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[Juin] Epreuve d'Astronomie

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JKR
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MessageSujet: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyDim 23 Mai 2010 - 3:53



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I. Partie Connaissance

1°) Nommer l’ensemble des planètes de notre système solaire, dire de quel type de planète il s’agit (tellurique, gazeuse, liquide, glace, etc.), et donner la composition de l’atmosphère de chacune.

2°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des anneaux ? (Précisez le nombre pour chacune)

3°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des satellites ? (Précisez le nombre pour chacune)


4°) a - Qu’est-ce qu’une constellation ?

b - Identifier les différentes constellations suivantes. Vous devrez donner leur nom et leur origine (japonaise, romaine, etc.).


Constellation 1 :

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Constellation 2 :

Spoiler:

Constellation 3 :

Spoiler:

Constellation 4 :

Spoiler:


II. Partie Imagination

Dans cette partie, vous aurez carte blanche. Attention à la cohérence de vos écrits.
Objectif : Vous devez imaginer un système solaire à votre image.

Utilisez votre date de naissance (ceci vous permettra de déterminer votre signe astrologique) comme point de départ si vous ne savez pas par où commencer.
Vous devrez indiquer le nombre et le type de corps célestes* (planètes, constellations, trou noir, astéroïdes, comètes, etc.) que vous mettriez, leurs noms et l’ordre dans lequel vous les placeriez par rapport au soleil.

Enfin, dans un court récit de 20 lignes maximum, imaginer la façon dont s’éteindra votre système.

N.B. : Le dessin de votre système sera un plus mais n’est pas obligatoire.

* Notez que vous serez limité à dix corps !

Les épreuves sont à envoyer à JKR par MP. Merci et bon courage !


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MessageSujet: Re: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyMer 28 Juil 2010 - 22:59

ÉPREUVE D’ASTRONOMIE
PROSPER WAGNER; SIXIÈME ANNÉE; SERDAIGLE

PARTIE CONNAISSANCE

I. Notre système solaire contient en tout neuf planètes qui orbitent autour du Soleil à des rythmes et des axes différents. La plus proche du Soleil est appelée Mercure et il s’agit d’une planète tellurique, comme les trois autres qui la suivent d’ailleurs. La planète la plus chaude se nomme Vénus et la suivante, celle que nous habitons, est bien entendu la Terre. La dernière planète à l’atmosphère tellurique est Mars, la petite rouge. Jupiter et Saturne sont des géantes gazeuses, c’est-à-dire que leur atmosphère est constituée de gaz. Uranus et Neptune sont, quant à elles, appelées « géantes glacées » car elles sont composées d’un pourcentage de glace plus élevé que celui de gaz. La toute dernière est Pluton, une minuscule planète glacée.
II. La plus connue est Saturne, qui possède une douzaine d’anneaux. Jupiter, bien que plus massive, n’en possède que quelques-unes; tout comme elle, Neptune se contente d’une demi-douzaine d’anneaux. Enfin, Uranus en a elle aussi approximativement douze. Les seuls anneaux visibles au télescope sont celles de Saturne.
III. Presque toutes les planètes de notre système solaire ont des satellites. La Terre en possède un seul, la Lune. Mars en a deux, Pluton en a trois, Neptune en a une dizaine et toutes les autres, mis à part Mercure et Vénus, dépasse et de loin la vingtaine.
IV. A. Une constellation est un ensemble d’étoiles assez rapprochées pour que nous imaginions une image particulière.

Constellation 1. La Casserole? Les origines de son nom sont grecques à mon avis. De toute façon, les grandes constellations sont toutes issues de la mythologie grecque, non?
Constellation 2. Orion si mes observations sont exactes. La plus ancienne des constellations; son nom vient aussi de la mythologie grecque.
Constellation 3. Il s’agit probablement du Scorpion, d’origine –encore une fois- grecque.
Constellation 4. La constellation de…l’Escalier? Du Fauteuil? Sincèrement je ne vois pas ce que ces quelques lignes ridicules pourraient représenter.

PARTIE IMAGINATION

Mon système solaire est composé de cinq corps –trois planètes et deux satellites naturels. La première planète, située à 58,000 kilomètres du Soleil, possède un diamètre de 122,491 kilomètres et il s’agit d’une planète tellurique. Son noyau est par contre gazeux et est composé d’une grande quantité de dihydrogène. La deuxième se situe à 56,913 kilomètres de la première, soit à 114,913 kilomètres du Soleil et a un diamètre de 7,257 kilomètres; il s’agit de la plus petite planète. Son atmosphère est composée de glace d’eau et d’hélium en majorité. Elle possède deux anneaux, Zêta et Iota. La troisième planète, à 189,048 kilomètres de la deuxième et donc 303,961 kilomètres du Soleil, fait 154,078 kilomètres de diamètre et héberge un écosystème composé de végétaux et de quelques espèces d’amphibiens peu évolués. Les deux satellites de cette planète, Ménétios, d’un diamètre de 3,015 kilomètres, et Phorcys, 1,983 kilomètres, parcourent leurs orbites sur une durée de 517 jours et 342 jours.

L’extinction de ce système solaire se fera sur une longue période de plusieurs millénaires : l’orbite des planètes changera lentement d’angle, forçant les planètes à passer plus proche du Soleil. Le dihydrogène étant hautement inflammable lorsqu’il subit des changements de température ou de pression, la première planète sera consumée par son propre noyau. La température affectera l’atmosphère glacée de la deuxième planète, qui disparaîtra éventuellement suite à la fonte de ses glaces. Suite à ces changements drastiques, l’orbite des satellites de la troisième planète seront changés puisque la planète passera plus proche du Soleil. L’astre solaire s’éteindra dans une explosion massive lorsque Ménétios le percutera et l’absence de lumière et de chaleur tuera l’écosystème de la planète. Fin de l’histoire.

