlard en fait. C'était lors de sa deuxième année. Il était en cours de potions et avait oublié de mettre les chenilles tranchées en rondelles avant les cafards. Aïe aïe aïe...Toute une explosition. Heureusement, aucun blessé, mais à ce moment-là, le professeur Rogue s'était approché de sa table avec un mouvement de cape absolument terrifiant et avait dit : ...quelque chose. Prosper n'avait pas entendu car il s'était tout bonnement effondré au sol, dans un reste de potion ratée. Il s'était réveillé plus tard dans la journée, à l'infirmerie, humilié d'avoir perdu conscience en plein milieu d'un cours. Et surtout parce qu'il avait eu peur d'un professeur. Aujourd'hui, cela avait beaucoup changé. Le professeur Rogue n'était plus aussi terrifiant que dans ses souvenirs.

Un frisson le parcourut. Avec tout ça, il en avait oublié la demoiselle qui se trouvait assise sur lui et qui touchait son torse du bout des doigts. Est-ce qu'elle le faisait exprès ? Très certainement, oui. Mais qu'avait-elle en tête pour le torturer ainsi, hein ? C'était injuste ! 'Pourquoi moi !?' aurait-il eu envie de crier comme dans les films, à genoux dans la rue, sous une pluie torentielle...Bon, peut-être pas. Il frissona de nouveau et tenta plutôt de se concentrer sur la question. Ce qu'il aimait dans la vie. Ce qu'il aimait...dans...la...vie. Question difficile. Soit il mentait et racontait n'importe quoi, soit il disait la vérité. Comme il détestait mentir, la deuxième solution était la meilleure. Or, fallait-il qu'il trouve d'abord comment s'adresser à elle sans se remettre à bégayer, maintenant qu'il était de plus en plus nerveux. Quelle pensée pouvait le calmer ? Ah, l'histoire ! 1900, naissance de Perpetua Fancourt, inventeur du Lunascope. 1903, naissance de Tilly Toke, héroïne de l'incident d'Ilfracombe. Ce dernier ayant eu lieu en 1932. 1947, Newt Scamander créée le Registre des Loups-Garous au sein du Département de contrôle et régulation des créatures magiques. Voilà...C'était déjà nettement mieux.


« Ce que j'aime dans la vie ? Hmm...Les études. La lecture. Les cours...Soins aux créatures magiques et potions, surtout. Mais j'aime bien histoire de la magie aussi... »

Il leva les yeux vers le plafond, pour ne plus avoir à regarder la Serpentarde dans les yeux. C'était trop risqué de la regarder, même un instant. Il allait se perdre dans ses yeux de tigresse et il serait condamné à conserver cette image en tête durant des jours, peut-être même des semaines. Et ce qu'il voulait, c'était qu'elle l'ait dans la peau, pas le contraire. Le Serdaigle voulait qu'elle retourne dans sa salle commune en se disant que tous les bleus et bronzes n'étaient pas des intellectuels ennuyeux. D'ailleurs, les Serdaigles n'étaient pas ennuyeux. Les conversations de leur table étaient très intéressantes, il suffisait d'avoir un peu de culture ! Oui, bon, il ne fallait pas demander ça à tout le monde, d'avoir de la culture.

« À mon tour de poser une question... », déclara finalement Prosper en regardant la verte et argent.

Il la fixa longuement sans bouger, puis attrapa sa propre cravate qu'elle avait passé à son cou et tira doucement pour attirer Azéline vers lui. Il s'approcha ensuite tout près de son oreille et murmura d'une voix presque inaudible :


« Agissez-vous ainsi avec tous les garçons que vous rencontrez...Miss Evans ? »

Pendant quelques instants, l'adolescent ne bougea pas, puis effleura du bout des lèvres la joue de la demoiselle et recula avant de lâcher la cravate. Il garda son regard plongé dans le sien pendant de longues secondes qui lui semblèrent des minutes, puis releva les yeux vers le plafond. Pour la première fois, c'était lui qui avait pris l'initiative de s'approcher et il ne se sentait pas du tout angoissé à cette perspective. Maintenant par contre, il espérait que tout ceci ne soit qu'un rêve et que d'une minute à l'autre il se réveillerait. Il avait toujours le contrôle de lui-même, bonne nouvelle, mais ce qu'il venait de faire était tellement...si...ce n'était vraiment pas lui. Habituellement, il n'aurait jamais osé ! Depuis le début de cette rencontre, le bleu et bronze ne voulait pas qu'elle se rapproche et voilà qu'il allait presque l'embrasser. Non, mais quel idiot il faisait. La petite voix de sa conscience lui conseilla de fuir pendant qu'il en était encore temps. Une autre l'encouragea à continuer d'agir ainsi pour déstabiliser la Serpentarde et peut-être même lui voler un baiser avant de partir.

Mais Prosper ne voulait écouter ni l'une, ni l'autre. Il continuait de fixer le plafond, attendant patiemment une réponse de la part de son interlocutrice. Bien sûr qu'elle devait agir comme ça avec tous les garçons. À la voir, il était évident que ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait dans une telle situation...si ? Il la regarda un instant, de nouveau, et remarqua que la bretelle droite de son soutien-gorge avait glissé. Il tendit la main et la replaça délicatement avant d'adresser un sourire faussement neutre, un brin moqueur, à Azéline. Qu'est-ce qu'elle croyait ? Qu'il allait craquer pour un si petit détail ? Non. Ce pour quoi il craquait, c'était son sourire. Ce fichu sourire qui avait de quoi effrayer n'importe quel garçon timide et qui lui rappelait à quel point il aimait les femmes de caractère. Comme elle, finalement.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMar 25 Sep 2007 - 21:04

Azéline observait Prosper avec la bretelle qui tombait encore un petit peu mais s’arrêta cependant au milieux de son bras. Sa aurait été bête de se déshabiller ainsi. C’était bizarre d’être dans un tel situation. A première vu si elle ne se trompait pas, il n’avait encore jamais eut à faire a ce genre de situation auparavant. Azéline semblait fière de cela après tout être la première de quelques chose était toujours plaisant. Restant sur lui sans bouger, elle évitait de faire des mouvements qui pourraient l’atteindre et surtout de faire bouger l’eau qui leur arrivait au niveau de sous la poitrine voire même empiétant sur sa poitrine avec sons sous vêtement. Un regard malicieux, elle tira la langue et se la mordit doucement au bout. Rare était les fois qu’elle faisait cela. La plus par du temps sa langue se calait sur le côté et restait tel que mais la être mordu était rare. Seule certaines situation faisait que la jeune femme faisait cela en plus. Et en aucun cas vous ne saurez pourquoi. Elle frissonna de nouveau. Ses poils , tout petit poils de bras se hérissèrent sur ses bras et la surface de son dos.

Azéline se sentait bien installée sur Prosper qui la fixait maintenant. Ce sentiment bizarre d’être observée sans cesse devenait de plus en plus encrée en elle et ne s’amusait pas à renvoyer bouler la personne qui la fixait avec insistance. Ne bougeant pas pendant quelques minutes elle soupira et passa doucement sa main sur la surface de l’eau. Prosper était lui toujours plus ou moins allongé dans l’eau et Azéline elle ne voulait pas du tout bouger. Le soleil commençait a fortement se cacher et a laisser les petits courant d’airs passer à travers les rideaux qui c’étaient glissés devant la petite ouverture. Venant plisser les yeux légèrement, aucuns sons ni même un petits bruits s’interposa dans le silence. Elle se demandait qu’est ce qui ce passait. Eux qui étaient toujours en mouvements depuis qu’il était rentré dans la pièce maintenant un peu refroidis. Venant être surprise par un son, elle mit du temps a réagir à cela. Venant retourner la tête vers la source de cela, elle remarque que la source était…

Prosper. Oui c’était bien cela, Prosper venait de dire quelques mots mais Azéline était incapable de lui redire ce qu’il venait de lui dire. La jeune Serpentarde, le fixa dans les yeux et perdit quelques secondes se regard malicieux et coquin. Le sourire était de même parti. Elle fronça un peu les sourcils réfléchissant à ce qu’il avait dit et ferma les yeux quelques secondes pour essayer de faire marche arrière. Les paroles, les images défilèrent et Azéline put revoir et surtout à nouveau entendre ce qu’elle avait zapper. Bingo ! Il venait de dire cette phrase ci particulièrement : « Ce que j'aime dans la vie ? Hmm...Les études. La lecture. Les cours...Soins aux créatures magiques et potions, surtout. Mais j'aime bien histoire de la magie aussi... ». Azéline réouvrit doucement les yeux sans lui adresser un mot. Ce dernier ne semblait pas lui avoir renversé la question ce qui n’inquiéta pas la jeune femme pour autant. Prosper avait l’air d’un jeune homme, gentil, sérieux peut être trop même, timide mais sans le cacher il était vraiment charmant.

* tu en as de la chance ma grande *

Pensa-t-elle .Elle se remit à le regarder dans les yeux de ses deux prunelles vertes claires qui brillaient avec les reflets des rayons de soleil qui pointaient le bout de leurs nez. La jeune femme recommença a fixer Prosper les yeux normal non plisser et reprit se regard coquin et le sourire qui l’accompagnait. Un regard sans sourire n’était pas un bon accord. Un sourire sans regarde qui l’accompagne non plus . Seul le regard et le sourire qui l’accompagnait formaient un « couple » parfait qui correspondait parfaitement à la malignité de Azéline. Un petit sourire en coin de lèvres, le regard plongé dans celui de Prosper, elle commençait a bien l’aimer ce bonhomme. Pendant quelques instants il détourna le regard vers le plafond. Mais qu’est ce qu se fichu plafond avait a le captiver ? Quand il ne la regardait pas , il regardait le plafond. Y’avait-t-il quelque chose ? Pourtant non. Azéline ne changea pas la direction de son regard qui resta plonger maintenant dans le cou de Prosper. Quelques minutes passèrent et Azéline revint emboîter son regard de celui du jeune homme.

Il entre ouvrit la bouche et la jeune Evans dériva machinalement les yeux sur les lèvres de Prosper. Enviée ? Non du moins pas encore. Elle remonta les yeux vers le visage et les deux billes de Prosper qui la regardait encore un nouvelle fois. Ce dernier commença alors a parler et Azéline gardait ce petit « couple » d’expressions au visage. C’est à dire un sourire et un regard malicieux mêlant une pointe de mystère qui s’accordaient parfaitement. « À mon tour de poser une question... » venait-il de dire. Azéline sourira quelques secondes. Elle eut a peine le temps de lui répondre que Prosper attrapa sa cravate qui se trouvait autour de son cou. Il la tira doucement vers lui. Rêvait-elle ? Venait-il vraiment de l’approcher lui même vers lui ? Azéline ne rêvait pas. Surprise de ce geste, elle se laissa faire et ce laissa avancer vers lui. Sentant la chaleur de Prosper se rejeter sur son buste , elle frissonna et ferma les yeux doucement pour écouter ce qui lui disait. « Agissez-vous ainsi avec tous les garçons que vous rencontrez...Miss Evans ? » demanda-t-il. Elle mit quelques secondes à réagire sentant le contact de ses lèvres contre sa joue. Elle se redressa doucement et lui répondit d’une voix douce et mystérieuse tout en le fixant.

« Vous voulez vraiment savoir cela Mr. Wagner ? Et bien rare sont les fois dans lesquelles je me sent aussi a l’aise pour ce genre de comportement si je puis dire… Cependant il m’est arrivé d’être comme ceci avec d’autres garçons mais que je connaissais… »

Dit-elle doucement à ce dernier. La jeune femme n’avait pas terminé sa phrase . Elle le fixa et resta sans bouger. Pas un sons sortis de sa voix pendant a peut prêt 1 minutes. Pourquoi un tel blanc ? Peut être parce qu’elle réfléchissait a ce qu’elle allait dire pour terminer sa phrase incomplète à son avis. Elle avait ses mains douces et chaudes glissées sous l’eau depuis maintenant de bonne minutes. Elle hésita quelques instants a revenir toucher le torse de Prosper. C’était trop tentant et Azéline n’aimait jamais ne pas faire ni obtenir ce qu’elle voulait. Venant amener une main, sa main droite au haut de son torse, elle commença à juste le toucher avec le bout de ses doigts. Pour le moment ce n’était pas très comment dire… Contact. La jeune femme descendit doucement sa main qu’elle appuya et aplatissa doucement au fur et a mesure qu’elle descendait. Elle se retrouva la main posée sur ses pectoraux. Laissant son autres mains se balader sous l’eau, elle aimait taquiner et embêter les autres. Elle lui donna quelques douces caresses avec sa main posée sur son torse laissant son autre main amener des petites doses d’eau qui coulèrent sur son torse. Aïe ! Aïe !Aïe ! C’était vraiment trop. Elle se rapprocha dangereusement de nouveau de son visage et lui murmura …

« Mais …Dites moi vous trouver pas que le feeling passe bien entre vous … et moi Mr. Wagner ? »

