Un sourire, un sourire se dessina sur le visage du jeune homme lorsque la Serpentard apparut dans son champ de vision. Il la voyait totalement à présent et pouvais profiter naïvement de sa beauté qui depuis le premier jour lui avait toujours fait un petit effet indescriptible. Comme à son habitude Lucy était resplendissante. Lui, en ce soir d’Avril n’avait rien de particulier, du moins rien de nouveau. Il avait abandonné les mèches de couleur laissant pousser ses cheveux naturellement. Il ne les avait pas coupés depuis un certain temps. Ils commençaient à se faire longs. Son teint de peau était légèrement rosit par l’effet de l’alcool, ses yeux bleu étaient toujours aussi charmeur (selon les dires). Ses lèvres étaient légèrement gercées. La température ambiante à Poudlard était printanière, cependant au sommet de la tour, l’isolation n’était pas très importante. Il avait prévu ce bémol et c’était habillé assez chaudement. Il portait un simple sweat bleu à capuche et avec deux poches en avant, un jean dont la coupe était plutôt serré, et de simple basket montante. Il avait abandonné la robe noire à la fin des cours pour s’habiller de manière décontracté. Il espérait que son apparence plairait à Lucy.

La salle dans la quelle ils se trouvaient été circulaire, de la taille d’une salle de cour. Seules quelques faibles bougies encastrées sur de beaux bougeoirs ensorcelés illuminaient la pièce, donnant un effet tamisé. Le sol était couvert d’un tapis rouge pourpre assorti aux fauteuils se trouvant aux quatre coins de la pièce. De large fenêtre espacé par quelques mètres entourées la tour, fenêtre sans vitre où était placé de nombreux télescopes à proximité de table où était disposé des cartes du ciel. De nombreux tableaux ornaient les murs, représentant des scènes historiques datant de différente époque que Régis ne pourrait situer dans l’histoire de la magie. Le plafond était excessivement haut. Un horrible lustre y pendait portant quelques bougies n’éclairant que la partie haute de la tour.
L’endroit était très accueillant. En dehors du travail que l’on pouvait y faire, s’y reposé ne posait pas problème. Cependant il était très peu fréquenter par les élèves, étant donné la difficulté d’accès.

Régis appréciait la pièce. Il y passait souvent du temps, faisant souvent des rencontres imprévu.

Ce coup ci, la présence de la Serpentard était prévue. Il n’eu aucune surprise en la voyant. Il attendait avec impatience ce moment. Il était sur de ne pas être dérangé par quelques visiteurs indésirable.
Lucy ne lui laissa aucun répit, elle l’embrassa avant qu’il ne pu dire le moindre mot. Le contact de ses lèvres avec les siennes lui fit énormément de bien. Cela lui avait manqué, cette douceur, cette sensualité, ce charme qu’il trouvait chez Lucy. Sa tête, tournant légèrement se laissa guidé par le baiser. La jeune fille retira ses lèvres avec douceur et fixa ses yeux. Il trouva une profondeur dans les yeux de Lucy qui le laissa sans voix. Comme à son habitude, Régis était conquit, sous son charme. Était-ce cella être amoureux ? Si on devait lui poser la question, c’est ce qu’il répondrait, sans aucune hésitation. Il continua à la fixer, tout en l’écoutant parler. Évidemment, elle avait deviné son état physique. Cela ne l’étonnait pas tellement. Après tant de mois passer à ses coter, elle devait le connaitre presque par cœur, et cela marchait bien évidement dans les deux sens. Ce que lui dit Lucy le fit sourire et le mit tout de suite de bonne humeur, oubliant ses craintes.

