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| [Janv.] Pas de duel, Malade à l'horizon ! [ Pv : David ] | |
| Auteur | Message |
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Invité | Sujet: [Janv.] Pas de duel, Malade à l'horizon ! [ Pv : David ] Mar 28 Oct 2008 - 19:56 | |
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« Ah ! l'amour l'amour l'amour Quand ça vous prend Faudrait partir en courant. » Il devait être très tôt. Ou très tard. En tout cas, la lumière du jour n'était plus qu'un souvenir. La jeune Tyler se redressa légèrement en entendant des pas s'approcher du Dortoir des Filles, un simple coup d'œil vers les lits respectifs de ses camarades l'informa aussitôt : Il ne devait pas être aussi tard qu'elle se l'imaginait. Alors, Ophélia se laissa lourdement tomber sur son matelas, se laissant bercer par les chuchotis de ses camarades qui entraient dans le Dortoir. En sentant une main froide se poser sur sa joue, elle se figea immédiatement. Ophélia frissonna, et commença à se rouler en boule, les yeux toujours fermés. Puis, elle sentit une haleine chaude près de son oreille, ce qui la fit frissonner d'autant plus. Elle s'entendit claquer des dents, sa tête n'allait pas tarder à exploser. Oh pitié, faites que ça s'arrête et que ça s'arrête vite, pensa-t-elle en sentant ses mains se crisper aux draps. Elle détestait être malade, que ce soit un rhume, une bronchite ou même un simple mal de tête.
« Ophélia, tu devrais aller à l'infirmerie : Il est à peine Vingt-et-une heures. Et tu as le front tout en sueur. » murmura une voix non identifiable. « Tu m'entends ? Ophée ? » qu'elle se taise, pitié, qu'elle se taise. « Tu dois avoir une grippe ... Ou une angine. » oh joie, l'infimière Mystère était de retour.
Ophélia marmonna quelques mots incompréhensibles avant de repousser la main qui était sur sa joue. Ses yeux s'ouvrirent lentement et sonda la jeune femme blonde du regard. Ainsi donc, c'était Elle son infirmière ? Mouais. Ophélia se redressa à nouveau et écarta les couvertures d'un geste de la main. En posant ses pieds sur le plancher froid, elle eut envie de mourir. Sa gorge était enflammée, et les larmes roulaient sur ses joues. Ces larmes étaient le signe qu'elle était à bout. Vraiment à bout. Elle ne connaissait pas cette Blonde, elle ne voulait pas la connaître. Ophélia voulait juste la Paix, la PAIX. Le cri du cœur, pourrait-on dire. Elle sentit ses yeux brûler d'autant plus, la jeune femme baissa la tête, ne désirant pas qu'on la voit pleurer encore plus. Ophélia se dirigea difficilement vers son tricot en laine bleu qu'elle enfila rapidement, ensuite elle jeta un petit coup d'œil vers la jeune femme Blonde, qui était restée immobile, pour lui adresser un petit sourire, petit mais pas forcé. Ophélia lui en était reconnaissante. De l'attention qu'elle lui portait alors qu'elles ne s'étaient jamais adressées la parole. Étrange non ? Certaines personnes étaient vraiment délicieuses. Bon, il y avait deux genres de Personnes Délicieuses. Les personnes Délicieuses qui le savent et les Personnes Délicieuses qui l'ignorent. L'image de David flotta un instant devant ses yeux, mais elle le chassa rapidement. Bon, David n'était pas quelqu'un de Délicieux. Plutôt une personne Mystérieuse particulièrement ... Charmante ? Non, non. Mauvaise description. Mais alors comment le décrire ? Si on devait le décrire de façon très crue, le portrait ne serait pas flatteur. Tant pis ; Ophélia voulait lui faire un portrait fantastique. L'amour rend aveugle ? Mais l'amour, qu'est ce que ça rend con.