Oh ! Chose à dire ou à na pas dire ? Elle avait un sourire aux lèvres qu’elle était loin de perdre. Elle recula doucement de son oreille et lui déposa un doux baisé sur la joue droite. Gardant son visage dangereusement proche de celui du jeune Bronze et bleu, elle s’arrêta juste devant le nez de Prosper. Tiens drôle de situation. Comment allait-il réagir ? Il l’enverrait balader ou bien se mettrait-il a rougir comme une tomate ? La jeune femme le fixa dans les yeux et se passa machinalement la langue sur les lèvres. Ayant un petit sourire, elle s’approcha extrêmement près de son visage et se recula. Elle savait que sa serait terriblement dangereuse de faire cela. De plus elle ne savait même pas si il avait une copine ou ps. Cependant elle aimait jouer ce jeux de séduction. Elle se redressa légèrement mais gardait ce regard et sourire aux lèvres limite provocant et envieux…
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyJeu 27 Sep 2007 - 19:11

La nuit allait bientôt tomber. Le soleil déclinait à l'horizon lentement. À l'heure qu'il était, la salle commune de Serdaigle devait être remplie de gens en plein travail. Prosper imaginait les parchemins noircis d'encre, les encriers vides, les manuels traînant à droite et à gauche, les élèves qui s'entraidaient à voix basse...Habituellement, les uniformes étaient portés jusqu'au dernier moment, mais il y aurait très certainement deux ou trois cravates délaissées. Si le jeune homme avait été avec eux, sa cravate aurait été bien nouée à son cou et il aurait été penché sur un devoir quelconque. Il n'aurait adressé la parole à personne, aurait travaillé jusqu'aux petites heures du matin, se serait levé de mauvaise humeur quelques heures plus tard, aurait crié sur un idiot qui aurait renversé de l'encre sur le devoir qu'il avait passé la nuit à faire...Enfin. Pour le moment, il n'avait strictement rien à faire de ses devoirs, de l'heure à laquelle il se coucherait ou de celle à laquelle il se lèverait le lendemain. L'heure du couvre-feu arriverait dans peu de temps ? Et alors ? Oui, cette rencontre avec la belle Serpentarde lui faisait perdre toute sa raison. Cette indifférence face au règlement ne lui était arrivé qu'une seule fois, l'année précédente. Il était rentré en retard à la salle commune, mais malheureusement, il ne s'était pas fait pincé par Rusard comme il l'avait espéré.

Qu'est-ce qui lui avait pris de dire qu'il aimait les cours ? Et la lecture ? Et les études surtout ! Elle allait le prendre pour le genre de garçon qui répond à toutes les questions en classe, comme cette Miss Je-Sais-Tout de Gryffondor qui levait sa main à chaque parole des professeurs. Heureusement, il n'était pas comme ça. Enfin, pas dans tous les cours...En général, il levait la main pour demander des précisions, pour s'assurer que ce qu'il écrivait était bon, pour être certain de ne pas remettre un devoir en retard, pour confirmer les dates d'un examen ou autre. Il ne donnait pas vraiment de réponses à voix haute, sauf dans les cours où il avait d'excellentes notes et pouvait se permettre de répondre sans craindre de se tromper. Et puis, la plupart du temps, il se disait qu'il n'allait pas donner la réponse aux autres alors qu'il avait travaillé pour la connaître, lui. Il étudiait pour les apprendre ces réponses alors les autres n'avaient qu'à faire comme lui. Par contre, quand un enseignant exaspéré par l'ignorance de ses élèves demandait si quelqu'un connaissait la réponse, il se faisait un plaisir d'étaler ses connaissances.

Il reposa son regard sur Azéline. Peut-être à cause de la gêne mais jusqu'à maintenant, l'adolescent n'avait pas remarqué à quel point il avait de la chance tout de même. Il était avec une belle fille, tout à fait son genre même s'il ne voulait pas l'avouer, dans une salle de bain, au coucher du soleil. La porte était verrouillée donc personne ne leur tomberait dessus, il rentrerait à l'heure du coucher et personne ne lui poserait de questions. Peut-être même que...Hey ! Mais pourquoi ne pas inviter cette beauté au bal ? Après tout, il n'avait rien à perdre. Si elle refusait, ce n'était pas bien grave -en fait, si, parce qu'il renoncerait alors définitivement à se rendre à cette soirée et resterait dans la salle commune vide à étudier pour les futurs examens. Ses quelques amis lui raconteraient à quel point ce bal avait été merveilleux et lui demanderaient durant des jours pour quelle raison il n'était pas venu. Au lieu de leur dire qu'il n'avait tout simplement pas trouvé de cavalière, il répéterait qu'il avait eu trop de travail. Trop de travail. Bientôt, ce prétexte ne convaincrait plus personne ; Prosper était sûrement le seul sixième qui devait travailler soirs et week-ends pour arriver à tout faire et déjà, quelques-uns étaients sceptiques.

Ce que le jeune homme ne disait pas, c'était que plusieurs de ses supposés manuels étaient des livres prêtés par son oncle Lithius traîtant des propriétés de plusieurs ingrédients. Son oncle lui avait raconté que c'est à l'aide de ces grimoires qu'il avait réussi à composer ses premières variantes de potions. L'homme avait assuré à son neveu que s'il apprenait ces livres sur le bout des doigts, d'ici un an voir quelques mois, il saurait modifier la recette des potions les plus basiques. Bien sûr, pour réécrire des potions plus compliquées, il lui faudrait encore quelques années, mais le Serdaigle était un acharné qui désirait acquérir des connaissances rapidement -et accessoirement gloire et puissance, mais c'est une autre histoire. Il avait bien l'intention de modifier et peut-être même de créer une potion avant la fin de l'année, cependant ne nous éternisons pas là-dessus et revenons plutôt à la situation présente. Son geste précédent ne lui ressemblait pas. Jamais il n'aurait osé avant aujourd'hui être aussi près d'une fille.

La raison pour laquelle il osait présentement ? Il avait envoyé balader Miss Conscience. Elle avait eu beau crier "Prosper, sors de la salle de bain", "Prosper, éloigne-toi", "Prosper, ne dépose pas ton sac", "Prosper, sors de cette baignoire", "Prosper, repousse-la", "Prosper, ne t'approche pas" -enfin vous comprenez le principe- Miss Conscience avait finalement décidé qu'elle ne servait strictement à rien. Elle décida donc de prendre congé et de laisser le bleu et bronze se débrouiller seul.


« Vous voulez vraiment savoir cela Mr. Wagner ? Et bien rares sont les fois dans lesquelles je me sens aussi à l’aise pour ce genre de comportement si je puis dire… Cependant il m’est arrivé d’être comme ceci avec d’autres garçons mais que je connaissais… »

Il était le premier inconnu sur qui elle s'acharnait ainsi ? Intéressant à savoir. Il aurait pourtant parié qu'elle était le genre de filles qui aguichait tous les garçons pour le simple plaisir d'être désirée. Mais pourquoi était-il celui sur qui elle s'était jetée ? Parce qu'il était le premier arrivé, sûrement. Si n'importe quel autre garçon avait passé cette porte, elle aurait fait la même chose à coup sûr. En fait, c'était le meilleur moment de s'amuser et de ne pas espérer quelque chose de sérieux, ce qui n'était pas habituel pour le jeune homme. De nouveau, il frissonna ; si Miss Conscience avait été présente, elle aurait sûrement dit un truc du genre "Prosper, fiche-lui une tape sur les doigts ! Pas touche !" mais comme elle avait précédemment décidé de partir là où elle serait plus utile, il n'y eut aucune interruption mentale. Lorsque de nouveau, Azéline rapprocha son visage du sien pour lui murmurer à l'oreille, il manqua réagir sous le coup de l'impulsivité. À grand peine, il la laissa terminer sa phrase. Effectivement, entre eux, il y avait quelque chose. Et même si ce n'était qu'un jeu, c'était plaisant. Son visage s'approcha encore une fois du sien et cette fois...vlan ! Non, détrompez-vous, Prosper ne venait pas de la gifler mais bien de l'embrasser. Après quelques instants, il se recula, étonné par ce qu'il venait de faire, mais il lui adressa aussitôt un sourire malicieux.

« C’était trop tentant … Surtout ne m’excuse pas. », fit-il sur un ton moqueur, de la même manière qu'elle plus tôt.

Il la fixa durant un moment, puis releva les yeux vers le plafond. Ah cet éternel plafond qui n'avait rien de bien intéressant mais qui servait de prétexte pour ne pas regarder la demoiselle en face. Après ce qu'il venait de faire, la gêne était revenue au pas de course et il se demandait comment elle allait réagir à ça. Allait-elle continuer de jouer le jeu ou le gifler et sortir de cette salle de bain ? Dans un cas ou l'autre, il en sortirait...gagnant. Ou presque. Dans le premier cas, ce serait amusant et dans le deuxième il pourrait enfin retourner à sa petite vie tranquille pour étudier. Les deux situations seraient agréables, quoique d'étudier serait peut-être un peu trop routinier, puisqu'il ne faisait que ça durant tous ses temps libres. Finalement, si elle le giflait, il faudrait qu'il trouve un moyen de se faire pardonner pour éviter d'être obligé de retourner à ses devoirs.


« Sinon...Comment s'annonce le bal pour vous, Miss Evans ? », demanda-t-il pour changer de sujet.

L'adolescent avait l'intention d'amener la conversation sur ce sujet pour lui demander, éventuellement et si elle n'avait pas de cavalier, de l'accompagner. Ce pourrait toujours être drôle, non ? Elle avait peut-être plusieurs potentiels cavaliers qui se pressaient pour lui proposer de passer cette soirée en leur compagnie. Et la tête que feraient les autres Serdaigle lorsqu'ils verraient Wagner, l'acharné du travail, en compagnie d'une jolie Serpentarde !
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyVen 28 Sep 2007 - 18:13

Azéline avait toujours une de ses main proprement posée a plat sur le torse du jeune homme. Ma foi elle avait rarement été dans une tel situation qui se disait être fort agréable. Venant regarder de nouveau le plafond elle se demandait toujours qu’est ce que ce dernier avait de si captivant. C’était un plafond, un simple plafond en pierre. Azéline soupira intérieurement et rabaissa les yeux sur Prosper qui la regarda. Elle c’était alors avancer de lui venant à la limite de frôler son visage. Reculant doucement ce dernier la surprit directement. Et vlan … Mais non pas une gifle, ni une tape mais il venait juste de l’embrasser. Azéline ne laissa pas à par ce baisé et lui rendit légèrement. Et béh ! La jeune femme réouvrit doucement les yeux qu’elle avait fermés pendant le baisé. Quand Prosper ce recula, elle garda les yeux encore quelques secondes fermés et se mordit la lèvre inférieur avec un petit sourire voir même un très grand sourire aux lèvres. Elle réouvrit les yeux et lui sourira. Lâchant sa lèvre inférieur de entre ses dents, elle gardait le sourire.

Une mèche blonde rebelle tomba devant ses yeux et Azéline la laissa glisser sur le devant de son visage. Le jeune Wagner vint lui dire quelques mots en une phrase qui fit sourire Azéline plus pronocément étant donné qu’elle avait dit cette phrase quelques minutes auparavant. « C’était trop tentant … Surtout ne m’excuse pas. ». Sacré bonhomme ! Elle en revenait toujours pas de se geste « tendre » et affectueux qui lui avait donné. En faites elle se demandait bien ce qui c’était passé. Sois sa phrase « Mais …Dites moi vous trouver pas que le feeling passe bien entre vous … et moi Mr. Wagner ? » qui l’avait fait subitement réagir ou bien c’était tout simplement parce qu’il en avait envie mais encore juste pour s’amuser. Ce pendant Azéline n’avait guère refusé se baisé. Elle pensa à Cennyd quelques instants et secoua légèrement la tête pour éviter de penser a ce dernier ne voulant pas être perturbé pendant le moment de jeux entre elle et le jeune homme.

Elle était toujours assise sur lui et ne bougeait pas. Le regard plongé dans celui de Prosper, elle gardait ce petit sourire malin voir coquin aux lèvres. Il y avait une question qui lui trottait dans la tête : Qu’est-ce qui l’avait fait ainsi réagir ?!. La question. Azéline enleva doucement sa main posée sur son torse et replaça doucement sa mèche derrière son oreille. Et s’étira de nouveau venant cambrer son ventre qui forma une magnifique courbe de reins parfaitement bien dessinée. Elle tira la langue a Wagner et soupire en haussant les sourcils comme de lassitude mais bien au contraire. Elle ne se lassait pas mais s’amusait. En y pensant il se prenait peut être au jeu mais cela étonnerait fortement Azéline. Quoi que on sait jamais ! Azéline réfléchissa a beaucoup de chose. Soit elle le giflait et s’en allait en courant de la baignoire ? Non ! Sois elle sortait de la baignoire et le laissait tranquille ? Non! Et bien pourquoi pas rester? Oui. La Serpentarde répliqua à Prosper d’une voix douce et joueuse.

« Oh mais je n’ai aucunement l’intention de t’excusez ! »

Répondit-elle. Et oui Azéline pouvait bien accepter un petit baisé venant d’un Serdaigle et puis ils avaient le même âge. Du moment que l’homme en face d’elle n’avais pas de copine … Hum Copine ? A oui mais elle ne savait pas si il avait une copine ou pas. Azéline arqua un sourcil en pensant a ce qu’elle se disait toute seule puis reprit. Et puis si il avait le même âge qu’elle et surtout que ce n’était ni un Poussoufle un de ses blaireaux totalement puérils ou encore pire un de ses Gryffondors qui se prendrait pour un super héros. Elle n’avait que un mot a dire : PITIE !. La jeune femme se racla la gorge comme pour entamer une conversation très sérieuse mais malheureusement les choses sérieuses n’étaient pas acceptable dans le moment présent. Non mais oh ! Amusement, Amusement et encore Amusement pardi. Azéline regardait toujours Prosper dans les yeux quand une phrase sortie de la bouche du bleu et bronze. « Sinon...Comment s'annonce le bal pour vous, Miss Evans ? ». Azéline surprise eut un petit rire étouffé et lui répondit alors d’une voix maligne.

