AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -11%
Smartphone 6.36 ” Xiaomi 14 (12 Go / 256 Go
Voir le deal
641 €

Partagez|

Quand le complexe devient une assurance...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
Quand le complexe devient une assurance... Lumos-4fcd1e6
Quand le complexe devient une assurance... Empty
MessageSujet: Quand le complexe devient une assurance... Quand le complexe devient une assurance... EmptySam 21 Juil 2007 - 9:43

Quand le complexe devient une assurance…



C’est sans doute l’un des paradoxes les plus flagrant de cette année scolaire : alors que les adolescents d’aujourd’hui se calfeutrent dans un mal-être quotidien, il en est un qui se pavane avec une arrogance tout démesurée. Davis Burningham, élève de dix-sept ans et de la maison de Gryffondor, semble s’être forgé au fil des années un petit rôle surfait, repeint d’orgueil et de supériorité maladive.

Les racines du mal proviendraient – selon des sources sûres – de l’affection exagérée que lui aurait accordé son père, Auror renommé décédé des suites d’un assaut mangemort. L’initiant aux sortilèges de bases dès le plus jeune âge, il apparaît comme clair que Mr Burningham ignorait les terribles ravages qu’il insurgeait à l’intérieur de son fils. Le faisant passer comme exceptionnel, il lui décerna une renommée qui n’était pas la sienne, l’élevant bien au-dessus de son réel talent.

« Un tel manque de discernement est affligeant, s’écrie vivement une employée du ministère – ancienne amie très proche de feu Mr Burningham. Le pauvre Davis est rentré à Poudlard des étoiles dans les yeux, et il est clair qu’il n’a pas le niveau. Pas le niveau du tout. »

Et cette évidence n’a pu que se renforcer au fil du temps. En effet, le jeune Gryffondor s’est avéré imbus de lui-même, persuadé au plus profond de son âme d'être un élève spectaculaire. Se croyant beau, charmant et intelligent, rien ne pourrait vraiment lui arriver ; du moins le pense-t-il. Il en viendrait alors à user de sa baguette plus que de raison, au grand malheur des camarades qui l'entourent. (Une chanson fut d'ailleurs écrite à son encontre, voir page 6) Pourri-gâté dans une illusion de grandeur, le jeune Burningham se trouva bien vite confronté aux dures réalité d’une scolarité appliquée. Heurté aux échecs, enchaînant trimestres lamentables et notes alarmantes, Davis comprit bien vite qu’il devait se forger une toute autre personnalité. Abandonnant la renommée des études, il bifurqua vers un tout autre « personnage », se dessinant des traits de courage éternel et de bonté sans limite.
Arpentant les couloirs avec autant de certitude qu’un préfet en chef, se jouant des sortilèges lancés contre lui, il devient évident qu’il se donne là une aisance surjouée destinée à ameuter la sympathie de tous. Un stratagème qui se termine plutôt en fiasco :

« Burningham n’est qu’une plaie dans cette école, fulmine Argus Rusard, un charmant concierge de l’école de sorcellerie Poudlard. Il fait le malin, il se permet d’être effronté, mais je me console en me disant qu’au fond de lui, il est malheureux. »

Un masque pour occulter un véritable complexe ? La rumeur semble se vérifier au termes de remarques. Les yeux embués de larmes à la moindre évocation de l’un de ses défaut, Davis joue néanmoins la carte de la modestie, élaguant les multiples critiques d’un sourire bien triste.

« Burningham est la caricature du parfait bouffon d'or ! s’emporte Ava Raskolnikov, une adolescente d’une rare lucidité. Il aime jouer les super héros et secourir les demoiselles qu'il aimerait croire en détresse. Ce type est boursouflé d'orgueil, et pourtant il ne possède aucune repartie ou quelconque talent. Il est d'une intolérance ubuesque si on a le malheur de ne pas l'admirer ou encore pire de ne pas l'apprécier. C'est pour ce motif, qu'il a pris l'habitude de m'insulter voir même de m'agresser sans raison. Heureusement, je lui ai infligé une raclée mémorable. Même les plus petites n’osent pas lui parler, car il devient vite violent.
Pour finir, je concluerais en disant que c'est un dangereux mythomane, ayant des troubles de persécutions. Il devrait être enfermé à St Mangouste
. »

Ajoutons à cela une particularité bien dérangeante : Davi Burnongham est – la Gazette se fait une joie de vous le rapporter en exclusivité – un Fourchelang actif ! Une aptitude généralement apposée aux mages noirs, et qui n’est pas sans rappeler d’étranges similitudes avec Harry Potter.

« S’il veut être le nouveau Survivant, c’est complètement raté ! affirme Ronald Wealsey avec véhémence. Ce type est un crétin. »

Mais parler aux serpents paraît attirer des bien drôles de fréquentations ; notamment la très controversée Lucy Maléfice, qui s’est entichée de ce nouveau phénomène. Ayant préféré l’emballage au véritable contenu, il est rare de ne pas l’apercevoir pendue au bras du bel hurluberlu. Découvrira-t-elle le vide aberrant qui se terre au fond de son aimé ? Nous vous promettons de mener l’enquête…

Rita Skeeter, reporter à la Gazette du sorcier.
Revenir en haut Aller en bas

Quand le complexe devient une assurance...

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» [Dec.]Quand l'on se prend pour Don Quichotte...[Mission SG]» Quand il faut se lancer '-'» [MAI] Quand on ne s'aime pas. [Daphné]» [Février 1994] - Quand c'est pas ta journée - PV Enora - » [Oct.]Quand Harry rencontre Sally xD [PV Isaak]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: HORS JEU :: La pensine :: Sept. 1995-Août 1996-