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MessageSujet: Re: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyMer 28 Juil 2010 - 23:38

ÉPREUVE D’ASTRONOMIE
Evelyn Meredith Ophelia Twynam, Cinquième année, Poufsouffle

PARTIE CONNAISSANCE

1. Nommez l’ensemble des planètes de notre système solaire, dites de quel type de planète il s’agit (tellurique, gazeuse, liquide, glace, etc) et donner la composition de l’atmosphère de chacune.
Le système solaire dans lequel nous vivons est composé de neuf planètes, qui orbitent dans un certain ordre autour de notre Soleil. La première se nomme Mercure, c’est une toute petite planète tellurique dont l’atmosphère est quasi-inexistante. On parle donc d’une « exosphère », qui contient principalement du potassium, du sodium et de l’oxygène. La deuxième planète est Vénus, elle aussi tellurique, et son atmosphère séparée en plusieurs couches se compose majoritairement de dioxyde de carbone. Notre belle planète Terre est aussi tellurique et notre atmosphère compliquée est remplie de différents gaz selon les niveaux. Jamais je n’aurais cru que ce serait plus compliqué de décrire notre planète comparée à celles que je n’ai jamais visité…Je compte le faire un jour! La quatrième planète est Mars, la belle rouge, la dernière tellurique de notre système solaire. Son atmosphère est elle aussi constituée de dioxyde de carbone à plus de 90%. Jupiter est l’une des deux géantes gazeuses et est formée principalement d’hydrogène et d’hélium. Sa sœur Saturne ne se différencie que par ses anneaux, parce qu’elle est du même type que la précédente et son atmosphère contient les mêmes gaz. Uranus et Neptune font parties de la catégorie des géantes glacées parce qu’elles ont plus de traces de glace d’eau mélangées à l’hydrogène et à l’hélium. Et enfin, Pluton, la plus petite des planètes et la plus éloignée, est enveloppée d’une couche d’azote.
2. Quelle(s) planète(s) possède(nt) des anneaux? Précisez le nombre pour chacune.
Toutes les planètes du système solaire dit « externe » ont des anneaux, c’est-à-dire Jupiter, qui en possèdent trois, Saturne –la plus célèbre- qui en a 7, séparées par des divisions distinctes, Uranus qui s’entourent d’au moins douze anneaux et enfin Neptune qui en possède cinq.
3. Quelle(s) planète(s) possède(nt) des satellites? Précisez le nombre pour chacune.
Sept de nos planètes ont des satellites naturels qui orbitent constamment autour d’elles. La Terre n’en a qu’un seul, Mars en a 2, Pluton en a 3, Neptune en possède 13, Uranus en compte 27 et Saturne et Jupiter en ont 60 et 63. Notre système solaire contient donc au-delà de cent-cinquante satellites naturels en orbite autour des planètes, c’est une sacrée quantité!
4. Qu’est-ce qu’une constellation?
Une constellation est un dessin formé par des lignes imaginaires entre des étoiles proches les unes des autres. Même s’il a aucune vraie ligne, les étoiles concernées se démarquent assez pour que les gens y voient une image.
5. Identifiez les différentes constellations suivantes. Vous devrez donner le nom et leur origine (japonaise, romaine, etc).

Constellation 1. Il s’agit de la constellation de la Grande Ourse. On la reconnaît à sa forme de cuillère ou de casserole composée de ses plus brillantes étoiles. C’est une des constellations de Ptolémée, un astrologue grec, et son origine est donc de Grèce.
Constellation 2. C’est Orion, le Chasseur, une autre constellation grecque. Mais il faut savoir que différentes civilisations y voyaient différentes choses et des historiens disent que son nom viendrait en fait d’un dérivé de l’akkadien, langue du pays d’Akkad.
Constellation 3. Cette constellation est celle du Scorpion, l’un des signes du zodiaque. La mythologie grecque raconte qu’Artémis envoya le scorpion pour tuer Orion le Chasseur et c’est pourquoi les deux constellations sont loin l’une de l’autre, pour éviter un nouveau combat.
Constellation 4. Issue encore une fois des grecs, ceci est Cassiopée ou La Reine, une constellation simple qui représente pourtant une grande image. La légende dit que Cassiopée fut enchaînée à son trône pour la punir de son orgueil et c’est pourquoi on y voit une sorte de chaise.

PARTIE IMAGINATION

Le magnifique système solaire que voici compte trois planètes, une lune, deux comètes et deux constellations. Et tous ces corps ont de jolis noms! La planète qui est d’un joli violet clair lilas bleu lavande s’appelle Caesius, c’est une planète tellurique habitée par des entités vaporeuses en forme de papillon! Ils se nourrissent de l’hydrogène présent dans l’atmosphère parce qu’ils sont des êtres composés de gaz finalement. La planète vert mousse d’épinard anglais profond est un équivalent de la Planète Terre et se nomme Venetus. Une espèce d’humain y vit, mais ils n’ont pas besoin de cours d’eau et se contentent de l’humidité contenue dans la verdure qu’ils mangent. Leur lune, Puniceus, a une belle couleur rose barbe à papa! La troisième planète, Purpureus, est d’une couleur framboise prune aubergine et est inhabitée parce qu’elle est gazeuse. Les deux comètes, Velox et Celox, passent à tous les 120 ans entre Venetus et Caesius. Les deux constellations connues sont celle de la Licorne et celle de la Corne d’Abondance.

Mon pauvre système solaire va commencer par perdre ses constellations, parce que les étoiles qui les composent s’éteindront. Le soleil va s’éteindre lui aussi et comme les planètes n’auront plus de repère autour duquel orbiter, elles vont se retrouver dans le vide intersidéral! Et sans orbite précise, Velox et Celox vont percutés Venetus et Caesius, cette dernière va être détruite. Les équivalents d’humains vont détruire eux-mêmes le reste de leur planète en rasant la verdure dont ils se nourrissent pour faire plus de places pour les maisons et finalement Purpureus va s’évaporer dans l’espace après des années de solitude dans une galaxie vide. Et il ne restera plus rien du tout!