« Oh vous savez Mister Wagner , je suis une pauvre petite fille qui est toujours seule donc … Je ne sais pas si j’irais à ce bal … Quoi que … je suis pas du genre à refuser une invitation donc sa sera oui !!! »

Dit-elle en quelques secondes. Ben c’était évident qu’il l’inviterait après de tels gestes et faits, elle ne pouvait que être accompagnée de ce charmant jeune homme. Bien sur si jamais il ne lui demandait pas de venir avec elle, elle n’aurait plus qu’a dire qu’elle déconnait pour ne pas se mettre la honte. Cependant Azéline était certaine qu’il allait l’inviter. Peut être se trompait-elle mais cela étai fort rare. La jeune femme donna un bref coups de tête a gauche et resserra doucement ses deux bras vers l’avant. Ses cheveux venaient ornée sa tête d’une coupe assez sauvage et ses bretelles de tissus tombèrent. Euh … était-ce fait exprès ?! Bien sur que non. Elle ne c’était guère rendue compte que ses bretelles étaient tombées car elle avait les bras froid et que son soutient gorge était loin d’être chaud par conséquent, elle ne sentait plus rien. Azéline s’avancer doucement de lui et lui murmura au creux de l’oreille sentant la chaleur du corps de Prosper venir taper sur son buste froid.

« Au faites … vous embrassez très bien Mr. Wagner »

Rajouta-t-elle d’une voix pleine de malice .Ben quoi ?! Elle n’avait donc pas le droit de complimenter la façon dont il faisait un baisé. Azéline regardait le rebord de la baignoire les mains posées sur les rebords ce celle ci. Un petit sourire, elle remonta doucement frôlant la joue de Prosper du bout des lèvres. Venant recroiser de nouveau son regard, elle eut de nouveau une longue mèche blonde qui tomba devant ses yeux mais souffla doucement dessus pour l’envoyer valser. Son parfum flottait dans les airs, elle même sentait son propre parfum fruité. Elle ferma les yeux quelques secondes et les réouvrit en regardant directement Prosper dans les yeux. Elle se rapprocha et frôla les lèvres du jeune homme avec ses lèvres. Un frisson parcoura son dos et Azéline se mordit la lèvre intérieurement. Non elle ne pouvait pas le complimenter et le laisser sans un rappel a l’ordre. Ma foi pourquoi il aurait le droit, lui à le faire et pas elle ?

Elle déposa ses douces lèvres sur celles de Prosper et l’embrassa avec un peu d’ « intensité ». Ramenant ses mains au visage de Prosper, elle les glissa sur les joues du jeune homme tout en continuant de l’embrasser. Au bout de quelques instants, elle quitta les lèvres du jeune homme et le regarda dans les yeux. Un petit sourires aux lèvres, elle laissa glisser sa main gauche le long du côté de Prosper et cette dernière coula dans l’eau. De son autre main, elle posa son index sur les lèvres de Prosper avec un petit « chuuut ! » en supplément. Elle eut un grand sourire mélangé de sadisisme et malignité. Ce regard l’accompagnant était comme dirait certainement … mortel. Azéline se recula doucement du visage de Prosper prenant son temps pour prendre ses distances. Il l'avait embrassé , elle lui avait rendue l'appareil. Donnant donnant ! Elle savait déjà une chose : Elle lui plaisait certainement.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptySam 6 Oct 2007 - 4:37

Oh la la ! Mais que venait-il de faire ? Il avait embrassé une presque parfaite inconnue. S'il avait pu crier 'Mais qu'ai-je fais ?!' de façon théâtrale...il ne l'aurait pas fait de toute façon finalement. Pendant un instant, une bouffée de regrets l'avait assailli, le poussant à s'excuser et à fuir comme il l'aurait fait habituellement. Cependant cette fois, le Serdaigle avait l'intention d'agir...en homme. Enfin, façon de parler puisque tous les hommes n'étaient pas nécessairement obligés d'accepter une telle situation. Ce n'était pas parce qu'on était un homme qu'il était impossible de repousser une fille...si ? Non. Il avait parfaitement le droit de lui dire gentiment que tout cela n'aurait jamais dû arriver et de partir ensuite pour retourner à sa petite vie paisible et, il devait se l'avouer, monotone. Il aurait pu lui expliquer calmement qu'il n'était pas intéressé ou alors feindre qu'il était déjà pris mais tout cela lui était impossible. Simplement parce qu'il n'avait pas agi ainsi jusqu'à maintenant et que ses paroles n'auraient pas été crédibles, surtout après l'avoir embrassé. Il était coincé.

Ce qu'il pouvait détester le genre humain à ce moment-là. Ce qu'il pouvait détester le simple fait de faire parti de ce genre qui possédait un coeur et les sentiments qui vont avec, un instinct et les réactions qui l'accompagnent. Bon, d'être une créature ne l'aurait sûrement pas arrangé en cet instant, mais au moins il n'aurait pas eu à réfléchir à ses actes. L'animal qu'il aurait été ne se serait pas posé de question sur les répercutions de ce baiser et aurait continué de mener une existence sans problèmes de conscience. Or, Prosper n'était pas une bête et réfléchissait beaucoup. Et comme un et un font deux, il se devait de changer rapidement de sujet avant que son cerveau n'explose sous la pression. Ce qu'il n'avait pas réellement prévu, c'est que le premier sujet qui lui vienne en tête soit le bal. Avant même qu'il n'ait pu penser un instant à formuler une phrase sur un ton désinvolte, la question avait déjà franchi ses lèvres. 'Comment s'annonce le bal pour vous, Miss Evans ?' Par la barbe de Merlin, venait-il vraiment de lui demander cela ?

Azéline parut...amusée par une telle question avant de lui répondre. Elle, toujours seule ? Incroyable. Le reste de sa phrase résonna longuement dans la tête du bleu et bronze avant qu'il n'arrive à comprendre le sens de ces mots. Elle lui dirait oui s'il demandait ? Il n'avait qu'à l'inviter et elle viendrait avec lui le soir du bal ? Le jeune homme posa les yeux sur sa compagne, au moment où elle n'avait plus rien à envier au plafond. Oh non, le plafond n'avait abso-facto-lument rien d'intéressant à côté de cette Serpentarde aux yeux félins. Allez savoir pourquoi, c'est toujours lorsqu'elle était irrésistiblement séduisante que la demoiselle décidait de se rapprocher. Le faisait-elle exprès ? Bien sûr qu'elle le faisait exprès. Elle devait être fière d'être aussi charmante et serait sûrement très fière de raconter à tout le monde comment elle avait détourné ce pauvre Serdaigle de ses études. D'accord, il exagérait un peu. Mais n'ayant jamais eu de petite amie de sa vie, Prosper était convaincu que les filles étaient une perte de temps, du temps précieux qui plus est.


« Au faites … vous embrassez très bien Mr. Wagner. »

Le principal intéressé s'autorisa à fermer les yeux un instant. Peut-être s'imaginait-il que lorsqu'il réouvrirait les yeux, il serait tranquillement allongé dans son lit avec un livre à la main et réaliserait qu'il s'était simplement endormi. Il prit une profonde inspiration comme pour effacer tout cela de son esprit mais ne réussit qu'à empirer les choses. Le doux parfum d'Azéline flottait dans la pièce, envahissant l'air ambiant, l'empêchant de penser à autre chose qu'à elle. Tels les effluves d'un jardin aux arbres fruitiers exotiques et délicieux...Il aurait voulu y goûter. À cette pensée, Prosper ouvrit les yeux et son regard se plongea de nouveau dans celui de la jeune fille. Que faire, que faire ? Mais peu importe ce qu'il tentait, il n'arrivait plus à réfléchir correctement. Était-ce ce qu'on appelait un coup de foudre ? L'avait-elle à un tel point ensorcelé qu'il lui était impossible d'user de son intelligence supérieure à la moyenne -notez que même obnubilé par la demoiselle, le Serdaigle ne perdait pas de cette subtile vanité.

Il n'eut pas véritablement le temps d'y réfléchir car déjà, les lèvres de la verte et argent venaient de se poser sur les siennes. Pendant un instant, il resta interdit, complètement figé. Il ne repoussa pas Azéline, se contenta d'apprécier le moment autant que cela lui était possible et finalement, lorsqu'elle se recula pour lui sourire, il frissonna une énième fois. Elle posa un doigt sur ses lèvres et murmura un petit 'chut' pour qu'il garde le silence. Garder le silence ? Elle croyait pouvoir lui ordonner de garder le silence ? Quand on réveille la bête, impossible de lui ordonner de retourner dans son coin sans un mot. Et certainement pas sans une seule réaction. Aussitôt eut-il le temps de reprendre ses esprits qu'il s'approcha pour lui murmurer à l'oreille.


« Vous avez aussi beaucoup de talent, Miss Evans... »

Il se recula à peine et lui vola un furtif baiser avant de prendre ses distances. À regrets...Mais il le devait s'il ne voulait pas s'impliquer sentimentalement dans ce jeu dangereux. C'était trop risqué, il avait finalement beaucoup à y perdre si elle se moquait de lui. S'il en tombait amoureux et qu'elle considérait cela seulement comme un jeu, il devrait vivre avec son 'humiliation' et réitérer ses propos : les filles seraient véritablement des êtres à éviter comme la dragoncelle. Par contre, s'il y avait ne serait-ce qu'un espoir, autant tenter sa chance. Le jeune homme leva un instant les yeux au plafond, pour se permettre de choisir ses mots et de réfléchir un peu à la formule de sa phrase. Il s'apprêtait à faire quelque chose qu'il n'avait jamais encore fait. Quelque chose d'extraordinaire.

Dans quelques instants, il avait délaissé ses livres pour prononcer des mots qui lui étaient jusqu'alors inconnus. Son esprit formait en ce moment même une phrase qu'il n'aurait jamais cru dire un jour. C'est terriblement anxieux que le jeune Wagner posa les yeux sur Azéline, incertain, se laissant encore quelques instants pour prendre son courage à deux mains. Et Merlin seul sait à quel point le courage de Prosper pouvait se cacher loin dans pareils cas. Dans une minute, il allait réussir à poser un geste fantastiquement courageux selon son point de vue. Un geste qu'il n'avait jamais osé, des paroles qui venaient d'un univers très loin de celui des études dans lesquelles il s'enfermait. Ces mots qui l'obligerait à penser à autre chose qu'à ses devoirs et à sa petite vie paisible. Ces mots qui...Bon, mettons fin au suspence, voulez-vous ?


« Miss Evans, me feriez-vous l'honneur de m'accompagner au bal ? », demanda-t-il sur le ton solonnel de celui qui s'adresse à une reine.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptySam 6 Oct 2007 - 14:02

La jeune Serpentarde ne bougeait pas. L’eau clapotait le long de la baignoire suite aux mouvements qu’elle avait pu faire. D’ailleurs, elle se demandait encore et toujours comment elle pouvait réussire à bouger dans cet endroit, si étroit et puis en plus elle ne voulait pas faire mal à Prosper. Un moindre geste, elle risquait de lui faire mal aux jambes surtout. Un petits sourire malin en coin de lèvres, elle observait Prosper qui avait l’air pensif. A quoi pensait-il ?! Elle ne lui demanderait pas bien sur sachant bien que demander était pas très bien. Un regard vert clair posé dans son regard, elle s’efforçait à ne pas sourire de plus ne plus largement. On dirait après qu’elle a une banane au visage et sa non merci. La jeune femme soupira légèrement et rabaissa son doigt doucement de la bouche du jeune homme qui n’avait plus le regard plongé dans le plafond. Azéline se posait toujours une petite question et elle espérait bien en avoir une réponse un jours. Qu’est ce que ce plafond avait de plus qu’elle ?! C’est vrai après tout, elle était la , sur lui, à se demander qu’est ce que le plafond avait de plus.

Cela était loin d’être normal. Etait-elle perturbée ? Normalement non, mais peut être que oui. Azéline de son bout du doigt droit, laissa glisser son doigt sur l’épaule de Prosper et atteignit le rebord de la baignoire. Elle était d’une jolie couleur ocrée et Azéline trouvait pas spécialement cette couleur jolie. Cependant beaucoup d’élèves et même personnes non élèves devaient trouver cet baignoire très jolie et même voir la pièce magnifique. C’était vrai que la pièce était chaleureuse, accueillante, de jolie couleurs foncées. Par exemple, du noir, du mauve et cela Azéline appréciait. Pour tout avouer, elle se sentait pas des plus à l’aise dans des pièces de couleurs claires. Bizarre vous direz vous ! De toute façon Azéline était bizarre à la base. Portant souvent des vêtements foncés ou flashy elle portait rarement de blanc sauf un pantalon qu’elle adorait mais sinon jamais. La jeune femme détourna le regard de Prosper se demandant ce qu’il faisait et laissa glisser, le bout de son doigt mouillé sur le rebord de la baignoire.