Hmmm. Ophélia avait l'air maligne. Vraiment. Avec son bas de Pyjama, son tricot bleu ( tricot fait mains, inutile de vous décrire le massacre ) et ses cheveux dans tout les sens ... Sans compter ses chaussures : à mi chemin entre les mocassins & les traditionnelles chaussures vernies. Ophélia Façon Saut du lit. Quelle honte, quelle honte. Inutile de vous faire un dessin, elle était ridicule. Soudain, elle fut prise de doute : Elle était dans les Couloirs, avec un tricot immonde et un bas de pyjama grisâtre. Sans sa baguette en plus ... Ah si ! Sa baguette était dans une des poches intérieures du Tricot. Bon, les Serdaigles étaient habitués à ce fameux tricot ( qu'elle mettait pratiquement tout les jours ) mais le reste du monde ... Pas si sûr que ça. Et puis, si le Concierge lui tombait dessus ? Il allait l'accuser de rôder dans les couloirs ! Stop, stop. Respirons, tous en coeur. Elle n'était plus qu'à quelques pas de l'Infirmerie, courage ! Puis, étrangement ... Elle n'avait aucune envie d'aller à l'Infirmerie. Elle n'avait aucune envie de se faire soigner. Enfin, si. Mais pas à coups de médicaments dégoûtants. Alors, elle repartit à reculons. Où pouvait-elle aller ? Sans doute pas au Dortoir sinon la Blonde - du nom de ... je ne sais plus qui - allait lui sauter dessus et la traîner à l'Infirmerie par les cheveux. Où pouvait-elle donc aller ? Sans se faire harceler par un Concierge malade ? La réponse s'imposa d'elle-même. Salle des Duels ! Mais oui, cher ami. Bon, qui a l'idée de se lancer un Duel en pleine nuit ? Franchement ? Personne ! Enfin ... Parfois, il y a quelques élèves qui se donnaient Rendez-vous là-bas ; mais cette nuit-là, ça allait être différent. Ophélia espérait mollement que ça allait être différent.
Personne ! Yep ! Génial. Personne pour la voir habillée de la sorte, personne pour glousser joyeusement en la regardant. Tant mieux. Alors, Ophélia se dirigea lentement - c'était pas comme si sa vie en dépendait, si ? - et se laissa glisser le long du mur. Elle se recroquevilla légèrement et ferma les yeux, attendant que Morphée revienne. Mais, d'une certaine manière, elle savait parfaitement que son malaise était constant. Pourquoi ? Parce qu'elle était trop lâche. Elle était minable. Elle se détestait. Pourquoi n'était-elle pas assez courageuse pour aller voir David et juste lui parler ... d'Eux deux ? Bon, okay, elle ne savait pas si le " Eux deux " existait réellement. Mais, bon Sang, qu'est ce qu'elle ne ferait pas pour le savoir ? |
| | | Invité | Sujet: Re: [Janv.] Pas de duel, Malade à l'horizon ! [ Pv : David ] Jeu 30 Oct 2008 - 17:42 | |
| Cela faisait déjà plusieurs heures que la nuit était tombée sur Poudlard, plusieurs heures que les couloirs du château étaient déserts et que le moindre arbuste qui se trouvait dans le parc était hors de vue. Les ténèbres semblaient s'être appropriées la moindre parcelle de Poudlard, le moindre recoin de château, la moindre touffe d'herbe qui se trouvait dans le parc. Depuis que le couvre-feu avait été avancé d'une heure, plus un seul élève n'osait se promener dans le château passé ce délai. Il faut dire qu'avec la Brigade Inquisitoriale qui faisait ses rondes ainsi que le concierge Rusard qui s'était vu attribué plus de pouvoirs que le peu qu'il possédait, il aurait été fou voir suicidaire de hasarder ne serait-ce qu'un orteil en dehors de la salle commune. David avait beau être un rebelle dans l'âme, jamais il n'aurait tenté de sortir de sa confortable salle chérie. Il commençait cependant à souffrir des affres de l'ennui, installé seul dans son coin, loin des regards de tous ses camarades et, surtout, de toutes ses petites camarades. Un rapide coup d'oeil sur la pendule lui apprit qu'il était déjà vingt-et-une heures. Déjà ? Je devrais plutôt dire seulement, car la nuit promettait d'être longue...
Le jeune homme soupira et ouvrit le gros bouquin qui trainait sur ses genoux depuis le début de la soirée. Rien de bien intéressant, juste les aventures ennuyeuses de sorciers tous plus morts et barges les uns que les autres, pas de quoi décerner un prix littéraire... Il retomba sur la première page, cette même page qu'il avait tenté de lire une bonne centaine de fois une heure ou deux plus tôt. Pour il ne savais quelle raison, il lui était impossible de ce concentrer depuis plusieurs jours. Les cours lui semblaient tous être plus ennuyeux les uns que les autres, sans parler de ses professeurs qui commençaient vraiment à lui taper sur le système. Il aurait donné n'importe quoi pou pouvoir passer ses journées entières enfermé dans le dortoir à jouer de la musique plutôt que de devoir se lever pour aller gratter toute la journée... Grincheux ? Nooooon, jamais voyons, tout le monde sait que David était d'une nature délicieuse et qu'il était particulièrement adorable et serviable. Pourquoi je vous vois rire, vous ne le croyez pas ??? Vous n'avez peut-être pas tort dans le fond héhé, on ne change pas un sadique né mouhahahaha ( rire qui fait peur ).