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MessageSujet: Re: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyLun 2 Aoû 2010 - 14:32

De nombreuses légendes circulaient autour des étoiles, et plus généralement du ciel. Ce sont-elles qui sont souvent à l’origine des constellations, ces animaux imaginaires qui peuplent la voûte céleste. L’astronomie est une matière riche sur plusieurs aspects. Les Moldus s’attacheront plus volontiers à l’aspect physique de la discipline, ils ont d’ailleurs appelé astrophysique. Mais l’astronomie, ce n’était pas qu’une série de phénomènes physiques, de mécanique quantique et autres données chiffrées totalement incompréhensibles. Heureusement, à Poudlard, l’on s’attachait davantage à l’aspect mystique de la matière. Bien entendu, l’étude des planètes passait obligatoirement par les détails relativement chiants et indigestes, mais l’observation s’avérait passionnante, autant que l’étude des mythes et légendes entourant l’Univers, du Big Bang à de nos jours, en passant par les différentes conceptions de ce qui était communément appelé l’espace, ou encore le cosmos. Irina n’était pas spécialement férue d’astronomie, quoiqu’on en dise. Cependant, elle ne faisait pas une intolérance à la matière, comme c’était le cas pour le vol ou les soins aux créatures magiques. En fait, ce n’était qu’une affaire de ni plus, ni moins, la neutralité absolue, la presque indifférence. La Serpentard avait un esprit bien trop rationnel pour garder la tête en l’air trop longtemps, même si elle ne répugnait pas à se perdre dans les cieux infinis, le temps d’une observation. Elle jugeait en réalité la matière un peu trop plate, manquant cruellement d’action. Certes, Irina aimait les jeux de réflexion, là où il était aisé de perdre quelques neurones suite à une pensée trop intensive et une solution loin d’être facile à deviner. Mais en matière d’astronomie, il n’y avait pas trop lieu de choisir, la plupart des questions exigeaient du par cœur, et cela l’attirait moyennement. Ceci dit, elle avait une capacité de mémorisation assez impressionnante. Une lecture unique suffisait parfois, sa mémoire étant essentiellement visuelle. Quant à retenir ce qu’elle entendait, c’était une toute autre histoire, mais cela s’avérait nécessaire, ne serait-ce que pour la musique. Quoiqu’il en soit, la cinquième année avait une épreuve à passer, et cela n’allait sûrement pas se faire en claquant dans les doigts. Quand il fallait y aller…La Serpentard s’installa à son pupitre, pour la énième fois depuis le début des épreuves. Elle ne savait plus exactement ce qu’il lui restait à passer, elle avait perdu le compte. Il lui semblait que le plus long bout était derrière.

En fait, elle était fatiguée, le surmenage guettait. Elle s’était donnée beaucoup de mal pour réussir, elle s’était sortie les tripes pour avoir des notes correctes, et elle espérait que ses écrits puissent convaincre le jury qui l’évaluerait alors. Il était hors de question qu’elle ait des notes en dessous d’acceptable en dehors des matières qu’elle détestait vraiment L’astronomie était à portée de main, si une telle expression n’était pas totalement absurde. Car le ciel était tout sauf accessible, tout du moins quand on avait les pieds bien arrimés au sol. L’adolescente réfléchissait, plume en main, ses lèvres rosées esquissant une moue boudeuse à mesure qu’elle découvrait l’intitulé de son sujet, peu convaincue par ce qu’elle y voyait alors. Résignée, n’ayant pas vraiment foi en ce qu’elle faisait, elle entreprit de rédiger ses réponses, surveillant la clepsydre par intermittence, il ne s’agissait pas de perdre du temps sur certaines questions pour ne pas pouvoir répondre à d’autres. Elle avait vraiment hâte que ces examens se terminent. Pour une fois, elle ne se perdrait pas dans les phrases inutiles, faites pour dire de se rajouter du mot. De toute manière, ce n’était pas la quantité qui faisait la qualité. Ses réponses seraient donc courtes, concises et efficaces, une fois n’était pas coutume.


    EPREUVE D’ASTRONOMIE.
    Irina Collins, cinquième année, Serpentard.

    I-PARTIE CONNAISSANCE.

    1°) Nommer l’ensemble des planètes de notre système solaire, dire de quel type de planète il s’agit (tellurique, gazeuse, liquide, glace, etc.), et donner la composition de l’atmosphère de chacune.

    Notre système solaire comporte neuf planètes, qui sont Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton, quoique le statut de Pluton en tant que planète est sujet à controverses. Elles se classent en deux groupes, les planètes dites Telluriques, qui ont un sol solide, et les planètes gazeuses, qui sont essentiellement formées de gaz. Mercure n’a pas vraiment d’atmosphère à proprement parler, étant beaucoup trop proche du soleil. Vénus comprend du dioxyde de carbone et du dioxyde de soufre, la Terre quant à elle contient du diazote, du dioxygène, du dioxyde de carbone notamment. L’atmosphère de Mars est riche en dioxyde de carbone, présent en majorité. Sont présent d’autres gaz mais en plus petites quantités, relativement négligeables. La planète rouge ferme ainsi le groupe des planètes telluriques. Jupiter est la première planète du groupe des géantes gazeuses. Elle contient essentiellement de l’hydrogène et de l’hélium. Si elle avait été beaucoup plus grosse, elle aurait pu être une étoile. Tout comme Jupiter, Saturne est composée essentiellement d’hydrogène et d’hélium. Uranus est particulière, elle est composée de glace d’eau et d’hélium, mais aussi de méthane et d’hydrogène. Vient ensuite Neptune, la deuxième planète bleue, et la dernière des gazeuses. Mais si elle apparaît d’une telle couleur, c’est probablement en raison de sa composition, toute en glaces, hydrogène et hélium. A l’instar de Mercure, Pluton n’a pas d’atmosphère à proprement parler, il s’agit juste d’une enveloppe gazeuse contenant du méthane, de l’azote et du monoxyde de carbone.
    2°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des anneaux ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Les planètes telluriques n’ont pas d’anneaux, pas plus que Pluton. En réalité, seules les géantes gazeuses en sont dotées, ce qui fait que Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune en ont. Jupiter a 3 anneaux, Saturne et Uranus en ont chacune 13, et Neptune en a 5.
    3°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des satellites ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Toutes les planètes ont des satellites, à l’exception de Mercure et de Vénus. Même Pluton, malgré son statut controversé de planète, a au moins un satellite. Jupiter détient le nombre record de satellites, à ce jour, 63 sont connus. Saturne possède le deuxième plus grand nombre de satellites, qui s’élève à 53. Vient ensuite Uranus, qui en a 27 et Neptune qui en a 13. Loin derrière se trouve Mars, qui a deux satellites, Deimos et Phobos, Pluton, qui possède un seul et unique satellite, Charon, et enfin la Terre, qui a pour satellite la Lune. (nb: même remarque que pour Erin, flemme de compter combien de satellites étaient connus en juin 1995, la découverte de certains satellites étant très récente.
    4°) a - Qu’est-ce qu’une constellation ?
    Une constellation est un ensemble d’étoiles, que si on les relie entre elles, peuvent représenter un animal le plus souvent, ou des figures mythologiques. Bien entendu, ces figures sont nées de l’imagination de l’homme.
    b - Identifier les différentes constellations suivantes. Vous devrez donner leur nom et leur origine (japonaise, romaine, etc.).
    La première constellation est la GRANDE OURSE. Elle a été imaginée par un grec. La seconde constellation est Orion, d’origine latine. Les deux dernières sont le Dragon et Cassiopée, toutes deux d’origine grecque.