De longues mèches blondes tombèrent sur le devant de son visage mais se décalèrent sur sa joue droite par la suite. Elles la chatouillaient. Azéline re-sortie sa main de l’eau et replaça ses mèches derrière son oreille. Quand Prosper s’approcha de son oreille et lui glissa « Vous avez aussi beaucoup de talent, Miss Evans... ». Azéline le laissa s’approcher sans le repousser au contraire, plus il avancerait mieux ce serait ma foie. La jeune Serpentarde sourira malicieusement quand Prosper lui dit cela. Sentant son souffle au creux de son oreille, elle se sentait bien se demandant ce que la suite réservait. Quand Wganer se recula doucement, il lui vola un baisé. Un baisé ?! Etait-ce elle, ou bien elle rêvait ?! Azéline n’aurait jamais crut qu’il lui redonnerait un baisé. Elle voyait Prosper comme un jeune homme timide, calme, bosseur, sérieux mais loin de la attiré, envié et prenant au jeu. Comment dire on pourrait même dire provocant la jeune femme qui ne refusait guère ses actes. Azéline ne savait pas à quoi il jouait. Elle resta dressée r s’étira légèrement sans bouger et d’un voix maligne lui répondit.

« Je sais … Je sais »

Mais qu’elle vantarde ! Azéline aimait ce montrer et surtout être remarquée mais rare était les foie qu’elle acceptait que l’on la fixe pendant des minutes entières. Ayant terminée de s’étirer, Azéline regarda un instant le plafond. Ah non pas elle aussi. Secouant légèrement la tête pour revenir aux faits, elle sourira à Prosper et ramena ses mains au niveau de son ventre à elle. Le regard figé dans celui du jeune homme, Azéline se posait de nouveau des questions. Pourquoi l’avait-il embrassé ?! Etait-ce du jeu pour lui ou bien était quelque chose de sérieux qu’il envisageait ?! C’était vraiment les deux petites , non longues questions qui trônaient en ce moment présent dans l’esprit de la Serpentarde. Jetant un regard vers la fenêtre, elle entendait le vent qui soufflait dehors. Plissant légèrement les yeux, les rideaux ce balançaient de long en large. Arf qu’est-ce que sa pouvait être stressant. Bref revenons à l’homme qui était faisait décidément se poser pleins de questions à la jeune femme. Regardant de nouveau Prosper dans les yeux, elle lui sourira et hésita a lui tirer la langue.

Oh et puis si après tout un jeu était un jeu et autant bien le faire de A à Z. Venant s’approcher de Prosper doucement, elle commença par se pincer les lèvres et passer sa langue dessus machinalement. Beaucoup de fois Azéline faisait certaines choses machinalement malgré qu’on pouvait croire fortement le contraire. Etant proche de Prosper mais pas au point de venir sentir son souffle, elle laissa glisser ses mains sous l’eau sur le vent de Prosper où elle laissa glisser ses mains sur la peau douce du jeune homme. Remarquant vite qu’il avait encore son pantalon, Azéline hésita quelques instants à défaire le bouton de son bas. Après tout qu’est-ce que c’était agaçant d’avoir le ventre compressé mais Azéline en faisant cela ne voulait pas qu’il est une autre idée de la chose. Elle n’était pas perverse du tout et puis aucunes idées « mal placées » lui passeraient pas la tête. Un léger sourire eaux lèvres, elle défis le bouton de son pantalon. Après tout, il pensait ce qu’il voulait. Azéline était parfaitement calme et savait très bien qu’elle était pas du tout perverse.

Arf mais en y réfléchissant bien était-ce vraiment une bonne idée ?! Et puis tant pis ! Elle sourira à ce dernier malicieusement même si elle ne voulait pas être malicieuse car en aucuns cas elle voulait lui faire penser autre chose. Azéline regardant ce dernier dans les yeux laissa remonter ses deux mains sur son torse qui était chaud et en plus il avait la peau douce comme une peau de bébé. Azéline aussi avait la peau douce mais rare les personnes qui avaient réussis à la toucher. Prosper ne bougeait pas et Azéline se demanda sur le coup si elle lui avait bloqué quelques chose ou autre. Après tout sa aurait pu. Ce dernier vint la regarder dans les yeux et Azéline soutenu son regard pendant quelques instants. Baissant les yeux pour venir se gratter le bout du nez, elle tourna la tête d’un coup sec pour éternuer. Arf décidément la fraîcheur de la nuit tombait mal. Plus la pièce se refroidissait plus la jeune femme aurait aimer être complément immergée dans son bain chaud.

En y pensant c’était Prosper qui en profitait. Il était quasiment complètement immergé dans SON bain et en plus … Raaah non elle ne pouvait pas lui en vouloir. Soupirant légèrement, la jeune femme glissa doucement ses mains le longs de Prosper pour venir toucher le fond de la baignoire. Pendant quelques secondes elle chercha ou il était et elle le trouvait enfin. Un léger sourire intérieure elle posa doucement ses deux mains à plat à la limite de sous lui. Etant donc maintenant très proche de lui, elle avait son buste qui touchait son torse et son visage près du sien. Elle n’ouvrit pas la bouche et se contenta d’apprécier le peu d’eau chaud qui avait peut être gagné 20 centimètres sur elle. Ce dernier la regardait dans les yeux et Azéline en faisait autant quand il lui posa une question. « Miss Evans, me feriez-vous l'honneur de m'accompagner au bal ? ». Lui avait-elle pas déjà répondu ? Elle lui répondit de nouveau alors en venant lui glisser à l’oreille.

« Je ne vous ai pas déjà répondu Monsieur Wagner ? Je crois que oui … mais si vous insister à que je le redise se sera … oui »

Dit-elle en souriant à son oreille. C’était pas la première fois que un garçon l’invitait ou autre mais elle avait envie de s’amuser et puis de toute façon, elle y serait tout de même allé histoire d’embêter son monde ou encore s’amuser avec June ou autres personnes. Bref. La Serpentarde se redressa doucement, et ne s’arrêta pas proche du visage de Prosper. Pourquoi autant jouer, à la fin sa deviendrait une lassitude pour elle et surtout pour lui. Le pauvre ! Azéline calme, le fixait d’un regard malin et gardant ce sourire pareil, elle était posée. Tout à coup la petite fenêtre ouverte claqua violemment et Azéline d’un vif réflexe tourna la tête. Sa nuque craqua sur le coup et la jeune femme tira une moue. Satanée fenêtre. Pendant quelques secondes, elle hésita à se lever et à aller la fermer. Si elle se levait, Prosper allait peut être partir à toutes enjambées ?! Qui sait…

Azéline détourna le regard sur le jeune homme de Serdaigle et soupira. Un frisson par coura son dos qui son buste était maintenant mouillés. Le vent plus le mouillé ne faisait jamais bon ménage. Un frisson lui parcouru le corps de nouveau. La fenêtre claquait des fractions de secondes contre le rebords. Cela allait vite agacer la jeune femme qui ne supportait pas les bruits répétitifs. Rien de tel pour lui donner des frissons de colère. D’un doux geste la jeune femme se redressa doucement et sortie de l’eau faisant gaffe à ne pas faire mal au jeune homme. Les gouttelettes d’eau tombèrent sur le sol et Azéline se précipita vers la fenêtre pour la fermer. D’un seul coup la chaleur ambiante de la pièce revint à sa température très agréable du début. La jeune femme passa un brève main dans ses cheveux pour les mettre de nouveau en bataille et s’avança du miroir. Se regardant dedans, elle remarqua que sa peau étaient remplie de petits points.. Qu’était-ce ? Les frissons tout simplement.

Azéline resta pendant encore quelques instants prostrée devant l’immense miroir qui s’offrait à elle. La lumière passait de moins en moins dans la pièce et le soleil se couchait derrière les collines. S’essuyant les mains, elle alluma la grande lampe accrochée au miroir ce qui permis de donner plus de lumière à la pièce déjà sombre d’avance. Observant Prosper dans le miroir elle sourira malicieusement et se retourna pour revenir vers ce dernier. S’aseillant sur le rebord de la baignoire, près de lui, elle donna un petit coup de main dans l’eau. Rien n’atteignit le jeune homme jusqu’a moment ou Azéline l’éclaboussa. Fait exprès ?! Bien sur que oui, elle voulait décidément embêter le jeune homme et sa marcherais certainement. Quoi que ! Elle se demanda sur le coup si c’était une bonne idée de rester assise ici sur le rebord de la baignoire car si vous vous rappelez bien, elle l’avait mit a l’eau et maintenant il était à sa place dans l’eau. Oserait-il renverser Azéline dans l’eau ?! Elle lui lançait le défis … Un défis envié du regard. Allait-il le faire ou n’allait-il pas le faire ? La jeune femme doutait fortement sur ce coup la …
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMar 16 Oct 2007 - 21:07

Son esprit qui analysait toujours chaque situation passa en revue les évènements depuis qu'il avait ouvert la porte de la salle de bain. Premièrement, Azéline lui avait demandé ce qu'il faisait là sans même paniquer et il avait tenté de s'excuser maladroitement : ce qui n'avait pas donné grand chose. La Serpentarde lui avait dit que ce n'était pas grave, 'au contraire', et avait verrouillé la porte avant de mettre la clé dans son...soutient-gorge. Bon, jusque là, lui n'avait rien fait qui mérite d'être puni. Ensuite, il avait tenté de paraître indifférent et s'était présenté, bientôt imité par la verte et argent qui l'avait ensuite poussé dans la baignoire. Encore une fois, elle était la fautive. Il avait tenté de la narguer sur le fait qu'elle avait froid, mais ça n'avait mené à rien de bien bon sinon que la jeune fille lui déboutonne sa chemise et lui demande ce qu'il aime dans la vie. De nouveau, c'était Azé' la vilaine Serpy qui s'acharnait sur lui. Mais à partir de ce moment-là, il n'était plus tout à fait innocent, il fallait l'avouer. Il l'avait tout de même un peu provoqué par la suite. Mais juste un peu, hein ! Tout ça n'aurait pas dû les conduire à pareille situation.

Surtout pas à...un, deux, trois...Trois baisers. Dont un volé. Après ça, impossible de revenir à la salle commune et de suivre sa routine habituelle. De toute façon, il ignorait quelle heure il était, mais il risquait de rentrer en retard pour la deuxième fois de toute sa scolarité. Et tout ça pour une fille. Une fille ! Vous vous rendez compte ? Pour Prosper, violer le règlement à cause d'une fille était un geste impensable. Comment pouvait-il même oser penser que cela pouvait être possible ? À moins qu'il ne profite de la première occasion pour s'éclipser ? Peut-être réussirait-il à trouver un moyen de traverser les quelques étages en moins de deux et de regagner le dortoir sans que personne ne le remarque. Cela semblait irréel, tout simplement. Il lui aurait fallu une cape d'invisibilité ou un sortilège de Désillusion très puissant pour que personne ne voit ses vêtements trempés. Pendant un instant, il hésita à expliquer à sa compagne qu'il devait partir, là, tout de suite, s'il ne voulait pas de tache à son dossier scolaire.

Après qu'il l'eut à son tour complimenté sur sa manière d'embrasser, Azéline se contenta d'un petit 'Je sais, je sais' d'une façon digne de la Serpentarde prétentieuse et hautaine qu'il s'était imaginé. Il esquissa un sourire amusé et regarda de nouveau le plafond. Il n'aurait jamais cru trouver un jour la vantardise mignonne. Oui, chez la verte et argent, le fait de se vanter la rendait charmante. Ou plutôt encore plus charmante qu'elle ne l'était déjà. La seule fois où il s'était risqué à discuter avec sa cousine Klarissa du genre de fille qu'il recherchait, elle avait éclaté de rire. Lui, chercher une femme de tête ? Et puis quoi encore ! Elle avait déclaré que jamais il ne survivrait à une telle relation, lui qui aimait gérer sa vie sans l'aide de personne, lui qui tenait à sa petite routine, lui qui ne partageait que rarement son temps ! La femme qu'il cherchait se lasserait bien vite d'attendre un peu d'attention de sa part...Mais Prosper s'était contenté d'hausser les épaules et de continuer à écrire. Sa cousine n'était pas de bons conseils en matière d'amour de toute façon.

Le Serdaigle posa les yeux sur Azéline et fut surpris de la voir aussi...enfin, à force de regarder le plafond, il en avait presque oublié les éclats de malice qui pétillaient dans les yeux de sa compagne. N'avait-elle pas d'autres expressions en réserve ? Elle semblait toujours sourire, dégageant une sorte d'estime de soi très élevée. Prosper lui aurait bien demandé pourquoi elle faisait cette tête, mais il n'osait plus parler. Surtout parce que la demoiselle venait de faire quelque chose qu'il n'aurait jamais cru possible, si maligne et joueuse soit-elle. La chemise : passait encore, mais le pantalon : il y avait tout de même des limites à ce que son sens moral pouvait supporter. D'ailleurs, il avait déjà bien du mal à faire taire les 'Par la barbe de Merlin !' et les 'Nom d'un sorcier sans baguette !' qui fusaient dans son esprit. Heureusement, il arrivait toujours à garder ses mains loin du corps de la demoiselle. Le bleu et bronze ne put s'empêcher d'esquisser un sourire moqueur lorsqu'Azéline éternua. Pff, tiens, il n'allait pas se montrer compatissant tout de même, c'était sa faute à elle !