Les minutes s'écoulèrent sans que le Serpentard ne parvienne à comprendre un seul des mots qu'il était en train de lire et de relire. Agacé, il finit par déclarer forfait et referma le livre. Après tout, il pourrait bien user de ses quelques moments de gentillesse pour se trouver une jeune et jolie voisine sur qui il pourrait compter pour avoir les bonnes réponses à la prochaine évaluation. En regardant autour de lui, le jeune homme put apercevoir qu'il n'était pas le seul à ne pas avoir le courage d'étudier. Qui pourrait les en blâmer ? Après de merveilleuses vacances de Noël célébrées à l'aide du bal de Poudlard, qui aurait envie de revenir à l'esprit de travail qui régnait généralement dans l'école ? Pas David en tout cas...
Le jeune Tailor se leva de sa place si confortable pour aller déposer son livre dans le dortoir des garçons. Seuls quelques uns de ses camarades se trouvaient dans leurs lits, les plus courageux qui lisaient ce même livre que David venait de fourrer loin dans sa valise, quelque part entre une paire de chaussette et le cadeau de Noël que lui avait envoyé son Elfe de Maison : une paire de gants troués. Après tout, n'était-ce pas l'intention qui comptait ? Lorsque ses 'amis' le saluèrent, le jeune homme se contenta d'un rapide signe de la main avant de reparaître dans la salle commune. Le nombre incroyable d'élèves qui s'y trouvaient alors suffit à convaincre David qu'une petite sortir nocturne ne serait pas un grand luxe. Il savait à peu près vers quelle heure passait la Brigade Inquisitoriale, sans compter qu'il était à Serpentard, le professeur Ombrage pourrait donc peut-être se montrer indulgente avec lui qui sait ? Qui a dit que rêver pouvait faire du mal hein, que je lui fasse voir de quel bois j'me chauffe ?!!!! Sans prêter un seul regard à personne, David sortit dans la nuit des cachots. Comme il pouvait s'y attendre, personne ne se baladait dans les couloirs à une telle heure. Le jeune homme déambula donc, saluant quelques portraits de sa connaissance au passage, sans rencontrer âme qui vive. Même cette horrible Miss Teigne semblait inconnue au bataillon. Après quelques minutes de marche hasardeuse dans la nuit de Poudlard, David se retrouva en face d'une porte ( wouaaaaaaaaah ) qu'il ne connaissait que trop.
À première écoute, personne ne semblait se trouver à l'intérieur de la salle des duels. Le jeune homme, cherchant toujours la solitude, poussa donc la porte et entra. D'un coup de baguette, il alluma toutes les bougies de la salle et sursauta en apercevant une fine silhouette recroquevillée sur elle-même dans le fond de la pièce. Il plissa des yeux pour tenter de reconnaître cette personne et fini par mettre un nom sur cette dernière : Ophélia Tyler. Ne sachant pas s'il devait sortir ou rester, il hasarda quelques paroles.
« Ophélia ? Ça ne va pas ? » demanda-t-il de son ton naturellement froid.
David gentil, c'est rare non ? |
| | | Invité | Sujet: Re: [Janv.] Pas de duel, Malade à l'horizon ! [ Pv : David ] Jeu 30 Oct 2008 - 21:51 | |
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]________ (c) Joey
« I feel like a hero and you are my heroine. » Zzz Zzz Zzz Zzz. Faisons dans l'originalité, chers amis ! Rooon Pshiiit Rooon Pshiiit. Inutile de vous dire que décrire une personne qui s'endort ( ou qui est déjà totalement endormie ) est quelque chose de parfaitement excitant, captivant, énergisant. Et j'irais même plus loin en vous disant que c'est un spectacle totalement ... Gigantesque. Héhé, je plaisante. Bref. Quoi qu'il en soit, Ophélia n'était pas tout à fait endormie mais elle n'était pas tout à fait réveillée. Vous me suivez ? On peut dire qu'elle était en train de somnoler, attendant patiemment que le sommeil veuille pointer le bout de son nez. Cela étant dit, quand toutes les bougies s'allumèrent d'un seul coup, la jeune femme ne put s'empêcher de pousser un petit cri. Pensant sans doute que sa fin était proche ( bah voui, chers amis, Ombrage aurait pu surgir de derrière une chaise pour lui donner une retenue même Rusard aurait pu aussi faire de même ), la jeune femme ouvrit brusquement les yeux, se recroquevillant d'autant plus ... Pour se fondre dans le décors, j'imagine. Même si son immonde tricot bleuâtre ne passait franchement pas inaperçu. Dommage. Empoignant son courage à deux mains ; Ophélia jeta un petit coup d'œil vers son visiteur surprise ( Ombrage ?? Non, nooooooon ... La vérité qui tue ) et se demanda brusquement pourquoi elle n'était pas morte sur le coup. Pourquoi elle n'était pas allée gentiment à l'Infirmerie ? Dans l'encadrement de la porte se trouvait son cheeeer et teeeendre David Tailor. Excusez-moi, je reprends ... Non, tout compte fait, je reprends pas. Parce que c'était ce qu'il était non ? Même si il n'était pas vraiment au courant. Bref. Étrangement, il semblait être sur le point de tourner les talons et de s'enfuir en courant. En tout cas, il hésitait à ouvrir la bouche. Ça se voyait, c'était évident. Et le pire, c'était qu'Ophélia ne savait pas vraiment quoi dire pour engager la conversation. Mis à part : « Daviiiiiiiiid, tu aimes enfreindre le règlement toi aussi ? » Ce qui était parfaitement faux vu que la Serdaigle haïssait enfreindre le règlement ; de peur de se prendre quelques heures de retenues au passage. Arf.