    II- PARTIE IMAGINATION.

    Je suis née un 19 Octobre 1979 et je suis du signe de la Balance. Ma planète, en astrologie, est Vénus, elle figurera donc de ce fait, en premier lieu, dans mon système solaire. La deuxième planète est également appelée Etoile du Berger, il s’agit de la toute première étoile qui s’illumine dans un ciel qui n’est pas encore d’un noir d’encre. Saturne est également un élément important dans mon système solaire. En astrologie, selon si c’est Vénus ou Saturne qui domine, la personnalité du sujet né sous le signe de la Balance sera différente. Mercure est également très présente au vu de mon caractère vif et nerveux, mais aussi insensible. Elle symbolise la réflexion, l’éveil intellectuel du sujet. Mars n’est pas présent dans mon ciel, je suis quelqu’un de peu émotif, totalement rationnel, je ne me laisse pas aller à mes pulsions, je ne cède pas facilement à la colère, je ne démarre jamais au quart de tour. D’un autre côté, Mars domine, et est parfois despotique. Je suppose qu’elle apparaîtrait toutefois, par intermittence. Cette planète ne serait pas permanente, tantôt elle passerait au voisinage du soleil, tantôt elle s’en éloignerait, son orbite serait plus grande que celle des autres planètes, sa période de révolution plus grande. Peut-être même qu’elle serait plus éloignée que Pluton même. Jupiter serait forcément présent. Il représente la gloire, la chance, la réussite. Parfois, selon s’il est dominant ou non, il peut être facteur d’excès, il faut s’attendre au revers de la médaille, et à ce que gloire et réussite ne deviennent des obsessions. Cependant, Jupiter dénote la générosité et les sentiments s’il est dominant, il serait, dans mon ciel, suffisamment faible et reclus, pour ne pas avoir d’influences sur le restant. Revenons donc à Saturne. Elle influe sur l’introversion, la solitude, l’ambition, l’impassibilité et l’insensibilité émotive. Elle figurera forcément dans le peloton de tête de mes planètes. Uranus serait également compris, puisque c’est l’excentricité même, l’anticonformisme, l’indépendance, les idéaux. C’est l’essence même de ma personnalité, le côté artiste et changeant qui m’anime, l’énergie créatrice à l’état pur. Il figurerait donc en tout premier lieu, bien avant les autres planètes. Uranus serait exacerbée par la lumière de mon soleil, elle irradierait de toutes parts, on ne verrait qu’elle, exaltée. Neptune n’existerait pas, correspondant à un tempérament doux et rêveur. Pluton par contre y figure. Même si ce n’est pas une planète à proprement parler, Pluton révèle le monstre qui est en nous, l’aspect énigmatique, magnétique, envoûtant. Pluton serait donc en deuxième position, juste après Uranus. En troisième lieu viendrait Saturne, puis Jupiter, au milieu, avec une Mars intermittente, un Mercure relégué au presque dernier plan, enfin viendrait Vénus, occultée par Saturne. Enfin, la ceinture d’Astéroides engloberait le tout, formant comme une frontière naturelle au système ainsi constitué. La comète de Halley quant à elle passerait au voisinage du soleil tous les siècles environ.

    Comme chacun le sait, le Système Solaire est apparu par ce qu’on appelle le Big Bang, qui est une gigantesque explosion. Cette explosion expulsa dans l’Espace de la poussière, qui s’est agglomérée pour faire les planètes, et de l’hydrogène et de l’hélium, qui par des réactions en chaîne ont vu naître les étoiles. Le Soleil est de taille moyenne, une étoile orange/jaune, qui consomme son carburant. Actuellement, il en est à la moitié de sa capacité initiale. Quand le Soleil aura tout consommé, il se mettra à enfler, englobant les planètes les plus proches de lui. Une fois l’hélium totalement consommé, l’enveloppe gazeuse du Soleil se dispersera dans l’Espace, le noyau s’effondrera sur lui-même pour devenir une naine blanche. Durant l’expansion de l’enveloppe externe, les deux premières planètes seront désintégrées. Notre Terre sera plus ou moins épargnée, bien qu’elle ne méritera plus son surnom de Planète Bleue, l’Humanité de toute manière aura disparu depuis longtemps. Une fois devenue une naine blanche, le Soleil perdra toute son énergie, et sera d’une faible luminosité. Les planètes restantes seront dans un froid éternel, privées des rayons solaires, restant à la dérive, probablement en orbite autour de la naine blanche, en admettant que la gravité soit suffisante. Dans le cas contraire, les planètes quitteront leur orbite actuel, et dériveront, jusqu’à rencontrer une nouvelle étoile autour de laquelle graviter, s’ils n’ont pas été avant absorbés par un trou noir.
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MessageSujet: Re: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyLun 2 Aoû 2010 - 14:46

L’Astronomie a toujours été l’un des cours, sinon le cours préférés de la Serdaigle. Depuis toute petite, elle était fascinée par les étoiles, les planètes et autres constellations. Ce n’est pas pour rien qu’on disait d’elle qu’elle avait toujours la tête dans les nuages, elle l’était au sens propre comme au sens figuré. A la maison, elle avait une belle collection de livres sur le sujet. Et elle était incollable sur certaines questions astronomiques, ou presque. Bien entendu, elle n’aimait pas tellement la partie sciences de la matière. Elle avait du mal à retenir les distances, les données chiffrées, et autres désagréments comme les spectres lumineux ou cette histoires d’ondes. Elle n’était pas non plus férue de la conquête spatiale. En fait, ce qu’elle préférait, c’était l’observation, et l’identification. En plus des mythes et légendes associés à chacun des objets du ciel. La rêveuse n’avait pas l’esprit suffisamment cartésien pour le reste. Elle avait fini de réviser la veille, bien qu’elle n’en avait pas eu réellement besoin. Disons qu’elle avait sorti ses cours pour se donner bonne conscience, et parce qu’elle ne se reposait jamais sur ses acquis, recherchant sans cesse la perfection. Elle détestait son côté particulièrement maniaque, qui faisait qu’elle n’était jamais contente de ce qu’elle faisait. Elle visait toujours plus haut, toujours plus fort, et ça ne marchait pas forcément, voilà qui était particulièrement rageant. Quand le ciel fut complètement noir, ce qui ne fut pas très tôt vu que l’été approchait, accompagné de l’immanquable rallongement des jours, elle se prépara pour aller passer son examen d’astronomie. Lieu de rendez-vous, la plus haute tour du château, qui constituait un poste d’observation parfait. Elle se languissait déjà de plonger dans l’océan d’encre parsemé d’étoiles, l’œil rivé à un télescope savamment réglé. Oui, elle avait hâte, cela allait être un jeu d’enfant.