Mais trêve de bavardage, il fallait qu'il passe aux choses sérieuses, soit l'inviter au bal. Ce qu'il fit dans les plus brefs délais...enfin, façon de parler. D'ailleurs, il se sentit terriblement idiot quand la jeune fille lui dit qu'il lui semblait avoir déjà répondu à cette question. Certes oui, elle avait déjà dit qu'elle accepterait une invitation mais il n'avait pas fait de demande officielle jusqu'à maintenant et il était de son devoir de l'inviter en bonne et dûe forme, nah ! Soulagé de sa réponse tout de même, se dessina sur ses lèvres un sourire satisfait. Quelle tête ferait les autres, hein, maintenant qu'il était accompagné d'une fille de Serpentard ? Les autres qui lui reprochaient tous de ne pas savoir parler aux filles, de ne pas savoir s'amuser, d'être incapable de quitter ses devoirs ne serait-ce qu'un soir ! Ce serait bien fait pour eux ! Dès demain, il écrirait à sa cousine Klarissa. Et à son cousin Tobias aussi. Et à ses parents. Et à sa tante et son oncle ! Eux aussi avaient toujours cru que le cadet de la famille était destiné à travailler sans relâche. Lorsqu'ils apprendraient qu'il avait, pour la première fois, une cavalière pour le bal, ils en seraient sûrement très surpris.

Il sursauta lorsque la fenêtre claqua : Satanée fenêtre qui venait le déranger dans ses réflexions et le ramener à la réalité ! L'adolescent regarda un instant la fenêtre, regarda la Serpentarde et hésita à lui proposer d'aller la fermer. La voilà qui frissonnait la pauvre...Non, pas de compassion. La fenêtre continuait de claquer, mais Prosper était habitué aux bruits répétitifs. Le grattement de sa plume sur le parchemin, les gouttes de pluie contre une fenêtre, le tapement du pied impatient d'un élève qui attendait une évènement quelconque, les coups réguliers du bec d'un hibou qui cognait sur une vitre...Aucun petit bruit ne pouvait le déranger. Par contre, les bruits dans les endroits les plus silencieux lui tapaient sérieusement sur le système. Comme lorsque les élèves ne faisaient pas attention à la bibliothèque. Ceux-là, il avait envie de les accrocher par les oreilles aux anneaux du terrain de Quidditch : ils allaient là, les élèves bruyants. Allez crier et vous amuser là où vous n'avez pas besoin de votre intelligence et laissez les étudiants sérieux travailler en paix ! Voilà ce qu'il avait envie de leur dire.

Le jeune homme suivit la verte et argent des yeux lorsqu'elle sortit de la baignoire et se dirigea vers la fenêtre pour la fermer. Elle se posta ensuite un instant devant le miroir et le Serdaigle ne put s'empêcher de penser que SA cavalière avait décidément beaucoup de charme. À la fois mature et pourtant aussi joueuse qu'une gamine, fière sans pourtant être étouffante de confiance, Azéline Evans était vraiment 'un beau brin de fille' comme aurait dit l'oncle Lithius. Elle resta un moment à s'observer dans la glace avant d'allumer la lampe au-dessus du miroir. La lumière se diffusa dans la pièce, éclairant juste comme il le fallait la petite salle de bain. Elle revint ensuite vers la baignoire et Prosper pensa qu'elle reprendrait sa place initiale, mais au lieu de cela, elle s'installa sur le rebord du bain et donna un petit coup sur la surface de l'eau. Le Serdaigle regarda les petites vagues formées par le coup, puis leva les yeux vers Azéline...Elle avait quelque chose derrière la tête, non ? Oh si ! Son expression la trahissait ! Il n'y avait aucun doute, elle allait...! Voilà, elle l'avait éclaboussé.

Prosper resta un moment abasourdi par l'eau qui coulait sur son visage, puis adressa un sourire étrange à la Serpentarde. Elle prévoyait sûrement se retrouver à l'eau, hmm ? Et non ! Non, si elle voulait profiter de son bain, il faudrait qu'elle y retourne toute seule, le jeune homme n'avait pas l'intention de la balancer dans la baignoire ! Il prit appuis sur le rebord et se releva avant de rattacher son pantalon -le poids de l'eau aurait pu lui enlever et il n'avait pas l'intention de se rendre encore plus ridicule. Il sortit ensuite de la baignoire, amenant avec lui une quantité d'eau impressionnante -le tissu ayant retenu l'eau jusqu'à maintenant, il venait de faire un messe digne de Mimi Geignarde-, puis secoua la tête, amusé.


« Je crois que Rusard va avoir du boulot à faire quand nous sortirons d'ici... », se moqua-t-il en faisant quelques pas sur le sol mouillé.

Il se retourna ensuite vers Azéline et s'approcha d'elle jusqu'à ce qu'ils ne soient plus séparer que par quelques centimètres.


« N'y voyez pas d'offense, Miss, mais je vais devoir vous...quitter, pour le moment du moins. Ce n'est pas parce que j'en ai envie, bien entendu, mais le devoir m'appelle et je ne voudrais pas rentrer en retard. D'ailleurs, je ne crois pas que votre directeur de maison, le professeur Rogue, laisserait passer un tel manquement de votre part...n'est-ce-pas ? »

Il hésita un instant avant de l'embrasser une nouvelle fois. Cette fille agissait comme un aimant ; il avait beau vouloir quitter cette pièce, tenter d'obéir aux règles et à sa conscience, mais la présence de la demoiselle l'en empêchait totalement. Il posa sa main droite sur la taille de la Serpentarde avant de mettre fin au baiser.

« Me laisserez-vous retourner à mes occupations, Miss Evans ? », murmura-t-il en regardant Azéline dans les yeux.

Est-ce qu'il avait beaucoup de devoirs ? Pour sûr, il devait réviser son cours d'histoire...Ah ! La voilà la raison pour laquelle il était de mauvaise humeur ! Le professeur Binns qui n'avait pas précisé la date de ce qu'il racontait ! À cause de ça, il n'avait pas pu l'écrire dans son cahier de notes et il lui manquait maintenant une information importante ! Peut-être qu'il pourrait retourner voir l'enseignant dès demain pour lui demander plus de précisions ? Pendant la première pause par exemple ! Ou peut-être l'heure du déjeuner ? Les fantômes ne mangeaient pas...Si ? Bon, lui sauterait un repas mais ça n'était pas bien grave, il n'aurait qu'à manger quelque chose à la pause entre le troisième et quatrième cours ou alors il attendrait au dîner, un repas de moins ne changerait pas grand chose. Pour l'instant, il avait déjà sauté le dîner d'aujourd'hui. Peut-être restait-il une unique petite chance qu'il puisse manger quelque chose ce soir ? Une virée dans les cuisines s'imposait peut-être...

Arf, les cuisines...Non, finalement, il préférait attendre le petit-déjeuner de demain matin, parce qu'il ne souhaitait pas réellement se rendre dans les cuisines. Et puis, tarder encore un peu ici ne lui ferait pas de mal...Non ? Sa conscience -revenue de son congé- le réprimanda. Il s'était déjà porté absent à l'heure du dîner, tout le monde se questionnerait s'il déclarait son absence à l'heure du coucher en plus ! Demain matin, on se moquerait de lui et il aurait sûrement le droit à des réflexions du genre 'Dis donc, tu t'es endormi à la bibliothèque ? Je croyais que tu trouvais la lecture intéressante, pas endormante !'. Il y avait tout particulièrement des lèves-tôts qui n'en manquaient pas une ces derniers temps pour le narguer. Était-ce parce qu'il était amusant à embêter ?
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptySam 20 Oct 2007 - 12:04


La jeune femme était toujours assise sur le rebord de la baignoire. Les fesses mouillées et le tissus de sa culotte lui collait à la peau tout comme son soutient- gorge. Désagréablement installée sur la baignoire, elle avait des frissons. Des frissons sur la peau qui ne cessaient de venir. Qu’elle idée de rester en dehors de l’eau après s’être mise à « s’amuser » dans l’eau chaude avec son compagnon. Elle était gelée. Les gouttelettes d’eau qui tombaient petit à petit coulaient le long de son corps faisant de plus en plus glaciales les sensations du froid. La fenêtre était maintenant fermée mais peut importe les quelques courant d’airs du grand couloir sombre passait sous la porte bien fermée à clef. La clef avait rapidement été glissée dans son soutient-gorge mais entre temps elle l’avait glissée dans la poche de son sac posé sous la vasque du lavabo. La lumière donnait une luminosité assez tamisée rendant la salle de bain assez sympathique. Rare avait été les fois ou elle c’était retrouvée dans un endroit comme cette salle de bain qui pouvait-on dire faisait rêver.

Le regard posé sur l’eau, elle observait Prosper. Non pire encore elle le dévorait. La main faisant des petit mouvements rapides au début dans l’eau commençait a s’engourdir. Un petit sourire aux lèvres,, tout était calme. Très calme. Pas une personnes dehors, pas un bruit dans le couloir, rien. Ils pouvaient se crier dessus personnes ne les entendraient certainement hormis Rusard peut être quand il viendrait faire sa ronde. Mais il n’était pas assez tard encore pour que le vieux bonhomme vienne les déranger maintenant. Azéline resta assise encore pendant de longues minutes sur le rebords froid de la baignoire. Elle le fixait du regard et le voyant bouger, se dit qu’il ne mettrait pas avec lui dans l’eau. Cela ne l’étonnait pas. Il était de Serdaigle et il allait certainement vouloir s’enfuir à toutes enjambée pour aller dans son dortoir faire ses devoir certainement. Un regard imposant qui suivait le jeune homme. Elle regardait l’eau qui coulait sur son visage et lui répondit à son sourire quelque peu étrange fallait le dire. Frissonnant de nouveau, elle enleva sa main de l’eau et le suivit du regard.

Prosper s’appuya sur le rebord de la baignoire mais Azéline ne bougeait pas ses fesses de là. Toujours assise elle observait l’attitude du jeune homme. Ce dernier referma son pantalon et Azéline eut un petit sourire amusé. Il avait peur de quoi ? Qu’elle lui saute dessus et lui enlève carrément ? Azéline sourira malicieusement au Serdaigle et tourna sur le rebord pour suivre les faits et gestes de Prosper. Le voyant sortir, elle soupira se disant que effectivement il allait certainement partir, peut être pas comme cela donc elle pourrait profiter de l’embêter encore un peu mais cependant elle laissa échapper un petit rire amusée de toute l’eau qui coula sur le sol. Non sang c’était carrément des marre d’eau qu’il venait de lui faire là. Elle sourira regardant Prosper et se mit elle même debout regardant si sa faisait pareille pour elle. Arf ben non elle était quasiment dénudé. Elle soupira et faillit glisser sur une grosse flaque d’eau mais se retenu à la vasque du lavabo. Heureusement qu’elle était la celle la. Elle sourira à Prosper et répliqua toujours plus ou moins amusée.

« J’avoue que là… »

Dit-elle doucement mais d’une voix toujours aussi malicieuse. Son regard se posa sur le sol à carreaux noir et blanc totalement mouillé. Les rideau mauves se reflétaient dedans et Azéline voyait sa bouille de même dedans.Elle soupira et enleva et passa une main dans ses cheveux qu’elle ébouriffa un peu pour lui donner une attitude plus sauvage comme elle l’aimait temps. Revenant regarder Prosper elle remarqua que se dernier était tout près d’elle. Relevant le regard, elle le regarda dans les yeux et sentit la chaleur du corps du jeune homme taper contre son corps à elle. Ils se touchaient pas. La jeune femme le fixa de ses deux billes vertes claires. Il prononça un sacré bout de paroles et Azéline l’écouta attentivement. « N'y voyez pas d'offense, Miss, mais je vais devoir vous...quitter, pour le moment du moins. Ce n'est pas parce que j'en ai envie, bien entendu, mais le devoir m'appelle et je ne voudrais pas rentrer en retard. D'ailleurs, je ne crois pas que votre directeur de maison, le professeur Rogue, laisserait passer un tel manquement de votre part...n'est-ce-pas ? » lui avait-il dit. Azéline sourira.

« Rogue ne m’a encore jamais pris Monsieur Wagner et il ne me prendra jamais. »

Répondit-elle avec un petit sourire mystérieux et sur d’elle. Ce dernier avança son visage près du sien et l’embrassa. Azéline s’attendait pas du tout à ce geste qui devenait presque naturel. Au début du jeux. Oui que du jeux, Elle avait vu Prosper tout timide, tout réservé et la il l’embrassait de son plein gré. Bizarre ! Cependant bizarrement Azéline ne le repoussa pas et se contenta de poser une main sur son torse chaud. La main de Prosper vint se glisser sur sa hanche droite. Azéline frissonna à se contact assez agréable. Se collant à lui, elle continua de l’embrasser encore un fraction de secondes. Prosper cessa le baisé et Azéline le fixa un air assez étonnée avec un petit sourire. Bizarre vraiment très bizarre se qui se passait entre les deux jeunes. Azéline ne s’avancerait pas plus que cela sans savoir ce qui se passait. Reculant d’un demi pas, elle laissa glisser sa main sur son torse chaud et soupira de bien être. La pièce c’était réchauffée de nouveau grâce à la lumière et elle regarda Prosper qui lui sortit une phrase. Elle lui répondit doucement sans agression d’une voix malicieuse.