« Oh ne t’inquiète pas, je ne t’ai pas oublié. » Dit-il en se penchant légèrement sur le côté pour saisir la bouteille n’étant pas encore finit. « Je t’attend depuis des heures ma chère. »

Il rit doucement avec elle. Puis elle saisie de ses mains douce la siennes et l’entraina vers une fenêtre faisant face au parc illuminé par le clair de lune. Il se laissa guider, marchant sur des petits coussins. Il n’était pas encore descendu de son petit nuage. Sa bonne humeur provoqué par l’alcool se voyait sur son visage. Ses yeux brillaient, et reflétaient la lumière provoqué par les bougies. Le paysage dehors était resplendissant. Le parc de nuit pouvait se regarder durant des heures. Mais Régis avait devant lui autre chose à regarder, ou bien admirer. Ses yeux ne quittaient plus Lucy. Il ne se lassait pas de la regarder. Elle s’assit sur le rebord de la fenêtre, dos au parc. Lui s’avança contre elle, déposa la bouteille à côté d’elle et passa ses mains autour de sa taille. Son visage était à même hauteur que le siens. Quelques mots glissèrent de la bouche de la serpentard, comme une mélodie.

« Tu m'as manqué... »

Et lui donc. Il avait énormément pensé à elle. Ces pensées n’étaient certes pas des plus belles, mais elle lui avait manqué. Il c’était habitué à l’avoir près de lui assez régulièrement. C’était même évident. Un autre sourire se dessina sur le visage du Poufsouffle.

« Toi aussi Lucy…oh oui. »

Ces paroles étaient sorties toutes seules, sans qu’il puisse les contrôler. D’autres mots s’échappèrent de la bouche de Régis. Ces paroles, il aurait aimé les contrôler.

« Dis moi Lucy, est ce que tu trouves qu’on est comme les autres ? »

C’était dis. Cela lui fit du bien, il n’attendait même pas de réponse. Le simple fait de partager sa « crainte » avec elle lui fit du bien. Son visage rayonna. Il lui fit d’abord un bisous sur le coup, puis un autre sur les joues, sur le coin des lèvres pour l’embrasser finalement avant même qu’elle puisse lui donner de réponse. Il s’en fichait, il était d’humeur joyeuse, et sa crainte sembler s’être dissipée. Il fit durer le baiser le plus longtemps possible, avant de se détacher d’elle. Il recula d’un pas en arrière, d’une main il saisit celle de Lucy, l’invitant à descendre de son perchoir et de l’autre il saisit la bouteille.

« Tu bois, ou bien je la finit tout seul ? »

Elle ne pouvait que sourire au minimum. En compagnie de Régis, Lucy se trouvait toujours quelque part d'autre. Loin de ses soucis familiaux, des cours, des tracas quotidiens. Sur un petit nuage qu'avaient sûrement laissé les moutons pour les amoureuses comme Lucy l'était de Régis. C'était des moments uniques à chaque fois qui éclairaient sa journée quand elle recevait une lettre de sa mère par exemple. Elle se souviendrait toujours de leur première rencontre au terrain de Quidditch. Bien sur elle avait été blessée mais il était venue l'aider. La première chose qu'elle avait vu de lui était ses yeux. Elle s'était perdue à l'intérieur et encore aujourd'hui elle s'émerveillait devant leur beauté. Lucy appréciait beaucoup les mains aussi. Si douce et réconfortante. Elle se sentait toujours en sécurité quand Régis entourait sa taille. Elle remarqua qu'il avait enlevé ses mèches colorés et qu'ils avaient poussés. Lucy a toujours aimé les cheveux un peu longs chez les garçons. Elle apprécie vraiment ce style. Elle passa lentement sa main dans ses cheveux pendant qu'elle lui parlait de l'alcool qu'il avait bu sans elle. Un grand sourire éclaira son visage lorsqu'elle vit la bouteille de whisky pur feu dans la main du Poufsouffle. Il la surprendrait toujours ! C'était ça qui était bien avec Régis, toujours dans les rires et les sourires et à chaque fois il l'étonnait. Quand ils se faisaient des soirées comme celle là, juste tous les deux à chaque fois c'était différent. C'était comme se redécouvrir à chaque fois. S'aimer un peu plus, avoir la certitude qu'elle l'aimait toujours malgré leur différence de maison et d'année.