« Ophélia ? Ça ne va pas ? » lui demanda-t-il d'un ton qu'elle ne connaissait que trop bien.
Mais si : ça va même trèèèès bien, avait-elle envie de lui lancer, la mine déconfite. Au moins, il s'intéressait un tout petit peu à elle ; ce qui n'était pas pour lui déplaire bien au contraire. Si Ophélia n'avait pas été malade, elle aurait probablement sauté de joie au risque de se faire passer pour une Andouille de Première Catégorie. Ses yeux recommencèrent à se fermer, sous l'effet du stress qui s'accumulaient. Stress de quoi ? Stress de : « Ohhhh ... Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ce genre de truc ? Il faut qu'Il soit dans la même pièce que moi alors que je ressemble à un Zombi tout juste sorti de son cercueil ... Ce tricot doit être maudit. » . Vous voyez le genre ? Le genre de truc que chaque fille se dit au moins une fois dans sa vie. Banal quoi. La Serdaigle aurait bien aimé lui répondre joyeusement mais la seule réponse qui lui venait en tête c'était : « Naaaaaaaaaan, ça ne va pas du tout. Je vais mourir ; laisse-moi seule avec ma peine. » Réaction idiote de sale gamine pourrie gâtée. Depuis le temps qu'elle connaissait David ( quelques mois déjà ), elle savait pertinemment que chaque phrase qu'elle prononçait était propice à la moquerie. Or, ce soir-là, Ophélia ne désirait pas vraiment se faire rabaisser. Même si, en même temps, David avait été plutôt ... sympathique avec elle ces derniers temps. Un peu trop d'ailleurs ; elle se demandait quand le fameux : « Ophée , t'es bien gentille, t'es bien mignonne alors dis-moi ... Comment tu trouves cette fille là-bas ? » Question posée de pote à pote pour faire court. Si jamais cette question arrivait, elle se chargerait personnellement de refaire le portrait de la fille en question. Sous vos yeux ébahis naîtra la nouvelle Ophélia, dite : Ophée la furie. THE phénomène de foire du moment ! Mais Dieu merci, cette Ophélia n'est pas encore née et elle ne naîtra sans doute jamais ( sinon ce sera à vos risques et périls, chers amis ).
« Comme tu peux le voir, je ne suis pas réellement en forme. » répondit-elle, en tentant de se relever tant bien que mal. Puis abandonnant tout espoir, elle retomba lourdement sur le sol.
Bon, elle jouait un peu les grandes malades. Ophélia s'assit en tailleur, observant le Serpentard avec un air sans doute un peu trop insistant. Les coudes sur les genoux, ses mains soutenant sa tête qui semblait si lourde ; elle était prête à lui faire face. Depuis le temps où elle n'avait pas eu ce courage, elle savait maintenant ce qui lui restait à faire : rester zen jusqu'à ce qu'ils se quittent. Sans lui sauter dessus, sans aller vers lui pour ... l'embrasser sauvagement !! Bwaaaaaf ! Vous y avez cru ?? Elle n'oserait jamais ; ... Je sais, ne jamais dire jamais. Même si sa tête n'allait pas tarder à exploser, Ophélia se sentait forte. Un sentiment qui semblait l'avoir quittée depuis un bon moment. Mais elle savait parfaitement qu'elle pouvait jouer la bonne vieille copine si elle le voulait, la jeune femme savait qu'elle pouvait jouer la comédie avec talent. Mais, attendez, qui a dit qu'elle le voulait ?
« Tu peux t'approcher. Je suis peut-être malade mais, jusqu'à preuve du contraire, je ne suis pas contagieuse. » déclara-t-elle en forçant un peu trop sur le sourire jaune.
Bon, okay. Il y avaient d'autres répliques un peu plus sensuelles, et touti quanti, sur Terre mais elle n'avait pas son Manuel : « Comment le séduire ? » sur elle. Dommage hein ? Allez, ce sera pour une prochaine fois Ophélia ! |
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