« Je ne vous retiendrais pas Monsieur Wagner… Vous êtes libre de vos choix. »

Cette dernière se recula de lui à contre cœur. Elle serait bien restée encore un peu dans ses bras, mais il voulait partir , elle le laisserait partir. Un petit sourire aux lèvres, elle fit demi tour et s’avança doucement vers le grand miroir qui était au dessus de la vasque. La lumière tapait dans le miroir et faisait des reflets assez jolis qui se dispersaient dans la salle de bain qui était d’ambiance assez … ne disons pas romantique mais très agréable. Azéline frissonna et passa un coup de brosse dans ses cheveux blonds crème qui avaient sécher plus ou moins. Les remettant en bataille, elle dévorait Prosper dans le miroir. Passant un léger voile d’eau sur son visage, Azéline soupira et s’aseilla sur le côté du lavabo. Elle regarda Prosper remuant les jambes le longs du meuble pour se libérer un peu. Un regard malin, elle fixait Prosper toujours habillé de son pantalon qui lui collait aux jambes imbibés d’eau. Elle avait bien envie de tout lui enlever . Non bien sur pas tout mais le gros et de tout essorer. Une pointe de stresse monta en elle voyant toute l’eau. Le voyant planté au milieux de la salle la jeune femme lui dit pour le taquiner un peu.

« Toujours pas parti ? »

Azéline lui sourira. Elle avait dit cela juste pour rigoler bien sur. D’ailleurs en y pensant beaucoup de personnes prenait Azéline jamais à la légère. Toujours cette pointe de fermetée elle faisait peur aux plus jeunes qu’elle croisait. Un regard noir et froid, une voix mystérieuse et dur, un sourire sadique et méchant. La jeune femmeavait tout pouyr faire peur. Mais pas à tout le monde aparament. Elle l’observait avec importance et cherchait à trouver qu’est ce qui ce passait et surtout ce qui c’était passé. Le voyant tremper, elle se pencha et prit sa serviette de bain et resta prostrée devant son miroir en le regardant discrètement. Se retournant elle s’avança vers Prosper le draps de bain en main. Un petit sourire aux lèvres, elle regardait par terre mais remonta le regard quand.. AAAH ! Qu’est-ce qui c’était passer ? Azéline venait de glisser sur l’eau qui avait atteints le pied du lavabo. Bon sang elle ne l’avait pas vu cette flaque. Glissant , elle se jeta sur Prosper malencontreusement et atterrit dans les bras du jeune homme de nouveau. Ma parole c’était un aimant ce gars ! La jeune femme se redressa et éclata de rire.

Beaucoup de personnes auraient trouvé cela marrant mais se rire était plus nerveux que autre chose. Se redressant un peu elle se calma et souffla un instant. Le draps de bain faillit tomber dans l’eat mais Azéline le rattrapa vite fait. Elle frissonna. Venant passer doucement la serviette autour des épaules du jeune homme, elle sourira à Prosper et laissa deux doigts de sa main droite monter un par un sur le centre du torse de Prosper. Il avait chaud. Mais comment qu’il faisait pour na pas attraper froid ? La jeune femme le regarda dans les yeux et se recula un peu voir la réaction du jeune homme. Elle se retourna et retourna devant le grand miroir. Des frissons s’installèrent de nouveau sur sa peau et Azéline soupira. Un nouveau courant d’air passa dans la salle de bain. La porte était fermée à clef, la fenêtre fermée de même. Ils étaient tout les deux cloîtrés dans cette salle de bain. Imaginez que des élèves les avaient vu comme cela elle à moitié dénudé et lui pantalon ouvert et chemise ouverte. La galère totale. Les idées mal placée de certains élèves pouvaient porter à confusions. La jeune femme fut soulagée de ne pas avoir oublié de fermé la porte si jamais. Azéline resta poster devant le miroir et enroula une mèche de cheveux autour de son index. Elle le regardait dans le miroir, les lèvres légèrement pincée, elle le dévorait de nouveau.

[ Désolé c’est légèrement plus court que le tiens = / ]
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMer 24 Oct 2007 - 10:17

Sortir de la baignoire était-il vraiment la meilleure solution ? Non seulement il venait de faire une innondation digne de Mimi Geignarde -n'était-elle pas une élève de Serdaigle de son vivant ?- mais en plus c'était un grand pas vers la sortie. Est-ce qu'Azéline en serait vexée ou peut-être déçue ? À moins qu'elle ne soit soulagée de pouvoir prendre son bain enfin seule ? De toute façon, quelle que soit sa réaction, il devait sortir et retourner à la salle commune dans les plus brefs délais, au risque d'affronter les questions non seulement de Rusard mais aussi du professeur Flitwick et du professeur Dumbledore ainsi que -éventuellement si on le prenait avec Azéline- du professeur Rogue qui déborderait de commentaires cyniques et d'allusions plus ou moins saines face aux intentions des deux adolescents. Est-ce que le Serdaigle pourrait se contenter de dire qu'il avait surpris, totalement par hasard, la jeune fille en sous-vêtements ? Encore faudrait-il qu'il explique pourquoi il était trempé de la tête aux pieds et pourquoi sa chemise était déboutonnée.

Il pourrait peut-être dire qu'avec sa maladresse, il était tombé dans la baignoire et qu'il avait déboutonné sa chemise dans le but de l'essorer. Est-ce que les professeurs croiraient à cette excuse ? Il jeta un coup d'oeil au sol : Rusard aurait du travail. Et si Miss Teigne venait à passer, il pourrait commencer plus tôt que prévu. Quelle serait leur punition à eux ? Aider Rusard à nettoyer ? Éviscérer des crapauds cornus pour Rogue ? Quoi qu'il en soit, un enseignant devrait se tenir sur place car seul avec Azéline dans une pièce quelconque, leur retenue se transformerait en quelque chose de plus plaisant et moins digne d'une punition. Et s'ils se faisaient prendre, ils étaient bons pour avoir des retenues toute l'année scolaire, ce qui empêcherait Prosper de travailler comme d'habitude, ce qui le retarderait dans ses devoirs et ce qui aboutirait finalement à des notes minables en fin d'année. En plus, plus de temps il passerait seul avec Azéline et plus il se plairait à jouer ce jeu-là...

La Serpentarde semblait sûre d'elle : Rogue ne la prendrait jamais selon elle. D'ailleurs, elle avait raison. Elle n'avait qu'à s'essuyer et se rhabiller avant de rejoindre sa salle commune, personne ne lui poserait de questions. Par contre, lui, était dans de beaux draps. Il n'avait rien pour se changer et risquait de laisser de l'eau dans les couloirs jusqu'à sa salle commune. Existait-il un sortilège pour sècher les vêtements ? Si c'était le cas, il faudrait qu'il l'apprenne rapido presto pour s'en servir tout de suite et maintenant. Ou alors, il devait s'améliorer dans les sortilèges de Désillusion et en utiliser un assez fort pour cacher le fait que ses vêtements étaient trempés. Peut-être pourrait-il se glisser dans une armure et se prendre pour une statue enchantée ? Il n'aurait qu'à traverser les couloirs sans même qu'on hausse un sourcil sur son passage et abandonnerait son costume avant d'entrer dans la salle commune. De là, il se ruerait dans le dortoir pour se changer, puis ressortirait en douce et reviendrait de nouveau avec son sac et tout comme si de rien n'était.

D'après Azéline, il était libre de ses choix. Encore fallait-il qu'il trouve des solutions à ses problèmes, et ce, avant même de songer à pouvoir partir. La voilà qui se regardait de nouveau dans le miroir, agissant comme s'il n'était pas là, comme si elle venait de prendre un bain tout à fait normal. Il baissa les yeux et soupira, réalisant peu à peu dans quelle situation il s'était mis. Et agir comme il l'avait fait ne l'avait pas aidé du tout, même si le bleu et bronze s'était ainsi trouvé une cavalière pour le bal. Il aurait dû penser à ses études plutôt qu'à ce stupide bal, aux filles et à la réaction de ses camarades. On se fichait bien de la tête que pouvaient faire ces Horglups incapables de voir qu'il y a plus important que le divertissement ! Prosper Wagner, Serdaigle jusqu'au bout des doigts, amoureux des livres et des cours, élève brillant qui préfère les excès de zèle envers ses enseignants pour bien se faire voir plutôt que d'aider ses camarades : c'était lui ça, le 'lui' qu'il avait abandonné en rentrant dans cette pièce et qui revenait maintenant à la charge.


« Toujours pas parti ?
- Oh...Hum, je...Excuse-moi, je partais à l'instant... », s'excusa-t-il d'une voix peu confiante.

Il la regarda, hésitant encore à s'en aller à cause de diverses raisons un peu embêtantes. Premièrement, il était de nouveau troublé par la présence de la Serpentarde et ignorait sur quelle note il devait la laisser. Un très poli "Nous nous reverrons bientôt, je l'espère" ou alors un dernier baiser passionné assez sucré pour apparaître dans les films romantiques devant lesquelles sa mère se mettait toujours à pleurer du temps où ils avaient la télévision ? Deuxièmement, le Serdaigle cherchait encore et toujours comment il allait retourner dans sa salle commune sans se faire remarquer. L'idée de l'armure avait son charme mais il préférait nettement essayer un sortilège de Désillusion. Par contre, il faudrait qu'il se rappelle du texte qu'il avait lu dans son manuel de cette année car ils aborderaient ce sortilège cette année et il ne le connaissait pas encore. Et enfin, troisièmement, Azéline semblait avoir oublié que la clé était toujours en sa possession, quelque part dans son...soutient-gorge. Et oui, car Prosper n'avait pas remarqué qu'elle avait rangé la clé dans son sac et croyait toujours qu'il n'y avait aucun moyen de déverrouiller cette porte sans sa baguette. Mais l'usage de la magie étant interdite dans les couloirs, il préférait encore récupérer la clé de force plutôt que de contourner le règlement.

Azéline se dirigea alors vers lui, une serviette entre les mains, et...zouh! Le Serdaigle la vit glisser pendant une fraction de seconde dans l'une des flaques d'eau avant qu'elle ne se jete dans ses bras comme dans ces comédies romantiques où deux protagonistes parfaitement différents l'un de l'autre se retrouvent dans une situation cocasse et tombent en amour. Pathétique...Pendant un instant, alors que la verte et argent éclatait de rire, Prosper ne put s'empêcher de réaliser à quel point leur situation était pathétique. C'était à la fois ridicule, mignon et pourtant tellement pathétique. Il y a un instant, alors qu'ils étaient encore dans la baignoire, c'était tout à fait plaisant. Mais maintenant que le Serdaigle était redevenu non pas l'oiseau de proie qu'il était quelques instants auparavant mais le poussin intellectuel qu'il avait toujours été, il se demandait bien comment il avait fait pour se retrouver aussi proche d'une Serpentarde qui n'agissait pas ainsi avec les inconnus.

Comment il faisait pour ne pas attraper froid ? Rien de plus simple. Il n'avait qu'à se tenir là, près d'Azéline. Et puis, de toute façon, il n'avait jamais froid ; sauf certains matins de janvier où il se réveillait complètement frigorifié, dans ces cas-là, il prenait une grande inspiration et se rendait dans la salle commune comme si de rien n'était, jetant à peine un regard à ceux qui se serraient les coudes sous de chaudes couvertures. L'adolescente frissonna avant de retourner devant le miroir. Était-elle légèrement narcissique ? Se regarder comme ça dans le miroir, à répétition, relevait d'un profond manque d'attention, pour sûr, et...Prosper fronça légèrement les sourcils. Mais ce n'était pas qu'elle observait ! Elle le regardait lui, à travers le miroir, tout en jouant avec une mèche de ses beaux cheveux blonds. Prosper esquissa un sourire en coin et s'approcha d'elle en faisant bien attention pour ne pas glisser dans les flaques d'eau. Il posa ses mains sur les hanches de la jeune fille et frôla son épaules du bout des lèvres avant de regarder son visage dans le miroir.