Des minutes interminables plus tard, Erin s’attelait déjà à la lecture de la partie théorique de l’examen, trépignant d’impatience parce qu’elle connaissait toutes les réponses demandées. Elle allait finir bien en avance, elle qui d’ordinaire utilisait toujours le temps imparti, et souvent c’était juste à temps qu’elle finissait. Par contre, elle resta perplexe face à la partie imagination. Elle fut légèrement déçue, elle qui s’attendait à un truc chouette à observer. Elle se résigna à gratter pendant le temps imparti, de toute manière elle n’avait pas le choix. Elle se demandait juste comment elle allait organiser la partie imagination, parce que mine de rien, ce n’était pas simple. Tant pis. Déjà, répondre aux questions serait une bonne chose. Ensuite, elle avisera. Alors, elle s’empara de sa plume, puis de sa copie, sans passer par un quelconque brouillon. Elle commença à griffonner ses réponses, tout en faisant attention de ne pas faire de faute, ni même de faire des pâtés avec l’encre, ce n’était pas du tout pratique d’être gauchère.


    EPREUVE D’ASTRONOMIE.
    Erin Milena Van Hall. Sixième Année. Serdaigle.

    1°) Nommer l’ensemble des planètes de notre système solaire, dire de quel type de planète il s’agit (tellurique, gazeuse, liquide, glace, etc.), et donner la composition de l’atmosphère de chacune.
    Notre système solaire est composée de neuf planètes qui sont en rotation autour du soleil. La plus proche est Mercure, la plus éloignée est Pluton, découverte en 1933 par un Moldu. La plupart des planètes ont été découvertes en Antiquité, sauf les plus éloignées, ce qui est parfaitement compréhensible. On distingue deux groupes de planètes, les planètes dites telluriques, qui ont un sol dur, et les planètes gazeuses, qui sont les géantes du Système Solaire. La nature de planète de Pluton reste controversée, en effet, celle-ci pourrait être fort bien un astéroïde venant de la ceinture de Kuiper aux confins du Système et non une planète en tant que telle. C’est la seule planète du Système Solaire qui possède un satellite aussi gros qu’elle, d’où l’incertitude. Nul doute n’est permis concernant les huit autres. Les Moldus ont inventé des phrases mnémotechniques pour retenir l’ordre des planètes, elles s’adressent surtout aux jeunes enfants. Par exemple, il y a Monsieur, Vous Travaillez Mal, Je Suis Un Nouveau Professeur. Ainsi, dans l’ordre, apparaissent Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Le Système Solaire est quasiment coupé en deux par une ceinture d’Astéroïdes, la ceinture de Kepler, et qui sépare le groupe des planètes telluriques et des planètes gazeuses. Ainsi, dans le premier groupe, on dénombre:
    -Mercure, qui est une petite planète, mais aussi la plus proche du soleil. Sa proximité avec notre astre est telle qu’elle n’a pas d’atmosphère, il s’agit d’une planète nue, aride, et rocheuse, stigmatisée par de profonds canyons. En réalité, il n’existe qu’un exosphère, qui n’est pas une atmosphère à proprement parler. Cet exosphère est composé de potassium (K) à raison de 31%, Sodium (Na) à raison de 25%, Oxygène (O) à 9,5 %. D’autres gaz sont décelés, mais dans des quantités moindres. Sa température à la surface avoisine les 430°C.
    -Vénus est la deuxième planète du Système Solaire. C’est la planète la plus chaude du Système, en raison de la composition et la densité de son atmosphère. Elle est aussi appelée Etoile du Berger. Son atmosphère est dense, et essentiellement composée de dioxyde de carbone (CO2), ainsi que de dioxyde de soufre (SO2). Ce mélange apporte une température à la surface de l’ordre de 460 degrés. Il y a aussi des traces de diazote, ou de monoxyde de carbone.
    -La Terre, notre planète, aussi surnommée la Planète Bleue, est la troisième du groupe des telluriques. Sa particularité réside essentiellement dans la présence d’eau, en grande quantité, puisqu’elle est présente sur 80% de la surface. Ce qui la rend largement habitable. Son atmosphère est composée de diazote, d’oxygène essentiellement. On remarque aussi la présence de dioxyde de carbone, qui cause le fameux effet de serre, le dioxyde de soufre mais aussi l’ozone. Les amplitudes thermiques vont de -80°C à 60°C.
    -Mars est la quatrième planète, et la dernière du groupe des Telluriques. Elle est surnommée la Planète Rouge en raison de son sol, qui est rouge, comme son nom l’indique. Le gaz prédominant dans son atmosphère est le dioxyde de carbone, présent à 95%. Suivent 2,7% d’azote et 1,6 % d’Argon. Il y a de la vapeur d’eau et du dioxygène mais en proportions moindres. La température moyenne sur Mars est de -60°C.
    Nous arrivons désormais à la ceinture de Kepler, composée d’astéroïdes. Au-delà se situe le groupe des planètes dites les Géantes Gazeuses, nommées ainsi en raison de leur taille mais aussi de leurs consistance. Ce sont les plus grosses planètes du système solaire.
    -Jupiter est la cinquième planète, mais aussi la plus grosse. Elle est composée essentiellement d’hydrogène et d’hélium, mais on a repéré des traces de méthane, eau, ammoniac entre autres. Sa température à la surface est de -161°C.
    -Saturne est la sixième planète. Son atmosphère est composée majoritairement d’hydrogène et d’hélium. A l’instar de Jupiter, il existe sur Saturne des traces de méthane, éthane, ou ammoniac.
    -Uranus est la septième planète. Elle fait partie des géantes glacées, c’est la planète la plus froide du système solaire. Elle est composée de glace d’eau, d’hélium, de méthane et d’hydrogène. On note la présence d’hydrogène et d’hélium liquides.
    -Neptune est la dernière des planètes gazeuses. Elle est composée de glaces, d’hydrogène et d’hélium, à l’instar d’Uranus.
    -Pluton est la neuvième planète, et à part des autres. Elle n’est pas vraiment une planète à proprement parler, elle est en réalité une planète naine. Elle n’a pas d’atmosphère en tant que tel, en réalité il s’agit d’une enveloppe de gaz contenant de l’azote, du monoxyde de carbone et du méthane.