Le petit bout de papier que lui avait envoyé Régis était toujours dans sa poche. Le mot lui donnant rendez-vous dans la Tour d'Astronomie. L'endroit était un excellent choix. Elle adorait cette tour pour cause elle appréciait particulièrement le cours sur l'Astronomie. Elle se souvient parfaitement de ses escapades la nuit pour aller regarder les étoiles de plus près. Une passion qu'elle partageait avant avec Mey. Sa cousine qui l'avait trahi il y a de nombreuse années.
Il se regardaient l'un et l'autre dans les yeux de l'autre lorsque Lucy lui murmura qu'il lui avait manqué. Une légère brûlure envahit son coeur lorsqu'il lui avoua que c'était réciproque. Elle fronça légèrement les sourcils lorsqu'il parla une seconde fois.

« Dis moi Lucy, est ce que tu trouves qu’on est comme les autres ? »

Elle ouvrit légèrement la bouche en réfléchissant pendant qu'il l'embrassait dans le cou, continuant sur sa joue redescendant sur le coin de ses lèvres jusqu'à qu'il l'embrasse vraiment. Ce fut un moment de pur bonheur comme à chaque fois. L'un serré contre l'autre. Le simple fait de se retrouver après deux semaines qui avaient parut une éternité pour Lucy. Ils se détachèrent l'un de l'autre. Doucement elle reprit sa main et descendit du muret. Elle sourit malicieusement et lui prit la bouteille des main.

« Tu rêves si tu comptais la finir tout seul en plus ! Elle rit. Cul sec ! »

Elle est folle, je le sais déjà ! Mais avant que Régis ait pu protester ou rire ou avoir une quelque conque réaction, elle porta la bouteille à ses lèvres et la leva en l'air pour que tout l'alcool descende. Il lui fallut pas mal de temps tout de même à se qu'elle avale tout. Elle en avait déjà bu mais jamais autant et d'une traite en plus. Sa gorge lui brûler affreusement. Elle tourna la tête vers Régis et sentit la terre basculait. Elle posa la bouteille sur le muret et l'autre sur l'épaule de Régis pour éviter tomber. Elle ne avouera pas qu'elle ne tenait pas l'alcool.

« Ca va très bien ! Mais je n'en reprendrais quand même pas. »

Tout devenait de plus en plus flou autour d'elle. Elle commença à rigoler toute seule puis essaya de marcher tout de seule. Elle ne tenu même pas deux secondes et tomba sur les cousin sa terre.

« Waouh ! »

Elle rit de nouveau puis regarda Régis comme si c'était la première fois qu'elle le voyait.

Régis observait Lucy avec attention. Elle lui avait prit la bouteille des mains sans qu’il ne puisse réagir. Il n’était pas le seul à vouloir boire en cette soirée de pleine lune. La soirée promettait d’être étonnante, singulière et réjouissante. Un sourire était ancré sur le visage du jeune homme. Rien ne pouvait le faire disparaitre. Petit moment de bonheur dont il avait été privé pendant deux longues semaines. Régis comptait rattraper le temps perdu, du mieux qu’il le pouvait. Il n’avait pas besoin de grand-chose, les éléments propice à leur soirée était devant lui. Ils se résumaient à deux petites choses. Elle et « the bottle ». Rien n’était plus simple.
Il la regarda vider cette bouteille, tout en étant impressionner par sa Serpentard. Son regard était illuminé lorsqu’il la vit finir, ou presque le whisky. Lorsqu’elle posa la bouteille, Régis la fixa sans dire un mot. Son regard transcrivait ses pensées. Lucy était quelqu’un de très surprenante, avec de nombreuses qualités et celle que Régis préférait était le fait qu’il pouvait s’éclater avec elle dans toutes les situations sans avoir besoin de grand-chose. Quand ils étaient ensemble, les deux amoureux étaient simples. Ils ne se prenaient pas la tête. La qualité qu’il préférait chez Lucy, parmi toutes les autres.