« Je voudrais bien partir, mais il reste quelques points à règler...Premièrement, une partie de moi refuse de quitter cette pièce et ton agréable compagnie...Et deuxièmement, Azéline, tu as toujours la clé et je ne veux pas utiliser la magie pour sortir d'ici. »

Il adressa un bref sourire au reflet de l'adolescente puis la lâcha doucement et tourna les talons pour rejoindre son sac laissé près de la porte. Là-dedans, il n'avait rien de bien utile. Des manuels différents, pour la plupart des matières enseignées à Poudlard -dont les sortilèges et enchantements, l'histoire de la magie, la métamorphose, les potions ainsi que plusieurs livres concernant la botanique. Il traînait aussi son nécessaire de potions, rempli de divers ingrédients, tendrement préparé par sa cousine Klarissa et trois encriers, dont un vide. Il possédait aussi huit plumes -six plumes d'oie, une plume de corbeau et une plume d'aigle, conservées dans un coffret plat- et une quantité impressionnante de rouleaux de parchemins. Ses cahiers de notes s'entassaient contre le bord, ne laissant pas de place pour quoi que ce soit d'autre. Décidément, il ne trouverait rien qui puisse l'aider dans tout ce bric-à-brac, si ce n'est de sa baguette, rangée quelque part dans l'une des poches du sac.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptySam 27 Oct 2007 - 9:05


Azéline restait le regard plongée dans le miroir. Un miroir tellement grand que en y pensant bien il ne devait même pas faire sa taille de haut en bas. Il fallait bien compter deux mètres sur un mètre cinquante de largeur. La lumière ornait le miroir parfaitement bien et la jeune femme continuait encore et toujours de jouer avec une de ses mèche blonde de cheveux. Les yeux verts clairs dévorant toujours le jeune Prosper des yeux, ses lèvres dessinèrent un petit sourire en coin de bouche. En le regardant bien, il était fortement mignon et avait tout ce qui pouvait plaire à une jeune femme tel que les Serpentardes ou encore les Serdaigles bien studieuses et calmes. Car ou les autres filles ne le trouveraient peut être pas assez mignons pour elles ou bien elle lui trouverait des défauts tellement stupide. Malgré que Prosper avec des qualités , il avait aussi certainement des défauts. Déjà son premier atout était complètement son regard si perçant puis son sourire et ses attitudes donnant tout son charme.

Après avoir pendant quelques minutes analysée le physique du jeune homme, elle cessa de sourire bêtement. Sa devenait niais ma parole. Un léger sourire joueur elle regarda de nouveau Prosper dans le miroir. L’eau des grosses flaques d’eau reflétaient plus ou moins dans le grand miroir. Venant à se retourner, elle appuya son dos contre le mur froid de pierres lisses légèrement humidifiée par rapport à la température fraîche de dehors. Regardant les flaques elle réalisa que Rusard ou bien les elfes de maisons auraient vraiment du boulot une fois qu’ils seraient partis sauf si ils se faisaient chopper tout les deux et qu’ils étaient condamnée à nettoyer la salle de bain de fond en comble. Après tout Rusard pouvait les planter la tout les deux. Elle et Prosper dans la même salle mais cela tournerait vite à l’amusement qu’au nettoyage de la grande salle de bain. La jeune femme sourira légèrement pour elle même à cette pensée. Regardant Prosper de nouveau lui répondre elle laissa échapper un petit rire et lui dit d’une voix calme.

« Oh mais prends tout ton temps. »

Sourit-elle malicieusement. Jetant un regard au sac de Prosper un peu plus loin près de la porte fermée à clef, Azéline plissa doucement les yeux se demandant ce qu’un jeune homme comme le Serdaigle pouvait bien trimballer. Malgré qu’il était connu que tout les Serdaigle se trimballaient avec des livres, elle se demandait fortement si Prosper était pareil que les autres. Malheureusement certainement. Malgré les petites idées déplaisantes que la jeune vipère avait en tête, elle se redressa pour revenir se regarder cette fois ci elle , dans le miroir. Jetant cependant quelques petits regards furtifs sur Prosper elle venait de se pencher au dessus du petit fauteuil ou elle avait posée sa serviette quelques minutes avant qu’elle n’aille sur les épaules du jeune homme. Son, cœur balançait de droite à gauche ne sachant pas trop que croire sur les petits gestes tendres et doux du jeune homme. Azéline avait rarement été dans une situation aussi bizarre. Son cœur ne savait plus quoi croire ni son esprit d’ailleurs. Elle était perdu.

Peut être dirait-il ou ferait-il quelques chose qui mettrait la limites de ses pensées ? Azéline l’espérait car de se moment précis elle doutait de tout gestes qu’elle faisait et de tout gestes que lui faisait. La jeune Vipère était face au miroir et sortit de son sac qu’elle avait posé au pied de la vasque du lavabo un ensemble de produits plus ou moins importants. Elle ne se servait jamais de tout les produits ou rarement. Passant une crème hydratante sur sa douce peau, elle se contenta d’étaler doucement la crème. Elle sentait maintenant un léger parfum fruité sur sa peau. Rajoutant un à deux sprays de parfum crochant à sa peau, la jeune femme décrocha ses cheveux blonds qui tombèrent sur son dos dénudé. Des frissons étaient installés sur sa peau et Azéline ne voulait pas se rhabiller. Allez savoir pourquoi. Peut être parce qu’elle se sentait bien dans la chaleur de la salle de bain ou qu’elle n’avait pas froid mais encore l’envie de rester comme cela enfin de multiples propositions étaient présentes. Une mèche tomba devant ses yeux et elle s’empressa de la coincer derrière son oreille.

Azéline passa encore quelques minutes à s’observer ne pouvant s’empêcher de dévorer deux fois plus le jeune homme des yeux. Ses yeux verts clairs se fondaient dans les lueurs des reflets dans le miroir. Ses pupilles dilatées étaient quasiment presque invisible. Un petit sourire, elle semblait dans son truc. Se baissant doucement, elle s’accroupis et déposa ses produits dans son sac. Au fond du grand tissus, elle remarqua la clef qui était bien posée à plat. La prenant délicatement, elle la rangea dans la poche de devant sans rien dire à Prosper. Se dernière devait certainement se demander ou est-ce qu’elle était ou encore était-elle encore dans sons soutient gorge ? Non non. Azéline se redressa et s’appuya contre le lavabo. Se retourna face au miroir, elle vit Prosper s’approcher d’elle. Que faisait-*il ? Le laissant s’approcher d’elle encore un peu elle, elle le sentit poser ses deux mains sur ses hanches. Un frissons parcoura le corps de Azéline qui sourira légèrement en regardant Prosper dans la glace. Elle ne savait pas si elle devait se sentir bien ou bien mal de la situation.

Le regard calme et posée, elle continuait de l’observer. Les lèvres si douces, si chaudes de Prosper vinrent frôler son épaule. Frissonnant de nouveau, elle crispa ses doigts posés sur le dessus de marbre du lavabo. La vasque était un peu mouillé et l’eau tombait petit à petit au fond des canalisations. Bref. Depuis un petit moment aucuns courants d’airs c’étaient glisser sous la porte venant caresser la lignes de sa colonne vertébrale ou encore sa ligne de reins bien dessinée. Azéline se redressa un peu cambrant légèrement son dos. Les mains de Prosper toujours posées sur ses hanches, la jeune femme regardait Prosper le questionnant du regard. Venant hésiter à se retourner, Azéline décida enfin de se tourner vers le jeune Wagner qui commençait à parler. Le regard légèrement baissé, elle gardait tout de même les yeux de Prosper dans son champs de vision. Amenant une main à frôler l’avant bras de ce dernier, Azéline écoutait attentivement ce qu’il disait. Une fois qu’il eut terminer elle lui répondit doucement.

« Ah oui ? Elle refuse ? Et bien si elle refuse trop longtemps reste avec moi peut être pas dans cette marre à canard mais autre pars après je doute que un Serdaigle n’est pas de devoirs à faire… Enfin bon tu es libre. A oui la clef je te la donne 30 secondes. »

Dit-elle d’une voix à moitié malicieusement et sérieuse. Azéline n’avait encore jamais pris cette voix ou du moins expression dans la voix. Assez bizarre surtout que la jeune femme s’en rendit rapidement compte. Un brin soucieuse, elle fronça les sourcils et laissa s’échapper le Serdaigle qui se dirigea directement vers son sac près de la porte. La jeune femme observait Prosper en coin d’œil. Qu’est ce qu’il trafiquait avec tout ses objets qui se cognaient dans son sac ? Azéline chercha à voir se que c’était. Curieuse va ! Très curieuse de naissance, Azéline à 2 ans touchait déjà à toutes les potions de sa mère d’ailleurs qu’est ce qu’elle se faisait claquer sur les doigts. Cependant ce n’était pas une petite claque sur le bout de ses petits doigts froids qui allait la faire cesser de vouloir s’amuser avec les potions de sa mère. Bref revenons aux faits. La jeune femme se baissa vers son sac et sortit avant tout des vêtements secs et propres qu’elle avait prit soin de bien pliés et ranger dans le fond de son sac. Un débardeur verte pomme ainsi que un jean noir, elle commença par le jean noir. Le tee-short elle le posa sur le rebord de la vasque légèrement mouillé mais pas assez pour mouillée le tee-short.

Se rabaissant vers son sac, elle le posa sur le petit fauteuil et sortit la petite clef qui ouvrait la porte en bois noir ou ils étaient enfermés. La jeune Serpentarde regarda le Serdaigle qui trifouillait encore dans ses affaires. Qu’est ce qu’il cherchait de bien intéressant ? Azéline s’avança doucement vers la flaque d’eau et passa à côté mais réalisa que sa serait pas plus bête de prendre aussi son sac comme cela elle ne risquerait pas sa vie à tomber dans une marre à canard tel que la grosse flaque à ses pieds. Le regard toujours posé sur Prosper, Azéline fit marche arrière et enfila son tee-short qui lui allait parfaitement bien. Sa poitrine plus ou moins volumineuse s’accordait avec la grosse pomme dessinée au milieux. Se regardant une dernière fois dans le grand miroir, elle mit ses petites sandale vertes et rebroussa chemin. Venant rapidement atteindre Prosper en quelques secondes elle s’arrêta près de lui qui farfouillait encore dans son sac. La clef en main, Azéline marchait doucement vers la porte et posa la clef dans la serrure.


« Bon ben voilà. Vous êtes libre Monsieur Wagner. »

Ecoutant à la porte pour voir si il y avait personne, elle en conclua que non. Un léger sourire, elle regarda Prosper et s’appuya contre la porte une jambe remonter, le pied plat contre la porte. Elle se demandait bien se qui allait ce passer. Sois il accepterait de rester avec elle et d’aller autre par que ici sois il retournerait dans sa salle commune ou son dortoir faire ses devoirs. Malgré que Alex son ancien petit ami qui avait disparu du jours au lendemain ne travaillait pas forcément, elle était quasiment sur qu’il répartissait pour la voir aussi. Cepen,dant Azéline chassa vite fait bien fait l’image du jeune homme de sa mémoire. Bref. Revenant à regarder Prosper, elle se décala de la porte et s’appuya contre le mur exactement de la même position qu’elle avait été contre la porte. Lui faisant un signe vers la porte, elle attendait une simple réaction. De toute manière ils se reverraient étant donner qu’ils allaient au bal ensemble. Une expression mystérieuse et neutre tout signes de jeux et malice avaient disparu. Elle se contenta de lui adresser un léger sourire sadique machinalement. Elle le regardait et attendait.


[ JAI REUSSIT A LE REFAIRE xD ]
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyMer 7 Nov 2007 - 7:48

Prendre tout son temps ? Certainement pas ! Il devait sortir au plus vite. Cette partie était terminée, cela se terminait match nul. Ou bien un à zéro pour Azéline si la Serpentarde le préférait ainsi, il voulait bien dire ce qu'elle voulait pour sortir de cette pièce. Et c'était maintenant qu'il voulait sortir, il n'était plus question de se laisser séduire par...cette peau satinée, cette chevelure blonde, ces yeux verts au regard hypnotisant...envoûtant...Prosper avait fait l'erreur de tourner la tête vers sa compagne. Il était évident qu'une retenue en sa compagnie tournerait à la catastrophe. Oui, catastrophe, car une fille capable de lui faire oublier jusqu'à ses devoirs était un cadeau empoisonné. Le Serdaigle n'avait pu s'empêcher de s'approcher de nouveau de l'adolescente qu'il n'avait pas envie de quitter. Si seulement ils avaient été de la même maison, ils auraient pu retourner ensemble aux cachots. Cependant, s'il avait un jour l'occasion de descendre chez les Serpentard, ce ne serait pas Azéline son principal intérêt. La salle commune des verts et argents, comme celle des Poufsouffle et celle des Gryffondor, était un rêve inaccessible.

Même après avoir revêtu tee-shirt et jeans, la Serpentarde restait impossible à abandonner. Prosper la regarda dans les yeux, détectant un certain questionnement dans ces deux billes vertes, comme les yeux d'un chat...Avait-il réussi à la destabiliser ? Si c'était le cas, c'était une grande réussite. Elle était si sûre d'elle lorsqu'il était timide qu'un changement de sa part semblait l'étonner. Une partie de lui voulait rester là, hors du temps, hors de l'espace avec sa cavalière pour le bal. Il espérait qu'il y aurait beaucoup de valses, pour la garder dans ses bras le plus longtemps possible -ce soir-là d'ailleurs, il n'aurait pas à s'inquièter de ses devoirs. Même s'il aimait bien la voix de June, il souhaitait qu'un orchestre soit sur place pour lui permettre de faire bonne impression auprès des autres. Si Pink Sky jouait, alors il inviterait Azéline dans le parc ou à la tour d'astronomie, pour observer le ciel. Et s'il pleuvait ce jour-là, alors il l'emmenerait elle et quelques-uns de ses amis si elle tenait dans la salle sur demande pour un bal en privé et dans les règles de l'art.