    2°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des anneaux ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Seules Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune, les quatre gazeuses géantes, sont dotées d’anneaux. Elles ont respectivement 3, 13, 13 et 5 anneaux.

    3°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des satellites ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Des planètes du système solaire, seules Mercure et Vénus n’en possèdent pas. La Terre en a un, la Lune, Mars en compte deux, Jupiter 63, Saturne 53, Uranus 27, Neptune 13 et Pluton 1, Charon.
    (Nota: J’ai pris les chiffres actuels, j’ai la flemme de les compter jusqu’en Juin 1996 x__x)

    4°) a - Qu’est-ce qu’une constellation ?
    Une constellation est un ensemble d’étoiles qui reliées par un ensemble de traits imaginaires peuvent représenter quelque chose.

    b - Identifier les différentes constellations suivantes. Vous devrez donner leur nom et leur origine (japonaise, romaine, etc.).
    Constellation 1: Il s’agit de la Grande Ourse. Elle fut crée par un grec, Thalès. Son étoile principale est la fameuse étoile polaire.
    Constellation 2: Il s’agit de la constellation d’Orion. Elle est d’origine latine, bien que d’autres civilisations l’aient repérée sous d’autres formes. Ses étoiles principales sont Bellatrix, Bétlegeuse et Rigel.
    Constellation 3: C’est la constellation du Dragon, d’origine grecque.
    Constellation 4: C’est la constellation de Cassiopée, d’origine grecque.

    PARTIE IMAGINATION.

    Dans mon système solaire, il y aurait moins de planètes que le nombre actuel. Pluton n’y figurerait pas, dans la mesure où elle n’est pas vraiment une planète. Pour moi, elle s’apparente davantage à un gros astéroïde plutôt qu’à une planète digne de ce nom. Mercure n’existerait pas non plus, elle est beaucoup trop petite par rapport aux autres, elle est dépourvue de couleurs, elle est assez laide et crevassée, elle fait pâle figure à côté des autres. Mars est jolie en rouge, mais elle n’est pas grande non plus, elle prive l’ensemble d’harmonie. Mon système solaire commencerait à la Terre, notre poste d’observation. C’est de là qu’on repérerait toutes les autres planètes du système solaire. La Terre serait placée à la distance actuelle, trop près du soleil, son atmosphère disparaîtrait, et la vie ne serait plus possible. Trop au-delà de sa distance actuelle, il ferait trop froid. Viendrait ensuite Neptune. Puisque la Terre est surnommée la Planète Bleue, autant poursuivre dans la même nuance, non? Ensuite je mettrais Uranus, qui est verte, puis Saturne. Et Jupiter en tout dernier. Comme ça, ça fait un joli dégradé. Et c’est plus harmonieux. Je ne mettrai pas de ceintures d’astéroïdes, en tout cas trop près de la Terre, c’est trop dangereux. Il suffirait d’une seule d’entre elles pour anéantir la planète, ce que je ne souhaite pas. D’autant plus que la plupart sont immenses. Si ceinture il y a, alors elle sera après Jupiter, tout à la fin. Il n’y aurait certainement pas de trou noir. La gravité est telle que nous serions tous aspirés,avant d’être étirés comme des spaghettis puis désintégrés. Un trou noir serait un réel danger à proximité. Puis même, les étoiles ne peuvent pas être trop proches l’une de l’autre, alors une ex-étoile…Bref, les trous noirs sont à bannir. Enfin, il y aurait une comète, qui passerait périodiquement dans notre système solaire, comme c’est le cas pour la Comète de Halley. Si on récapitule, il y aurait donc le Soleil, bien évidemment, sinon il ne porterait pas son nom de système solaire. En premier lieu viendrait la Terre, puis Neptune, puis Uranus, puis Saturne, et enfin Jupiter. Au-delà de Jupiter s’étendrait une ceinture d’astéroïdes comme pour marquer la frontière naturelle de notre système. Enfin, une comète passerait par chez nous. Ce qui fait au total un nombre de 8 objets.

    Le Soleil ne serait pas une étoile jaune comme elle est actuellement. Elle appartiendrait au groupe des Géantes Rouges, avec une masse stellaire très importante. Ce qui signifie qu’à son extinction, elle risque de se transformer en trou noir. C’est ainsi que le système disparaîtrait, aspiré par un trou noir. Quand le Soleil aura consommé tout son carburant, il finira par exploser, devenant une supernova. Il se formera alors un trou noir, qui est une façon extrême pour une étoile de finir sa vie, le plus souvent elles deviennent des étoiles à neutrons. Mais la masse de l’étoile sera telle que sa fin sera apocalyptique, et qu’elle dégénérera en trou noir. Ce trou noir commencera à aspirer tout sur son passage, tant sa gravité et sa densité seront fortes. Puisque nous ne sommes pas ambitieux, le trou noir sera de catégorie 1, un trou noir stellaire. Mais qui sera suffisant pour aspirer le Système Solaire. C’est ainsi que je vois l’extinction de mon système solaire, mais rassurez vous, aucun d’entre nous ne vivrons ça, nous serons tous morts depuis longtemps, je ne suis même pas certaine qu’il y aurait encore de la vie sur Terre.