Quelques secondes passèrent. Durant ce cour lapse de temps, Régis avait reprit la bouteille. Il restait deux bonnes gorgées, il les bu sans attendre. Une fois la bouteille finit, il la jeta par la fenêtre. Régis tourna la tête vers Lucy, elle était assise par terre. Elle ne tenait plus debout. Le poufsouffle ne put s’empêcher de rire avec elle. La scène était des plus comiques, en l’espace de quelques secondes, Lucy était passée d’un état à l’autre. Durant ce court lapse de temps, toute pensée négative, problème ou autre s’étaient envolé en même temps que la bouteille. Cela rendait l’instant magique. L’important était de le saisir.

Il s’approcha de Lucy, aussi bien qu’il le pouvait. Avant toute chose il avait une chose à faire. Il sentait que c’était le bon moment. Il n’avait pas l’habitude de ce genre de chose.

Il s’agenouilla devant elle et la fixa dans les yeux, tout en souriant à sa bien aimé. Il avait envie de la prendre dans ses bras mais il se retenu.

« Ferme les yeux ! » Dit –il d’une voix joyeuse. « Joue le jeu jusqu’au bout et tu les ouvres quand j’aurai finit. »

Il lui saisit une main pour lui montrer qu’il était toujours là et qu’elle pouvait lui faire confiance. Une fois qu’elle s’éxecuta, il lacha sa main et rentra les siennes dans l’une de ses poches et y sortit en collier ayant l’allure d’un chapelet. Il était plutôt large, orné de petite boules vertes pâle espacé par d’autres beaucoup plus petite. Au bout du collier pendé un petit symbole, ressemblant légèrement à une étoile argenté, et pour finir, quelques autres boules vertes pendaient de l’étoile. Régis aimé beaucoup le chapelet, en était-il de même pour Lucy, il n’en avait aucune idée, il l’espérait tout de même.
Il passa le chapelet autour de son cou et le déposa délicatement contre sa peau. Régis se pencha légèrement en avant pour arriver à hauteur de son oreille et y murmura délicatement et avec sensualité quelques mots.

« J’espère qu’il te plaira, je tenais à te l’offrir aujourd’hui, en espérant que tu le garde avec toi, même si un jour notre belle relation se finit. »

Il recula sa tête pour cette fois ci arriver à hauteur de ses lèvres. Il sentait son souffle chaud contre lui…il y déposa un doux baiser avant de se retiré.

Lucy pouffait dans son coin. Son dos formait un arc de cercle, sa main devant sa bouche pour étouffer son rire. C'est fou ce que l'alcool pouvait animé une soirée. Vous donnez trois verres de whisky et sa y est tout le monde rit ! Bon d'accord il ne faut pas en abuser mais au moins ce n'est pas comme la clope vous dira Lucy. Elle vous expliquerait qu'il vaut mieux boire que fumer et que pour elle la cigarette c'est du papier avec de l'herbe cramé à l'intérieur inventé par un con de moldu américain. Bref, oublions cette cochonnerie et revenons aux deux amoureux. Régis venait de jeter la bouteille vide part dessus la fenêtre et Lucy tendait l'oreille avec l'espoir d'entendre le verre volé en mille morceaux dans l'herbe. Bien sur elle n'entendit rien, puisque la Tour d'Astronomie était beaucoup trop haute et que l'effet de l'alcool diminait son ouïe temporairement. Elle abandonna rapidement légèrement déçue mais toujours en gardant son sourire.
Son regard tomba sur Régis et elle fut bouche-bée. Elle avait oublié, du moins elle ne se rendait pas compte qu'elle avait de la chance. La chance de l'avoir, lui. Elle le regarda, la bouche ouverte, les yeux rivés dans les siens. La verte et argent réussit tout de même à fermer la bouche lorsqu'il reprit la parole et sourire normalement pas comme un enfant qui vient de voir pour la première fois de sa vie magnifique étoile-filante. Il voulait quoi ? A qu'elle ferme les yeux ! Lucy mit un peu de temps à comprendre, mais cela ne dura que quelques secondes pendant lesquelles elle resta incrédule avant qu'une étincelle rallume ses yeux vides d'incompréhension. Comme une gamine qui compte lorsqu'elle joue à cache-cache avec ses amis, elle mit ses mains sur ses yeux en plus de les fermer et serra doucement sa main avant de le laisser aller, elle ne savait où. Pendant qu'elle fermait les yeux et se laissait bercé dans l'obscurité sous ses paupières, elle se remémora -avec quelques difficultés- la dernière image qu'elle avait vus. Régis. Encore une fois elle fut émerveillée. Emerveillée de savoir qu'il pouvait s'intéresser à elle, qu'il pouvait la supporter. Lucy a toujours aimé se sentir protégé. Savoir que quelqu'un est tout proche pour elle. Une idée qui la rassure.
Le fait de sentir Régis revenir vers elle, Lucy commença à se poser des questions. Que lui préparait-il ? La verte et argent frissonna au contact des mains de Régis qui effleurées son cou. Ses lèvres s'ouvrirent légèrement pour demander si elle avait le droit de rouvrir les yeux, mais rien ne sortit de sa bouche. Le Poufsouffle parla le premier en s'approchant de son oreille et en lui murmurant ces mots :