Encore faudrait-il qu'ils se faufilent au septième étage sans se faire prendre. Par contre, pas question qu'il côtoie les rouges et or, ni les jaunes et noirs et il ne laisserait pas les cinquièmes années et autres gamins venir se mêler à leur bande. Il n'y aurait que des Serpentard et des Serdaigle, sixièmes et septièmes années, de bonne famille, voilà. Pour en revenir à sa charmante compagne, dès qu'elle lui eut dit qu'elle lui donnerait la clé, Prosper fila vers son sac. Son but : trouver sa baguette ou quelque chose d'aussi utile. Après avoir sorti la plupart de ses livres en faisant bien attention pour ne pas les poser dans l'eau, le jeune homme dut se rendre à l'évidence, outre sa baguette, il ne possédait rien qui puisse l'aider dans une telle situation. Le bleu et bronze rangea le tout, déposa sa baguette sur le dessus de la pile et se releva, son regard tombant droit sur le dessin qui ornait le tee-shirt d'Azéline. C'était décidé, son fruit préféré était la pomme.

Azéline s'appuya contre la porte, qu'elle avait déverrouillé, le fixant de son regard qu'il ne pouvait pas éviter. L'adolescent se donna alors une tâche, pour s'occuper l'esprit : remettre sa chemise. Il s'appliqua à rattacher chacun des boutons, comme s'il s'agissait d'un travail qui compterait pour le restant de l'année scolaire. Puis il remit sa cravate, alla se poster un moment devant le miroir pour faire un noeud de style demi-Windsor, s'assura qu'il était présentable malgré l'eau, puis revint vers la jeune fille qui quitta la porte au profit du mur. Elle fit un signe vers la porte, attendant qu'il sorte peut-être ou lui montrant simplement que s'il voulait partir, il en était maintenant libre. Prosper hésita encore un instant, regarda autour de lui pour calculer les dégâts qu'ils avaient fait puis soupira. Il ne pouvait pas laisser un tel désordre derrière lui...si ? En fait, oui, Rusard devait bien servir à quelque chose et si ce n'était pas nettoyer les dégâts des élèves, qu'est-ce que ce serait ?

Le Serdaigle n'avait jamais eu à faire à Rusard depuis son entrée à Poudlard. Il l'avait déjà vu, comme tout le monde, l'avait observé de loin lorsqu'il discutait avec son chat, mais ne s'était jamais moqué de lui, pour la simple raison qu'il ne voyait pas l'intérêt de rire d'un homme qui n'avait qu'un chat comme ami. Miss Teigne n'était pas le plus beau chat existant sur cette terre bien entendu -Népenthès était mille fois plus mignon que cette créature qu'il soupçonnait n'être pas tout à fait féline- mais elle avait quelque chose d'intéressant. Et si elle était la seule capable de comprendre le pauvre concierge, alors c'était une amie fidèle et qui avait sûrement beaucoup de qualités. De plus, elle faisait bien son travail de surveillance, miaulant pour alerter son maître chaque fois qu'une entorse au règlement était commise. Bien que les élèves ne semblaient pas beaucoup l'apprécier, Prosper avait déjà tenté de l'approcher quelques fois, alors qu'elle rôdait seule dans les couloirs et chaque fois, il n'avait pas réussi à la caresser.

Bref, assez avec le chat. Maintenant rhabillé et rassuré sur l'état de la pièce, Prosper rangea sa baguette dans sa poche et ramassa son sac avant de s'approcher d'Azéline.


« Je serais bien resté, mais je dois terminer mes devoirs et dormir au moins deux heures si je veux pouvoir suivre les cours de demain...Faire mes devoirs risque de me prendre un moment, ou plutôt, expliquer à mes camarades ce que je fichais encore dehors à cette heure sera long avant de pouvoir faire mes devoirs... »

Il esquissa un sourire sans joie : il ne parlait que de devoirs, qu'allait-elle croire ? La vérité, bien sûr...

« Et oui, tu es tombée sur un Serdaigle qui est bien fidèle à sa maison...et surtout qui préférerait mourir que d'être renvoyé pour des bêtises. », fit-il en levant les yeux au plafond un moment

Il se retourna, posant la main sur la poignée de la porte, mais ne l'ouvrit pas de suite. Allait-il l'abandonner ainsi, sans un mot de plus ? C'aurait été foncièrement vexant de sa part...Prosper fit donc de nouveau face à sa belle amie pour lui dire au revoir d'une manière plus appropriée. Qu'est-ce qu'un garçon bien ferait pour dire au revoir à celle qu'il allait accompagner à un bal ? Pourquoi était-ce tombé sur lui, hmm ? Après tout, n'importe qui aurait été plus qualifié que lui pour s'occuper de cette demoiselle. Il était bien le pire Serdaigle, voir même le pire élève sur qui elle aurait pu tomber : il n'avait jamais même imaginer une seule seconde qu'il se retrouverait dans une telle situation. Il ne s'était même jamais dit « Ce que je serais heureux avec une petite amie. » Oh non, l'amour, ce serait lorsqu'il aurait obtenu ses A.S.P.I.C.s, qu'il aurait un travail et que son univers lui semblerait assez bien pour fonder une famille. Ce qui risquait de prendre un moment quand même...

Et avec lui, pas question de changer trente-six mille fois d'idées. Le divorce, c'était une idée absurde. Lorsqu'on se mariait, c'était pour la vie et pas question d'avoir des enfants hors-mariage. Donc, il calculait qu'à vingt-huit, peut-être vingt-sept ans si tout allait bien, il pourrait songer à avoir une famille. À cet âge-là, il aurait obtenu ses A.S.P.I.C.s pour sûr, aurait un emploi évidemment et le monde aurait peut-être assez changé pour accueillir huit nouveaux sangs-purs. Mais en y pensant bien en fait, ses enfants ne risquaient rien. C'était les sangs-de-bourbe...hum...enfants de moldus que l'on blâmait en général, pas les fiers sangs-purs. Finalement, il pouvait donc songer à avoir des enfants vers l'âge de vingt-trois, voir vingt-quatre ans. À condition qu'il ait déjà un travail convenable, comme une place au sein du Ministère de la Magie. Département des mystères ou alors département de contrôle et régulation des créatures magiques. Il s'agissait des deux seuls départements qu'il veuille bien intégrer et si ce n'était pas possible, il préférait envisager une autre carrière.

Prosper déposa un énième baiser sur les lèvres d'Azéline, puis lui tourna le dos et s'approcha à nouveau de la porte.


« Cette fois, Miss Evans, je me sauve, avant de changer d'avis et de rester jusqu'à ce que le soleil se lève à l'aube... », dit-il sans même la regarder. « Ce fut un véritable plaisir de vous rencontrer et j'espère très sincèrement que nous aurons la chance de nous revoir avant le jour du bal. Dans des conditions moins...humides, si possible. »

Il tourna la tête vers elle pour lui adresser un sourire amusé, espérant qu'elle garderait un bon souvenir de cette rencontre singulière. Il ouvrit ensuite la porte et disparut derrière le battant. Dans le couloir, il s'autorisa un soupir à la fois soulagé et ennuyé, repassant en revue ce qu'il venait de dire et toutes ces autres paroles. Ses gestes. Ses pensées. La moindre de ses intentions fut analysée. Ainsi commença sa réflexion et sa remise en question qui durerait sûrement toute la nuit. Pendant qu'il expliquerait aux autres la raison de son absence, il y penserait. Pendant qu'il tenterait de comprendre et de faires ses devoirs, il y penserait. Pendant qu'il essayerait en vain de s'endormir, isolé entre les rideaux bleus, il y penserait. Et demain matin, Prosper Wagner aurait changé. L'adolescent esquissa un faible sourire à cette idée, qu'il trouvait complètement absurde, puis prit la direction de la salle commune des Serdaigle, sans vraiment se soucier maintenant du fait que ses habits soient complètement trempés. Quelques instants plus tard, il avait déjà disparu.
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MessageSujet: Re: [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] [Sept.] Un bain ? Ca fait jamais de mal [TERMINE] EmptyVen 9 Nov 2007 - 18:10



Elle l’observait, lui et rien d’autre. Posé contre le mur, elle savait très bien qu’elle ne pourrais jamais oublier cette soirée en compagnie de Prosper, un serdaigle, qui lui avait mis plein les yeux. Lui il avait été simple et naturel avec elle et non hypocrite et changeant d’idées sans cesse. Azéline releva le regard vers le plafond. Ah se plafond il allait certainement lui manquer pendant, la nuit, un plafond qu’elle n’avait jamais regardé autant. Un regard assez mystérieux et franc, elle regarda Prosper. Ses yeux étaient brillants et ne cessaient de passer ne revue la pièce de fond en comble. Cette eau si brillante au sol, ses grosses marres d’eau, que Azéline comment à détester étaient toujours la au plus profond d’elles. Elle ne bougea pas et observa Prosper. Il était entrain de trifouiller dans son sac. Peut être cherchait-il sa baguette et si c’était cela il l’avait trouvé.

Se dernier rangea tout ce qu’il venait de sortir de son sac. Ranger, sortir, sortir ranger. Arf crétin ! La jeune femme pensa rapidement à cela et sourit en coin de bouche en l’observant. Ses mains étaient redevenues chaudes et elle croisa ses bras devant elle. Se dernier alla rapidement près du grand miroir évitant de se casser la figure dans l’eau. Un petit sourire en coin qu’elle n’avait pas perdu était toujours présent sur son visage. Ses yeux l’observaient. Elle aurait bien eut envie de s’approcher de lui et faire pareil que lui quelques minutes auparavant. C’est à die poser ses mains sur ses hanches ,sauf que la elle les auraient passer autour de sa taille et lui aurait déposé un baisé dans le cou. Enfin bref c’était pas le cas. Prosper pris son sac une fois bien rhabillé et s’avança vers Azéline le sac en main et lui sortit un petit discours, qui fit perdre le sourire d’Azéline.

« Je serais bien resté, mais je dois terminer mes devoirs et dormir au moins deux heures si je veux pouvoir suivre les cours de demain...Faire mes devoirs risque de me prendre un moment, ou plutôt, expliquer à mes camarades ce que je fichais encore dehors à cette heure sera long avant de pouvoir faire mes devoirs... »

Azéline ne pensait pas du tout du mal de Prosper. Oh la que non bien au contraire. C’était un jeune homme charmant, beau sourire, beau corps, bonne mentalité, bonne assise dans la normal. En faites même si Azéline n’osait pas se l’avouer le jeune Wagner lui avait comme dirait-on « taper dans l’œil ». La jeune femme se redressa un peu se décollant du mur pour s’avança un peu mais ne fit pas plus de 2 petits pas et baissa la tête pour regarder ses chaussures comme la plus pars u temps quand une personne devait partir. Alors comme sa il avait des devoirs à faire, à expliquer et il devait se justifier ? Quoi ? c’était une honte d’avoir passé la nuit ou du moins une bonne partie de la nuit à jouer dans une baignoire avec une Serpentarde ? 2tait-ce vraiment un crime ? La jeune femme commençait à se le demander tiens. A vrai dire elle trouvait pas sa dramatique et elle ne se justifierait pas si c’était à elle de le faire.

« Aller file ! »

Dit-elle d’une voix froide mais en même temps un poil attendrissant. Bizarre vraiment très bizarre. Azéline n’avait jamais eut cette voix sauf si à plusieurs reprises mais juste en compagnie de Alex. La jeune femme sourira à Prosper et le vit qui enchaîna sur une nouvelle réplique. « Et oui, tu es tombée sur un Serdaigle qui est bien fidèle à sa maison...et surtout qui préférerait mourir que d'être renvoyé pour des bêtises. » disait-il. Et bien cela elle croyait bien l’avoir remarqué mais en même temps, elle ne savait plus trop quoi penser du jeune homme car sa conscience lui disait que c’était juste un ami comme sa et encore un compagnon de jeux et rien d’autre mais Azéline semblait pas de cet avis. Il avait réussit à la … troubler. La jeune femme soupira devant sa réflexions. Après tout c’était un serdaigle normal qu’il travaille sans cesse ses devoirs. La jeune femme le regarda s’éloigner un peu vers la porte.

Il posa sa main sur la poignée. HEIN ? QUOI ? Il allait donc partir en la laissant comme sa en plan. Son propre sac était posées près du mur et il ne manquait plus qu’il s’en aille pour qu’elle puise partir aussi mais en fin de comptes, non elle pouvait partir avant lui mais non quelque chose l’en empêchait aller savoir quoi. La jeune femme se disait que si elle partait, certainement Prosper aurait tout laissé en plan et encore peut être pas vu qu’il semblait très ordonné. Le regard posé sur le jeune homme, elle sourira légèrement et le vit se retourner. Attention ! Prosper la regarda et lui vola un baisé. Azéline ferma les yeux que pendant les quelques secondes qui lui donna cela. La jeune femme frémit et regarda Prosper qui vint de nouveau ouvrir la bouche pour lui dire qu’il serait heureux de la revoir avant le bal. Azéline eut un grand sourire aux lèvres et secoua doucement la tête comme amusée puis lui répondit.

« Sa sera avec plaisir… »

Azéline regarda Prosper s’échapper rapidement de la salle de bain. La jeune femme soupira et eut un petit sourire. Que c’était-il passé entre eux deux ? Azéline ce le demandais encore. Elle regarda autour d’elle les dégâts qu’elle avait fait avec Prosper et sourira amusée de cela. Venant prendre son sac, elle regarda la porte et posa sa main sur la poignée. Et se mit en travers de la porte. Allez go, elle devait dormir un peu, elle réfléchirait toute la nuit à cette soirée, elle se remettrait en questions… S’évadant rapidement dans le couloir, elle disparue.



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