Point final. Ce fut long, mais elle y est arrivée quand même. Elle ne s’est pas trop mal débrouillée pour la partie imagination. Mademoiselle préférait largement se baser sur des acquis solides, sur des théories apprises par cœur. Au moins, l’erreur pouvait être évitée. Certes, mais cela restait trop scolaire, elle manquait alors cruellement d’audace. Et pourtant, elle y gagnerait, à oser. Malgré tout, Erin Van Hall n’aimait pas prendre de risques. Elle préférait son monde sécurisé, et ses pauvres repères.
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MessageSujet: Re: [Juin] Epreuve d'Astronomie [Juin] Epreuve d'Astronomie EmptyLun 2 Aoû 2010 - 14:59

Pas plus tard que ce matin, Martin avait reçu un hibou de son père. Le Gryffondor imaginait sans peine son moldu de paternel galérer avec les hiboux. Personne dans la famille n’était sorcier à part lui, de ce fait ils n’avaient pas vraiment été habitués à ce système postal. Au vu du contenu de la lettre, Martin était surpris de ne pas avoir reçu à la place une Beuglante. Il s’agissait de l’un des énièmes rappels à l’ordre du père à son fils, le premier excédé par le j’m’enfoutisme du second. Il y avait également les sempiternelles recommandations, comme par exemple travailler pour avoir de bonnes notes aux examens, ne pas adopter de comportement qui puisse fâcher Ombrage…et de ne rien faire qui lui soit passible de renvoi. Faire la morale à son fils était une des activités préférées du père de Martin, et ce dernier écoutait sans broncher, il n’était guère prudent de faire montre d’impertinence, il ne s’agissait pas là d’attiser son courroux. Malgré les sept années passées à Poudlard, Marvell n’avait toujours pas admis que son fils avait largement fait ses preuves, il était persuadé d’être le géniteur d’un bon à rien, et Martin était fatigué d’essayer perpétuellement de lui prouver le contraire. De toute manière, l’école, c’était particulièrement injuste. Seuls les meilleurs avaient l’espoir d’occuper une place de choix dans l’échelle sociale, et bien entendu, parmi les meilleurs, il y avait toujours une poignée de personnes qui avaient des facilités et qui réussisaient tout ce qu’ils entreprenaient sans se forcer à faire quoi que ce soit. Martin malheureusement n’était pas de ces personnes qui avaient des facilités. Il n’était pas non plus en échec scolaire, en fait il aurait pu être un très bon élève si seulement il avait fait preuve de bonne volonté pour toute autre chose que le Quidditch. Martin s’était tellement investi dans l’équipe des rouge et or qu’il en avait oublié le reste, parce que c’était secondaire, accessoire. Et là, maintenant qu’il était devant ses notes et autres manuels, à l’aube de son dernier examen de la session, il regrettait son manque de travail au cours de ces sept dernière années, de ne pas avoir pleinement étudié ses cours comme tout élève normalement constitué aurait dû le faire. Il aurait sans doute eu des résultats plus glorieux, et surtout, peut-être que son père aurait pu être davantage satisfait de son rejeton.

Seulement, avec des si on pouvait réécrire l’histoire, et Martin avait un examen d’astronomie à passer. Certes, être joueur de Quidditch professionnel ne lui demandait pas beaucoup d’ASPIC en règle générale, mais son honneur serait sauf s’il avait eu des bonnes notes un peu partout, une roue de secours afin de construire un autre projet professionnel si jamais le premier n’aboutissait pas. On n’était jamais à l’abri d’un imprévu, n’est-ce pas? Martin ne se faisait pas d’illusions quant à l’issue de l’épreuve, au moins il en aura terminé avec tout ça. Que demander de plus? En attendant, il devait assurer. Cela ne devrait pas trop poser de problèmes en ce qui concerne la théorie, l’astronomie, c’était plutôt facile, et les sujets d’examens n’étaient pas compliqués à résoudre. En pratique, cela allait se corser, bien que ça ne pouvait pas être pire que les potions ou encore la métamorphoses, deux disciplines pourtant redoutables et qu’il pensait ne pas avoir trop mal réussies. Honnêtement, il pensait même s’être bien débrouillé. Mais ce qui est fait est fait, dès lors, il n’y avait plus qu’à attendre les résultats, et un petit miracle. Il espérait avoir obtenu un ASPIC pour au moins cinq matières, mais c’était se montrer trop ambitieux et utopiste. Il ne fut pas surpris par la partie théorique. C’étaient de basiques questions de cours, on sait ou on ne sait pas. En revanche, pour la partie pratique, l’énoncé du sujet l’avait laissé perplexe. Il avait dû relire deux ou trois fois pour comprendre de quoi ils’agissait vraiment, et même en ayant lu et relu, il avait peur de ne pas avoir tout à fait saisi. Il doutait toujours lorsqu’il rédigea son écrit d’invention, se laissant parfois aller à quelques délires personnels, fan de science-fiction oblige. Son histoire était digne d’un film catastrophe, et pourtant il n’était pas certain qu’il soit digne d’au moins un acceptable. Il aurait largement préféré un travail d’observation. On ne peut pas tout avoir non plus.


    EPREUVE D’ASTRONOMIE.
    Martin Antall. Septième Année. Gryffondor.

    I. Partie Connaissance

    1°) Nommer l’ensemble des planètes de notre système solaire, dire de quel type de planète il s’agit (tellurique, gazeuse, liquide, glace, etc.), et donner la composition de l’atmosphère de chacune.

    Il y a neuf planètes dans le Système Solaire.
    Mercure; première planète tellurique. Sa proximité avec le soleil ne lui garantit pas une atmosphère, mais une enveloppe gazeuse composée essentiellement de potassium, de sodium et d’oxygène.
    Vénus est une planète tellurique, la plus chaude du système Solaire. Son atmosphère est dense, d’où la chaleur importante à la surface. Elle est composée de dioxyde de carbone et de dioxyde de soufre.
    La Terre est la troisième planète tellurique. Contrairement aux autres, elle est aussi couverte d’une importante surface d’eau, qui la rend habitable. Elle est donc également liquide. Son atmosphère est essentiellement composée d’oxygène et d’azote, mais aussi de dioxyde de carbone, résultat du rejet des plantes et de la pollution.
    Mars ferme le groupe des planètes telluriques. Son atmosphère est composé aux 9/10 de dioxyde de carbone.
    Jupiter est la première des géantes gazeuses. Elle est essentiellement composée d’hydrogène et d’hélium, à l’instar de Saturne, Uranus et Neptune. Sur les trois dernières cependant, il y a des traces de glace d’eau, de méthane ou d’éthane.
    Pluton est la neuvième planète. Elle n’est ni tellurique, ni gazeuse, en fait c’est une toute petite planète glacée, avec une atmosphère très ténue, contenant du monoxyde de carbone, de l’azote et du méthane.