« J’espère qu’il te plaira, je tenais à te l’offrir aujourd’hui, en espérant que tu le garde avec toi, même si un jour notre belle relation se finit. »

Ses paroles ne put que faire sourire Lucy même si elle n'apprécia pas du tout la fin. Ainsi donc, il s'imaginait qu'ils ne soient plus ensemble. Mais elle chassa se détail en espérant que ce ne soit rien de sérieux. Une envie irrésistible de l'embrasse, de se fondre en lui, de ne plus le quitter s'empara soudain de Lucy. Et son voeu se réalisa. Avec douceur il déposa ses lèvres sur celle de la verte et argent. Mais déjà il se retira et Lucy fit un énorme contrôle de soit-même pour ne pas lui sauter dessus et se blottir avec force contre son torse pour finir en lui. Comme protéger de tout. A la place elle rouvrit les yeux et contempla le collier dont il lui avait fait présent. Il était magnifique. Plus beau encore qu'elle ne l'avait imaginé. Il était fait de boule avec une étoile qui pendait au bout. Il d'un vert pâle qui représentait sa maison, mais cette idée ne lui était que secondaire. Elle leva les yeux vers son amoureux et sourit. « Il est magnifique. Merci... merci pour tout. »

Ne pouvant plus retenir son coeur qui c'était transformé en batterie, elle s'approcha doucement de lui. Elle aurait préféré se dépêcher comme si il lui manquait de l'oxygène et qu'il n'était qu'à quelques centimètres de lui mais elle patienta. A chaque centimètres qui s'effaçaient de son visage au sien, Lucy ressentit de plus grands coups de coeur désordonnés, trop fort. Elle eut peur que Régis l'entende mais se dit que de toute manière elle ne pouvait pas empêcher son « boum boum » de s'exprimait, si on peut dire. Toujours en se retenant donc, elle se stoppa à deux centimètres de lui, le regarda droit dans les yeux et lui dit : « Je t'aime Régis O'Bryan. » Lentement, elle effleura les lèvres du jeune homme avant de l'embrasser avec passion. Se fut comme un feu d'artifice en elle, sauf que l'introduction c'est le bouquet final. Tout s'enflamma en elle. Elle l'aimait, elle était plus que sure. C'était une évidence. Elle mit quelque temps à y mettre fin, mais se décida tout de même. Ils devaient respirer. Lucy le regarda, esquissa un sourire avant de se blottir contre son torse, comme à une bouée de sauvetage.

« Tu sais Régis, tu me fais peur parfois. Elle attendit 30 secondes avant de reprendre. Tu ne m'aimes plus, n'est-ce pas ? »

Sa voix était terne, triste avec beaucoup de peur qu'elle essayait d'effacer. Elle leva doucement les yeux vers le visage du jeune homme pour observer sa réaction.