    2°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des anneaux ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Les planètes telluriques n’ont pas d’anneaux. Ce qui fait que seules les géantes gazeuses, à savoir Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune ont des anneaux. Saturne et Uranus possèdent le plus gros système d’anneaux, à raison de 13 chacune, Jupiter n’en a « que » 3, ténus, et Neptune en a cinq.

    3°) Quelle(s) planète(s) possède(nt) des satellites ? (Précisez le nombre pour chacune)
    Toutes les planètes, à l’exception de Mercure et de Venus ont un ou des satellites. La terre en a un, la Lune, Mars en a deux, Deimos et Phobos, Jupiter détient le record avec 63 satellites, Saturne en compte 53, Uranus en a 27, Neptune en comporte 13 et Pluton en a un, Charon.

    4°) a - Qu’est-ce qu’une constellation ?
    Une constellation est un ensemble d’étoiles qui, si elles sont reliées par des traits imaginaires, sont susceptibles de représenter quelque chose, des figures mythologiques essentiellement. La plupart de celles que nous connaissons sont d’origine grecque ou romaine, leurs noms proviennent de ce fait de leur mythologie.

    b - Identifier les différentes constellations suivantes. Vous devrez donner leur nom et leur origine (japonaise, romaine, etc.).
    Constellation 1 : Origine grecque, repérée par Thalès. Son nom est la Grande Ourse.
    Constellation 2 : Constellation d’Orion, origine latine.
    Constellation 3 : Constellation du Dragon, origine grecque.
    Constellation 4 : Cassiopée, origine grecque.

    II. Partie Imagination

    Les planètes ont depuis longtemps attisé l’imaginaire humain, certains venant jusqu’à imaginer d’autres formes de vie ailleurs que sur Terre. Pourtant, aucune planète du système solaire n’est suffisamment accueillante pour abriter le Vivant, sous quelque forme que ce soit. Mercure est trop aride, Vénus trop toxique, sur Mars, il fait trop froid, on n’y survivrait pas. les gazeuses n’en parlons pas, elles n’ont même pas de sol solide, juste des gaz en gravitation et un noyau qui se veut solide, en cohésion grâce à la gravité. Et un jour, la nouvelle tomba: on a trouvé de l’eau sur Mars. Cette eau n’était même pas solide, même pas liquide, en fait il s’agissait ni plus ni moins que de traces, rien de bien probant en somme, mais elles attiraient déjà la convoitise des pauvres terriens que nous sommes. Des dizaines de scénarios se formaient dans l’esprit des scientifiques, et si ces restes d’eau contenaient également des résidus attestant de l’existence de la vie sur Mars? Cela serait la porte ouverte à la conquête de possibles voisins, et donc la confirmation de l’existence des petits bonhommes verts même sacrément retardés dans leur évolution, nous en sommes à l’homo sapiens sapiens alors qu’ils n’en seraient qu’au stade de bactéries…Autrement dit, ils avaient près de trois milliards d’années à rattraper, ce n’est pas demain la veille que sera contée sur Mars l’Odyssée de l’Espèce.

    Tout commença alors sur Terre, notre petite planète bleue, où l’homo sapiens sapiens règne en maître absolu, et rêve de conquérir les autres planètes du Système Solaire, pour se les approprier. Sur Jupiter, il était clair qu’il n’y avait rien à en tirer, de même que Saturne, Uranus ou Neptune. Restait donc Pluton, la petite dernière, découverte en 1933, qui avait un sol dur et potentiellement habitable. Il s’agit là du deuxième point de l’aventure humaine, Pluton, recluse du Système Solaire, exoplanète qui ne manque pas de susciter les interrogations, notamment en ce qui concerne la taille surdimensionnée de son satellite par rapport à elle-même: Charon est en effet presque aussi gros que Pluton. Mais le satellite de Pluton n’est pas son seul attrait: la présence de glace est aussi très intéressante. Car qui dit glace dit eau, et qui dit eau dit vie potentielle. Il n’y a pas beaucoup d’expéditions Moldues qui ont été lancées vers ces contrées glacées, situées aux confins du système solaire. Mais plus que s’intéresser aux planètes déjà existantes, et desquelles il n’a rien à en tirer, le mieux serait de s’intéresser aux exoplanètes, existant bien au-delà de la ceinture de Kuiper, aux confins de notre Système. Seulement, pour le moment, il n’y a aucun moyen d’y parvenir, tant elles sont éloignées, les étoiles les plus proches sont à quelques dizaines d’années lumière de nous.

    Comme dans tout récit catastrophe qui se respecte, les Astéroïdes occupent une place de choix. Bon nombre de films Moldus relatent l’existence d’astéroïdes susceptibles d’être une menace pour la Terre. En effet, certains d’entre eux proviennent de la ceinture de Kepler, qui sépare Mars de Jupiter. Ce qui ramène notre nombre d’objets à quatre: La Terre, Mars, Pluton et la ceinture d’Astéroïdes. Comme je suis également fasciné par les récits de Jules Verne, tels que On a marché sur la Lune, il est impensable que notre satellite ne figure pas dans ce nouveau système solaire, pour permettre aux cosmonautes de s’y rendre comme bon leur semble. Notre soleil ne serait pas une étoile de taille moyenne et orange, elle serait plutôt une géante rouge. Comme les géantes rouges sont plus grosses que les étoiles moyennes, le Soleil vivrait beaucoup moins longtemps, car il aurait consommé son carburant plus rapidement. A ce moment, toute trace de l’Humanité aurait disparu de la surface de la Terre. Le réchauffement climatique se serait exacerbé et les températures seraient invivables. Dès lors que le Soleil n’aura plus d’énergie, il explosera, expulsant son enveloppe gazeuse dans l’espace, englobant les planètes les plus proches de lui, devenant une supernova. La Terre aura été désintégrée, Mars en grand péril. Au centre de la supernova se trouverait le noyau du Soleil, devenu alors un mini-trou noir: le cœur tournerait si vite qu’il absorberait tout autour de lui. Les malheureuses planètes rescapées ne feraient pas longs feux, elles finiraient attirées au cœur du trou noir, puis désintégrées. A la place de notre système solaire, il n’y aurait plus qu’un trou noir, qui absorbe toute la lumière passant sur son passage.
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